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Jean 11.1

Ἦν δέ τις ἀσθενῶν, Λάζαρος ἀπὸ Βηθανίας ἐκ τῆς κώμης Μαρίας καὶ Μάρθας τῆς ἀδελφῆς αὐτῆς.

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      Genèse 48

      1

      Joseph visite son père, mourant. (Genèse 48:1-7)
      Jacob bénit les fils de Joseph. (Genèse 48:8-22)

      Il est très impressionnant pour des jeunes, en pleine force de l'âge, de voir les croyants sur leur lit de mort, et d'écouter leurs prières et leurs conseils : nous ferions bien de faire assister les enfants en de telles occasions, quand cela peut être fait en toute décence. Si le Seigneur est magnifié, il est très souhaitable d'apporter le dernier témoignage de notre vie, en toute vérité et fidélité, en soulignant les diverses joies qu'Il nous a accordées. Et celui qui a ainsi vécu, devrait garder ses dernières forces pour ces exhortations finales.

      Tous les véritables croyants sont bénis à leur mort, mais tous ne quittent pas cette terre avec le même lot de consolations spirituelles. Jacob a adopté les deux fils de Joseph. Ces derniers n'ont pas réussi à atteindre la puissance et la grandeur de leur père, en Égypte ; par contre, ils ont hérité de la promesse faite à Abraham. Ainsi le patriarche mourant conseille à ces jeunes de côtoyer les personnes qui marchent avec Dieu. Il désigne chacun de ses enfants pour être le père d'une tribu distincte. Ces derniers reçoivent un double honneur : par la grâce de Dieu, ils sont préservés de la tentation des richesses de ce monde et ils peuvent ainsi pratiquer la religion dans l'humilité et la pauvreté. Jacob aura pu aussi connaître Éphraïm et Manassé ; il vaut mieux être dans une situation modeste au sein de l'église, que haut placé, hors d'elle.

      2 Rois 20

      1

      La maladie d'Ézéchias, son rétablissement, en réponse à la prière. (2 Rois 20:1-11)
      Ézéchias montre ses trésors aux ambassadeurs de Babylone, Sa mort. (2 Rois 20:12-21)

      Ézéchias était malade à la mort, l'année même où le roi d'Assyrie assiégeait Jérusalem. Ésaïe avertit solennellement le roi, pour que ce dernier s'apprête à faire face à l'issue fatale.

      La prière est l'un des meilleurs moyens pour s'apprêter à affronter la mort : en nous adressant au Seigneur, nous pouvons en effet puiser en Lui Sa force et Sa miséricorde, afin de nous permettre de passer sereinement ce cap difficile.

      Ézéchias pleura vraiment, affecté par la douleur : certains estimèrent alors que le roi priait pour sa guérison, en vue d'échapper à la mort ; la nature humaine redoute en effet la séparation de l'âme et du corps. Il y avait toutefois un fait particulier dans la situation d'Ézéchias : il était maintenant parvenu au milieu de son règne. Sa prière, relatée en Esa 38:1-22, mérite notre attention. Les larmes du roi sont un véritable enseignement : rien n'était pire pour lui que cette crainte de la mort, véritable hantise et supplice. La piété d'Ézéchias le soulagea du désagrément de sa maladie.

      « Éternel, souviens-Toi maintenant »... Le roi ne s'adressa pas à Dieu, pour qu'Il se souvienne de certains faits passés ici-bas, ou pour réclamer une quelconque récompense plus ou moins due.

      Seule la droiture de Christ est capable de nous placer au bénéfice de la Miséricorde et de la Grâce. Ézéchias ne pria pas pour que Dieu l'épargne ; il demanda simplement : « Éternel, souviens-toi de moi », ce qui, en fait, sous-entendait, « quelle que soit l'issue de ma maladie, ne m'abandonne pas » ! Dieu entend toujours les prières d'un cœur contrit : Il accorde alors la santé, la délivrance dans l'épreuve, une longue vie, tout ce qui peut contribuer au bonheur des Siens.

