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Jean 10.2

Mais celui qui entre par la porte, est le berger des brebis.

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      Psaumes 23

      1

      Confiance en la Grâce et la protection divines.

      - « L'Éternel est mon berger ». Par ces termes, le croyant est amené à témoigner de sa confiance auprès du grand Pasteur de l'univers, le Rédempteur et le Sauveur des hommes. Il annonce avec joie qu'il possède un Berger qui se nomme Jéhovah. Un troupeau de moutons innocents et dépourvus de toute méchanceté, se nourrissant dans les verts pâturages, sous la garde attentive et efficace d'un tendre Berger, représente bien l'emblème des croyants rassemblés par ce Berger des âmes. La plus grande des abondances n'est qu'une piètre pâture pour le méchant qui ne goûte et ne poursuit que le plaisir des sens ; mais pour le croyant qui, par la foi, savoure la bonté divine avec ravissement, en toute humilité, c'est une pâture verdoyante. Le Seigneur apporte la paix et le contentement de l'âme en toutes circonstances.

      Sommes-nous bénis dans les verts pâturages de ses ordonnances ? Soyons assez vigilants pour en découvrir tous les trésors et restons-y fidèles. Les consolations du Saint-Esprit sont les eaux vives par lesquelles les saints sont abreuvés et conduits ; ces torrents proviennent de la Fontaine d'eaux vives. Seuls ceux qui ont leur vie régie par de tels courants peuvent marcher dans le sentier de la droiture. Le sentier du devoir est la vraie voie du bonheur. Le résultat de la droiture en toutes choses est la paix.

      Nous ne pouvons pratiquer seuls de tels sentiers, à moins que Dieu ne nous y conduise et nous aide dans le cheminement. Le mécontentement et le manque de confiance sont les traits qui caractérisent l'incroyant ; un cheminement incertain en est toute la conséquence. Ayons tout simplement confiance dans la protection de notre Berger et soyons attentifs à sa voix.

      La vallée de l'ombre de la mort représente la pire des afflictions ou la plus sombre des destinées que le psalmiste puisse rencontrer. Entre le troupeau, ici bas, et celui qui est dans les cieux, il y a la mort, telle une sombre vallée qui doit être obligatoirement passée pour aller d'un bord à l'autre. Mais même dans ces versets, nous trouvons des termes qui sont synonymes de terreur. C'est l'ombre de la mort : l'ombre d'un serpent ne fera pas d'écorchure ou celle d'une épée ne provoquera pas la mort. Il s'agit d'une vallée vraiment profonde, sombre et lugubre ; mais, de même que l'on trouve souvent du fruit dans les vallées, le fruit de la mort peut être assimilé au réconfort qu'éprouve le peuple de Dieu. C'est une véritable chemin à franchir : les croyants ne se sentiront pas perdus dans cette vallée, mais iront en toute sureté vers les montagnes, au bout de cette vallée. La mort est la reine de la terreur, sauf pour la brebis de Christ. Quand celle-ci est sur le point de mourir, Dieu la protège de l'ennemi ; Il la guide en toute sécurité, avec toute l'armée céleste. Toutes choses sont suffisantes dans l'évangile pour réconforter les saints lorsqu'ils sont près de la mort ; toutes les armes sont également à leur disposition.

      Le peuple racheté se tient à la table du Seigneur, là où se trouve tout son Amour. Satan et les impies sont incapables d'atteindre le peuple divin, un peuple qui est oint du Saint-Esprit et qui jouit de la coupe du salut toujours débordante.

      Les expériences vécues par les croyants leur enseignent qu'ils doivent garder une totale confiance en Dieu ; Sa bonté et Sa Grâce les suivront pendant tous les jours de leur vie. Ils doivent rechercher avec une réelle détermination le service de Dieu ici-bas pour pouvoir se réjouir ensuite à jamais dans les cieux. Pendant notre vie sur terre, le Seigneur peut rendre toutes les situations merveilleuses de par l'onction de l'Esprit-Saint et du salut. Mais ceux qui voudraient jouir de la paix par les bénédictions que Sa maison procure, doivent veiller à exercer le service des saints.

      Psaumes 80

      1

      Le psalmiste souligne la misère de l'église. (Psaumes 80:1-7)
      Il mentionne la prospérité du début qui a fait place à la désolation présente. (Psaumes 80:8-16)
      Prière pour Sa miséricorde. (Psaumes 80:17-19)

      Celui qui demeure sur le trône de la grâce est le bon Berger de son peuple. Mais nous ne pouvons mesurer ni la profondeur de son amour, ni la protection de son bras, si nous ne sommes pas sous le bénéfice de Sa grâce. Si quelquefois Il fait la sourde oreille aux prières de son peuple, c'est à cause du manque de droiture des siens, d'un péché secret éventuel ou d'un simple test pour éprouver la patience et la persévérance.

      Quand Dieu est mécontent des siens, nous devons voir ceux-ci en larmes et constater que leurs ennemis triomphent. Il n'y a pas d'autre salut possible que celui offert par Dieu ; il n'y a aucune conversion qui ne puisse avoir lieu sans Sa grâce.

