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Matthieu 9

    • JĂ©sus guĂ©rit un homme paralysĂ©

      1 Jésus, étant monté dans une barque, traversa la mer, et alla dans sa ville.

      2 Et voici, on lui amena un paralytique couchĂ© sur un lit. JĂ©sus, voyant leur foi, dit au paralytique : Prends courage, mon enfant, tes pĂ©chĂ©s te sont pardonnĂ©s.

      3 Sur quoi, quelques scribes dirent au dedans d'eux : Cet homme blasphĂšme.

      4 Et JĂ©sus, connaissant leurs pensĂ©es, dit : Pourquoi avez-vous de mauvaises pensĂ©es dans vos coeurs ?

      5 Car, lequel est le plus aisĂ©, de dire : Tes pĂ©chĂ©s sont pardonnĂ©s, ou de dire : LĂšve-toi, et marche ?

      6 Or, afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les pĂ©chĂ©s : LĂšve-toi, dit-il au paralytique, prends ton lit, et va dans ta maison.

      7 Et il se leva, et s'en alla dans sa maison.

      8 Quand la foule vit cela, elle fut saisie de crainte, et elle glorifia Dieu, qui a donné aux hommes un tel pouvoir.

      JĂ©sus appelle Matthieu

      9 De lĂ  Ă©tant allĂ© plus loin, JĂ©sus vit un homme assis au lieu des pĂ©ages, et qui s'appelait Matthieu. Il lui dit : Suis-moi. Cet homme se leva, et le suivit.

      10 Comme JĂ©sus Ă©tait Ă  table dans la maison, voici, beaucoup de publicains et de gens de mauvaise vie vinrent se mettre Ă  table avec lui et avec ses disciples.

      11 Les pharisiens virent cela, et ils dirent Ă  ses disciples : Pourquoi votre maĂźtre mange-t-il avec les publicains et les gens de mauvaise vie ?

      12 Ce que JĂ©sus ayant entendu, il dit : Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de mĂ©decin, mais les malades.

      13 Allez, et apprenez ce que signifie : Je prends plaisir Ă  la misĂ©ricorde, et non aux sacrifices. Car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pĂ©cheurs.

      Jésus et le jeûne

      14 Alors les disciples de Jean vinrent auprĂšs de JĂ©sus, et dirent : Pourquoi nous et les pharisiens jeĂ»nons-nous, tandis que tes disciples ne jeĂ»nent point ?

      15 JĂ©sus leur rĂ©pondit : Les amis de l'Ă©poux peuvent-ils s'affliger pendant que l'Ă©poux est avec eux ? Les jours viendront oĂč l'Ă©poux leur sera enlevĂ©, et alors ils jeĂ»neront.

      16 Personne ne met une piĂšce de drap neuf Ă  un vieil habit ; car elle emporterait une partie de l'habit, et la dĂ©chirure serait pire.

      17 On ne met pas non plus du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement, les outres se rompent, le vin se rĂ©pand, et les outres sont perdues ; mais on met le vin nouveau dans des outres neuves, et le vin et les outres se conservent.

      La fille d'un chef juif et la femme qui toucha le vĂȘtement de JĂ©sus

      18 Tandis qu'il leur adressait ces paroles, voici, un chef arriva, se prosterna devant lui, et dit : Ma fille est morte il y a un instant ; mais viens, impose-lui les mains, et elle vivra.

      19 JĂ©sus se leva, et le suivit avec ses disciples.

      20 Et voici, une femme atteinte d'une perte de sang depuis douze ans s'approcha par derriĂšre, et toucha le bord de son vĂȘtement.

      21 Car elle disait en elle-mĂȘme : Si je puis seulement toucher son vĂȘtement, je serai guĂ©rie.

      22 JĂ©sus se retourna, et dit, en la voyant : Prends courage, ma fille, ta foi t'a guĂ©rie. Et cette femme fut guĂ©rie Ă  l'heure mĂȘme.

      23 Lorsque Jésus fut arrivé à la maison du chef, et qu'il vit les joueurs de flûte et la foule bruyante,

      24 il leur dit : Retirez-vous ; car la jeune fille n'est pas morte, mais elle dort. Et ils se moquaient de lui.

      25 Quand la foule eut été renvoyée, il entra, prit la main de la jeune fille, et la jeune fille se leva.

      26 Le bruit s'en répandit dans toute la contrée.

      Jésus guérit deux aveugles

      27 Étant parti de lĂ , JĂ©sus fut suivi par deux aveugles, qui criaient : Aie pitiĂ© de nous, Fils de David !

