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11
Le dessein du Seigneur demeure pour toujours.
Les projets de son cœur subsistent d’âge en âge.
8
Ô Dieu, qu’elle est précieuse (pour moi) ta fidélité !
C’est à l’ombre de tes ailes que l’homme trouve un refuge.
4
Le Seigneur l’a juré, il n’en reviendra pas :
Tu seras pour toujours un sacrificateur comme Melkisédec.
10
Le voleur vient seulement pour voler, pour immoler et pour faire périr. Moi, je suis venu pour donner la vie aux brebis, une vie surabondante.
17
Enfants de Dieu ? Mais alors, nous sommes aussi ses héritiers. Nous aurons donc part à tous les trésors de Dieu, exactement comme le Christ, et tout ce que Dieu donne à son Fils sera aussi nôtre. Oui, si maintenant nous sommes unis à lui, si nous portons ses souffrances, nous serons aussi à ses côtés, associés à sa gloire dans le monde nouveau.
29
Car si Dieu, dans sa grâce, fait des cadeaux, s’il appelle des hommes, il ne le regrette pas : ses dons et ses vocations sont irrévocables.
29
Si donc vous lui appartenez, vous êtes aussi la vraie descendance d’Abraham et aussi, par conséquent, ses héritiers, comme Dieu l’a promis.
12
Alors, vous ne risquerez pas de relâcher votre effort et de tomber dans l’indifférence. Nous aimerions, au contraire, que vous marchiez sur les traces de ceux qui, par leur foi, leur persévérance et leur attente patiente, sont entrés en possession de l’héritage promis.
16
Il est de coutume, parmi les hommes, de prêter serment au nom d’un plus grand que soi. Le serment qui vient appuyer une affirmation est une garantie qui met fin à toute contestation.
17
Voilà pourquoi Dieu aussi ajoute à sa parole un serment. Il a voulu, par là, donner aux bénéficiaires de la promesse une preuve supplémentaire qu’il ne reviendrait jamais sur sa décision.
18
Nous sommes donc en présence de deux actes irrévocables (la promesse et le serment), par lesquels Dieu s’interdisait à lui-même de modifier sa résolution. Le Dieu qui ne saurait mentir entendait nous donner par là une assurance inébranlable. Il voulait nous encourager, nous qui avons tout quitté pour le suivre, à saisir de toutes nos forces l’espérance proposée et à en faire notre seul refuge.
7
C’est la foi qui a fait agir Noé. Dieu lui avait parlé d’événements futurs que rien ne laissait prévoir. Noé prit son avertissement au sérieux et il s’est mis à construire l’arche dans laquelle toute sa famille a été sauvée. Sa foi a rendu manifeste l’incrédulité de son entourage. Il a ainsi obtenu d’être déclaré juste devant Dieu à cause de sa foi.
9
Confiant dans les promesses divines, il séjourna en étranger dans la terre qui lui avait été promise, y vivant sous des tentes ainsi qu’Isaac et Jacob auxquels Dieu avait accordé la même promesse.
17
s’il y a quelque cadeau de valeur, quelque don parfait, il nous vient d’en haut, du Père, du Créateur de tout ce qui est lumineux. Il reste toujours égal à lui-même : il n’y a en lui ni changement ni ombre due à des variations.
5
Écoutez, mes chers frères, Dieu n’a-t-il pas choisi les pauvres de ce monde pour en faire des riches par la foi et leur assurer la possession du royaume qu’il a promis à ceux qui l’aiment ?
3
Loué soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ. Dans son amour sans limites, il a eu compassion de nous et nous a fait naître à une vie nouvelle, en nous associant à la résurrection de Jésus-Christ d’entre les morts, pour nous donner une espérance vivante.
7
Quant à vous, maris, essayez de comprendre vos femmes, ayez beaucoup d’égards pour elles dans votre vie commune ; souvenez-vous qu’elles ont une nature plus fragile et plus délicate. Traitez-les avec respect et honneur, non seulement parce qu’elles sont plus faibles, mais parce qu’elles héritent avec vous la vie (éternelle) que Dieu vous accorde dans sa grâce. Sinon, vous faites vous-mêmes obstacle à l’exaucement de vos prières.
En quoi (en se conformant à cet usage des hommes), Dieu, voulant démontrer plus abondamment l'immutabilité de son conseil, intervint (prit le rôle de médiateur, de garant) par un serment.
- L'auteur a cité à dessein (Hébreux 6.14) celle des promesses faites à Abraham où se trouve la formule du serment.
Plusieurs fois déjà Dieu avait fait sa promesse au père des croyants (Genèse 12.2 ; 17.5 et suivants ; Genèse 18.18), sans ce serment. Il ne fut ajouté à la promesse que lorsque celle-ci fut répétée à Abraham après la terrible épreuve de Morija, parce qu'alors sa foi pouvait en avoir besoin.
C'est pourquoi l'auteur, à Hébreux 6.18, distingue positivement entre la promesse et le serment. (Voir Hébreux 6.18, 1re note.)
- Ce passage est un commentaire important de Matthieu 5.34. Si le serment prêté par les hommes était absolument interdit aux chrétiens, s'il était mauvais en soi, il ne saurait être attribué à Dieu même, et l'auteur n'en parlerait pas comme il le fait ici. (Hébreux 6.16)