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28
Dieu les bénit et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-la. Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tout animal qui rampe sur la terre.
4
Tu boiras (de l’eau) du torrent, et j’ai ordonné aux corbeaux de te nourrir là.
8
Les brebis comme les bœufs tous ensemble, Et même les bêtes des champs,
10
Pour moi, je t’offrirai des sacrifices avec un cri de reconnaissance, J’accomplirai les vœux que j’ai faits : Le salut appartient à l’Éternel.
12
Alors ses disciples s’approchèrent et lui dirent : Sais-tu que les Pharisiens ont été scandalisés d’entendre cette parole ?
13
Il répondit : Toute plante qui n’a pas été plantée par mon Père céleste sera déracinée.
14
Laissez-les : ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles. Si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse.
61
Jésus sachant en lui-même que ses disciples murmuraient à ce sujet, leur dit : Cela vous scandalise ?
21
Il est bien de ne pas manger de viande, de ne pas boire de vin, et de s’abstenir de ce qui pour ton frère est une cause d’achoppement, [de chute ou de faiblesse].
1
Nous qui sommes forts, nous devons supporter les faiblesses de ceux qui ne le sont pas, et ne pas chercher ce qui nous plait.
2
Que chacun de nous plaise au prochain pour ce qui est bon, en vue de l’édification.
3
Car le Christ n’a pas cherché ce qui lui plaisait, mais, selon qu’il est écrit : Les outrages de ceux qui t’outragent sont tombés sur moi.
9
Prenez garde, toutefois, que votre droit ne devienne une pierre d’achoppement pour les faibles.
13
C’est pourquoi, si un aliment fait tomber mon frère, jamais plus je ne mangerai de viande, afin de ne pas faire tomber mon frère.
19
Car, bien que je sois libre à l’égard de tous, je me suis rendu le serviteur de tous, afin de gagner le plus grand nombre.
20
Avec les Juifs, j’ai été comme Juif, afin de gagner les Juifs ; avec ceux qui sont sous la loi, comme sous la loi – et pourtant je ne suis pas moi-même sous la loi – afin de gagner ceux qui sont sous la loi ;
21
avec ceux qui sont sans loi, comme sans loi – et pourtant je ne suis pas moi-même sans la loi de Dieu, mais sous la loi de Christ – afin de gagner ceux qui sont sans loi.
22
J’ai été faible avec les faibles, afin de gagner les faibles. Je me suis fait tout à tous, afin d’en sauver de toute manière quelques-uns.
32
Ne soyez une pierre d’achoppement ni pour les Grecs, ni pour les Juifs, ni pour l’Église de Dieu,
33
comme moi aussi je me rends agréable en tout et à tous, cherchant non mon avantage, mais celui du plus grand nombre, afin qu’ils soient sauvés.
3
Nous ne donnons aucun sujet de scandale en quoi que ce soit, afin que [notre] service ne soit pas un objet de blâme.
9
Car vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus-[Christ] qui pour vous s’est fait pauvre de riche qu’il était, afin que par sa pauvreté vous soyez enrichis.
22
abstenez-vous du mal sous toutes ses formes.
7
en te montrant toi-même un modèle d’œuvres bonnes, et en donnant un enseignement pur, digne,
8
une parole saine, inattaquable, afin que l’adversaire soit confus, et n’ait aucun mal à dire de nous.
7
Tu l’as fait pour un peu de temps inférieur aux anges, Tu l’as couronné de gloire et d’honneur, [Tu l’as établi sur les œuvres de tes mains ; ]
8
Tu as mis toutes choses sous ses pieds. En lui soumettant ainsi toutes choses, Dieu n’a rien laissé qui reste insoumis. Cependant, nous ne voyons pas encore maintenant que toutes choses lui soient soumises.
5
Écoutez, mes frères bien-aimés : Dieu n’a-t-il pas choisi les pauvres selon le monde, pour qu’ils soient riches en la foi et héritiers du royaume qu’il a promis à ceux qui l’aiment ?
Le statère valait précisément quatre drachmes, qui suffisaient pour Jésus et pour Pierre.
- C'est ici assurément un récit très difficile à comprendre, un miracle qui ne porte pas les mêmes caractères que ceux que Jésus accomplit d'ordinaire.
Et d'abord, en quoi consiste-t-il ? Non dans une action par laquelle Jésus aurait produit le statère dans la bouche du poisson, mais dans la science divine qui savait qu'il s'y trouvait. Or, ce n'est pas là ce qui arrête la critique, celle du moins qui voit en Jésus le Fils de Dieu, le Roi de la nature.
Mais elle objecte que ce miracle est inutile, vu la facilité de se procurer d'une autre manière, à Capernaüm, cette petite valeur de quatre drachmes. Elle objecte ensuite que jamais Jésus n'a fait de miracles pour lui-même. (Comparer Matthieu 4.3,4)
Elle fait observer enfin que l'exécution de l'ordre donné à Pierre, c'est-à-dire le fait même de cette pêche miraculeuse n'est point raconté. D'où elle a conclu que les paroles de Jésus ont été défigurées par une tradition que Matthieu rapporte seul ; que celle-ci aurait, par exemple, transformé en un fait historique ce qui était primitivement une parabole par laquelle Jésus voulait enseigner aux siens le devoir de payer les impôts.
Inutile de citer les puériles tentatives d'interprétation rationnelle, comme celle qui prétend que Pierre devait vendre ce poisson et en donner le prix aux percepteurs.
L'exégèse n'a pas à discuter ces hypothèses, mais à s'en tenir simplement aux données du récit, dont le sens est clair. Ce récit renferme pour la piété de précieuses leçons : la pauvreté de Jésus, qui ne possède pas quatre drachmes, l'humilité avec laquelle il renonce à son droit divin pour remplir un si pale devoir de citoyen, sa charité, qui évite de heurter des préjugés ; sa grandeur divine, à laquelle tout dans la nature doit servir.