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Matthieu 19.16

Et voici, quelqu'un s'approchant, lui dit : Maßtre, quel bien ferai-je pour avoir la vie éternelle ?
Alors un jeune homme s’approcha de lui et lui dit : —MaĂźtre, que dois-je faire de bon pour avoir la vie Ă©ternelle ?
Et 2532 voici 2400 5628, un 1520 homme s’approcha 4334 5631, et dit 2036 5627 Ă  JĂ©sus 846 : MaĂźtre 1320, que 5101 dois-je faire 4160 5661 de bon 18 pour 2443 avoir 2192 5725 la vie 2222 Ă©ternelle 166 ?
Behold, one came to him and said, "Good teacher, what good thing shall I do, that I may have eternal life?"
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      Daniel 12

      Matthieu 19

      16 Christ savait que la cupiditĂ© Ă©tait le pĂ©chĂ© qui assaillait vraiment ce jeune homme ; ce dernier avait obtenu honnĂȘtement tous ses biens, et ne pouvait donc se rĂ©soudre Ă  s'en sĂ©parer de gaietĂ© de cƓur : cette attitude, compte tenu de ses paroles, dĂ©montrait une certaine hypocrisie...

      Les promesses de Christ facilitent l’obĂ©issance Ă  Ses prĂ©ceptes, et rendent Son joug agrĂ©able Ă  supporter ; cependant la promesse faite dans ce texte Ă©tait comme beaucoup d’autres, une vĂ©ritable Ă©preuve de foi pour ce jeune homme : elle encourageait son exercice Ă  la charitĂ©, en mĂȘme temps que son mĂ©pris du monde.

      Le fait de suivre Christ, exige que nous appliquions dûment Ses ordonnances, que nous suivions strictement Son exemple, et que nous nous soumettions avec joie à Ses directives : ceci par amour pour Lui, et dans une complÚte dépendance de Sa Personne.

      Vendre nos biens et tout donner aux pauvres ne sert à rien, quant à l’acquisition de notre salut, par contre c’est conforme à la voie que nous demande de suivre Christ.

      L'évangile est le seul remÚde pour les pécheurs perdus. Beaucoup s'abstiennent de céder à des vices pernicieux, sans toutefois s'occuper de leurs obligations spirituelles envers Dieu.

      Des milliers d'exemples de dĂ©sobĂ©issance, qu’il s’agisse de mauvaises pensĂ©es, de paroles, et d’actions, sont citĂ©s dans la Parole de Dieu. Beaucoup abandonnent ainsi Christ, prĂ©fĂ©rant le monde prĂ©sent ; ils ressentent certaines convictions et dĂ©sirs de s’approcher du Seigneur, mais ils repartent tout tristes, peut-ĂȘtre dĂ©sabusĂ©s.

      Il convient de nous examiner quant à notre obéissance aux principes enseignés dans ce texte : le Seigneur nous demandera des comptes...

      Matthieu 25

      Marc 10

      17 Ce jeune homme riche montra un grand intĂ©rĂȘt pour le domaine spirituel. Il demanda Ă  JĂ©sus ce qu'il devait faire pour connaĂźtre la fĂ©licitĂ© Ă©ternelle. La plupart des hommes aspirent aux biens de ce monde, quels qu’ils soient, Psaume 4:6.

      Le jeune homme demanda quelle attitude pratiquer ici-bas, afin de pouvoir jouir dans le ciel d’une grande rĂ©compense. Christ encouragea cette dĂ©marche, en le fĂ©licitant pour sa foi, et en lui dictant une ligne de conduite. Mais un problĂšme surgit au cours de l’échange entre JĂ©sus et ce jeune homme : ce dernier Lui demandant ce qu'il devait faire en plus, pour obtenir la vie Ă©ternelle, Christ voulut alors vĂ©rifier les bonnes intentions de cette demande : le jeune homme avait-il la volontĂ© de supporter sa « croix » pour le prĂ©sent, dans l'attente d'une « couronne » dans le ciel ?

      Cet homme Ă©tait dĂ©solĂ© de ne pas pouvoir devenir facilement un disciple de Christ : il ne pouvait pas obtenir la vie Ă©ternelle et garder en mĂȘme temps ce qu'il possĂ©dait ici-bas. Il partit donc, attristĂ©.

      Voir Matthieu 6:24 : « vous ne pouvez servir Dieu et Mammon ».