      Ecclésiaste 12

      Esaïe 40

      Esaïe 63

      Ezéchiel 34

      Michée 5

      Zacharie 11

      Zacharie 13

      7 Nous voyons dans ce texte une prophétie relative aux souffrances de Christ : au verset sept, nous voyons Dieu le Père donner des ordres « à l'épée de Sa Justice », afin qu’elle se dresse contre Son Fils, qui allait, de plein gré, se donner en offrande à la croix, pour le péché de l’humanité.

      Christ, Dieu en personne, est appelé « mon compagnon. ». En fait, Christ et le Père ne sont « qu’une seule Personne ». Jésus est le Berger qui allait donner Sa vie pour Ses brebis. Il devait subir ce sacrifice, car « sans effusion du sang, il ne peut y avoir de rémission des péchés, » (Heb 9:22)*.

      L’épée mentionnée au début de ce texte allait se lever contre Christ, malgré le fait qu’Il n’ait aucun péché à se faire pardonner. C’est peut-être une allusion à toutes les souffrances du Seigneur, en particulier lors de la terrible agonie qu'Il a connue dans le jardin de Gethsémané et surtout au supplice de la croix, jusqu'à ce que la justice divine soit complètement satisfaite.

      « Frappe le Berger, et les brebis seront dispersées. » Cette prédiction s’est accomplie quand notre Seigneur Jésus fut abandonné par tous Ses disciples, la nuit où il fut trahi : en effet, tous s’enfuirent. Nous pouvons également faire de cette phrase un parallèle avec la dispersion d’une partie de l'église, corrompue et hypocrite...

      Les Juifs ayant rejeté et crucifié Christ, en s’opposant à Son Évangile, furent persécutés par les Romains, qui détruisirent une grande partie du peuple. Toutefois, un « reste » sera sauvé (verset huit). Si nous faisons partie de Son peuple, nous serons alors « affinés spirituellement, comme l'or ; » Il restera éternellement notre Dieu ! Lors de l'apparition de notre Seigneur Jésus-Christ, nous connaîtrons la fin de toutes nos épreuves et de nos souffrances ici-bas, et cela se traduira par des louanges, à Sa gloire !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      Jean 10

      Actes 20

      28 Si le Saint-Esprit a établi des serviteurs de Dieu, en tant que surveillants et bergers du troupeau (l’assemblée), ils doivent servir le Seigneur en toute confiance. De leur côté, ces ministres de l’Évangile doivent bien considérer à quel point leur Maître s’est soucié de bien constituer ce troupeau, qui est maintenant à leur charge. Christ a construit l'église avec Son propre sang. Bien qu’ayant revêtu l’apparence humaine, Il a, par ce sang, scellé de manière intime, l'union entre les deux natures : la corruptible et la divine ; c’était en fait véritablement le sang de Dieu car il provenait de Celui qui est Dieu Lui-même ! Cet état de fait a revêtu Christ d’une dignité et d’une valeur permettant de payer la rançon pour les iniquités des croyants, tout en les conduisant sur le chemin de la sanctification.

      Paul rappelle aux anciens d’Éphèse, toute l’affection et toute l’inquiétude qu’il ressentait pour eux. En fait, ils étaient soucieux pour leur avenir spirituel. L’apôtre les invite ensuite à lever les yeux vers Dieu, avec foi, il les recommande à la Parole de Sa Grâce, qui allait être, non seulement le fondement de leur espérance et la source de leur joie, mais aussi leur règle de conduite.

      Les chrétiens les plus avancés spirituellement sont vraiment capables de progresser, en se basant sur la Parole et la Grâce. Ceux qui ne se sont pas repentis de leurs fautes et ne sont donc pas sanctifiés par le Seigneur, ne peuvent être les bienvenus devant le Dieu trois fois Saint, et ne peuvent pas bénéficier des avantages célestes, à l’inverse de tous ceux qui sont nés de nouveau, et sur qui l'Image de Dieu est renouvelée, par Son pouvoir tout-puissant et par la Vérité éternelle.

      Paul recommande aux frères qu’il allait quitter, de ne pas rechercher à tout prix les attraits de ce monde ; ils devaient savoir compter sur l'aide du Seigneur pour les conduire ici-bas. En annonçant qu’il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir, l’apôtre voulait montrer que même sous une apparente difficulté de mise en pratique, cette vérité, annoncée par le Maître, était vraiment actuelle : ces paroles allaient souvent être appliquées par les disciples.

      L'opinion des « enfants de ce monde » est contraire à l’enseignement de ce dernier texte : ils ne cherchent pas à donner, sauf s'ils comptent obtenir du profit en retour ; seul l’appât du gain les motive. Christ nous annonce le bonheur qui résulte du don de soi, un bonheur excellent ! Cette attitude nous rapproche de l’image divine : Dieu donne à tous et n’a besoin de personne ; le Seigneur Jésus, est venu ici-bas pour faire le bien. Puisse cet état d’esprit, qui était en Lui, demeurer en nous également !

