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36
Je n’avais pas d’habits, et vous m’en avez donné. J’étais malade, et vous m’avez soigné. J’étais en prison, et vous êtes venus me voir.
43
J’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli chez vous. Je n’avais pas d’habits, et vous ne m’en avez pas donné. J’étais malade et en prison, et vous n’avez pas pris soin de moi.
29
Le gardien demanda des torches, se précipita dans le cachot et, tremblant de peur, il se jeta aux pieds de Paul et Silas.
30
Puis il les fit sortir et leur demanda : — Messieurs, que dois-je faire pour être sauvé ? —
31
Place ta confiance dans le Seigneur Jésus, lui répondirent-ils, crois en lui, et tu seras sauvé, toi et les tiens.
32
Et aussitôt, ils se mirent à lui annoncer la parole de Dieu, ainsi qu’à tous ceux qui vivaient avec lui.
33
À l’heure même, en pleine nuit, le gardien les emmena pour laver leurs blessures et, séance tenante, il se fit baptiser avec tous les siens.
34
Puis il fit monter Paul et Silas dans son logement, demanda de leur préparer un repas et se réjouit, avec toute sa famille, d’avoir trouvé la foi en Dieu.
23
Il donna à l’officier responsable de Paul l’ordre de le ramener en prison, mais de le traiter avec égards et de lui laisser quelque liberté. En particulier, on ne devait pas empêcher ses amis de venir le voir et de lui rendre des services.
3
Le lendemain, le bateau fit escale à Sidon. Julius s’est montré très bienveillant envers Paul et lui a permis de se rendre chez ses amis (chrétiens), de jouir de leur hospitalité et de recevoir leur aide.
15
Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent. Pleurez avec ceux qui pleurent.
26
Un membre souffre-t-il ? Tous les autres en pâtissent et souffrent avec lui. Un membre est-il à l’honneur ? Tous les autres partagent sa joie.
1
Mes frères, s’il arrivait à quelqu’un de faire, par mégarde, un faux pas, si, cédant à une impulsion soudaine, il tombait dans quelque faute et que vous veniez à le découvrir, agissez à son égard en hommes spirituels : sous la conduite de l’Esprit, ramenez-le avec affection et douceur dans le droit chemin, en évitant tout sentiment de supériorité. Et soyez vous-mêmes sur vos gardes, de crainte d’être aussi induits en tentation !
2
Aidez-vous mutuellement à porter vos fardeaux. Supportez les fautes et les faiblesses des autres. De cette manière, vous accomplirez la loi du Christ. (N’a-t-il pas lui-même porté nos fautes et nos faiblesses à la croix ?)
1
(En considération de tout ce que Dieu a fait pour nous,) permettez-moi donc, en tant que prisonnier du Seigneur, de vous adresser d’instantes recommandations : conduisez-vous d’une manière digne de l’appel qui vous a été adressé.
14
Pourtant vous avez bien fait de prendre part à ma détresse et de me secourir.
15
Vous savez bien, chers Philippiens, que dans les premiers temps de mon activité missionnaire lorsque j’ai quitté la Macédoine, aucune Église n’a participé à mon entretien, aucune ne s’est associée à moi en m’ouvrant un compte de crédit et débit. Vous seuls y avez pensé.
16
Dès mon séjour à Thessalonique, vous m’avez envoyé, par deux fois, des dons pour subvenir à mes besoins.
17
Ce n’est pas que je tienne à recevoir des dons : ce qui m’intéresse, ce sont les fruits que vous offrez ainsi à Dieu et qui sont portés à votre actif.
18
Pour le moment, j’ai tout ce qu’il me faut et même du superflu. Depuis qu’Épaphrodite m’a remis vos dons, je suis comblé, je vis dans l’abondance. Vos présents étaient pour moi le doux parfum d’une offrande agréable à Dieu.
19
D’ailleurs, mon Dieu subviendra pleinement à tous vos besoins selon sa richesse glorieuse manifestée en Jésus-Christ.
18
Je vous adresse mes salutations de ma propre main. N’oubliez pas que je suis en prison. Que la grâce de Dieu soit avec vous !:::::
16
Par contre, Onésiphore m’a souvent réconforté. Que le Seigneur fasse sentir sa bonté à toute sa famille. Lui, au moins, n’a pas eu honte de me rendre visite en prison.
17
Dès son arrivée à Rome, il s’est activement mis à ma recherche, il n’a reculé devant aucune fatigue, aussi a-t-il fini par me découvrir.
18
Que le Seigneur Jésus lui donne d’avoir part à la bonté de Dieu au jour (du jugement). Tu sais mieux que personne combien de services il m’a rendus à Éphèse.
34
Oui, vous avez témoigné votre sympathie aux prisonniers et vous avez accepté dans la joie d’être dépouillés de vos biens, car vous saviez que vous possédez ailleurs des richesses plus précieuses, et qui durent toujours.
3
Pensez aux prisonniers, comme si vous étiez leurs compagnons de captivité. Souvenez-vous de ceux qui sont maltraités, en songeant que vous vivez, vous aussi, dans un corps sensible comme le leur.
8
Enfin, entre vous tous, cultivez l’unité de cœur et d’esprit. Visez le même but. Qu’une bonne entente règne parmi vous : aimez-vous comme des frères. Témoignez concrètement votre compassion à ceux qui passent par une difficulté. Soyez généreux et courtois, modestes et humbles.
Tous les chrétiens, ayant la même foi, le même esprit, le même amour fraternel, (Hébreux 13.1) sont solidaires les uns des autres, (1Corinthiens 12.26) quand l'un est lié, maltraité, tous le sont en lui.
Les dernières paroles, exprimant la raison de cette solidarité : comme étant aussi vous-mêmes dans un corps, ont été diversement interprétées.
Calvin entend par le corps où sont les chrétiens le corps de Christ, l'Eglise ; de là nos anciennes versions : "comme étant du même corps," sens très beau, mais qui n'est pas dans le texte. Bèze traduit : "comme si, en personne, vous étiez maltraités."
Enfin, la plupart des interprètes, prenant les termes tels qu'ils sont, y trouvent cette pensée : Etant dans un corps, et vivant dans ce monde, vous êtes exposés aux mêmes dangers, aux mêmes souffrances qui tôt ou tard vous atteindront : prenez donc part aux épreuves de vos frères.