      23 Christ profite du prĂ©cĂ©dent dialogue avec le jeune homme riche, pour montrer Ă  Ses disciples la difficultĂ© d’obtention du salut, pour ceux qui vivent dans l'abondance ici-bas.

      De telles personnes, avides des richesses de ce monde, ne pourront jamais vraiment « s’approcher spirituellement » de Christ et de Sa GrĂące. Elles ne pourront rĂ©ellement saisir l'importance du salut, et ne pourront comprendre ceux qui n'ont que peu ici-bas et qui nĂ©anmoins, abandonnent tout pour Christ.

      Quand un homme bienveillant est appelĂ© par JĂ©sus, sa plus grande Ă©preuve de fidĂ©litĂ© consiste Ă  abandonner ses amis et ses parents pour Lui. Lorsqu’une personne est « gagnĂ©e » par Christ, elle doit s'attendre Ă  souffrir pour Lui, jusqu'Ă  son arrivĂ©e dans les cieux.

      Apprenons le contentement dans la simplicitĂ©, restons vigilants envers la convoitise des richesses. Prions, afin d’ĂȘtre capables de partager ce que nous avons avec tous, si possible, dans le cadre du service pour Christ ; utilisons tout ce qui nous est accordĂ© en ce monde, pour rester fidĂšles Ă  Son service.

      Luc 10

      25 Si nous parlons d’une maniĂšre insouciante, de la vie Ă©ternelle, et du chemin qui y conduit, nous prenons le nom de Dieu en vain. Personne n'aimera jamais Dieu et son prochain du moindre amour vĂ©ritable et spirituel, s'il n'est pas devenu « participant de la GrĂące », Celle qui amĂšne Ă  la conversion. HĂ©las, le cƓur de l'orgueilleux est fermement opposĂ© Ă  ces principes...

      Christ, dans cette parabole, a citĂ© l'exemple d'un pauvre Juif en dĂ©tresse, soulagĂ© par un Samaritain bienveillant. Ce pauvre homme, attaquĂ© et blessĂ© par des voleurs, gisait presque mourant. Ceux qui auraient dĂ» ĂȘtre ses amis, l’ont laissĂ© abandonnĂ©, alors qu’il a Ă©tĂ© pris en charge par un Ă©tranger : un Samaritain, d’une nation que les Juifs mĂ©prisaient et dĂ©testaient, et avec qui ils n'entretenaient aucune relation.

      Il est lamentable de voir Ă  quel point l'Ă©goĂŻsme gouverne Ă  tous niveaux : combien sont nombreuses les excuses que se donnent les hommes, pour Ă©viter tout dĂ©rangement ou toute dĂ©pense pour soulager les autres. Le vĂ©ritable chrĂ©tien, quant Ă  lui, est dirigĂ© par l’amour, vĂ©ritable « loi », Ă©crite en son cƓur. L'Esprit de Christ demeure en lui ; l'image de Christ est renouvelĂ©e en son Ăąme !

      Cette parabole est une belle application du commandement d'aimer notre prochain comme nous-mĂȘmes, sans distinction de nation, de parti, ou de toute autre considĂ©ration. Ce texte souligne Ă©galement la prĂ©venance et l'Amour que Dieu, par notre Sauveur, manifeste envers les hommes coupables et misĂ©rables.

      Nous Ă©tions Ă  l’origine, comme ce pauvre voyageur affligĂ©. Satan, notre ennemi, nous a volĂ©s, et blessĂ©s : tel est le mal que nous occasionne le pĂ©chĂ©. Mais notre Sauveur bĂ©ni a eu compassion de nous. Le croyant considĂšre que JĂ©sus l'a aimĂ©, et a donnĂ© Sa vie pour lui, alors qu’il n’était qu’un ennemi et un rebelle ; ce Sauveur ayant montrĂ© Sa MisĂ©ricorde, offre Ă  ce rachetĂ© d'en faire autant.

      Il est du devoir de chacun de nous, lĂ  oĂč nous sommes, et selon nos capacitĂ©s, de secourir, d'aider, et soulager tous ceux qui sont dans la dĂ©tresse et la nĂ©cessitĂ©.

      Luc 18

      18 Beaucoup possĂšdent de nombreuses qualitĂ©s, parfaitement apprĂ©ciables, cependant, ils pĂ©rissent parce qu'il leur en manque une, comme ce chef du peuple, qui ne pouvait pas supporter les paroles de Christ, parce qu’il devait choisir entre JĂ©sus et lui-mĂȘme.