      28 Lorsqu'il fut arrivĂ© Ă  la maison, les aveugles s'approchĂšrent de lui, et JĂ©sus leur dit : Croyez-vous que je puisse faire cela ? Oui, Seigneur, lui rĂ©pondirent-ils.

      29 Alors il leur toucha leurs yeux, en disant : Qu'il vous soit fait selon votre foi.

      30 Et leurs yeux s'ouvrirent. JĂ©sus leur fit cette recommandation sĂ©vĂšre : Prenez garde que personne ne le sache.

      31 Mais, dÚs qu'ils furent sortis, ils répandirent sa renommée dans tout le pays.

      Jésus guérit un homme muet

      32 Comme ils s'en allaient, voici, on amena à Jésus un démoniaque muet.

      33 Le dĂ©mon ayant Ă©tĂ© chassĂ©, le muet parla. Et la foule Ă©tonnĂ©e disait : Jamais pareille chose ne s'est vue en IsraĂ«l.

      34 Mais les pharisiens dirent : C'est par le prince des dĂ©mons qu'il chasse les dĂ©mons.

      Jésus a pitié des foules

      35 JĂ©sus parcourait toutes les villes et les villages, enseignant dans les synagogues, prĂȘchant la bonne nouvelle du royaume, et guĂ©rissant toute maladie et toute infirmitĂ©.

      36 Voyant la foule, il fut Ă©mu de compassion pour elle, parce qu'elle Ă©tait languissante et abattue, comme des brebis qui n'ont point de berger.

      37 Alors il dit Ă  ses disciples : La moisson est grande, mais il y a peu d'ouvriers.

      38 Priez donc le maĂźtre de la moisson d'envoyer des ouvriers dans sa moisson.
    • JĂ©sus guĂ©rit un homme paralysĂ©

      1 Jésus, étant monté dans une barque, traversa la mer, et alla dans sa ville.

      2 Et voici, on lui amena un paralytique couchĂ© sur un lit. JĂ©sus, voyant leur foi, dit au paralytique : Prends courage, mon enfant, tes pĂ©chĂ©s te sont pardonnĂ©s.

      3 Sur quoi, quelques scribes dirent au dedans d'eux : Cet homme blasphĂšme.

      4 Et JĂ©sus, connaissant leurs pensĂ©es, dit : Pourquoi avez-vous de mauvaises pensĂ©es dans vos coeurs ?

      5 Car, lequel est le plus aisĂ©, de dire : Tes pĂ©chĂ©s sont pardonnĂ©s, ou de dire : LĂšve-toi, et marche ?

      6 Or, afin que vous sachiez que le Fils de l'homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les pĂ©chĂ©s : LĂšve-toi, dit-il au paralytique, prends ton lit, et va dans ta maison.

      7 Et il se leva, et s'en alla dans sa maison.

      8 Quand la foule vit cela, elle fut saisie de crainte, et elle glorifia Dieu, qui a donné aux hommes un tel pouvoir.

      JĂ©sus appelle Matthieu

      9 De lĂ  Ă©tant allĂ© plus loin, JĂ©sus vit un homme assis au lieu des pĂ©ages, et qui s'appelait Matthieu. Il lui dit : Suis-moi. Cet homme se leva, et le suivit.

      10 Comme JĂ©sus Ă©tait Ă  table dans la maison, voici, beaucoup de publicains et de gens de mauvaise vie vinrent se mettre Ă  table avec lui et avec ses disciples.

      11 Les pharisiens virent cela, et ils dirent Ă  ses disciples : Pourquoi votre maĂźtre mange-t-il avec les publicains et les gens de mauvaise vie ?

      12 Ce que JĂ©sus ayant entendu, il dit : Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de mĂ©decin, mais les malades.

      13 Allez, et apprenez ce que signifie : Je prends plaisir Ă  la misĂ©ricorde, et non aux sacrifices. Car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pĂ©cheurs.

      Jésus et le jeûne

      14 Alors les disciples de Jean vinrent auprĂšs de JĂ©sus, et dirent : Pourquoi nous et les pharisiens jeĂ»nons-nous, tandis que tes disciples ne jeĂ»nent point ?

      15 JĂ©sus leur rĂ©pondit : Les amis de l'Ă©poux peuvent-ils s'affliger pendant que l'Ă©poux est avec eux ? Les jours viendront oĂč l'Ă©poux leur sera enlevĂ©, et alors ils jeĂ»neront.

      16 Personne ne met une piĂšce de drap neuf Ă  un vieil habit ; car elle emporterait une partie de l'habit, et la dĂ©chirure serait pire.

      17 On ne met pas non plus du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement, les outres se rompent, le vin se rĂ©pand, et les outres sont perdues ; mais on met le vin nouveau dans des outres neuves, et le vin et les outres se conservent.

