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Matthieu 22.40

De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes.
De ces deux commandements dépendent la loi tout entière et les prophètes.
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      Matthieu 7

      12 Christ est venu pour nous enseigner, d’abord ce que nous devons savoir et croire, mais aussi ce que nous devons faire : non seulement pour Dieu, mais également envers les hommes ; nous ne devons pas nous manifester qu’envers ceux avec qui nous communiquons facilement, mais envers toutes les personnes en général, toutes celles avec qui nous avons à traiter.

      Nous devons accomplir pour notre prochain ce que nous-mêmes reconnaissons être parfait et raisonnable. Nous devons, dans nos relations avec les hommes, nous placer au même niveau et dans les mêmes circonstances qu’eux, là où ils se trouvent, et agir en conséquence.

      Il n'y a que deux chemins possibles : le juste et le faux, le bon et le mauvais ; le chemin du ciel et le chemin de l'enfer. Tout le monde emprunte l'une de ces voies, et il n'y a pas de choix intermédiaire, pas de piste médiane. Tous les hommes sont saints ou pécheurs, dévots ou impies. Remarquez, en ce qui concerne la voie de ceux qui commettent l’iniquité, combien la « porte » est large, toujours grande ouverte. Vous pouvez entrer par cette porte avec toutes vos convoitises ; il n'y a aucun contrôle de ces dernières, ni des passions. C'est une grande route, ayant de nombreux itinéraires possibles ; on y trouve plusieurs choix de chemins coupables. Beaucoup de monde emprunte cette route. Mais quel profit y a-t-il à emprunter cette large route qui ne mène qu’en enfer ?

      Le chemin de la vie éternelle est étroit. Nous ne pouvons pas parvenir aux cieux tant que nous ne passons pas par la porte étroite. Notre « moi » doit être abandonné, notre corps doit être contrôlé, et nos diverses corruptions doivent être mortifiées. Nous devons résister aux diverses tentations journalières, chercher à accomplir notre devoir. Nous devons veiller en toutes circonstances, marcher avec précaution ; en fait, nous devrons traverser bon nombre d’épreuves.

      C'est cependant ce chemin difficile que nous devons tous emprunter : il mène à la vie ! Il nous permet d’accéder à la consolation spirituelle, à la faveur divine, qui est la source de la vie de l'âme ; cette voie mène à la béatitude éternelle, à l'espérance de voir s’estomper les différentes difficultés de la « route ».

      Cette déclaration claire et précise de Christ, a été négligée par de nombreuses personnes, qui ont fait beaucoup d’efforts pour la corrompre ; de tous temps, le véritable disciple de Christ a été considéré comme un « cas » particulier, démodé ; tous ceux qui ont suivi ce plus grand nombre, ont emprunté le chemin large, celui qui mène vers la destruction.

      Si nous désirons servir Dieu, nous devons rester fermes quant à l’exercice de notre piété. Pouvons-nous entendre parler de la porte étroite et du chemin resserré, empruntés par un petit nombre de personnes, sans être en peine pour nous-mêmes ? Est-ce nous nous sommes déjà posé la question de savoir si nous avons déjà parcouru ce chemin étroit, et quel progrès nous y faisons ?

      Jean 1

      Romains 3

      19 Il est vain de vouloir rechercher la justification par les œuvres de la loi. Tous les hommes doivent plaider coupable. L’âme qui est fautive devant Dieu, se trouve dans un terrible état ; nul homme ne peut être justifié par la loi qui le condamne pour ne pas l’avoir respectée. La corruption de notre nature enrayera toujours toute tentative de justification par nos propres œuvres.
      21 L'homme coupable doit-il rester indéfiniment sous le coup de la colère divine ? La « blessure » de ses péchés est-elle incurable ? Non ! Béni soit Dieu, une autre voie a été ouverte pour lui, par la Justice divine ! Dieu a décrété cette Justice, qu’Il accorde au pécheur, par la foi en Jésus-Christ ; ce Nom signifie « Sauveur oint ».

      La foi qui justifie, désigne Christ en tant que Sauveur, dans Ses trois fonctions : Prophète, Sacrificateur, et Roi ; cette Justification nait de la confiance en Jésus, en l'acceptant, et en s'attachant à Lui : les Juifs, comme les Gentils, sont les bienvenus devant Dieu, par le biais de Christ. Il n'y a pas de différence entre eux : cette Justice s’adresse à tous ceux qui croient ; Elle leur est non seulement offerte, mais Elle est « posée » sur eux, telle une couronne, ou une robe. Il s’agit de la Grâce, elle est gratuite, simplement par miséricorde ; rien en nous ne peut nous faire mériter cette faveur divine !

