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32
Eh bien, moi je vous dis : celui qui renvoie sa femme – sauf en cas d’immoralité sexuelle – l’expose à devenir adultère, et celui qui épouse une femme divorcée, commet lui-même un adultère. —
9
Mais à l’origine, il n’en était pas ainsi. Aussi, je vous déclare que celui qui renvoie sa femme et en épouse une autre, commet un adultère, sauf en cas d’immoralité sexuelle.
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Il leur dit : — Celui qui divorce d’avec sa femme et en épouse une autre, commet un adultère vis-à-vis de la première.
12
Et si une femme divorce d’avec son mari et épouse un autre homme, elle aussi commet un adultère.
18
Tout homme qui divorce et se remarie avec une autre femme commet un adultère. Il en est de même de celui qui épouse une femme séparée de son mari. —
2
Ainsi, par exemple, une femme mariée est liée légalement à son mari tant que celui-ci est en vie. S’il vient à mourir, elle est dégagée de la loi matrimoniale qui l’unissait à lui.
3
Si, du vivant de son époux, elle se donnait à un autre homme, elle serait taxée d’adultère. Après le décès de son conjoint, elle est légalement libre et ne commet donc pas d’adultère en épousant quelqu’un d’autre.
1
D’ailleurs, on parle partout de l’immoralité tolérée parmi vous. On m’a rapporté un cas d’inconduite si grave qu’il ne s’en rencontre même pas chez les gens du monde. Il paraît que l’un de vous vit avec la (seconde) femme de son père !
4
En effet, le corps de la femme ne lui appartient plus : il est à son mari. De même, le corps du mari ne lui appartient plus : il est à sa femme.
10
Quant aux personnes mariées, voici ce que j’ordonne, ou plutôt, ce que le Seigneur lui-même leur commande : que la femme ne se sépare pas de son mari.
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Au cas où elle en serait séparée, qu’elle reste sans se remarier ou qu’elle se réconcilie avec son mari. Le mari, de son côté, ne doit pas divorcer d’avec sa femme.
12
Pour les autres couples, je n’ai pas d’indication expresse de la part du Seigneur, mais je leur donne mon avis : si un frère chrétien est lié à une femme non croyante qui consente à rester avec lui, qu’il ne divorce pas.
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De même, si une femme a un mari non croyant qui consente à habiter avec elle, qu’elle ne se sépare pas de son mari.
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Un dernier mot : une femme demeure liée à son mari pour toute sa vie ; mais si le mari vient à mourir, elle est libre de se remarier avec qui elle veut, à condition, bien entendu, que ce soit avec un chrétien et qu’elle en décide dans la communion avec le Seigneur.
- Voir sur ces paroles Matthieu 5.31,32, note.
Telle est donc, ici encore, la réponse de Jésus à la question qui lui fut posée : il n'admet qu'une seule cause légitime de divorce, et il interdit d'épouser une femme répudiée. En parlant ainsi, il se place au point de vue de son royaume, et il n'y a aucun doute que ses disciples ne doivent se conformer à ce principe, le seul sur lequel repose le mariage chrétien.
Aucune Eglise soumise à l'autorité du Sauveur ne saurait en sanctionner un autre. En résulte-t-il que la société civile, en des pays qui portent le nom de chrétiens, ait tort de statuer par sa législation d'autres causes de divorce et d'autoriser des époux séparés à contracter un second mariage ? Faut-il astreindre tous les citoyens d'un pays à la pratique d'un principe chrétien ?
A cette question, comme à une foule d'autres analogues, le catholicisme a répondu oui, parce qu'il est la religion de la contrainte, et ne prétend à rien moins qu'à dominer la société ; le protestantisme répond non, parce qu'il veut avant tout la sincérité et la liberté morale. Que la société civile ait donc égard, si elle le veut, à la dureté du cœur, (verset 8) qu'elle autorise un mal pour éviter des maux plus grands ; mais que les Eglises voient si elles peuvent, sans infidélité, se prêter, en ce qui les concerne, à sanctionner des unions nuptiales contraires à la parole du Sauveur.