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6
Et moi, dira-t-il, j'ai sacré mon roi, sur Sion, ma montagne sainte.
4
Éternel, souviens-toi de moi, dans ta bienveillance envers ton peuple ; fais venir à moi ton salut ;
5
Afin que je voie le bonheur de tes élus, que je me réjouisse de la joie de ton peuple, et que je me glorifie avec ton héritage.
6
Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et l'empire est mis sur son épaule : on l'appellera l'Admirable, le Conseiller, le Dieu fort, le Père d'éternité, le Prince de la paix ;
7
Pour accroître l'empire, pour donner une prospérité sans fin au trône de David et à son royaume ; pour l'établir et l'affermir dans l'équité et dans la justice, dès maintenant et à toujours. La jalousie de l'Éternel des armées fera cela.
10
Or il a plu à l'Éternel de le frapper ; il l'a mis dans la souffrance. Après avoir offert sa vie en sacrifice pour le péché, il se verra de la postérité, il prolongera ses jours, et le bon plaisir de l'Éternel prospérera dans ses mains.
11
Il jouira du travail de son âme, il en sera rassasié ; mon serviteur juste en justifiera plusieurs, par la connaissance qu'ils auront de lui, et lui-même portera leurs iniquités.
12
C'est pourquoi je lui donnerai son partage parmi les grands ; il partagera le butin avec les puissants ; parce qu'il a livré sa vie à la mort, qu'il a été mis au nombre des méchants, qu'il a porté les péchés de plusieurs, et intercédé pour les pécheurs.
13
Je regardais, dans ces visions de la nuit, et je vis comme le Fils de l'homme qui venait sur les nuées des cieux, et il vint jusqu'à l'Ancien des jours, et on le fit approcher de lui.
14
Et on lui donna la domination, la gloire et le règne, et tous les peuples, nations et langues le servirent. Sa domination est une domination éternelle qui ne passera point, et son règne ne sera point détruit.
8
Or, je vous le dis : quiconque me confessera devant les hommes, le Fils de l'homme le confessera aussi devant les anges de Dieu.
13
Mais le péager, se tenant éloigné, n'osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : O Dieu, sois apaisé envers moi qui suis pécheur !
26
Ne fallait-il pas que le Christ souffrît ces choses, et qu'il entrât dans sa gloire ?
49
Nathanaël lui répondit : Maître, tu es le Fils de Dieu, tu es le roi d'Israël.
28
Thomas répondit et lui dit : Mon Seigneur et mon Dieu !
31
Ils lui dirent : Crois au Seigneur Jésus-Christ, et tu seras sauvé, toi et ta famille.
21
Prêchant et aux Juifs et aux Grecs, la repentance envers Dieu, et la foi en Jésus-Christ notre Seigneur.
9
Elle dit que si tu confesses de ta bouche que Jésus est le Seigneur, et que tu croies dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé.
10
Car on croit du coeur, pour obtenir la justice, et l'on fait confession de la bouche pour le salut.
11
En effet, l'Écriture dit : Quiconque croit en lui, ne sera point confus.
12
Car il n'y a point de distinction entre le Juif et le Grec, parce que tous ont un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l'invoquent.
13
Car quiconque invoquera le nom du Seigneur, sera sauvé.
14
Comment donc invoqueront-ils celui auquel ils n'ont point cru ? Et comment croiront-ils en celui dont ils n'ont pas entendu parler ? Et comment en entendront-ils parler, s'il n'y a pas quelqu'un qui prêche ?
10
Ne vous abusez point ; ni les impurs, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes, ni les larrons, ni les avares, ni les ivrognes, ni les médisants, ni les ravisseurs n'hériteront le royaume de Dieu.
11
Or c'est là ce qu'étaient quelques-uns de vous ; mais vous avez été lavés, mais vous avez été sanctifiés, mais vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus, et par l'Esprit de notre Dieu.
11
Recherchant, pour quel temps et quelles conjonctures l'Esprit de Christ qui était en eux, et qui rendait témoignage d'avance, leur révélait les souffrances de Christ, et la gloire dont elles seraient suivies.
6
C'est pourquoi il est dit dans l'Écriture : Voici, je pose en Sion une pierre angulaire, choisie, précieuse ; et qui croira en elle, ne sera point confus.
7
Vous en recevrez donc de l'honneur, vous qui croyez ; mais pour les incrédules, la pierre que ceux qui bâtissaient ont rejetée, est devenue une pierre angulaire, et une pierre d'achoppement et un rocher de scandale ;
1
Quiconque croit que Jésus est le Christ, est engendré de Dieu ; et quiconque aime Dieu qui l'a engendré, aime aussi celui qui est engendré de lui.
11
Et voici le témoignage, c'est que Dieu nous a donné la vie éternelle ; et cette vie est dans son Fils.
12
Qui a le Fils, a la vie ; qui n'a point le Fils de Dieu, n'a point la vie.
13
Je vous ai écrit ces choses, à vous qui croyez au nom du Fils de Dieu, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, et afin que vous croyiez au nom du Fils de Dieu.
Tout est renfermé dans cette inimitable supplication : l'humilité qui ne demande qu'un souvenir, la confiance qui se jette dans les bras du Sauveur, la foi qui voit dans ce crucifié un roi auquel appartient le royaume spirituel qu'il viendra un jour établir dans sa puissance et sa gloire.
On se demande d'où pouvaient venir à cet homme, qui mourait comme malfaiteur, des sentiments si élevés de repentance et de piété.
La critique négative n'a pas manqué de révoquer en doute la vérité historique de ce récit. Mais, sans compter que cet homme pouvait avoir connu Jésus et entendu ses miséricordieuses invitations adressées aux plus grands pécheurs, la situation présente suffit pour expliquer cette transformation de son âme par l'action de la grâce de Dieu.
Pourquoi, d'abord, sa conscience n'aurait-elle pas été réveillée sous le coup de la condamnation qui le vouait à une mort horrible ?
Puis, n'a-t-il pas marché à côté de Jésus, du palais de Pilate jusqu'au Calvaire ?
N'a-t-il pas vu sa douceur inaltérable, la majesté et la sainteté de tout son être, prêté l'oreille aux paroles solennelles et prophétiques adressées aux femmes de Jérusalem et à tout le peuple ?
Enfin et surtout, n'a-t-il pas entendu, à l'instant même, l'émouvante prière du Sauveur pour ses ennemis, sur lesquels il implorait le "pardon du Père ?"
N'était-ce pas là toute une révélation, l'Evangile entier offert à cette âme profondément humiliée ? Ne devait-elle pas être persuadée que celui qu'on crucifiait alors, comme roi et comme Fils de Dieu, l'était en effet ?