      Si nous pouvons disposer gratuitement de la Grâce, Christ l'a toutefois acquise, Il en a payé le prix. La foi considère spécialement le sang de Christ, car c'est ce sang qui procure l'expiation de nos fautes. Dans ces états de faits, Dieu déclare Sa Justice. Il est clair qu'Il abhorre le péché, car seul le sang de Christ pouvait Le satisfaire. Sa justice ne serait pas parfaite s’Il voulait réclamer la dette de nos fautes, alors que le Garant (Christ) l'a payée ; Dieu a accepté ce « paiement » en toute satisfaction !

      Romains 13

      1 Timothée 1

      5 Tout ce qui peut minimiser notre amour envers Dieu ou pour nos frères, tend à rendre vaine Ses ordonnances. Le but de l'Évangile est atteint quand les pécheurs, par leur repentance envers Dieu et leur foi en Jésus-Christ, commencent à pratiquer l'amour envers leurs frères et sœurs. Comme les croyants de l’époque suivaient les voies préconisées par les ordonnance divines, la loi n'était pas contre eux.

      À moins que nous ne soyons rendus vertueux par la foi en Christ, par une repentance réelle et l'abandon du péché, nous restons sous la malédiction de la loi, même au temps de l'Évangile, et nous sommes incapables de participer à toute félicité céleste.

      Jacques 2

      1 Jean 4

      7 L'Esprit de Dieu est l'Esprit de l’amour. Celui qui ne connaît pas Dieu, descendu chez les Siens, ne peut connaître le salut qu’Il offre en Son Fils Jésus-Christ. Dieu en effet, par Sa nature, est bon, et désire accorder le bonheur à Ses enfants. La bannière de Dieu c’est l’amour ; tous pourraient être parfaitement heureux, s’ils obéissaient vraiment à Ses préceptes !

      Tout ce qu’annonce l'Évangile, au sujet du pardon du péché et du salut, conformément à la gloire et à la justice de Dieu, montre que ce Dernier est amour. Les ténèbres, avec tous leurs mystères, sont hélas jointes à beaucoup de choses ici-bas...

      Dieu a montré qu'Il est amour, que nous ne pouvons pas manquer le bonheur éternel qu’Il propose, sauf par incrédulité et impénitence, alors qu'une justice impitoyable nous aurait condamnés à une misère désespérée, par refus de la loi de notre Créateur.

      Nulle parole, ni pensée, ne peut nous justifier, face à l'amour gratuit et étonnant d'un Dieu saint, envers les pécheurs ; Dieu, dont le manque d'esprit de vengeance a été démontré par le salut qu’Il offre en Son Fils, pouvait très bien, par Sa toute-puissante, créer un autre monde, avec des êtres parfaits...

      Recherchons-nous comment bénéficier d’un tel univers entier d’Amour, dans ses manifestations les plus merveilleuses ? Cet Amour réside dans la Personne et la croix de Christ. Un lien d'amour réel existe-t-il entre Dieu et les pécheurs ? En fait, nous n’avons pas aimé Dieu en premier, mais c’est Lui qui nous a d’abord aimés. Son amour ne peut être conçu comme infructueux envers nous ; quand il conduit le pécheur au salut, le but final et parfait est atteint.

      La foi est parachevée par les œuvres de Dieu. Il est manifeste que Dieu demeure en nous par son Esprit de régénération. Un chrétien qui aime est un chrétien parfait ; qui s'attache à exercer tout son devoir, à la perfection.

      L'amour « lubrifie les rouages » des affections et dispose tout en faveur du bien des frères en Christ. Un homme qui vaque à ses affaires avec une mauvaise volonté, accomplira toujours un travail médiocre... « Que Dieu demeure en nous, et nous en Lui ; » ces faits peuvent paraître vraiment inaccessibles pour les mortels que nous sommes, à moins que Dieu ne les ait placés en notre cœur. Comment le Père peut-Il être véritablement reconnu ? Par le témoignage qui procède du Saint-Esprit ! Ceux qui sont vraiment persuadés qu’ils sont des enfants de Dieu, ne peuvent que l'appeler « Abba », Père. Par amour pour Lui, ils détestent le péché et tout ce qui est en désaccord avec Sa sainte Volonté, qu’ils ne désirent qu’accomplir.

      Un tel témoignage est celui du Saint-Esprit !

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