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13
Jacob lui répondit : Mon seigneur sait que les enfants sont délicats, et que j’ai avec moi des brebis et des vaches qui allaitent ; si l’on forçait leur marche un seul jour, tout le petit bétail périrait.
20
Que pourrait te dire de plus David ? Tu connais ton serviteur, toi, Seigneur Éternel !
3
De grâce, Éternel ! souviens-toi que j’ai marché devant ta face avec fidélité et intégrité de cœur, et que j’ai fait ce qui est bien à tes yeux ! Et Ézéchias répandit des pleurs abondants.
70
Il a élu David, son serviteur ; Il l’a tiré des bergeries ;
71
Il l’a pris derrière les (brebis) qui allaitent, Pour lui faire paître Jacob, son peuple, Et Israël, son héritage.
72
Et David les a fait paître avec un cœur intègre Et les a conduits avec des mains habiles.
11
Comme un berger, il fera paître son troupeau, De son bras il rassemblera des agneaux Et les portera dans son sein ; Il conduira les brebis qui allaitent.
15
Je vous donnerai des bergers selon mon cœur, Et ils vous feront paître Avec intelligence et avec discernement.
4
J’établirai sur elles des bergers qui les feront paître ; Elles n’auront plus peur, elles ne trembleront plus, Et il n’en manquera aucune, Dit l’Éternel.
2
Fils d’homme, prophétise contre les bergers d’Israël ! Prophétise et dis-leur, aux bergers : Ainsi parle le Seigneur, l’Éternel : Malheur aux bergers d’Israël, qui se repaissaient eux-mêmes ! Les bergers ne devraient-ils pas faire paître les brebis ?
3
Vous mangez la graisse, vous êtes vêtus avec la laine, vous avez sacrifié les bêtes grasses, vous ne faites pas paître les brebis.
4
Vous n’avez pas fortifié celles qui étaient faibles, soigné celle qui était malade, pansé celle qui était blessée ; vous n’avez pas ramené celle qui s’égarait, cherché celle qui était perdue ; mais vous les avez dominées avec force et avec rigueur.
5
Elles ont été disséminées par manque de berger ; elles sont devenues la proie de tous les animaux de la campagne ; elles ont été disséminées.
6
Mes brebis errent sur toutes les montagnes et sur toutes les collines élevées, mes brebis sont disséminées à la surface de tout le pays ; nul n’en prend soin, nul ne les cherche.
7
C’est pourquoi, bergers, écoutez la parole de l’Éternel !
8
Je suis vivant ! – oracle du Seigneur, l’Éternel – ; parce que mes brebis sont au pillage et parce que mes brebis sont devenues la proie de tous les animaux de la campagne, faute de berger, parce que mes bergers ne prenaient aucun soin de mes brebis, parce que les bergers se repaissaient eux-mêmes et ne faisaient pas paître mes brebis,
9
à cause de cela, bergers, écoutez la parole de l’Éternel !
10
Ainsi parle le Seigneur, l’Éternel : Me voici contre les bergers ! Je réclamerai mes brebis de leurs mains, je ne les laisserai plus faire paître mes brebis, pour que les bergers ne se repaissent plus eux-mêmes. J’arracherai mes brebis de leur bouche, et elles ne seront plus une proie pour eux.
23
J’établirai sur eux un seul berger, qui les fera paître, mon serviteur David, il les fera paître, il sera leur berger.
37
Celui qui aime père ou mère plus que moi n’est pas digne de moi, et celui qui aime fils ou fille plus que moi n’est pas digne de moi,
17
Jésus reprit la parole et lui dit : Tu es heureux, Simon, fils de Jonas ; car ce ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux.
10
Gardez-vous de mépriser un seul de ces petits, car je vous dis que leurs anges dans les cieux voient continuellement la face de mon Père qui est dans les cieux.
34
Alors le roi dira à ceux qui seront à sa droite : Venez, vous qui êtes bénis de mon Père ; recevez en héritage le royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde.
35
Car j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger ; j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire ; j’étais étranger et vous m’avez recueilli ;
36
nu et vous m’avez vêtu, j’étais malade et vous m’avez visité, j’étais en prison et vous êtes venus vers moi.
37
Alors les justes lui répondront : Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, et t’avons-nous donné à manger ; ou avoir soif, et t’avons-nous donné à boire ?
38
Quand t’avons-nous vu étranger, et t’avons-nous recueilli ; ou nu, et t’avons-nous vêtu ?
39
Quand t’avons-nous vu malade, ou en prison, et sommes-nous allés vers toi ?
