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28
Et Dieu les bénit ; et Dieu leur dit : Fructifiez, et multipliez, et remplissez la terre et l'assujettissez, et dominez sur les poissons de la mer et sur les oiseaux des cieux, et sur tout être vivant qui se meut sur la terre.
4
Et il arrivera que tu boiras du torrent, et j'ai commandé aux corbeaux de te nourrir là.
8
L'oiseau des cieux, et les poissons de la mer, ce qui passe par les sentiers des mers.
17
(2 : 1) Et l'Éternel prépara un grand poisson pour engloutir Jonas ; et Jonas fut dans les entrailles du poisson trois jours et trois nuits.
10
(2 : 11) Et l'Éternel commanda au poisson, et il vomit Jonas sur la terre.
12
Alors ses disciples, s'approchant, lui dirent : Sais-tu que les pharisiens ont été scandalisés en entendant cette parole ?
13
Mais lui, répondant, dit : Toute plante que mon Père céleste n'a pas plantée sera déracinée.
14
Laissez-les ; ce sont des aveugles, conducteurs d'aveugles : et si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse.
61
Et Jésus, sachant en lui-même que ses disciples murmuraient là-dessus, leur dit : Ceci vous scandalise-t-il ?
21
Il est bon de ne pas manger de chair, de ne pas boire de vin, et de ne faire aucune chose en laquelle ton frère bronche, ou est scandalisé, ou est faible.
1
Or nous devons, nous les forts, porter les infirmités des faibles, et non pas nous plaire à nous-mêmes.
2
Que chacun de nous cherche à plaire à son prochain, en vue du bien, pour l'édification.
3
aussi le Christ n'a point cherché à plaire à lui-même, mais selon qu'il est écrit : "Les outrages de ceux qui t'outragent sont tombés sur moi".
9
Mais prenez garde que cette liberté que vous avez ne devienne une pierre d'achoppement pour les faibles.
13
C'est pourquoi, si la viande est une occasion de chute pour mon frère, je ne mangerai pas de chair, à jamais, pour ne pas être une occasion de chute pour mon frère.
19
Car, étant libre à l'égard de tous, je me suis asservi à tous, afin de gagner le plus de gens ;
20
et pour les Juifs, je suis devenu comme Juif, afin de gagner les Juifs ; pour ceux qui étaient sous la loi, comme si j'étais sous la loi, n'étant pas moi-même sous la loi, afin de gagner ceux qui étaient sous la loi ;
21
pour ceux qui étaient sans loi, comme si j'étais sans loi (non que je sois sans loi quant à Dieu, mais je suis justement soumis à Christ), afin de gagner ceux qui étaient sans loi.
22
Je suis devenu pour les faibles comme faible, afin de gagner les faibles ; je suis devenu toutes choses pour tous, afin que de toute manière j'en sauve quelques-uns.
32
Ne devenez une cause d'achoppement ni aux Juifs, ni aux Grecs, ni à l'assemblée de Dieu ;
33
comme moi aussi je complais à tous en toutes choses, ne cherchant pas mon avantage propre, mais celui du grand nombre, afin qu'ils soient sauvés.
3
-ne donnant aucun scandale en rien, afin que le service ne soit pas blâmé,
9
Car vous connaissez la grâce de notre Seigneur Jésus Christ, comment, étant riche, il a vécu dans la pauvreté pour vous, afin que par sa pauvreté vous fussiez enrichis.
22
Abstenez-vous de toute forme de mal.
7
te montrant toi-même en toutes choses un modèle de bonnes oeuvres, faisant preuve dans l'enseignement, de pureté de doctrine,
8
de gravité, de parole saine qu'on ne peut condamner, afin que celui qui s'oppose ait honte, n'ayant rien de mauvais à dire de nous.
7
Tu l'as fait un peu moindre que les anges ; tu l'as couronné de gloire et d'honneur, et l'as établi sur les oeuvres de tes mains ;
8
tu as assujetti toutes choses sous ses pieds" ; car en lui assujettissant toutes choses, il n'a rien laissé qui ne lui soit assujetti ; mais maintenant nous ne voyons pas encore que toutes choses lui soient assujetties ;
5
Écoutez, mes frères bien-aimés : Dieu n'a-t-il pas choisi les pauvres quant au monde, riches en foi et héritiers du royaume qu'il a promis à ceux qui l'aiment ?
Le statère valait précisément quatre drachmes, qui suffisaient pour Jésus et pour Pierre.
- C'est ici assurément un récit très difficile à comprendre, un miracle qui ne porte pas les mêmes caractères que ceux que Jésus accomplit d'ordinaire.
Et d'abord, en quoi consiste-t-il ? Non dans une action par laquelle Jésus aurait produit le statère dans la bouche du poisson, mais dans la science divine qui savait qu'il s'y trouvait. Or, ce n'est pas là ce qui arrête la critique, celle du moins qui voit en Jésus le Fils de Dieu, le Roi de la nature.
Mais elle objecte que ce miracle est inutile, vu la facilité de se procurer d'une autre manière, à Capernaüm, cette petite valeur de quatre drachmes. Elle objecte ensuite que jamais Jésus n'a fait de miracles pour lui-même. (Comparer Matthieu 4.3,4)
Elle fait observer enfin que l'exécution de l'ordre donné à Pierre, c'est-à-dire le fait même de cette pêche miraculeuse n'est point raconté. D'où elle a conclu que les paroles de Jésus ont été défigurées par une tradition que Matthieu rapporte seul ; que celle-ci aurait, par exemple, transformé en un fait historique ce qui était primitivement une parabole par laquelle Jésus voulait enseigner aux siens le devoir de payer les impôts.
Inutile de citer les puériles tentatives d'interprétation rationnelle, comme celle qui prétend que Pierre devait vendre ce poisson et en donner le prix aux percepteurs.
L'exégèse n'a pas à discuter ces hypothèses, mais à s'en tenir simplement aux données du récit, dont le sens est clair. Ce récit renferme pour la piété de précieuses leçons : la pauvreté de Jésus, qui ne possède pas quatre drachmes, l'humilité avec laquelle il renonce à son droit divin pour remplir un si pale devoir de citoyen, sa charité, qui évite de heurter des préjugés ; sa grandeur divine, à laquelle tout dans la nature doit servir.