      Ézéchias reçut un cataplasme de figues, en traitement de son ulcère ; si l'on considère la gravité et la soudaineté de la maladie du roi, on ne peut s'empêcher de penser que l'efficacité de son traitement fut vraiment miraculeuse !

      Il est de notre devoir, pour contrecarrer la maladie qui peut parfois nous atteindre, d'employer les moyens simples, naturels, plutôt que d'autres, d'origine « douteuse » : si nous ne faisons pas confiance à Dieu, en fait nous Le tentons.

      Pour affermir la foi d'Ézéchias, l'ombre du soleil recula, et la lumière brilla plus longtemps que d'ordinaire, d'une façon miraculeuse. Ce prodige merveilleux révèle bien que la Puissance divine, se manifeste aussi bien dans le ciel que sur terre ; cela montre également que Dieu est attentif à la prière, et nous révèle le soin qu'Il prodigue à Ses enfants !

      12 Le roi de Babylone était à cette époque, et pour quelque temps, indépendant et hors de la soumission du royaume assyrien. Ézéchias montra aux envoyés de ce roi, ses trésors et son armure, ainsi que d'autres preuves de sa richesse et de sa puissance. Tout ceci n'était que l'effet ostentatoire de sa fierté, traduisant son éloignement de Dieu et son manque de confiance en Lui. Il semble également avoir manqué l'occasion de témoigner aux Chaldéens, de tous les miracles divins accomplis en sa faveur, et de préciser à ces ambassadeurs, l'absurdité et le mal qui résultent de l'idolâtrie.

      N'y a-t-il rien de plus commun, que de montrer à nos amis notre maison, avec tout ce que nous possédons ? Mais si nous le faisons avec fierté, pour éblouir nos visiteurs, sans donner d'éloge à Dieu, comme l'a fait le roi Ézéchias, cela devient un péché. Nous pouvons nous attendre à subir tôt ou tard une certaine honte, pour chacun des objets que nous aurons « choyés » à l'excès.

      Ésaïe, qui fut souvent le conseiller spirituel d'Ézéchias, adressa une mise en garde à ce dernier. Béni soit le Saint-Esprit, Jean 16:7,8 ! Les serviteurs de Dieu doivent être toujours disposés à aider ceux qui s'égarent spirituellement.

      Ézéchias discerna dans les propos d'Ésaïe et dans le sursis que l'Éternel lui accordait, la Justice et la bonté divines. Malgré tout, les perspectives futures de sa famille et de la nation d'Israël durent l'attrister douloureusement. Ézéchias fut en effet humilié, après avoir fièrement étalé ses richesses.

      Bénis sont les hommes qui meurent en Christ ! Ils pourront se reposer de tous leurs travaux, et leurs œuvres les suivront.

      Matthieu 21

      Marc 11

      1

      L'entrée triomphante de Christ, dans Jérusalem. (Marc 11:1-11). Le figuier stérile est maudit, le temple est remis en ordre. (Marc 11:12-18). La prière de la foi. (Marc 11:19-26). Les sacrificateurs et les anciens posent des questions relatives à Jean-Baptiste. (Marc 11:27-33).

      L’entrée si remarquable de Christ dans Jérusalem, montre qu'Il n'avait pas peur du pouvoir ni de la ruse de Ses ennemis. Cela a dû encourager Ses disciples, remplis de crainte. Jésus, également, n'était pas inquiet à la pensée de Ses souffrances imminentes. Tous remarquèrent Son humilité, et ces faits nous enseignent à ne pas être obnubilé par ce qui est élevé, mais plutôt de consentir à ce qui est modeste. Qu’il est malsain pour des chrétiens de convoiter le faste, alors que Christ était si loin de le réclamer !

