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24
Mais mon serviteur Caleb a été animé d’un autre esprit et m’est resté fidèle ; je le ferai entrer dans le pays qu’il a exploré, et je donnerai cette région à ses descendants.
20
« N’ayez pas peur, répondit Samuel. Certes, vous avez commis cette faute grave. Mais ne vous détournez plus du Seigneur, servez-le de tout votre cœur.
38
Celui qui ne se charge pas de sa croix pour marcher à ma suite n’est pas digne de moi.
21
A partir de ce moment, Jésus se mit à parler ouvertement à ses disciples en disant : « Il faut que j’aille à Jérusalem et que j’y souffre beaucoup de la part des anciens, des chefs des prêtres et des maîtres de la loi. Je serai mis à mort et, le troisième jour, je reviendrai à la vie. »
22
Alors Pierre le prit à part et se mit à lui faire des reproches : « Dieu t’en garde, Seigneur ! dit-il. Non, cela ne t’arrivera pas ! »
23
Mais Jésus se retourna et dit à Pierre : « Va-t’en loin de moi, Satan ! Tu es un obstacle sur ma route, car tu ne penses pas comme Dieu, mais comme les êtres humains. »
24
Puis Jésus dit à ses disciples : « Si quelqu’un veut venir avec moi, qu’il cesse de penser à lui-même, qu’il porte sa croix et me suive.
25
En effet, celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie pour moi la retrouvera.
28
Jésus leur dit : « Je vous le déclare, c’est la vérité : quand le Fils de l’homme siégera sur son trône glorieux dans le monde nouveau, vous, les douze qui m’avez suivi, vous siégerez également sur des trônes pour juger les douze tribus d’Israël.
33
Mais Jésus se retourna, regarda ses disciples et reprit sévèrement Pierre : « Va-t’en loin de moi, Satan, dit-il, car tu ne penses pas comme Dieu mais comme les êtres humains. »
34
Puis Jésus appela la foule avec ses disciples et dit à tous : « Si quelqu’un veut venir avec moi, qu’il cesse de penser à lui-même, qu’il porte sa croix et me suive.
35
En effet, celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie pour moi et pour la Bonne Nouvelle la sauvera.
36
A quoi sert-il à un homme de gagner le monde entier, si c’est au prix de sa vie ?
37
Que pourrait-il donner pour racheter sa vie ?
38
Si quelqu’un a honte de moi et de mes paroles face aux gens d’aujourd’hui, infidèles et rebelles à Dieu, alors le Fils de l’homme aussi aura honte de lui, quand il viendra dans la gloire de son Père avec les saints anges. »
22
et il ajouta : « Il faut que le Fils de l’homme souffre beaucoup ; les anciens, les chefs des prêtres et les maîtres de la loi le rejetteront ; il sera mis à mort et, le troisième jour, il reviendra à la vie. »
23
Puis il dit à tous : « Si quelqu’un veut venir avec moi, qu’il cesse de penser à lui-même, qu’il porte sa croix chaque jour et me suive.
24
En effet, celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie pour moi la sauvera.
25
A quoi sert-il à un homme de gagner le monde entier, s’il se perd lui-même ou va à sa ruine ?
26
Si quelqu’un a honte de moi et de mes paroles, alors le Fils de l’homme aura honte de lui, quand il viendra dans sa gloire et dans la gloire du Père et des saints anges.
26
Si quelqu’un veut me servir, il doit me suivre ; ainsi, mon serviteur sera aussi là où je suis. Mon Père honorera celui qui me sert. »
33
Par ces mots, Jésus indiquait de quel genre de mort il allait mourir.
36
Simon Pierre lui demanda : « Seigneur, où vas-tu ? » Jésus lui répondit : « Tu ne peux pas me suivre maintenant là où je vais, mais tu me suivras plus tard. »
37
Pierre lui dit : « Seigneur, pourquoi ne puis-je pas te suivre maintenant ? Je suis prêt à donner ma vie pour toi ! »
32
C’est ainsi que devait se réaliser la parole que Jésus avait dite pour indiquer de quelle mort il allait mourir.
