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Car beaucoup sont invités, mais ceux qui sont admis sont peu nombreux.
For many are called, but few chosen."
Et Jésus ajoute : « Oui, Dieu appelle un grand nombre de gens, mais il n’y en a pas beaucoup qui sont choisis. »
Puisque la salle des noces fut remplie, (verset 10) les élus n'étaient pas en si petit nombre, mais ils le sont toujours, comparés aux multitudes d'appelés. Cet appel est fait de la part de Dieu dans l'intention que celui qui l'entend soit sauvé.
Mais ni l'appel, ni même l'acceptation ne suffisent pour cela, comme le prouve le dernier trait de notre parabole. Il faut de plus un acte de la grâce souveraine de Dieu. Mais cet acte n'est point arbitraire ; Dieu possède le secret de le mettre en harmonie avec la liberté humaine, de telle sorte que celui qui est finalement rejeté l'est par sa faute, (verset 12) et que celui qui est sauvé sait qu'il l'est par la pure grâce de Dieu. (Ephésiens 1.4 ; Philippiens 2.13)
- Jetons maintenant un regard sur le sens de toute la parabole. Le roi qui fait les noces de son fils c'est Dieu, (verset 2) et ces noces c'est l'établissement de son règne, qui un jour sera élevé à la perfection. Tout, dans ce royaume, où le pécheur est invité à entrer, est préparé par la libre grâce de Dieu ; le salut est absolument gratuit. (verset 4)
La première invitation eut lieu par Jésus-Christ lui-même et par ses apôtres (Meyer), ou en pressant davantage les images de la parabole (Weiss), par les prophètes d'abord, (verset 3) puis par Jean-Baptiste et Jésus-Christ ; (versets 4-6) les serviteurs qui la poursuivent plus tard (versets 8-10) sont ses disciples.
Les premiers invités représentent le peuple d'Israël et ses chefs. Leur refus, leur mépris de l'invitation, et plus encore la haine violente qu'ils manifestèrent contre le Maître et ses serviteurs, ne justifièrent que trop le terrible châtiment qui vint les atteindre et la destruction de leur ville.
Alors (verset 8) commence une époque toute nouvelle dans le règne de Dieu ; son peuple s'en est montré indigne ; les serviteurs sont envoyés vers les nations païennes, auxquelles ils portent l'invitation, et la salle des noces se remplit. (versets 9,10) Magnifique prédiction de l'avenir ! (Romains 11.25)
Cette transformation du règne de Dieu, prévue dans notre parabole, est expressément proclamée par l'apôtre Paul au moment où elle s'accomplit. (Actes 13.46)
La première partie de la parabole est dirigée contre les chefs du peuple juif ; (verset 1, note) elle établit un grand contraste entre ce peuple et les païens.
Dans la dernière partie (versets 11-13) la pensée de Jésus se généralise ; la parabole enseigne le caractère intérieur et spirituel du royaume des cieux ; l'homme qui n'avait point un habit de noces représente toute la catégorie de ceux qui sont extérieurement entrés dans le royaume sans que rien ait changé dans les dispositions de leur cœur.
L'habit de noces, c'est la justice intérieure, la sanctification qui s'obtient par la repentance et la foi au Sauveur. (Matthieu 5.20 ; 6.33) Ils n'ont donc pas tort, les interprètes qui voient dans cet habit de noces Christ lui-même et sa justice dont le pécheur doit être revêtu. (Galates 3.27 ; Romains 3.20 et suivants ; comparez Esaïe 61.10)
Mais la pleine révélation de cette profonde vérité du salut était encore réservée pour le temps gui suivrait la mort rédemptrice du Sauveur. Le terrible châtiment infligé à ce malheureux convive, et qui étonne au premier abord, montre la culpabilité de ceux qui, préférant les haillons de leur propre justice à la justice parfaite qui leur est offerte, refusent de soumettre leur cœur irrégénéré à la sanctification, sans laquelle nul ne verra le Seigneur.
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Mais ni l'appel, ni même l'acceptation ne suffisent pour cela, comme le prouve le dernier trait de notre parabole. Il faut de plus un acte de la grâce souveraine de Dieu. Mais cet acte n'est point arbitraire ; Dieu possède le secret de le mettre en harmonie avec la liberté humaine, de telle sorte que celui qui est finalement rejeté l'est par sa faute, (verset 12) et que celui qui est sauvé sait qu'il l'est par la pure grâce de Dieu. (Ephésiens 1.4 ; Philippiens 2.13)
- Jetons maintenant un regard sur le sens de toute la parabole. Le roi qui fait les noces de son fils c'est Dieu, (verset 2) et ces noces c'est l'établissement de son règne, qui un jour sera élevé à la perfection. Tout, dans ce royaume, où le pécheur est invité à entrer, est préparé par la libre grâce de Dieu ; le salut est absolument gratuit. (verset 4)
La première invitation eut lieu par Jésus-Christ lui-même et par ses apôtres (Meyer), ou en pressant davantage les images de la parabole (Weiss), par les prophètes d'abord, (verset 3) puis par Jean-Baptiste et Jésus-Christ ; (versets 4-6) les serviteurs qui la poursuivent plus tard (versets 8-10) sont ses disciples.
Les premiers invités représentent le peuple d'Israël et ses chefs. Leur refus, leur mépris de l'invitation, et plus encore la haine violente qu'ils manifestèrent contre le Maître et ses serviteurs, ne justifièrent que trop le terrible châtiment qui vint les atteindre et la destruction de leur ville.
Alors (verset 8) commence une époque toute nouvelle dans le règne de Dieu ; son peuple s'en est montré indigne ; les serviteurs sont envoyés vers les nations païennes, auxquelles ils portent l'invitation, et la salle des noces se remplit. (versets 9,10) Magnifique prédiction de l'avenir ! (Romains 11.25)
Cette transformation du règne de Dieu, prévue dans notre parabole, est expressément proclamée par l'apôtre Paul au moment où elle s'accomplit. (Actes 13.46)
La première partie de la parabole est dirigée contre les chefs du peuple juif ; (verset 1, note) elle établit un grand contraste entre ce peuple et les païens.
Dans la dernière partie (versets 11-13) la pensée de Jésus se généralise ; la parabole enseigne le caractère intérieur et spirituel du royaume des cieux ; l'homme qui n'avait point un habit de noces représente toute la catégorie de ceux qui sont extérieurement entrés dans le royaume sans que rien ait changé dans les dispositions de leur cœur.
L'habit de noces, c'est la justice intérieure, la sanctification qui s'obtient par la repentance et la foi au Sauveur. (Matthieu 5.20 ; 6.33) Ils n'ont donc pas tort, les interprètes qui voient dans cet habit de noces Christ lui-même et sa justice dont le pécheur doit être revêtu. (Galates 3.27 ; Romains 3.20 et suivants ; comparez Esaïe 61.10)
Mais la pleine révélation de cette profonde vérité du salut était encore réservée pour le temps gui suivrait la mort rédemptrice du Sauveur. Le terrible châtiment infligé à ce malheureux convive, et qui étonne au premier abord, montre la culpabilité de ceux qui, préférant les haillons de leur propre justice à la justice parfaite qui leur est offerte, refusent de soumettre leur cœur irrégénéré à la sanctification, sans laquelle nul ne verra le Seigneur.