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Matthieu 9.18

Comme il leur disait ces choses, voici venir un Seigneur qui se prosterna devant lui, en lui disant : ma fille est déjà morte, mais viens, et pose ta main sur elle, et elle vivra.
Tandis qu'il leur adressait ces paroles, un chef arriva, se prosterna devant lui et dit : « Ma fille est morte il y a un instant ; mais viens, pose ta main sur elle et elle vivra. »
Pendant que JĂ©sus leur dit cela, un notable arrive. Il se met Ă  genoux devant JĂ©sus et lui dit : « Ma fille vient de mourir. Mais va poser ta main sur sa tĂȘte, et elle vivra. »
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      2 Rois 5

      Matthieu 8

      2 Un lĂ©preux s’approcha et vint se prosterner devant lui en disant : — Seigneur, si tu le veux, tu peux me guĂ©rir et me rendre pur.
      8 Seigneur, dit alors l’officier, je ne suis pas qualifiĂ© pour te recevoir dans ma maison, mais tu n’as qu’à dire un mot et mon serviteur sera guĂ©ri.
      9 Car moi-mĂȘme, je ne suis qu’un officier subalterne, mais j’ai des soldats sous mes ordres et quand je dis Ă  l’un : « Va ! », je sais qu’il ira. Quand je commande Ă  un autre : « Viens ! », il vient. Quand je demande Ă  mon esclave : « Fais ceci ! », il le fait.

      Matthieu 9

      18 Pendant que JĂ©sus leur disait cela, le chef d’une synagogue s’approcha de lui, se jeta Ă  ses pieds et lui dit : — Ma fille vient de mourir Ă  l’instant, mais viens lui imposer les mains, et elle revivra.
      24 Alors, il leur commanda : — Retirez-vous d’ici, cette fillette n’est pas morte, elle n’est qu’endormie. Mais eux se moquaient de lui.

      Matthieu 14

      33 Alors, les hommes qui se trouvaient dans l’embarcation vinrent se prosterner devant lui en disant : — Tu es vraiment le Fils de Dieu.

      Matthieu 15

      25 Mais la femme vint se prosterner devant lui en disant : — Seigneur, aide-moi !

      Matthieu 17

      14 Quand ils furent revenus auprĂšs de la foule, un homme s’approcha de JĂ©sus, se jeta Ă  genoux devant lui et le supplia : —

      Matthieu 20

      20 À ce moment, la femme de ZĂ©bĂ©dĂ©e, la mĂšre de Jacques et de Jean, s’approcha de JĂ©sus avec ses fils. Elle se prosterna devant lui pour lui demander une faveur. —

      Matthieu 28

      17 Dùs qu’ils l’aperçurent, ils se prosternùrent en adoration devant lui. Quelques-uns, cependant, conservaient des doutes.