      La fille d'un chef juif et la femme qui toucha le vĂȘtement de JĂ©sus

      18 Tandis qu'il leur adressait ces paroles, voici, un chef arriva, se prosterna devant lui, et dit : Ma fille est morte il y a un instant ; mais viens, impose-lui les mains, et elle vivra.

      19 JĂ©sus se leva, et le suivit avec ses disciples.

      20 Et voici, une femme atteinte d'une perte de sang depuis douze ans s'approcha par derriĂšre, et toucha le bord de son vĂȘtement.

      21 Car elle disait en elle-mĂȘme : Si je puis seulement toucher son vĂȘtement, je serai guĂ©rie.

      22 JĂ©sus se retourna, et dit, en la voyant : Prends courage, ma fille, ta foi t'a guĂ©rie. Et cette femme fut guĂ©rie Ă  l'heure mĂȘme.

      23 Lorsque Jésus fut arrivé à la maison du chef, et qu'il vit les joueurs de flûte et la foule bruyante,

      24 il leur dit : Retirez-vous ; car la jeune fille n'est pas morte, mais elle dort. Et ils se moquaient de lui.

      25 Quand la foule eut été renvoyée, il entra, prit la main de la jeune fille, et la jeune fille se leva.

      26 Le bruit s'en répandit dans toute la contrée.

      Jésus guérit deux aveugles

      27 Étant parti de lĂ , JĂ©sus fut suivi par deux aveugles, qui criaient : Aie pitiĂ© de nous, Fils de David !

      28 Lorsqu'il fut arrivĂ© Ă  la maison, les aveugles s'approchĂšrent de lui, et JĂ©sus leur dit : Croyez-vous que je puisse faire cela ? Oui, Seigneur, lui rĂ©pondirent-ils.

      29 Alors il leur toucha leurs yeux, en disant : Qu'il vous soit fait selon votre foi.

      30 Et leurs yeux s'ouvrirent. JĂ©sus leur fit cette recommandation sĂ©vĂšre : Prenez garde que personne ne le sache.

      31 Mais, dÚs qu'ils furent sortis, ils répandirent sa renommée dans tout le pays.

      Jésus guérit un homme muet

      32 Comme ils s'en allaient, voici, on amena à Jésus un démoniaque muet.

      33 Le dĂ©mon ayant Ă©tĂ© chassĂ©, le muet parla. Et la foule Ă©tonnĂ©e disait : Jamais pareille chose ne s'est vue en IsraĂ«l.

      34 Mais les pharisiens dirent : C'est par le prince des dĂ©mons qu'il chasse les dĂ©mons.

      Jésus a pitié des foules

      35 JĂ©sus parcourait toutes les villes et les villages, enseignant dans les synagogues, prĂȘchant la bonne nouvelle du royaume, et guĂ©rissant toute maladie et toute infirmitĂ©.

      36 Voyant la foule, il fut Ă©mu de compassion pour elle, parce qu'elle Ă©tait languissante et abattue, comme des brebis qui n'ont point de berger.

      37 Alors il dit Ă  ses disciples : La moisson est grande, mais il y a peu d'ouvriers.

      38 Priez donc le maĂźtre de la moisson d'envoyer des ouvriers dans sa moisson.
    • 1

      JĂ©sus retourne Ă  CapernaĂŒm, et guĂ©rit un paralytique. (Matthieu 9:1-8)
      L’appel de Matthieu. (Matthieu 9:9)
      La fĂȘte chez Matthieu, (ou LĂ©vi). (Matthieu 9:10-13)
      Les objections des disciples de Jean. (Matthieu 9:14-17)
      Christ guérit la fille de Jaïrus, Il guérit la femme, à la perte de sang. (Matthieu 9:18-26)
      Il guérit deux aveugles. (Matthieu 9:27-31)
      Christ chasse un démon, d'un muet. (Matthieu 9:32-34)
      Il envoie les apĂŽtres en mission. (Matthieu 9:35-38)

      La foi des amis du paralytique qui l'amenĂšrent Ă  Christ, Ă©tait grande ; ils croyaient fermement que JĂ©sus-Christ pouvait le guĂ©rir, et qu'Il allait le faire.

      Une foi solide ne considĂšre aucun obstacle, pour se diriger vers Christ. Ces hommes disposaient d’une telle foi ; ils amenĂšrent le paralytique Ă  Christ, convaincus de Sa Puissance. Il s’agissait d’une une foi active.

