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8
Le bétail, gros ou petit, et les animaux sauvages,
12
Alors, les disciples s’approchèrent de lui pour lui faire remarquer : — Sais-tu que les pharisiens ont très mal pris ce que tu as dit ?
13
Il leur répondit : — Toute plante que mon Père céleste n’a pas lui-même plantée sera arrachée.
14
Laissez-les : ce sont des aveugles qui conduisent d’autres aveugles ! Or, si un aveugle en conduit un autre, ils tomberont tous deux dans le fossé.
27
Toutefois, ne choquons pas ces gens-là et ne leur causons pas de difficultés ! C’est pourquoi tu vas descendre au lac et lancer ta ligne à l’eau. Tu attraperas le premier poisson qui mordra, tu lui ouvriras la bouche. Tu y trouveras une pièce d’argent. Prends-la et donne-la aux agents en paiement de l’impôt pour nous deux.
61
Jésus savait fort bien en lui-même quels murmures ses paroles avaient soulevé parmi eux. C’est pourquoi il leur dit : — Cela vous choque ?
21
Tu agis bien si tu renonces à la viande, au vin ou à autre chose pour ne pas inciter ton frère en tentation, pour le préserver au contraire de toute chute.
1
Si donc nous nous considérons comme « forts », si notre foi est robuste et nos convictions fermes, sachons que nous aurons à faire nôtres les fardeaux que leurs scrupules imposent aux « faibles » ; nous devons soutenir ceux dont la foi est encore mal assurée. Nous n’avons pas le droit de ne penser qu’à nous-mêmes et d’agir à notre guise. Nous ne pouvons pas simplement rechercher notre propre agrément et vivre pour notre plaisir.
2
Cherchons au contraire à être agréable au prochain, pensons à ce qui lui fait plaisir et qui contribue à son vrai bien. Une telle attitude constructive nous soudera les uns aux autres et édifiera notre communauté.
3
Le Christ n’a pas non plus vécu comme il lui plaisait, il n’a pas cherché son intérêt personnel ou sa propre satisfaction ; mais il aurait pu dire, comme il est écrit : Ceux qui te haïssent, m’insultent ;
je me charge des outrages qui t’atteignent.
9
Toutefois, faites bien attention : la liberté que vous prenez d’exercer vos droits ne doit pas devenir, pour les personnes scrupuleuses ou mal affermies dans la foi, un piège ou une occasion de chute.
13
C’est pourquoi, si la viande que je mange devait constituer une tentation pour mon frère, si elle devait l’inciter à tomber dans le péché, je préférerais renoncer à la viande, une fois pour toutes, plutôt que d’être pour lui une occasion de chute.
19
Cela m’assure mon indépendance à l’égard de tous les hommes. Et pourtant, bien que je sois un homme libre, je me suis fait l’esclave de tous, afin de gagner le plus de gens possible à Jésus-Christ.
20
Lorsque j’étais avec les Juifs, j’ai vécu comme eux, afin de gagner des Juifs. Et comme ils sont soumis à la loi (de Moïse), je me suis moi-même assujetti à cette loi, bien qu’en réalité, j’en sois personnellement dégagé. Mais je l’ai fait pour conquérir ceux qui sont sous le régime de la loi.
21
Avec ceux qui vivent sans la loi, je me suis comporté en affranchi de la loi – alors qu’en réalité, je ne vis pas en dehors de la loi de Dieu, puisque je me sens lié par la loi du Christ – mais c’était pour gagner au Christ ceux qui ne connaissent pas la loi.
22
Dans mes relations avec les chrétiens à l’esprit étroit, tiraillés par leurs scrupules de conscience, je me suis fait comme l’un d’entre eux, afin de gagner ces faibles pour le Christ. Je me suis adapté en tout à tous afin d’en conduire au moins quelques-uns au salut par tous les moyens possibles.
32
Il faut donc que rien, dans votre comportement, ne soit un sujet de scandale ou une occasion de chute, ni pour les Juifs, ni pour les non-Juifs, ni pour les membres de l’Église de Dieu.
