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10
La troisième part attribuée par le sort fut celle des clans de la tribu de Zabulon. Leur territoire s’étendait au sud jusqu’à Sarid.
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De là, la frontière remontait vers l’ouest jusqu’à Marala, puis jusqu’à Dabbécheth et au torrent qui coule à l’est de Yocnéam.
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De l’autre côté de Sarid, la frontière se dirigeait vers l’est, touchait le territoire de Kisloth-Tabor, passait par Dabrath et montait jusqu’à Yafia.
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Ensuite, elle continuait plus à l’est jusqu’à Gath-Héfer et Eth-Cassin, rejoignait Rimmon et tournait vers Néa.
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Au nord, la frontière contournait Hannaton et aboutissait dans la vallée de Ifta-El.
15
Le territoire comprenait douze villes avec les villages voisins, en particulier les villes de Cattath, Nahalal, Chimron, Idala et Bethléem.
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Toutes ces localités se trouvaient dans la part attribuée aux clans de la tribu de Zabulon.
32
La sixième part attribuée par le sort fut celle des clans de la tribu de Neftali.
33
La frontière sud partait de Hélef et du chêne de Saananim, passait par Adami-Nékeb et Yabnéel, atteignait Laccoum et aboutissait au Jourdain.
34
A l’ouest, la frontière tournait vers Aznoth-Tabor, rejoignait Houcoc, longeait le territoire de Zabulon au sud, puis celui d’Asser à l’ouest. A l’est, elle était formée par le Jourdain.
35
Les villes fortifiées étaient Siddim, Ser, Hammath, Raccath, Kinnéreth,
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Adama, Rama, Hassor,
37
Quédech, Édréi, En-Hassor,
38
Iron, Migdal-El, Horem, Beth-Anath et Beth-Chémech : en tout dix-neuf villes avec les villages voisins.
39
Toutes ces localités se trouvaient dans la part attribuée aux clans de la tribu de Neftali.
13
Il ne resta pas à Nazareth, mais alla demeurer à Capernaüm, ville située au bord du lac de Galilée, dans la région de Zabulon et de Neftali.
23
Et toi, Capernaüm, crois-tu que tu t’élèveras jusqu’au ciel ? Tu seras abaissée jusqu’au monde des morts. Car si les miracles qui ont été accomplis chez toi l’avaient été à Sodome, cette ville existerait encore aujourd’hui.
24
Quand Jésus et ses disciples arrivèrent à Capernaüm, ceux qui percevaient l’impôt du temple s’approchèrent de Pierre et lui demandèrent : « Votre maître ne paie-t-il pas l’impôt du temple ? » –
21
Jésus et ses disciples se rendirent à la ville de Capernaüm. Au jour du sabbat, Jésus entra dans la synagogue et se mit à enseigner.
23
Jésus leur déclara : « Vous allez certainement me citer ce proverbe : “Médecin, guéris-toi toi-même.” Vous me direz aussi : “Nous avons appris tout ce que tu as fait à Capernaüm, accomplis les mêmes choses ici, dans ta propre ville.” »
30
Mais il passa au milieu d’eux et s’en alla.
31
Jésus se rendit alors à Capernaüm, ville de Galilée, et il y donnait son enseignement à tous le jour du sabbat.
12
Après cela, il se rendit à Capernaüm avec sa mère, ses frères et ses disciples. Ils n’y restèrent que peu de jours.
46
Jésus revint alors à Cana de Galilée, où il avait changé de l’eau en vin. Il y avait là un haut fonctionnaire du roi, qui avait un fils malade à Capernaüm.
17
ils montèrent dans une barque et se mirent à traverser le lac en direction de Capernaüm. Il faisait déjà nuit et Jésus ne les avait pas encore rejoints.
24
Quand les gens virent que ni Jésus ni ses disciples n’étaient là, ils montèrent dans ces barques et se rendirent à Capernaüm pour le chercher.
59
Jésus prononça ces paroles alors qu’il enseignait dans la synagogue de Capernaüm.
Ce récit, qui parait omettre diverses circonstances, est difficile à concilier chronologiquement avec celui de Jean, qui rapporte le retour de Jésus en Galilée, (Jean 1.44) les noces de Cana, (Jean 2.1 et suivants) un voyage à Jérusalem à la fête de Pâques, (Jean 2.13) l'entretien avec Nicodème, (Jean 3.1 et suivants) un séjour prolongé et un commencement de ministère dans la terre de Judée, où Jean-Baptiste lui rend un dernier témoignage. (Jean 3.22 et suivants) Et, à cette occasion, le quatrième évangile remarque expressément que "Jean n'avait pas encore été mis en prison." Son intention est évidemment de rectifier la confusion qui s'était produite dans la tradition. (Comparer Jean 3.24, note.) Il raconte ensuite un second retour en Galilée par la Samarie. Jean 4.3 et suivants. Ce retour eut lieu en décembre. (Jean 4.35)
"Il est manifeste, dit M. Godet, que ces deux premiers retours de Judée en Galilée ont été fondus en un par nos synoptiques comme ils l'étaient probablement dans la tradition, ce qui a fait disparaître dans la narration ordinaire presque tous les faits qui les avaient séparés."
Cette confusion a amené les synoptiques à rapprocher des événements d'époques différentes. La mention du retour de Jésus en Galilée "avec la puissance de l'Esprit" qu'il avait reçu au baptême et par lequel il avait vaincu au désert Luc 4.14, se rapporte plutôt au premier retour. Jean 1.44 ; 2.1 L'emprisonnement de Jean (verset 12) Marc 1.14 fut le motif du second retour. Celui-ci fut suivi de la prédication de Jésus à Nazareth et de la translation du domicile de Jésus à Capernaüm. Le récit de Luc Luc 4.16 et suivants donne la raison pour laquelle Jésus quitta Nazareth, où il avait d'abord demeuré avec ses parents. (Matthieu 2.23)
Capharnaoum ainsi portent les plus anciens manuscrits, et l'on suppose ce nom formé de l'hébreu Caphar-Nachoum, qui signifie "village de consolation," ou, selon d'autres interprètes, bourg de Nahum, par allusion au prophète de ce nom.
Ce lieu n'est pas connu dans l'Ancien Testament, mais c'était, au temps du Sauveur, une ville de commerce florissante, surtout parce que, située au nord-ouest de la mer de Tibériade, ou lac de Génézareth, elle se trouvait sur la route de Damas, à Ptolémaïs. C'est à cause du privilège qu'eut cette ville de voir Jésus habiter au milieu d'elle, qu'elle s'attira une sévère condamnation. (Matthieu 11.23)
La prédiction de Jésus a été si bien accomplie, que les voyageurs et les archéologues discutent encore sur l'emplacement de Capernaüm. Il faut le chercher probablement en un lieu nommé Tell Houm, où l'on trouve quelques cabanes bâties par des bédouins pillards au milieu de nombreuses ruines recouvertes d'épines, à une centaine de pas du lac. (Voir F. Bovet, Voyage en Terre Sainte, 7e édit., p. 369, et Ph. Bridel, La Palestine illustrée, IV)
L'évangéliste remarque encore que Capernaüm était situé sur les confins des deux tribus de Zabulon et de Nephthali qui occupaient, en effet, le nord-ouest de la Palestine. (Josué 19.10 et suivants, 32 et suivants) On voit que, par ses remarques géographiques, Matthieu prépare la citation qu'il va faire de la prophétie d'Esaïe.