      Le pĂ©chĂ© peut ĂȘtre pardonnĂ©, alors que la maladie peut subsister, par contre la maladie peut ĂȘtre ĂŽtĂ©e, sans que le pĂ©chĂ© ne soit pardonnĂ© : si nous disposons du rĂ©confort de la Paix divine, avec en plus, la joie d’ĂȘtre guĂ©ri d'une maladie, cette guĂ©rison est alors rĂ©ellement une misĂ©ricorde. Cela ne doit surtout pas nous encourager Ă  pĂ©cher !

      Si l’on apporte son pĂ©chĂ© Ă  JĂ©sus-Christ, en tant que « maladie et misĂšre Â» dont on veut ĂȘtre guĂ©ri et dĂ©livrĂ©, c'est une bonne dĂ©marche ; mais si l’on veut venir Ă  Lui, sans vouloir renoncer Ă  ces pĂ©chĂ©s, nous commettons alors une grossiĂšre erreur, nous sommes victimes d’une misĂ©rable illusion. La grande intention de JĂ©sus, dans la RĂ©demption qu'Il offre, consiste Ă  sĂ©parer notre cƓur du pĂ©chĂ©. Notre Seigneur JĂ©sus a une parfaite connaissance de tout ce que nous pensons.

      Il y a une grande quantitĂ© de maux, dans les pensĂ©es coupables ; ils sont trĂšs offensifs pour le Seigneur. Christ a choisi de montrer que Sa grande mission dans le monde, Ă©tait de sauver Son peuple de ses pĂ©chĂ©s. Dans ce texte, Il a Ă©vitĂ© de dĂ©battre longuement avec les scribes : Il a parlĂ© de la guĂ©rison de l'homme malade. Non seulement ce dernier n'avait plus besoin d'ĂȘtre portĂ© sur son lit, mais il avait la force de porter sa couche !

      Dieu doit ĂȘtre glorifiĂ© pour toute Sa Puissance qu'Il nous accorde, pour accomplir le bien !

      9 Comme tous ceux que Christ a appelés pour Son service, Matthieu exerçait une profession. Alors que Satan provoque avec ses tentations, les personnes oisives, Christ, de Son cÎté, appelle ceux qui travaillent.

      « Par nature, nous Te sommes opposĂ©s, O notre Dieu ; incite-nous Ă  Te suivre ; entraĂźne-nous par Ta puissante Parole, et nous accourrons auprĂšs de Toi. Par Ton Esprit, parle Ă  notre cƓur ; le monde ne peut pas nous retenir, Satan ne peut pas nous arrĂȘter en chemin, nous nous lĂšverons et nous Te suivrons Â».

      Par le biais de Christ, un changement Ă  salut est opĂ©rĂ© dans l'Ăąme : Il en est l’Auteur, et Sa Parole en est le moyen. Ni la position administrative de Matthieu, ni son salaire, n'ont pu le retenir, quand Christ l'a appelĂ©. Il a tout laissĂ©.

      Bien que nous voyions certains disciples, anciens pĂȘcheurs « professionnels Â», retourner ultĂ©rieurement parfois Ă  la pĂȘche, nous ne verrons plus jamais Matthieu retourner Ă  son gain coupable.

      10 Quelques temps aprĂšs avoir Ă©tĂ© appelĂ© par JĂ©sus, Matthieu chercha Ă  amener ses anciens collĂšgues de travail, pour qu’ils entendent le Seigneur. Il savait, par expĂ©rience, ce que la GrĂące de Christ pouvait faire, et il ne dĂ©sespĂ©rait pas au sujet de ces hommes.

      Ceux qui sont rĂ©ellement amenĂ©s Ă  Christ, ne peuvent que dĂ©sirer que d'autres y viennent aussi. Ceux qui estiment que leur Ăąme n’est pas malade, n'accueillent pas avec plaisir le « MĂ©decin spirituel Â». C’était le cas des Pharisiens ; ils mĂ©prisaient Christ parce qu'ils s'estimaient intĂšgres ; mais les publicains, pauvres et pĂ©cheurs, ressentirent qu'ils manquaient manifestement d'instruction spirituelle.

      Il est facile, et trop commun, de mal interpréter les meilleures paroles et actions des autres. On peut suspecter, sans grand risque de se tromper, que ceux qui ne sont pas au bénéfice de la Grùce de Dieu, ne soient pas satisfaits que d'autres l'obtiennent.

      Quand, dans ce texte, nous voyons Christ converser avec des pĂ©cheurs, nous savons qu’Il agit par pure MisĂ©ricorde ; promouvoir la conversion des Ăąmes est le plus grand acte de compassion.

      L'appel de l'Ă©vangile est un appel Ă  la repentance ; un appel qui nous invite Ă  changer notre esprit, Ă  changer nos voies.