22
Jésus lui répondit : « Si je désire qu’il vive jusqu’à ce que je revienne, que t’importe ? Toi, suis-moi ! »
20
En effet, selon ce que j’attends et que j’espère vivement, je n’aurai aucune raison d’être honteux. Au contraire, maintenant comme toujours, avec une pleine assurance je manifesterai la grandeur du Christ par tout mon être, soit en vivant soit en mourant.
11
Que celui qui a le don de la parole transmette les paroles de Dieu ; que celui qui a le don de servir l’utilise avec la force que Dieu lui accorde : il faut qu’en toutes choses gloire soit rendue à Dieu, par Jésus-Christ à qui appartiennent la gloire et la puissance pour toujours ! Amen.
12
Mes chers amis, ne vous étonnez pas d’être en plein feu de l’épreuve, comme s’il vous arrivait quelque chose d’anormal.
13
Réjouissez-vous plutôt d’avoir part aux souffrances du Christ, afin que vous soyez également remplis d’une grande joie quand il révélera sa gloire à tous.
14
Si l’on vous insulte parce que vous êtes disciples du Christ, heureux êtes-vous, car l’Esprit glorieux de Dieu repose sur vous.
14
Car je sais que je vais bientôt quitter ce corps mortel, comme notre Seigneur Jésus-Christ me l’a révélé.
Jésus disait cela, indiquant de quelle mort, c'està-dire de quelle espèce de mort Pierre mourrait.
C'est ici la troisième fois que cette phrase se trouve, identique, dans notre évangile, (Jean 12.33 ; 18.32) et elle montre, pour le dire en passant, que notre chapitre en fait partie.
Les deux premières fois, elle s'applique à la mort de Jésus et le contexte montre qu'il s'agit de sa mort sur la croix.
Des interprètes en ont conclu que dans notre passage de même, elle désigne le crucifiement de Pierre.
Ceux au contraire qui ne trouvent pas cette idée dans l'image du verset précédent pensent que l'évangéliste a voulu dire que Pierre glorifierait Dieu par la mort du martyre sans spécifier le genre du supplice.
- C'est par cette mort que Pierre devait glorifier Dieu. Mourir au service de Dieu et pour la vérité divine c'est bien la manière la plus éminente de contribuer à sa gloire dans ce monde. (Comparer Philippiens 1.20 ; 1Pierre 4.16)
Aussi, parmi les chrétiens des premiers siècles, glorifier Dieu était devenu synonyme de souffrir le martyre.
Suis-moi dans cette voie où tu t'es engagé, (versets 15-17) dont je viens de te prédire l'issue, et qui, pour toi comme pour moi, aboutira à la mort. (Comparer Jean 21.22 ; Jean 13.36 ; Matthieu 10.38 ; 9.9)
On a donné de cet ordre si solennel, qui, au fond, concerne tous les chrétiens, des explications qui le rendent parfaitement insignifiant.
Ainsi, Jésus aurait voulu dire : "Suis-moi, là où je vais te conduire pour m'entretenir seul avec toi."
Les interprètes modernes adoptent cette explication, parce que le même verbe suivre est employé au verset 20 pour désigner l'acte de Jean qui vient après Jésus et Pierre (grec qui suit.)
Mais elle n'est admissible que si l'on ajoute, avec M. Godet : "Il ne résulte pourtant pas de là que le sens de l'ordre : suis-moi, soit purement extérieur. Il est clair que par ce premier pas Pierre rentre dans cette voie de l'obéissance envers Jésus qui le conduira au terme tragique de son apostolat. C'est ainsi que le sens supérieur se lie naturellement à l'inférieur, aussi bien que Jean 1.44. Ce symbolisme fait le fond de l'évangile de Jean tout entier."