      Plusieurs souhaitèrent la bienvenue à Jésus : « béni soit Celui qui vient », « Celui qui devait venir », si souvent promis, si longtemps attendu ! Il vient au nom du Seigneur. Qu'Il reçoive notre plus profonde affection, Il est un Sauveur béni, Il nous apporte des bénédictions et béni soit Celui qui l'envoie ! Louanges soient à notre Dieu qui est dans les cieux très hauts, au dessus de tout ; Il est notre Dieu béni pour toujours !

      Luc 10

      38 Le fait qu’un sermon soit prêché dans une maison ordinaire ne le rend pas mauvais pour autant ; quand nos amis nous visitent, on doit tout faire pour que leur âme en tire du bénéfice. Quand on est « assis » spirituellement aux pieds du Seigneur, cela révèle un empressement à recevoir Sa parole, et une soumission à Ses commandements.

      Marthe était occupée à recevoir Jésus et ceux qui étaient venus avec lui. Cette attitude nous montre le respect qu’elle avait envers notre Seigneur Jésus et en même temps le souci des affaires de la maison. Mais sa conduite était quelque peu blâmable : elle montrait trop de zèle dans son service, elle y consacrait toute son énergie, ne recherchant que la perfection.

      Les affaires du monde peuvent nous « piéger », si elles sont une entrave au service de Dieu, et si elles nuisent au bien de notre âme. Que de temps utile est parfois gaspillé, combien de dépenses sont parfois inadéquates, même pour accueillir des serviteurs de l'évangile !

      Bien que Marthe soit quelque peu fautive, elle manifestait cependant une grande dévotion, et sa conduite générale n'a jamais failli.

      La faveur divine est nécessaire à notre bonheur ; le salut de Christ est nécessaire à notre « sécurité » spirituelle. Quand cela est bien compris, toutes les autres tâches seront accomplies convenablement !

      Christ a déclaré que Marie avait choisi la bonne part. Pour elle, le nécessaire a été accompli : se placer sous la « houlette » de Christ. Lors de notre départ dans l’au-delà, tout ce qui nous appartient ici-bas nous sera enlevé ; par contre, rien ne nous séparera de l'Amour de Christ ! Les hommes et les démons ne peuvent pas nous ôter cet Amour, cela serait contraire à la Volonté divine.

      Accomplissons avec diligence l’essentiel et le nécessaire de notre tâche !

      Luc 16

      Jean 11

      1

      La maladie de Lazare. (Jean 11:1-6)
      Christ revient en Judée. (Jean 11:7-10)
      La mort de Lazare. (Jean 11:11-16)
      Christ arrive à Béthanie. (Jean 11:17-32)
      Il ressuscite Lazare. (Jean 11:33-46)
      Les pharisiens complotent contre Jésus. (Jean 11:47-53)
      Les Juifs recherchent Jésus. (Jean 11:54-57)

      Il n’est pas nouveau de voir certaines personnes, aimées de Christ, tomber malades ; les disfonctionnements corporels nous rappellent notre faiblesse, ils manifestent aussi souvent la Grâce de Dieu à l’égard de Son peuple.

      Jésus n'est pas venu ici-bas pour nous préserver des afflictions, mais pour nous sauver de nos péchés, et de la colère divine à venir ; il nous incombe cependant de recourir à la Puissance du Seigneur, quand nos parents ou nos amis sont malades ou dans l’affliction. Puissions-nous être spirituellement « en phase » avec les actions parfois incompréhensibles de la Providence divine, afin qu’elles manifestent toutes la Gloire de Dieu, que ce soit dans la maladie, les déceptions, voire le décès d’un proche... Si Dieu en ressort glorifié, nous en serons alors les plus heureux !

      Jésus aimait Marthe et sa sœur, ainsi que Lazare. Les familles dans lesquelles l'amour et la paix abondent, sont grandement privilégiées ; quant à celles que Jésus aime, et au sein desquelles Il est le « bien-aimé », elles sont encore plus heureuses. Ce cas semble hélas assez rare...

