Pierre était fermement convaincu que son Maître
était prêt à respecter la loi en vigueur, au sujet de l’impôt
mentionné dans ce texte. Christ prit la parole le premier, pour
donner la preuve à l’apôtre, qu'aucune pensée ne pouvait Lui
être dissimulée.Nous ne devons jamais négliger notre devoir, par crainte
d'offenser qui que ce soit ; nous devons, par contre, renoncer
parfois à nos propres intérêts ici-bas, plutôt que de choquer
quelqu’un.
Comment cet argent en question, pouvait-il être apporté par ce
poisson ? Seul Celui qui connaît toutes choses pouvait le
savoir, et seul Son pouvoir tout puissant pouvait « attirer »
ce poisson vers l'hameçon de Pierre. Dans cet épisode, la
puissance, comme la pauvreté de Christ, se doivent d’être
mentionnées.
Si, par la Providence, nous sommes appelés à demeurer pauvres,
comme l'était d’ailleurs notre Seigneur, confions-nous en Sa
toute Puissance, et notre Dieu pourvoira à tous nos besoins,
selon Sa richesse en Gloire, par Jésus-Christ : dans le
parcours de l'obéissance, dans notre « ministère spirituel »,
notre Sauveur nous aidera de la même façon qu'Il a aidé Pierre.
Et si un événement inattendu vient nous surprendre, ne nous
« appuyons » pas sur les autres : recherchons Christ d’abord !
Depuis l'époque de l'exil, tous les hommes en Israël devaient payer une contribution de deux drachmes (grec didrachme) pour les frais du culte dans le temple.
La drachme valait un peu moins d'un franc. (Comparer Exode 30.13 ; 2Chroniques 24.6 ; Néhémie 10.32)
La question des percepteurs de l'impôt semble supposer chez eux la pensée que Jésus prétendait en être exempt, en sa qualité de Messie. Peut-être cette question était-elle motivée simplement par le fait que Jésus était en retard pour payer cet impôt. On percevait celui-ci au mois d'Adar (commencement de mars).
La réponse de Pierre prouve que Jésus avait l'habitude de s'acquitter de ces obligations légales.
Nous ne devons jamais négliger notre devoir, par crainte d'offenser qui que ce soit ; nous devons, par contre, renoncer parfois à nos propres intérêts ici-bas, plutôt que de choquer quelqu’un.
Comment cet argent en question, pouvait-il être apporté par ce poisson ? Seul Celui qui connaît toutes choses pouvait le savoir, et seul Son pouvoir tout puissant pouvait « attirer » ce poisson vers l'hameçon de Pierre. Dans cet épisode, la puissance, comme la pauvreté de Christ, se doivent d’être mentionnées.
Si, par la Providence, nous sommes appelés à demeurer pauvres, comme l'était d’ailleurs notre Seigneur, confions-nous en Sa toute Puissance, et notre Dieu pourvoira à tous nos besoins, selon Sa richesse en Gloire, par Jésus-Christ : dans le parcours de l'obéissance, dans notre « ministère spirituel », notre Sauveur nous aidera de la même façon qu'Il a aidé Pierre.
Et si un événement inattendu vient nous surprendre, ne nous « appuyons » pas sur les autres : recherchons Christ d’abord !