      Beaucoup de personnes, peu disposĂ©es Ă  suivre Christ, finissent par L’abandonner. AprĂšs une longue lutte entre leurs pieuses convictions et leurs corruptions, ce sont ces derniĂšres qui prennent le dessus : ces Ăąmes regrettent de ne pas pouvoir servir les deux ; si elles doivent faire un choix pour dĂ©cider de ce qui doit ĂȘtre abandonnĂ©, ce sera Dieu et non les attraits du monde...

      Leur choix entre obĂ©issance Ă  Dieu, ou au monde, se reconnaĂźtra par leur tĂ©moignage extĂ©rieur : l'amour du monde, sous une forme ou une autre, se trouve toujours enracinĂ© dans le cƓur des hommes. Ces derniers peuvent trĂšs facilement parler de ce qu'ils ont laissĂ© et perdu ici-bas, plutĂŽt que de ce qu'ils ont fait ou souffert pour Christ, comme le fit l’apĂŽtre Pierre, en Le reniant... Nous devrions plutĂŽt Ă©prouver de la honte pour ne pas avoir tĂ©moignĂ© du Seigneur.

      Jean 3

      Jean 4

      Jean 5

      39 Les Juifs considĂ©raient que la vie Ă©ternelle leur Ă©tait rĂ©vĂ©lĂ©e par les Écritures, et qu'ils la possĂ©daient, parce qu'ils avaient la Parole de Dieu entre leurs mains.

      JĂ©sus les invite Ă  fouiller les Écritures avec plus d'assiduitĂ© et d'attention : « vous sondez les Écritures parce que vous pensez avoir en elles la vie Ă©ternelle ». Le Juifs sondaient en effet les Écritures, mais uniquement pour se glorifier personnellement...

      Il est possible de constater que certaines personnes ont une grande connaissance des Écritures, tout en Ă©tant cependant Ă©trangĂšres Ă  la puissance de ces DerniĂšres. On peut interprĂ©ter le message du Seigneur, « sondez les Écritures » sous la forme d'un appel : « vous dĂ©clarez recevoir et croire l'Écriture, qu'Elle en soit juge » ! Il est Ă©galement commandĂ© aux chrĂ©tiens, de sonder les Écritures : ils doivent non seulement les lire ou les entendre, mais ils doivent en plus les sonder, ce qui doit dĂ©noter une certaine assiduitĂ© dans leur examen et leur Ă©tude.

      Nous devons sonder les Écritures avec une certaine « perspective cĂ©leste », un but final : « parce que vous pensez avoir en elles la vie Ă©ternelle ». Nous devons sonder les Écritures pour Christ : Il est en effet le Chemin nouveau et vivant qui conduit Ă  cette fin.

      Au tĂ©moignage de Christ envers les Juifs, s’ajoutent des reproches pour leur incrĂ©dulitĂ© et leur mĂ©chancetĂ©, ainsi que leur nĂ©gligence, quant Ă  la doctrine cĂ©leste. Il leur reproche Ă©galement leur manque d'amour pour Dieu.

      Seules les Ăąmes contrites peuvent avoir la vie en JĂ©sus-Christ. Nombreux sont ceux qui professent hautement leur piĂ©tĂ© et qui, cependant, manquent d'amour pour Dieu, et nĂ©gligent la Personne de Christ, en mĂ©prisant Ses commandements. L'amour que nous Ă©prouvons pour Dieu doit ĂȘtre vivant, actif en notre cƓur : il sera alors acceptĂ©.

      Les Juifs sous-estimĂšrent Christ, ils le tournĂšrent en dĂ©rision, s’admirant et se surestimant eux-mĂȘmes. Comment de telles personnes peuvent-elles croire, quand elles acclament les hommes et en font leurs idoles ?

      Alors que Christ et Ses disciples sont seuls dignes d’ĂȘtre suivis, comment les orgueilleux peuvent-ils croire, quand ils n’ont de plus grande ambition que d’étaler leur apparente bonne conduite ?

      Jean 6

      28 La foi en Christ est un « exercice » constant ; c’est le cĂŽtĂ© le plus important et le plus difficile de l'obĂ©issance qui est exigĂ©e de notre part, par Dieu, en tant que pĂ©cheurs recherchant le salut.