      Si les hommes n'avaient pas Ă©tĂ© pĂ©cheurs, Christ n’aurait pas eu Ă  venir parmi eux. Examinons-nous, afin de nous assurer que notre « maladie spirituelle Â» a disparu et que nous avons appris Ă  suivre les directives de notre « grand MĂ©decin Â» !

      14 À l’époque relatĂ©e dans ce texte, Jean Ă©tait en prison ; les circonstances, son caractĂšre, et la nature du message qu'il a donnĂ© pour dĂ©livrer les pĂ©cheurs, ont conduit ceux qui lui Ă©taient particuliĂšrement attachĂ©s, Ă  observer de frĂ©quents jeĂ»nes.

      Christ se rĂ©fĂšre au tĂ©moignage que Jean donnait sur lui-mĂȘme, Jean 3:29. Bien qu'il n’y ait aucun doute sur le fait que JĂ©sus et Ses disciples vivaient d'une façon simple et frugale, il n'aurait pas Ă©tĂ© normal, pour ses disciples, de jeĂ»ner, alors qu'ils bĂ©nĂ©ficiaient du rĂ©confort de la prĂ©sence du Seigneur. Tant qu'Il Ă©tait avec eux, tout Ă©tait bien : la prĂ©sence du soleil donne le jour, son absence, par contre, produit la nuit.

      Notre Seigneur a alors rappelĂ© Ă  Ses disciples des rĂšgles communes de prudence. Il n'Ă©tait pas habituel de prendre un morceau de tissu neuf, pour l’apposer sur un vieux vĂȘtement : il y aurait eu alors, incompatibilitĂ© entre le tissu solide, et celui, tout assoupli du vieux vĂȘtement ; la dĂ©chirure aurait Ă©tĂ© inĂ©vitable.

      Les hommes avisés ne mettent pas du vin nouveau dans de vieilles outres, susceptibles de se rompre ou pouvant éclater par la fermentation du vin. Mais en mettant ce vin nouveau dans des outres neuves, les deux seront préservés.

      De grandes prĂ©cautions et de la prudence sont essentielles, afin que les jeunes convertis ne puissent pas avoir d’idĂ©es moroses et peu engageantes, sur le ministĂšre pour notre Dieu ; notre devoir est de les informer objectivement, dĂšs qu'ils sont capables de la comprendre.

      18 La mort de nos parents est un moyen de nous conduire Ă  Christ, Celui qui est notre vie. Il est trĂšs honorable, pour les plus grands souverains de s'attendre au Seigneur JĂ©sus ; en fait, ceux qui veulent recevoir la MisĂ©ricorde de Christ, doivent d’abord l'honorer.

      La diversitĂ© des mĂ©thodes utilisĂ©es par Christ pour accomplir Ses miracles, provient peut-ĂȘtre des diffĂ©rents tempĂ©raments et dispositions d'esprit rencontrĂ©s chez ceux qui se sont approchĂ©s de Lui : JĂ©sus, Celui qui recherche les cƓurs, le savait parfaitement.

      Une pauvre femme s'est approchĂ©e de Christ, et par ce fait, elle reçut Sa MisĂ©ricorde. Si nous « touchons Â» seulement, comme l'a fait cette femme, l'ourlet du vĂȘtement de Christ, avec une foi fervente, nos pires maux seront guĂ©ris ; il n'y a pas d'autre moyen vĂ©ritable de guĂ©rison, ni crainte Ă  avoir de ce qu’Il connaĂźt toutes choses, Ă©lĂ©ments qui sont une peine et un fardeau pour nous, que nous n’oserions mĂȘme pas avouer Ă  un ami intime.

      Lorsque Christ est entrĂ© dans la maison de ce chef, Il s’exclama : « retirez-vous Â». Parfois, quand la peine de ce monde prĂ©domine en notre cƓur, il est difficile pour Christ d'entrer et d’apporter Son rĂ©confort. La fille de ce chef Ă©tait vraiment morte... mais pas pour Christ. La mort d’une personne intĂšgre peut ĂȘtre considĂ©rĂ©e, d'une certaine maniĂšre, comme un sommeil. Les paroles et les Ɠuvres de JĂ©sus peuvent, au premier abord, ne pas ĂȘtre comprises : elles ne doivent pas cependant, ĂȘtre mĂ©prisĂ©es.