40
Et le roi leur répondra : En vérité, je vous le dis, dans la mesure où vous avez fait cela à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.
41
Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche : Retirez-vous de moi, maudits, allez dans le feu éternel préparé pour le diable et pour ses anges.
42
Car j’ai eu faim, et vous ne m’avez pas donné à manger ; j’ai eu soif, et vous ne m’avez pas donné à boire.
43
J’étais étranger, et vous ne m’avez pas recueilli ; nu, et vous ne m’avez pas vêtu ; malade et en prison, et vous ne m’avez pas visité.
44
Alors ils répondront eux aussi : Seigneur, quand t’avons-nous vu ayant faim ou soif, étranger, ou nu, ou malade, ou en prison, et ne t’avons-nous pas rendu service ?
45
Alors il leur répondra : En vérité, je vous le dis, dans la mesure où vous n’avez pas fait cela à l’un de ces plus petits, c’est à moi que vous ne l’avez pas fait.
33
Pierre prit la parole et lui dit : Quand tu serais pour tous une occasion de chute, tu ne le seras jamais pour moi.
35
Pierre lui répondit : Quand il me faudrait mourir avec toi, je ne te renierai point. Et tous les disciples dirent de même.
29
Pierre lui dit : Quand tous trouveraient une occasion de chute, moi pas.
32
Sois sans crainte, petit troupeau ; car votre Père a trouvé bon de vous donner le royaume.
32
Mais j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille pas, et toi, quand tu seras revenu (à moi) affermis tes frères.
42
Il le conduisit vers Jésus. Jésus le regarda et dit : Tu es Simon, fils de Jonas : tu seras appelé Céphas – ce qui se traduit : Pierre.
42
Jésus leur dit : Si Dieu était votre Père, vous m’aimeriez, car c’est de Dieu que je suis sorti et que je viens ; je ne suis pas venu de moi-même, mais c’est lui qui m’a envoyé.
37
Seigneur, lui dit Pierre, pourquoi ne puis-je pas te suivre maintenant ? Je donnerai ma vie pour toi.
15
Si vous m’aimez, vous garderez mes commandements,
16
et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre Consolateur qui soit éternellement avec vous,
17
l’Esprit de vérité, que le monde ne peut pas recevoir, parce qu’il ne le voit pas et ne le connaît pas ; mais vous, vous le connaissez, parce qu’il demeure près de vous et qu’il sera en vous.
18
Je ne vous laisserai pas orphelins, je viens vers vous.
19
Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus, mais vous, vous me verrez parce que moi je vis, et que, vous aussi, vous vivrez.
20
En ce jour-là, vous connaîtrez que moi, je suis en mon Père, vous en moi, et moi en vous.
21
Celui qui a mes commandements et qui les garde, c’est celui qui m’aime. Celui qui m’aime sera aimé de mon Père, moi aussi je l’aimerai et je me manifesterai à lui.
22
Jude, non pas l’Iscariot, lui dit : Seigneur, comment se fait-il que tu doives te manifester à nous et non au monde ?
23
Jésus lui répondit : Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole, et mon Père l’aimera ; nous viendrons vers lui et nous ferons notre demeure chez lui.
24
Celui qui ne m’aime pas, ne garde pas mes paroles. Et la parole que vous entendez n’est pas de moi, mais du Père qui m’a envoyé.
27
car le Père lui-même vous aime, parce que vous m’avez aimé, et que vous avez cru que je suis sorti d’auprès de Dieu.
7
Alors le disciple que Jésus aimait dit à Pierre : C’est le Seigneur ! Dès que Simon Pierre eut entendu que c’était le Seigneur, il mit son vêtement, car il était nu, et se jeta dans la mer.
12
Jésus leur dit : Venez manger. Et aucun des disciples n’osait lui demander : Qui es-tu ? car ils savaient que c’était le Seigneur.
16
Il lui dit une seconde fois : Simon, fils de Jonas m’aimes-tu ? Pierre lui répondit : Oui, Seigneur, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Sois le berger de mes brebis.
17
Il lui dit pour la troisième fois : Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu ? Pierre fut attristé de ce qu’il lui avait dit pour la troisième fois : M’aimes-tu ? et il lui répondit : Seigneur, tu sais toutes choses, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Prends soin de mes brebis.
28
Prenez donc garde à vous-mêmes et à tout le troupeau au sein duquel le Saint-Esprit vous a établis évêques, pour faire paître l’Église de Dieu qu’il s’est acquise par son propre sang.
