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18
Alors Pharaon appela Abram, et lui dit : Qu'est-ce que tu m'as fait ? pourquoi ne m'as-tu pas déclaré que c'était ta femme ?
19
Pourquoi as-tu dit, c'est ma soeur ? car je l'avais prise pour ma femme ; mais maintenant, voici ta femme, prends-la, et t'en va.
3
Mais Dieu apparut la nuit dans un songe à Abimélec, et lui dit : Voici, tu es mort, à cause de la femme que tu as prise, car elle a un mari.
11
Il fit aussi des hauts lieux dans les montagnes de Juda, et fit paillarder les habitants de Jérusalem, et il y poussa aussi Juda.
1
On dit : si quelqu'un délaisse sa femme, et qu'elle se séparant de lui se joigne à un autre mari, [le premier mari] retournera-t-il encore vers elle ? Le pays même n'en serait-il pas entièrement souillé ? Or toi, tu t'es prostituée à plusieurs amoureux, toutefois retourne-toi vers moi, dit l'Eternel.
8
Et j'ai vu que pour toutes les occasions par lesquelles Israël la revêche avait commis adultère, je l'ai renvoyée, et lui ai donné ses lettres de divorce ; toutefois Juda sa soeur l'infidèle n'a point eu de crainte, mais s'en est allée, et elle aussi s'est prostituée.
8
Et je passai auprès de toi, et je te regardai, et voici ton âge était l'âge d'être mariée : et j'étendis sur toi le pan de ma robe, et je couvris ta nudité ; et je te jurai, et j'entrai en alliance avec toi, dit le Seigneur l'Eternel, et tu devins mienne.
15
Mais tu t'es confiée en ta beauté, et tu t'es prostituée à cause de ta renommée, et tu t'es abandonnée à tout passant pour être à lui.
29
Mais tu as multiplié tes adultères dans le pays de Canaan jusques en Caldée, et tu n'as point encore pour cela été assouvie.
32
Mais moi je vous dis, que quiconque aura répudié sa femme, si ce n'est pour cause d'adultère, il la fait devenir adultère ; et quiconque se mariera à la femme répudiée, commet un adultère.
9
Et moi je vous dis, que quiconque répudiera sa femme, si ce n'est pour cause d'adultère, et se mariera à une autre, commet un adultère ; et que celui qui se sera marié à celle qui est répudiée, commet un adultère.
11
Et il leur dit : quiconque laissera sa femme, et se mariera à une autre, il commet un adultère contre elle.
12
Pareillement si la femme laisse son mari, et se marie à un autre, elle commet un adultère.
18
Quiconque répudie sa femme, et se marie à une autre, commet un adultère, et quiconque prend celle qui a été répudiée par son mari, commet un adultère.
2
Car la femme qui est sous la puissance d'un mari, est liée à son mari par la Loi, tandis qu'il est en vie ; mais si son mari meurt, elle est délivrée de la loi du mari.
3
Le mari donc étant vivant, si elle épouse un autre mari elle sera appelée adultère ; mais son mari étant mort, elle est délivrée de la Loi ; tellement qu'elle ne sera point adultère si elle épouse un autre mari.
1
On entend dire de toutes parts qu'il y a parmi vous de l'impudicité, et même une telle impudicité, qu'entre les Gentils il n'est point fait mention de semblable ; c'est que quelqu'un entretient la femme de son père.
4
Car la femme n'a pas son propre corps en sa puissance, mais [il est en celle] du mari ; et le mari tout de même n'a pas en sa puissance son propre corps, mais [il est en celle] de la femme.
10
Et quant à ceux qui sont mariés, je leur commande, non pas moi, mais le Seigneur, que la femme ne se sépare point du mari.
11
Et si elle s'en sépare, qu'elle demeure sans être mariée, ou qu'elle se réconcilie avec son mari ; que le mari aussi ne quitte point sa femme.
12
Mais aux autres je leur dis, [et] non pas le Seigneur : Si quelque frère a une femme infidèle, et qu'elle consente d'habiter avec lui, qu'il ne la quitte point.
13
Et si quelque femme a un mari infidèle, et qu'il consente d'habiter avec elle, qu'elle ne le quitte point.
39
La femme est liée par la Loi pendant tout le temps que son mari est en vie, mais si son mari meurt, elle est en liberté de se marier à qui elle veut ; seulement [que ce soit] en [notre] Seigneur.
- Voir sur ces paroles Matthieu 5.31,32, note.
Telle est donc, ici encore, la réponse de Jésus à la question qui lui fut posée : il n'admet qu'une seule cause légitime de divorce, et il interdit d'épouser une femme répudiée. En parlant ainsi, il se place au point de vue de son royaume, et il n'y a aucun doute que ses disciples ne doivent se conformer à ce principe, le seul sur lequel repose le mariage chrétien.
Aucune Eglise soumise à l'autorité du Sauveur ne saurait en sanctionner un autre. En résulte-t-il que la société civile, en des pays qui portent le nom de chrétiens, ait tort de statuer par sa législation d'autres causes de divorce et d'autoriser des époux séparés à contracter un second mariage ? Faut-il astreindre tous les citoyens d'un pays à la pratique d'un principe chrétien ?
A cette question, comme à une foule d'autres analogues, le catholicisme a répondu oui, parce qu'il est la religion de la contrainte, et ne prétend à rien moins qu'à dominer la société ; le protestantisme répond non, parce qu'il veut avant tout la sincérité et la liberté morale. Que la société civile ait donc égard, si elle le veut, à la dureté du cœur, (verset 8) qu'elle autorise un mal pour éviter des maux plus grands ; mais que les Eglises voient si elles peuvent, sans infidélité, se prêter, en ce qui les concerne, à sanctionner des unions nuptiales contraires à la parole du Sauveur.