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Alors, pourquoi donc êtes-vous sortis au désert ? Était-ce pour voir un prophète ? Oui. Et même plus qu’un prophète, c’est moi qui vous le dis.
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À cause de cela, et depuis longtemps, Hérode aurait bien voulu le supprimer, mais il avait peur du peuple qui, unanimement, tenait Jean pour un prophète.
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Ils auraient bien voulu l’arrêter sur-le-champ, mais ils avaient peur du peuple, car tout le monde considérait Jésus comme un prophète.
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car Hérode avait du respect pour Jean. Il savait que c’était un homme droit, il le tenait pour un saint. Il le gardait sous sa protection et veillait sur lui. Il s’entretenait volontiers avec lui et, après l’avoir consulté, il était profondément troublé et se trouvait fort embarrassé.
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Mais, d’autre part, si nous répondons qu’il tenait sa mission des hommes, alors… ? » En effet, ils craignaient le peuple, car tout le monde était persuadé que Jean avait été un vrai prophète.
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Alors, les chefs des prêtres et les interprètes de la loi étudient les moyens de mettre la main sur Jésus. Ils voudraient bien l’arrêter (tout de suite), mais ils ont peur des réactions de la foule. En effet, ils ont bien compris que ce sont eux que cette parabole a visés. Le laissant donc, ils se retirent.
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Mais si nous répondons que sa mission était d’origine purement humaine, tout le peuple va nous tuer à coups de pierres, car ces gens-là sont convaincus que Jean était un prophète.
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Les interprètes de la loi et les grands-prêtres auraient bien voulu arrêter Jésus sur l’heure, mais ils n’osaient pas : ils avaient peur des réactions du peuple. En effet, ils avaient fort bien compris que c’étaient eux que Jésus visait par cette parabole.
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Les grands-prêtres et les interprètes de la loi n’avaient plus qu’une pensée : se défaire de Jésus. Ils cherchaient le moyen de le supprimer, mais ils avaient peur du peuple.
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Oui, Jean était vraiment comme un flambeau que l’on allume pour qu’il répande sa clarté. Mais vous, vous avez simplement voulu, pour un petit moment, jouir de sa lumière.
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Les parents parlaient ainsi parce qu’ils avaient peur des chefs des Juifs. En effet, ceux-ci avaient déjà décidé entre eux d’exclure de la synagogue tous ceux qui reconnaîtraient Jésus pour le Messie.
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Beaucoup de gens vinrent l’y rejoindre. On disait : — Jean, il est vrai, n’a fait aucun miracle, mais tout ce qu’il a dit de cet homme s’est révélé vrai.
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Nombreux furent ceux qui crurent en lui là-bas.
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Aussitôt, le chef de la police du temple s’y rendit avec un détachement de gardes pour ramener les apôtres. Ils les arrêtèrent, mais avec ménagements, car ils avaient peur de se faire lapider par le peuple.