1
Faites bon accueil à celui qui est faible dans la foi, sans discuter des opinions.
1
Nous qui sommes forts, nous devons supporter les faiblesses de ceux qui ne le sont pas, et ne pas chercher ce qui nous plait.
1
Pour moi, frères, ce n’est pas comme à des hommes spirituels que j’ai pu vous parler, mais comme à des hommes charnels, comme à de petits enfants en Christ.
2
Je vous ai donné du lait, non de la nourriture solide, car vous ne pouviez pas (la supporter) ; et vous ne le pouvez pas, même à présent, parce que vous êtes encore charnels.
3
En effet, puisqu’il y a parmi vous de la jalousie et de la discorde, n’êtes-vous pas charnels et ne marchez-vous pas d’une manière tout humaine ?
11
Et ainsi le faible périt par ta connaissance, le frère pour lequel Christ est mort !
21
La salutation est de ma main à moi, Paul.
22
Si quelqu’un n’aime pas le Seigneur, qu’il soit anathème ! Maranatha.
14
Car l’amour du Christ nous étreint, nous qui avons discerné ceci : un seul est mort pour tous, donc tous sont morts ;
15
il est mort pour tous, afin que les vivants ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort et ressuscité pour eux.
6
Car, en Christ-Jésus, ce qui a de la valeur, ce n’est ni la circoncision ni l’incirconcision, mais la foi qui est agissante par l’amour.
14
Ainsi nous ne serons plus des enfants, flottants et entraînés à tout vent de doctrine, joués par les hommes avec leur fourberie et leurs manœuvres séductrices,
24
Que la grâce soit avec tous ceux qui aiment notre Seigneur Jésus-Christ d’une manière inaltérable !
15
Applique-toi et sois tout entier à cette tâche, afin que tes progrès soient évidents pour tous.
16
Veille sur toi-même et sur ton enseignement, avec persévérance. Car en agissant ainsi, tu sauveras et toi-même et ceux qui t’écoutent.
13
Il n’y a aucune créature, qui soit invisible devant lui : tout est mis à nu et terrassé aux yeux de Celui à qui nous devons rendre compte.
12
C’est pourquoi redressez les mains abattues et les genoux paralysés.
13
Que vos pieds suivent des pistes droites, afin que ce qui est boiteux ne dévie pas, mais plutôt soit guéri.
20
Que le Dieu de paix – qui a ramené d’entre les morts le grand berger des brebis, par le sang d’une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus –
8
Vous l’aimez sans l’avoir vu. Sans le voir encore, vous croyez en lui et vous tressaillez d’une allégresse indicible et glorieuse,
2
désirez comme des enfants nouveaux-nés le lait non frelaté de la parole, afin que par lui vous croissiez pour le salut,
25
Car vous étiez comme des brebis errantes, mais maintenant, vous êtes retournés vers le berger et le gardien de vos âmes.
1
J’exhorte donc les anciens qui sont parmi vous, moi, ancien comme eux, témoin des souffrances du Christ et participant à la gloire qui doit être révélée :
2
Faites paître le troupeau de Dieu qui est avec vous, non par contrainte, mais volontairement selon Dieu ; ni pour un gain sordide, mais de bon cœur ;
3
non en tyrannisant ceux qui vous sont confiés, mais en devenant les modèles du troupeau ;
4
et, lorsque le souverain pasteur paraîtra, vous remporterez la couronne incorruptible de la gloire.
19
Pour nous, nous aimons, parce que lui nous a aimés le premier.
1
Quiconque croit que Jésus est le Christ est né de Dieu, et quiconque aime celui qui l’a engendré aime aussi celui qui est né de lui.
23
Je frapperai de mort ses enfants ; toutes les Églises connaîtront que moi, je suis celui qui sonde les reins et les cœurs, et je vous rendrai à chacun selon ses œuvres.
Il est vrai que sa repentance profonde avait commencé son relèvement. (Matthieu 26.75 ; Marc 14.72 ; Luc 22.62, notes.) Mais ses rapports avec le Sauveur, profondément troublés par son reniement, devaient être rétablis en leur entier.
Tel est le but de Jésus, dans cet entretien. Il fait subir à son disciple un examen de conscience et de cœur que celui-ci n'oubliera jamais. Jésus ne l'interroge pas sur sa foi, qui n'avait pas défailli, grâce à l'intercession du Sauveur ; (Luc 22.32) mais sur son amour, qui était devenu suspect par son infidélité.
