Noël : les 100 visages du Sauveur
Comme Joseph ne possédait pas d’appareil photo, nous ne pouvons pas contempler la frimousse du bébé, le petit Jésus, emmailloté …
Le devoir d'accepter fermement Christ
et Son Évangile. (Hébreux 2:1-4)
Ses souffrances ne sont pas une objection
à Sa prééminence. (Hébreux 2:5-9)
La raison de Ses souffrances, et leur finalité. (\\# 10-13\\)
Que Christ prenne la nature de l'homme, et non pas celle des
anges, était essentiel à Son office, en tant que
Sacrificateur. (\\# 14-18\\)
Notre esprit et notre mémoire ressemblent à un « récipient » qui fuit, ne retenant pas correctement son contenu, sauf si l’on prend maintes précautions. Ce phénomène provient de la corruption de notre nature, des tentations, des attraits du monde et de ses plaisirs. Pécher contre l'Évangile, revient à négliger le grand salut qui nous est offert ; c'est mépriser la Grâce salvatrice de Dieu, en Christ, la Lumière ; ne pas ressentir le besoin d’être sauvé équivaut à ne pas honorer Jésus.
Les jugements du Seigneur, sous la dispensation de l'Évangile sont principalement spirituels, et de ce fait, ils doivent être vraiment redoutés. On trouve dans ce texte une sollicitation de la conscience des pécheurs. Même nos négligences mineures n'échapperont pas aux reproches du ciel ; elles obscurcissent souvent l’âme par des ténèbres spirituelles, en risquant de conduire cette dernière à la ruine.
La mise en place de l'Évangile a été poursuivie et confirmée par ceux qui ont connu Christ, par les évangélistes et les apôtres, qui ont été les témoins de ce que Jésus-Christ a commencé à la fois d'enseigner et d’accomplir ; ces hommes, par les dons du Saint-Esprit, furent qualifiés pour la tâche à laquelle ils étaient appelés. Tout ce plan fut établi selon la Volonté de Dieu. Ce Dernier désirait en effet qu’en recevant l'Évangile, nous ayons des bases solides pour notre foi, et un ferme fondement pour notre espérance.
Que notre âme admette cette vérité nécessaire, et s'appuie sur les Saintes Écritures, transcrites par ceux qui ont entendu les paroles de notre merveilleux Seigneur, étant inspirés par Son Esprit ; nous serons alors bénis, nous aurons « la bonne part », celle qui ne peut nous être ôtée !
Comment Dieu a-t-il pu éprouver autant de Miséricorde à l’égard des hommes, en leur donnant Christ ici-bas ? C'est par Sa Grâce, par l'humiliation de Christ, Celui qui a souffert de la mort à la croix, Celui-ci a reçu une autorité illimitée, sur tout ! L’Écriture a ainsi été accomplie, en Lui. Par ce fait, Dieu a accompli pour nous des œuvres merveilleuses, à la fois dans la création et par Sa Providence, malgré nos agissements les plus vils...
Le chemin de Christ, vers la couronne, passait par la croix, pour le salut de Son peuple. Christ sanctifie ; Il a payé le prix, et Il a envoyé l'Esprit qui sanctifie.
Les véritables croyants sont sanctifiés, dotés de principes et de saints pouvoirs, ils sont mis à part pour de nobles et saints ministères. Christ et les croyants sont les fils du Père céleste : Dieu. Les enfants de Dieu sont amenés à partager une relation avec Christ. Les paroles de ce texte, qui déclarent « frères » les enfants de Dieu, expriment aussi la haute supériorité de Christ sur la nature humaine. Cette pensée est démontré dans trois textes de l'Écriture : Psaume 22:22; 18:2;Esaïe 8:18.
Un prix a été payé à la croix, suffisant et convenant pour tous : Christ a en effet revêtu notre propre nature. Ceci révèle l'amour merveilleux de Dieu, car lorsque Christ a su qu'Il devait souffrir ici-bas à la croix, Il s’est soumis délibérément à la volonté du Père car cette expiation traçait un chemin pour la délivrance de Son peuple, qui par la foi, allait être délivré de l'esclavage de Satan, et être pardonné de ses péchés.
Que ceux qui redoutent la mort, et luttent pour surmonter leurs terreurs, ne tentent pas davantage de les vaincre ni de les étouffer ; que la détresse qu’ils peuvent éprouver ne les rende pas insouciants ni méchants. Qu'ils n'attendent pas de l'aide du monde, mais qu'ils cherchent le pardon, la Paix, la Grâce, et une espérance vivante du ciel, par la foi en Celui qui est mort et ressuscité, de façon à ne pas succomber aux craintes de la mort.
Christ, en se souvenant de Ses propres souffrances et de Ses tentations, reste attentif aux épreuves de son peuple, qu'Il est prêt à aider. Il est à même de secourir ceux qui sont tentés, et qui Le cherchent. Il est devenu homme, et a été tenté, afin d’être apte à secourir Son peuple, étant Lui-même passé à travers les mêmes tentations, sans toutefois donner prise au péché.
Que l'affligé et celui qui est tenté ne se découragent pas, ni ne laissent de prise à Satan ; les diverses tentations ne peuvent les empêcher de venir au Seigneur, par la prière. Nulle âme n'a jamais péri sous la tentation, surtout lorsqu'elle a crié au Seigneur avec foi, dans l'attente d'une délivrance.
Lorsque nous sommes surpris par la tentation, il est sage de vouloir arrêter sa progression...
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- Quand on rapproche ce verset du précèdent, on voit que le Sauveur sanctifie les siens au moyen de ses souffrances et de sa mort, par lesquelles il ôte leur péché, leur fait part de sa justice et les rend capables de le suivre dans cette même voie du renoncement et d'une sainte obéissance.
Cette pensée revient souvent dans notre épître. (Hébreux 9.13,14 ; 10.10,14-29 ; 13.12 ; comparez Jean 17.19)