      Dieu accorde toujours Sa Grâce, même si Elle semble parfois tarder. Quand l'œuvre de délivrance est différée, qu’elle soit matérielle ou spirituelle, publique ou personnelle, elle s'accomplit toujours au temps marqué par le Seigneur !

      11 Puisque nous sommes certains de ressusciter au dernier jour, pourquoi l'espérance de cette résurrection à la vie éternelle ne nous ôterait-t-elle pas toute crainte de quitter notre corps et de mourir ? Ce passage dans l’au-delà consiste en fait à nous dévêtir de notre parure mortelle et à nous « endormir ».

      Un véritable chrétien ne dort que lorsqu'il meurt ; il se repose des travaux « du jour ». La mort est préférable au sommeil, car ce dernier n’est qu’un court repos, alors que la mort est la fin des soucis et des labeurs terrestres.

      Les disciples pensaient qu'il était maintenant inutile pour Christ d'aller voir Lazare, et de se montrer au peuple... Quand il y a un risque à pratiquer de bonnes œuvres, nous espérons alors que d’autres s’en chargeront ! Quand Jésus a ressuscité Lazare, beaucoup furent amenés à croire en Lui, et la foi de ceux qui croyaient déjà, fut affermie.

      Approchons-nous de Christ ; la mort ne peut pas nous séparer de Son amour, ni nous mettre hors de portée de Son appel. Comme le fit Thomas dans ce texte, les chrétiens doivent s'encourager mutuellement dans les moments difficiles.

      L’obéissance du Seigneur Jésus, lors de Sa mort à la croix, doit nous inciter à accepter sereinement de mourir, à l'heure où Dieu nous appelle...

      Jean 12

      1

      Marie oint le Seigneur. (Jean 12:1-11)
      Il entre à Jérusalem. (Jean 12:12-19)
      Les Grecs cherchent à voir Jésus. (Jean 12:20-26)
      Une voix du ciel porte témoignage à Christ. (Jean 12:27-33)
      Son entretien avec le peuple. (Jean 12:34-36)
      L'incrédulité des Juifs. (Jean 12:37-43)
      Christ s'adresse à eux. (Jean 12:44-50)

      Christ avait auparavant blâmé Marthe, lorsqu’elle s’était beaucoup trop occupée du service de sa maison. Elle n'avait pas commis de faute dans le sens où elle aurait été trop absorbée par la pratique de ses occupations ménagères ; Marthe a continué à servir, mais en écoutant les paroles pleines de Grâce du Seigneur. En oignant de parfum les pieds de Jésus, Marie Lui a témoigné son amour, Celui qui auparavant avait tant donné pour elle et sa famille.

      Christ, « l'Oint de Dieu », doit être l’objet de notre adoration. Puisque Dieu a témoigné devant tous, lors du baptême de Son Fils, la joie qu’Il avait par Lui, portons Lui « l'onction spirituelle » de toute notre affection !

      Le péché horrible de Judas était masqué par un prétexte plausible, (le don de cet argent aux pauvres). Nous ne devons pas avoir de préjugés contre le ministère de ceux qui ne servent pas le Seigneur conformément à nos habitudes personnelles. L’amour de l'argent est le leitmotiv du voleur. La Grâce de Christ nous fait considérer avec amour tout ce qui concerne la piété, Elle extrait le meilleur, du pire, comme du bien.

      Le fait que les principaux sacrificateurs se soient consultés pour anéantir le miracle de la résurrection de Lazare, en voulant le tuer, témoigne d'une réelle méchanceté, d’une redoutable malice et folie, ne pouvant s’expliquer que par l'inimitié désespérée du cœur humain, envers Dieu. Les sacrificateurs résolurent donc de faire mourir Lazare, celui que le Seigneur avait ramené à la vie...

      Le succès de l'évangile dérange souvent les hommes, à tel point qu'ils parlent et agissent comme s'ils espéraient obtenir une victoire sur le Tout-puissant Lui-même !

      Actes 9

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