Or, l'amour du Sauveur est l'âme de la vie chrétienne et de tout apostolat véritable. Ce n'est donc pas sans intention que Jésus ne désigne pas son disciple par le nouveau nom qu'il lui avait donné, celui de Pierre, ou de Céphas, Roc ; (Jean 1.43 ; Matthieu 16.18) mais par son ancien nom : Simon, fils de Jona (B, C, D, Itala portent : Jean), trois fois prononcé, et qui rappelait à son disciple son état d'homme naturel et de pécheur.
Quelques exégètes ont prétendu que cette appellation répétée n'avait d'autre but que de donner plus de solennité à l'entretien ; mais l'opinion que nous venons d'exprimer est également soutenue par des interprètes tels que R. Stier, Hengstenberg, MM. Luthardt et Godet.
Toutefois, si la question de Jésus pouvait être humiliante pour son disciple, elle prouve que Jésus n'avait point cessé de l'aimer ; c'est l'amour qui recherche l'amour. Et c'était là, en même temps, la manière la plus délicate d'assurer Pierre qu'il lui pardonnait son coupable reniement.
- Il y a, dans la question de Jésus, un mot qu'il faut bien remarquer : M'aimes-tu, plus que ne font ceux-ci ? c'est-àdire plus que tes condisciples présents à cet entretien.
C'était là une allusion évidente et humiliante pour Pierre, à sa parole présomptueuse. (Jean 13.37 ; Marc 14.29)
Puisqu'il s'y était ainsi engagé, Pierre devait l'aimer plus que tous les autres.
Pierre, sûr de sa sincérité, affirme résolument son amour pour son Maître. Mais on remarque, dans sa réponse, trois restrictions importantes.
D'abord, instruit par sa triste expérience, se défiant de lui même, il en appelle à Celui qui seul connaît son cœur et peut juger de son amour : Tu sais que je t'aime.
Puis, tandis que Jésus en lui disant : M'aimes-tu ? se sert d'un verbe qui désigne l'amour profond et religieux de l'âme, Pierre emploie un terme qui signifie l'affection du cœur, sentiment purement humain, n'osant pas affirmer plus que cela.
Enfin, il se garde bien de se comparer avantageusement à d'autres, et il ne relève pas ces mots : plus que ceux-ci. Sa chute et sa repentance ont produit l'humilité.
Grec : Mes petits agneaux.
Il y a dans l'original un gracieux diminutif qui trahit une grande tendresse, un cœur ému en faveur de ceux que Jésus désigne ainsi. Et par là, il recommande avant tout aux soins de son disciple les petits et les faibles, ceux qui, comme lui, étaient exposés à tomber.
- Par ces paroles et par celles qui vont suivre, il est évident que Jésus réintégrait son disciple dans ses rapports avec lui et dans son apostolat.
Quelques exégètes (M. Weiss, entre autres) n'admettent pas qu'il s'agisse de la réintégration de Pierre dans l'apostolat, attendu qu'il avait déjà été réhabilité avec tous ses condisciples par la parole de Jésus, (Jean 20.21) et que l'apostolat n'est jamais comparé à l'office d'un berger.
Le but de Jésus serait donc de replacer Pierre dans sa position de chef de la communauté chrétienne. (Matthieu 16.18) Mais cette dernière pensée ne ressort point de notre récit, et il nous paraît évident que Pierre, profondément déchu par son reniement devait être personnellement relevé devant tous et à ses propres yeux, et rétabli d'une manière particulière dans sa dignité d'apôtre de Jésus-Christ.
Ne soyons pas surpris de voir notre sincérité remise en question, quand nous elle a été ébranlée par nos actes. Chaque souvenir des péchés passés, même pardonnés, réactive la peine d'un véritable repentant.
Soucieux d'intégrité, Pierre fit solennellement appel à Christ, Celui qui connait tout, même les pensées secrètes du cœur. Il est bénéfique de voir nos chutes et nos erreurs nous pousser à l’humilité et à la vigilance. La véracité de notre amour envers le Seigneur doit être éprouvée de temps en temps ; il nous appartient alors de rester sincère avec nous-mêmes, en adressant une prière fervente à Dieu, et en nous examinant, de façon à voir si nous sommes capables de supporter cet examen.
Personne ne peut être apte à nourrir spirituellement les brebis et les agneaux de Christ s'il n'aime pas le bon Berger plus que tout. Quelle que soit la manière d’entrer dans l’au delà, un enfant de Dieu doit Le glorifier, lors de ce « passage » ; notre consécration ultime, n'est-elle pas de mourir pour le Seigneur, pour Sa Parole ?