      Lorsque des amis se séparent, il est bon qu’ils prient ensemble. Ceux qui s'exhortent de la sorte et qui prient les uns pour les autres, peuvent connaître des moments de tristesse, mais ils doivent se réconforter par l’assurance qu’ils se rencontreront un jour devant le trône divin, pour ne plus jamais se quitter ! Quelle consolation pour ces disciples, de savoir que Christ allait d’une part accompagner Paul, tout en restant avec eux !

      1 Timothée 3

      1 Timothée 4

      Tite 1

      5 Le caractère et la qualité des pasteurs, appelés dans ce texte, « anciens et évêques », s’accordent avec ce que l'apôtre écrivait à Timothée.

      Les pasteurs étant de véritables « superviseurs du troupeau », doivent être astreints à une conduite exemplaire, étant en effet des intendants de Dieu, destinés à prendre soin des affaires de Sa « maison » ; ils doivent donc être absolument sans reproches. Les qualités qu’ils doivent avoir sont clairement annoncées dans ce texte : ils sont des serviteurs de Christ, et des ministres, capables d’enseigner la Parole et la mise en pratique de l'Évangile.

      L’apôtre dépeint ensuite l'esprit et la pratique que doivent posséder les responsables, le tout devant se traduire par de bonnes œuvres.

      Hébreux 13

      1 Pierre 2

      1 Pierre 5

      Apocalypse 1

      Apocalypse 2

      1

      Lettres aux églises d’Asie, comportant des avertissements et des encouragements : à l'église d'Éphèse ; (Apocalypse 2:1-7)
      à l’église de Smyrne ; (Apocalypse 2:8-11)
      à l’église de Pergame ; (Apocalypse 2:12-17)
      à l’église de Thyatire. (Apocalypse 2:18-29)

      Ces assemblées étaient dans des états si différents, quant à la pureté de la doctrine et la ferveur de la piété, que les paroles qui leur sont adressées par Christ, peuvent tout à fait convenir à toutes les autres églises, ainsi qu’à leurs dirigeants.

      Christ connaît et observe l’état de ces assemblées d’Asie : bien qu’étant au ciel, Il est cependant au milieu de Ses églises, ici-bas, observant leurs défauts et leurs besoins.

      L'église d'Éphèse est complimentée pour son assiduité à son devoir. Christ mémorise chaque heure passée par Ses serviteurs, dans l’exercice de leur tâche : ce travail « pour le Seigneur », ne sera pas vain. Il ne suffit pas d’être assidu dans ce ministère : il faut aussi avoir de la patience, à la fois de « supporter », mais aussi « d’attendre ». Bien que nous devions montrer de la douceur de caractère envers tous les hommes, nous devons cependant afficher un certain zèle à condamner leurs iniquités.

      Le péché que reproche Christ à cette église d’Éphèse, n'est pas d'avoir laissé et abandonné l’objet de son amour, mais d'avoir perdu la ferveur qu'elle avait d'abord manifestée. Tel est le reproche que Christ adresse à Son peuple, le voyant devenir négligent et froid envers Lui. Il est certain que cette mention relative à l'abandon, par les chrétiens, de leur premier amour, est un blâme pour ceux qui éprouvent le même sentiment, en toute insouciance, tentant d'excuser leur indifférence et leur manque de zèle à cet égard ; notre Sauveur culpabilise cette insouciance : ces âmes doivent s'en repentir ; elles doivent éprouver de la peine et de la honte, quant à leur déclin spirituel et coupable et le confesser humblement devant Dieu. Ces chrétiens doivent s'efforcer de retrouver leur zèle initial, leur tendresse et leur sérieux dans leur piété ; ils doivent prier avec ferveur, veiller aussi, avec diligence, de la même manière que lorsqu'ils firent leurs « premiers pas » vers Dieu. Si la présence de la Grâce de Christ et l'Esprit sont offensés, ils doivent s’attendre à être attristés.

      Une mention encourageante est néanmoins adressée à l’église d’Éphèse, au sujet de ses qualités. L'indifférence pour la vérité comme pour l'erreur, pour le bien comme pour le mal, peut être faussement appelée de la charité et de la douceur de caractère : c’est une erreur, et cela déplait à Christ.

      La vie chrétienne est une guerre contre le péché, contre Satan, contre le monde et la chair. Nous ne devons jamais céder à nos ennemis spirituels : nous connaîtrons alors un glorieux triomphe et une récompense dans le ciel. Tous ceux qui persévèrent « trouveront » tout en Christ : l'Arbre de vie, la perfection et la confirmation dans la sainteté et le bonheur, non pas ici-bas, mais dans le paradis céleste ! Ces termes ne sont pas fictifs, mais ils proviennent du récit du jardin d'Éden, dénotant les joies pures, satisfaisantes, et éternelles du ciel : nous pouvons les attendre en ce monde, par la foi, dans la communion avec Christ, avec les consolations du Saint-Esprit !

      Croyants, que votre « séjour » ici-bas, soit une véritable lutte : une vie de quiétude vous attend plus tard ; mais dans l’immédiat, la Parole de Dieu ne nous promet aucune tranquillité ni absence de conflits sur cette terre !

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