      Les occupants de cette maison furent renvoyĂ©s. Les moqueurs, qui rient de ce qu'ils ne comprennent pas, ne sont pas aptes Ă  ĂȘtre des tĂ©moins des Ɠuvres merveilleuses de Christ. Les Ăąmes « mortes Â» ne peuvent pas ĂȘtre Ă©levĂ©es Ă  la vie spirituelle, Ă  moins que Christ ne les prenne en main : c'est ce qui est fait par Sa toute Puissance.

      Si ce simple exemple de Christ, ressuscitant quelqu'un, a tant opĂ©rĂ© pour Sa « cĂ©lĂ©britĂ© Â», que sera Sa Gloire quand tous ceux qui sont dans leur tombe, entendront Sa voix, et se lĂšveront ? Ceux qui ont pratiquĂ© le bien se dresseront, pour la rĂ©surrection Ă  la vie, mais ceux qui ont fait le mal, se lĂšveront... pour connaĂźtre la damnation.

      27 À cette Ă©poque, les Juifs attendaient l'apparition du Messie ; ces deux aveugles savaient et proclamaient dans les rues de CapernaĂŒm, qu'Il Ă©tait venu, et qu’Il s’appelait JĂ©sus.

      Ceux qui ont perdu la vue, peuvent, par la GrĂące de Dieu, comprendre la cause de leur infirmitĂ©. Quels que soient nos fardeaux ou nos nĂ©cessitĂ©s, nous n'avons besoin de rien d'autre que de bĂ©nĂ©ficier de la MisĂ©ricorde de notre Seigneur JĂ©sus. En Christ il y a suffisamment pour tous !

      Ces aveugles suivirent JĂ©sus, en criant Ă  haute voix. Le Seigneur voulait Ă©prouver leur foi, voulant Ă©galement par lĂ , nous enseigner Ă  prier sans cesse, sans faillir, mĂȘme si la rĂ©ponse Ă  notre priĂšre n'est pas immĂ©diate. Ils suivirent donc Christ en criant ; en fait, la question primordiale est la suivante : « croyez-vous Â» ? Certains peuvent, par nature, ĂȘtre sincĂšres, mais ce n'est que la GrĂące qui peut apporter la foi.

      Christ toucha les yeux de ces hommes : en fait, Il apporte la vue aux « Ăąmes aveugles Â», par la puissance de Sa GrĂące, liĂ©e Ă  Sa Parole ; Il les guĂ©rit selon leur foi. Ceux qui viennent Ă  JĂ©sus-Christ, en recevront toutes choses, non pas selon leurs propres convoitises, ni selon leur confession, mais selon leur foi.

      Christ a quelquefois cachĂ© Ses miracles, ne voulant pas exciter le sentiment de vanitĂ© qui prĂ©dominait parmi les Juifs : leur Messie devait ĂȘtre un prince temporel ; JĂ©sus voulait Ă©viter ainsi les tumultes et les sĂ©ditions parmi le peuple.

      32 Un démoniaque muet est préférable à un démoniaque qui blasphÚme. Les guérisons opérées par Christ frappent à la racine du mal, et en enlÚvent la cause, en brisant le pouvoir de Satan.

      Rien ne peut convaincre ceux qui sont orgueilleux. Ils croiront n'importe quoi, mĂȘme si c'est faux ou absurde, plutĂŽt que l'Écriture Sainte ; et ils montrent ainsi l'inimitiĂ© de leur cƓur envers un Dieu saint.

      35 JĂ©sus n'a pas visitĂ© seulement des grandes villes prospĂšres, Il est aussi passĂ© dans des villages tristes et insignifiants : mais partout oĂč Il prĂȘcha, Il guĂ©rit !

      L’ñme la plus mĂ©diocre ici-bas est prĂ©cieuse pour Christ : elle doit donc l'ĂȘtre aussi pour nous, autant que celle des personnes importantes.

      Il y avait des sacrificateurs, des LĂ©vites, et des scribes, partout en IsraĂ«l ; mais ils n’étaient en fait, que des « pasteurs de nĂ©ant Â», \\# Zec 11:17\\ : c'est pourquoi Christ avait compassion du peuple, qui n’était composĂ© que de « brebis errantes Â», des individus pĂ©rissant, par manque de connaissance religieuse.

      À ce jour encore, de vastes multitudes sont des brebis sans berger, dont nous devons avoir compassion, et faire tout ce que nous pouvons pour les aider. Les multitudes qui ont besoin d'instruction spirituelle reprĂ©sentent une moisson abondante, qui nĂ©cessite beaucoup d'ouvriers actifs : mais peu de personnes se sont hĂ©las levĂ©es pour cette tĂąche.