      Lorsque par la GrĂące, il est permis de vivre une vie de foi dans le Fils de Dieu, les Ăąmes pieuses Le suivent, et un ministĂšre spirituel, peut ĂȘtre alors entrepris. L’Éternel, qui autrefois dans le dĂ©sert, a donnĂ© la nourriture du ciel (la manne) aux pĂšres des enfants d’IsraĂ«l, pour qu’ils restent en vie, nous donne maintenant le vĂ©ritable « Pain », pour le salut des Ăąmes. Le fait de venir Ă  JĂ©sus et de croire en Lui signifie symboliquement « manger de ce Pain de vie ». Christ annonce qu'Il est ce vĂ©ritable Pain ; Il reprĂ©sente pour l'Ăąme, ce que le pain est au corps, Il nourrit et entretient la vie spirituelle. Il est le « Pain de Dieu », ce Pain que le PĂšre nous offre, pour nourrir notre Ăąme. Le pain nourrit uniquement des corps en vie ; Christ est Lui-mĂȘme ce Pain vivant ; Il nourrit par Sa propre puissance.

      Cette doctrine de Christ crucifiĂ© est toujours aussi vivifiante et rĂ©confortante pour le croyant. Il est le Pain qui est descendu du ciel. Cette nourriture dĂ©note la DivinitĂ© de la Personne de Christ, ainsi que son autorité ; elle est aussi l'origine divine de tout le bien qu’Il nous accorde.

      Puissions-nous par la foi et avec ferveur Lui demander : « Seigneur, donne-nous toujours de ce Pain » !

      47 L'avantage de la manne Ă©tait en quelque sorte limité : elle ne se rapportait qu’à cette vie terrestre ; « le pain de vie », quant Ă  lui, est excellent : l'homme qui s'en nourrit ne mourra jamais !

      Ce pain est la nature humaine de Christ, nature qu’Il revĂȘtit pour l'offrir au PĂšre, en tant que sacrifice pour les pĂ©chĂ©s du monde ; consommer ce pain, c’est acquĂ©rir tout ce qui appartient Ă  la vie et Ă  la piĂ©té ; cela concerne les pĂ©cheurs de toutes nations, qui se repentent et croient en JĂ©sus !

      Jean 10

      Jean 12

      Jean 17

      Actes 16

      Romains 2

      Romains 5

      Romains 6

      1 Timothée 1

      1 Timothée 6

      Tite 1

      Tite 3

      1 Jean 1

      1 Jean 2

      1 Jean 5

      13 D’aprĂšs toutes les Ă©vidences de ce texte, il est clair qu’il n’y a rien de plus profitable que de croire au Nom du Fils de Dieu.

      Aujourd’hui, sous la Nouvelle Alliance de l'Évangile, les croyants bĂ©nĂ©ficient de la vie Ă©ternelle. Recevons donc avec reconnaissance ce que nous enseigne l'Écriture. Nous devons toujours abonder dans l'Ɠuvre du Seigneur, sachant que cette tĂąche ne sera jamais vaine !

      Le Seigneur JĂ©sus-Christ nous invite Ă  nous approcher de Lui, en toutes circonstances, avec nos supplications et nos requĂȘtes, malgrĂ© le pĂ©chĂ© qui peut nous obsĂ©der. Nos priĂšres doivent toujours ĂȘtre offertes Ă  Dieu, en toute soumission Ă  Sa volontĂ©. Si dans certains cas elles sont rapidement exaucĂ©es, dans d'autres, elles sont satisfaites de la meilleure maniĂšre, mĂȘme si cela ne correspond pas tout Ă  fait Ă  ce que nous avons demandĂ©. Nous devons intercĂ©der pour les autres, comme pour nous-mĂȘme.

      Il y a des pĂ©chĂ©s qui pratiquent une « guerre spirituelle » Ă  l'Ăąme. Nous ne pouvons pas prier pour que les pĂ©chĂ©s de l'impĂ©nitent et de l'incrĂ©dule invĂ©tĂ©rĂ© leur soient pardonnĂ©s, ni que la MisĂ©ricorde divine leur soit accordĂ©e, s’ils continuent dĂ©libĂ©rĂ©ment Ă  suivre leurs mauvaises voies. Mais nous pouvons toutefois prier pour leur repentir, pour qu'ils soient enrichis dans leur foi en Christ et dans toute Sa MisĂ©ricorde bĂ©nĂ©fique.

      Nous devons intercĂ©der pour les autres, aussi bien que pour nous-mĂȘme, suppliant le Seigneur de pardonner, de relever et de soulager celui qui a chutĂ©, qui est tentĂ©, voire affligĂ©. Soyons vraiment reconnaissants du fait qu'aucun des pĂ©chĂ©s, de l’homme qui se repent rĂ©ellement, ne mĂšne Ă  la mort.

      Jude 1

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