33
C’est d’après ces principes que j’agis moi-même : je m’efforce, en toutes circonstances, de m’adapter à tous les hommes en tenant compte de leurs opinions, de leurs désirs et de leurs intérêts. Je ne considère pas ce qui me serait agréable ou avantageux, mais je pense aux multitudes d’hommes perdus, cherchant à les conduire au salut.
3
Quant à nous, nous évitons de choquer qui que ce soit, nous ne voulons placer d’obstacle sur le chemin de personne. Il ne faut pas que le ministère apostolique soit exposé à la critique ou tourné en dérision.
9
Vous savez comment notre Seigneur Jésus-Christ a prouvé son amour et sa grâce envers nous : il était riche, mais il s’est fait pauvre et, par amour pour vous, il a vécu pauvrement afin que par sa pauvreté vous soyez enrichis.
22
Gardez-vous du mal sous toutes ses formes, évitez-en même les apparences.
7
Offre-leur, par ton comportement, un modèle qu’ils puissent imiter en tous points. Lorsque tu enseignes, fais-le avec sincérité et sérieux.
8
Que tes paroles soient convaincantes, ta prédication vigoureuse et inattaquable, afin que nul ne puisse se soustraire à son effet. Alors, même nos adversaires seront confus, ne trouvant rien à redire en nous.
7
Tu l’as abaissé, (il est vrai),
pour un peu de temps au-dessous des anges.
Mais ensuite, tu l’as couronné
de gloire et d’honneur.
8
Tu as fait de lui le Maître de tout.
Tu as placé toutes choses sous sa domination. Si l’Écriture déclare donc que « toutes choses » ont été « placées sous la domination » de l’homme, cela veut dire qu’il n’existe rien au monde qui échappe à sa souveraineté. Actuellement, il est vrai, nous ne constatons pas encore que l’homme étende sa domination sur « toutes choses ».
5
Écoutez, mes chers frères, Dieu n’a-t-il pas choisi les pauvres de ce monde pour en faire des riches par la foi et leur assurer la possession du royaume qu’il a promis à ceux qui l’aiment ?
Le statère valait précisément quatre drachmes, qui suffisaient pour Jésus et pour Pierre.
- C'est ici assurément un récit très difficile à comprendre, un miracle qui ne porte pas les mêmes caractères que ceux que Jésus accomplit d'ordinaire.
Et d'abord, en quoi consiste-t-il ? Non dans une action par laquelle Jésus aurait produit le statère dans la bouche du poisson, mais dans la science divine qui savait qu'il s'y trouvait. Or, ce n'est pas là ce qui arrête la critique, celle du moins qui voit en Jésus le Fils de Dieu, le Roi de la nature.
Mais elle objecte que ce miracle est inutile, vu la facilité de se procurer d'une autre manière, à Capernaüm, cette petite valeur de quatre drachmes. Elle objecte ensuite que jamais Jésus n'a fait de miracles pour lui-même. (Comparer Matthieu 4.3,4)
Elle fait observer enfin que l'exécution de l'ordre donné à Pierre, c'est-à-dire le fait même de cette pêche miraculeuse n'est point raconté. D'où elle a conclu que les paroles de Jésus ont été défigurées par une tradition que Matthieu rapporte seul ; que celle-ci aurait, par exemple, transformé en un fait historique ce qui était primitivement une parabole par laquelle Jésus voulait enseigner aux siens le devoir de payer les impôts.
Inutile de citer les puériles tentatives d'interprétation rationnelle, comme celle qui prétend que Pierre devait vendre ce poisson et en donner le prix aux percepteurs.
L'exégèse n'a pas à discuter ces hypothèses, mais à s'en tenir simplement aux données du récit, dont le sens est clair. Ce récit renferme pour la piété de précieuses leçons : la pauvreté de Jésus, qui ne possède pas quatre drachmes, l'humilité avec laquelle il renonce à son droit divin pour remplir un si pale devoir de citoyen, sa charité, qui évite de heurter des préjugés ; sa grandeur divine, à laquelle tout dans la nature doit servir.