      Marc 5

      22 Survient un des chefs de la synagogue nommé Jaïrus. En voyant Jésus, il tombe à genoux devant lui
      23 et le supplie instamment : — Ma fillette va mourir. Viens lui imposer les mains pour la guĂ©rir et lui sauver la vie !
      24 JĂ©sus part avec lui, suivi d’une foule compacte qui le serre de tous cĂŽtĂ©s.
      25 Au milieu d’elle se trouve une femme atteinte d’hĂ©morragies depuis douze ans.
      26 Elle a passĂ© entre les mains de nombreux mĂ©decins et en a beaucoup souffert. Elle a dĂ©pensĂ© toute sa fortune sans trouver la moindre amĂ©lioration. Au contraire, son Ă©tat n’a fait qu’empirer.
      27 Elle a entendu parler de JĂ©sus et, sous le couvert de la foule, elle s’approche de lui, se glisse derriĂšre lui et touche son manteau.
      28 Elle se dit en effet : « Si au moins j’arrive Ă  toucher un bout de ses vĂȘtements, je serai guĂ©rie ».
      29 À l’instant mĂȘme, son hĂ©morragie s’arrĂȘte ; elle ressent dans son corps qu’elle est dĂ©livrĂ©e de son mal.
      30 JĂ©sus aussi s’est aperçu immĂ©diatement que quelqu’un a fait appel Ă  sa puissance (de guĂ©rison). Il se retourne et dit aux gens qui l’entourent : — Qui vient de toucher mes vĂȘtements ?
      31 Ses disciples lui disent : — Tu vois bien la foule qui te presse de tous cĂŽtĂ©s ! Comment peux-tu demander « Qui m’a touché ? »
      32 Mais lui continue à promener son regard autour de lui pour découvrir qui a fait cela.
      33 La femme, sachant ce qui s’est passĂ© en elle, se met alors Ă  trembler de peur. Elle vient se jeter Ă  ses pieds et lui avoue toute la vĂ©ritĂ©.
      34 JĂ©sus lui dit : — Ma fille, ta foi t’a sauvĂ©e. Pars tranquille et sois guĂ©rie de ton mal.
      35 Pendant qu’il parle encore, des messagers arrivent de chez le chef de la synagogue pour lui dire : — Ta fille est morte, inutile de continuer à importuner le Maütre.
      36 Mais JĂ©sus, qui a surpris ces paroles, n’en tient aucun compte. Il dit au chef de la synagogue : — N’aie pas peur, continue Ă  croire, cela suffit.
      37 Il ne permet à personne de le suivre plus loin, excepté à Pierre, Jacques et Jean, son frÚre.
      38 En arrivant à la maison du chef de la synagogue, Jésus aperçoit une cohue bruyante, il entend des gens qui pleurent et qui poussent de longs gémissements.
      39 Il entre dans la maison et leur dit : — Pourquoi tout ce tumulte ? Qu’avez-vous à pleurer ? L’enfant n’est pas morte, elle est seulement endormie.
      40 Les gens lui rĂ©pondent par des rires moqueurs. AprĂšs avoir mis tout le monde Ă  la porte, JĂ©sus prend avec lui le pĂšre et la mĂšre de l’enfant, ainsi que les disciples qui l’accompagnent. Il entre dans la piĂšce oĂč l’enfant est couchĂ©e.
      41 Il lui prend la main en disant : — Talitha koumi, ce qui veut dire : jeune fille, lùve-toi, je te l’ordonne.
      42 AussitÎt, la jeune fille se lÚve et se met à marcher. Elle a environ douze ans. Ses parents et les autres témoins du miracle sont frappés de stupeur.
      43 JĂ©sus leur recommande instamment de n’en parler Ă  personne et il leur ordonne de faire manger la jeune fille.

      Luc 7

      2 L’esclave d’un officier romain Ă©tait gravement malade, il Ă©tait sur le point de mourir. Or, son maĂźtre l’estimait beaucoup et tenait Ă  lui.

      Luc 8

      41 À ce moment-lĂ , survint un homme appelĂ© JaĂŻrus. C’était le prĂ©sident de la synagogue. Il se jeta aux pieds de JĂ©sus et le supplia de venir chez lui,
      42 car sa fille unique, ĂągĂ©e d’environ douze ans, Ă©tait en train de mourir. JĂ©sus s’y rendit immĂ©diatement, mais les gens se pressaient autour de lui au point de l’étouffer.
      43 Dans cette foule, il y avait une femme qui, depuis douze ans, souffrait d’hĂ©morragies. Personne n’avait pu la guĂ©rir.
      44 Elle s’approcha par derriĂšre et toucha la frange de son vĂȘtement. Au mĂȘme instant, sa perte de sang s’arrĂȘta. —
      45 Qui m’a touché ? demanda JĂ©sus.Comme tous s’en dĂ©fendaient, Pierre et ses compagnons lui dirent : — Voyons, MaĂźtre, la foule t’entoure et te presse de tous cĂŽtĂ©s.
      46 Mais il rĂ©pondit : — Quelqu’un m’a touchĂ©, car j’ai bien senti qu’une puissance (de guĂ©rison) est sortie de moi.
      47 En voyant que son geste n’était pas passĂ© inaperçu, la femme vint, en tremblant, se jeter aux pieds de JĂ©sus. Elle confessa devant tout le monde pourquoi elle l’avait touchĂ© et comment elle avait Ă©tĂ© instantanĂ©ment guĂ©rie.
      48 JĂ©sus lui dit : — Ma fille, ta foi en moi t’a guĂ©rie, va-t’en tranquille.
      49 Pendant qu’il parlait encore, quelqu’un vint de chez le chef de la synagogue et lui dit : — Ta fille vient de mourir, inutile de dĂ©ranger le MaĂźtre.
      50 Mais JĂ©sus l’entendit et dit Ă  JaĂŻrus : — N’aie pas peur, il suffit de croire et ta fille sera sauvĂ©e.
      51 Une fois arrivĂ© Ă  la maison, il ne laissa entrer personne avec lui, sauf Pierre, Jean et Jacques, ainsi que le pĂšre et la mĂšre de l’enfant.
      52 Tout le monde pleurait et se lamentait à haute voix. Alors, il leur dit : — Cessez de vous lamenter : la fillette n’est pas morte, elle dort seulement.
      53 Mais ils se moquĂšrent de lui. Ils savaient bien qu’elle Ă©tait morte.
      54 AprĂšs les avoir chassĂ©s, JĂ©sus prit la fillette par la main et l’appela Ă  haute voix : — Mon enfant, lĂšve-toi !
      55 Elle revint à la vie et se leva aussitÎt. Alors, Jésus commanda de lui donner à manger.
      56 Les parents de la jeune fille furent bouleversĂ©s. JĂ©sus leur recommanda de ne dire Ă  personne ce qui s’était passĂ©.