      Christ est le Seigneur de la moisson. Prions pour que beaucoup puissent se lever et ĂȘtre envoyĂ©s pour travailler et amener des Ăąmes Ă  Christ. Quelle bĂ©nĂ©diction de voir Dieu sur le point d’accorder Sa misĂ©ricorde envers un peuple, et d’inciter ce dernier Ă  prier pour cette cause ! Les missions confiĂ©es aux « moissonneurs Â», qui partent, en rĂ©ponse Ă  cette priĂšre, ont toutes les chances de rencontrer du succĂšs !

    • JĂ©sus guĂ©rit un homme paralysĂ©

      1 Et étant monté dans la nacelle, il passa à l'autre rive, et vint dans sa propre ville.

      2 Et voici, on lui apporta un paralytique couchĂ© sur un lit. Et JĂ©sus, voyant leur foi, dit au paralytique : Aie bon courage, mon enfant, tes pĂ©chĂ©s sont pardonnĂ©s.

      3 Et voici, quelques-uns des scribes dirent en eux-mĂȘmes : Cet homme blasphĂšme.

      4 JĂ©sus, voyant leurs pensĂ©es, dit : Pourquoi pensez-vous du mal dans vos coeurs ?

      5 Car lequel est le plus facile, de dire : Tes pĂ©chĂ©s sont pardonnĂ©s, ou de dire : LĂšve-toi et marche ?

      6 Or, afin que vous sachiez que le fils de l'homme a le pouvoir sur la terre de pardonner les pĂ©chĂ©s... ; alors il dit au paralytique : LĂšve-toi, prends ton lit, et va dans ta maison.

      7 Et il se leva et s'en alla dans sa maison.

      8 Et les foules, ayant vu cela, furent saisies de crainte, et elles glorifiĂšrent Dieu qui donnait un tel pouvoir aux hommes.

      JĂ©sus appelle Matthieu

      9 Et JĂ©sus, passant de lĂ  plus avant, vit un homme nommĂ© Matthieu, assis au bureau de recette ; et il lui dit : Suis-moi. Et se levant, il le suivit.

      10 Et il arriva, comme il Ă©tait Ă  table dans la maison, que voici, beaucoup de publicains et de pĂ©cheurs vinrent et se mirent Ă  table avec JĂ©sus et ses disciples ;

      11 ce que les pharisiens ayant vu, ils dirent Ă  ses disciples : Pourquoi votre maĂźtre mange-t-il avec les publicains et les pĂ©cheurs ?

      12 Et JĂ©sus, l'ayant entendu, leur dit : Ceux qui sont en bonne santĂ© n'ont pas besoin de mĂ©decin, mais ceux qui se portent mal.

      13 Mais allez et apprenez ce que c'est que : "Je veux misĂ©ricorde et non pas sacrifice" ; car je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pĂ©cheurs.

      Jésus et le jeûne

      14 Alors les disciples de Jean viennent Ă  lui, disant : Pourquoi, nous et les pharisiens, jeĂ»nons-nous souvent, et tes disciples ne jeĂ»nent pas ?

      15 Et JĂ©sus leur dit : Les fils de la chambre nuptiale peuvent-ils mener deuil tant que l'Ă©poux est avec eux ? Mais des jours viendront, lorsque l'Ă©poux leur aura Ă©tĂ© ĂŽtĂ© ; et alors ils jeĂ»neront.

      16 Et personne ne met un morceau de drap neuf à un vieil habit, car la piÚce emporte une partie de l'habit, et la déchirure en devient plus mauvaise.

      17 On ne met pas non plus du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement les outres se rompent, et le vin se rĂ©pand, et les outres sont perdues ; mais on met le vin nouveau dans des outres neuves, et tous les deux se conservent.

      La fille d'un chef juif et la femme qui toucha le vĂȘtement de JĂ©sus

      18 Comme il leur disait ces choses, voici, un chef de synagogue s'Ă©tant approchĂ© lui rendit hommage, disant : Ma fille vient de mourir, mais viens et pose ta main sur elle, et elle vivra.

      19 Et JĂ©sus se levant le suivit, ainsi que ses disciples.

      20 Et voici, une femme qui avait une perte de sang depuis douze ans s'approcha par derriĂšre et toucha le bord de son vĂȘtement ;

      21 car elle disait en elle-mĂȘme : Si seulement je touche son vĂȘtement, je serai guĂ©rie.

      22 Et JĂ©sus, s'Ă©tant retournĂ© et la voyant, dit : Aie bon courage, ma fille ; ta foi t'a guĂ©rie. Et la femme fut guĂ©rie dĂšs cette heure.