      Luc 13

      14 Mais le chef de la synagogue fut fĂąchĂ© de ce que JĂ©sus ait fait cette guĂ©rison le jour du sabbat. Il s’adressa Ă  la foule et lui dit : — Il y a six jours pour travailler, venez donc vous faire guĂ©rir ces jours-lĂ , mais pas prĂ©cisĂ©ment le jour du sabbat !

      Luc 17

      15 L’un d’eux, constatant qu’il avait recouvrĂ© la santĂ©, revint sur ses pas, chantant bien haut les louanges de Dieu.
      16 Il se prosterna aux pieds de JĂ©sus, le visage contre terre, pour lui tĂ©moigner sa gratitude. Or, c’était un Samaritain.

      Luc 18

      18 Alors, un notable, membre du Grand Conseil, lui posa cette question : — Bon MaĂźtre, que dois-je faire pour gagner la vie Ă©ternelle ?

      Jean 4

      47 Quand il apprit que Jésus était revenu de Judée en Galilée, il alla le trouver et le supplia de venir guérir son fils qui était sur le point de mourir.
      48 JĂ©sus lui dit : — Serez-vous toujours incapables de croire si vous ne voyez pas des miracles et des choses extraordinaires ?
      49 Le fonctionnaire royal le pressait : — Seigneur, de grñce, viens vite avant que mon petit garçon ne soit mort. —

      Jean 11

      21 Marthe dit Ă  JĂ©sus : — Seigneur, si tu avais Ă©tĂ© ici, mon frĂšre ne serait pas mort.
      22 Mais je sais que maintenant encore, tout ce que tu demanderas à Dieu, il te l’accordera. —
      25 La rĂ©surrection, lui dit JĂ©sus, c’est moi. Je suis la vie. Celui qui place en moi toute sa confiance vivra, mĂȘme s’il meurt.
      32 Marie parvint Ă  l’endroit oĂč Ă©tait JĂ©sus. DĂšs qu’elle le vit, elle se jeta Ă  ses pieds et lui dit : — Seigneur, si tu avais Ă©tĂ© ici, mon frĂšre ne serait pas mort.

      Actes 10

      25 DĂšs qu’il l’aperçut franchissant la porte d’entrĂ©e, Corneille se porta Ă  sa rencontre, se jeta Ă  ses pieds et se prosterna devant lui.
      26 Mais Pierre lui commanda de se relever : — Non, lui dit-il, lùve-toi ! Je ne suis qu’un simple homme, comme toi.

      Actes 13

      15 AprĂšs qu’on ait fait la lecture dans la loi et les prophĂštes comme c’était la coutume, les chefs de la synagogue leur firent dire : — FrĂšres, si vous avez un message d’encouragement ou de consolation pour la communautĂ©, vous avez la parole.
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