      23 Et JĂ©sus, Ă©tant arrivĂ© Ă  la maison du chef de synagogue, et voyant les joueurs de flĂ»te et la foule qui faisait un grand bruit, dit :

      24 Retirez-vous, car la jeune fille n'est pas morte, mais elle dort. Et ils se riaient de lui.

      25 Et lorsque la foule eut été mise dehors, il entra et prit sa main, et la jeune fille se leva.

      26 Et le bruit s'en répandit par tout ce pays-là.

      Jésus guérit deux aveugles

      27 Et comme JĂ©sus passait de lĂ  plus avant, deux aveugles le suivirent, criant et disant : Aie pitiĂ© de nous, Fils de David !

      28 Et quand il fut arrivĂ© dans la maison, les aveugles vinrent Ă  lui. Et JĂ©sus leur dit : Croyez-vous que je puisse faire ceci ? Ils lui disent : Oui, Seigneur.

      29 Alors il toucha leurs yeux, disant : Qu'il vous soit fait selon votre foi.

      30 Et leurs yeux furent ouverts. Et JĂ©sus leur parla sĂ©vĂšrement, disant : Prenez garde que personne ne le sache.

      31 Mais eux, étant partis, répandirent sa renommée dans tout ce pays-là.

      Jésus guérit un homme muet

      32 Et comme ils sortaient, voici, on lui amena un homme muet, démoniaque.

      33 Et le dĂ©mon ayant Ă©tĂ© chassĂ©, le muet parla. Et les foules s'en Ă©tonnĂšrent, disant : Il ne s'est jamais rien vu de pareil en IsraĂ«l ;

      34 mais les pharisiens disaient : Il chasse les dĂ©mons par le chef des dĂ©mons.

      Jésus a pitié des foules

      35 JĂ©sus allait par toutes les villes et par les villages, enseignant dans leurs synagogues, et prĂȘchant l'Ă©vangile du royaume, et guĂ©rissant toute maladie et toute langueur.

      36 Et voyant les foules, il fut ému de compassion pour elles, parce qu'ils étaient las et dispersés, comme des brebis qui n'ont pas de berger.

      37 Alors il dit Ă  ses disciples : La moisson est grande, mais il y a peu d'ouvriers :

      38 suppliez donc le Seigneur de la moisson, en sorte qu'il pousse des ouvriers dans sa moisson.
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      LĂ©vitique 24

      16 Et celui qui blasphĂšme le nom de l’Eternel sera puni de mort ; toute la communautĂ© le lapidera ; qu’il soit immigrĂ© ou autochtone, il mourra pour avoir blasphĂ©mĂ© le Nom par excellence.

      Matthieu 7

      29 Car il parlait avec une autoritĂ© que n’avaient pas leurs *spĂ©cialistes de la Loi.

      Matthieu 9

      3 LĂ -dessus, quelques *spĂ©cialistes de la Loi pensĂšrent en eux-mĂȘmes : « Cet homme *blasphĂšme ! Â»

      Matthieu 26

      65 A ces mots, le grand-prĂȘtre dĂ©chira ses vĂȘtements en signe de consternation et s’écria : —Il vient de prononcer des paroles blasphĂ©matoires ! Qu’avons-nous encore besoin de tĂ©moins ? Vous venez vous-mĂȘmes d’entendre le *blasphĂšme.

      Marc 2

      6 Or, il y avait, assis lĂ , quelques *spĂ©cialistes de la Loi qui raisonnaient ainsi en eux-mĂȘmes :
      7 —Comment cet homme ose-t-il parler ainsi ? Il *blasphĂšme ! Qui peut pardonner les pĂ©chĂ©s si ce n’est Dieu seul ?

      Marc 7

      21 Car c’est du dedans, c’est du cƓur de l’homme que proviennent les pensĂ©es mauvaises qui mĂšnent Ă  l’immoralitĂ©, au vol, au meurtre,

      Marc 14

      64 Vous avez entendu le *blasphĂšme ! Qu’en concluez-vous ? Tous, alors, le condamnĂšrent en le dĂ©clarant passible de mort.

      Luc 5

      21 Les *spĂ©cialistes de la Loi et les pharisiens se mirent Ă  raisonner et Ă  dire : —Qui est donc cet homme qui prononce des paroles *blasphĂ©matoires ? Qui peut pardonner les pĂ©chĂ©s, si ce n’est Dieu seul ?

      Luc 7

      39 En voyant cela, le pharisien qui l’avait invitĂ© se dit : Si cet homme Ă©tait vraiment un *prophĂšte, il saurait quelle est cette femme qui le touche, que c’est quelqu’un qui mĂšne une vie de dĂ©bauche.
      40 JĂ©sus lui rĂ©pondit Ă  haute voix : —Simon, j’ai quelque chose Ă  te dire. —Oui, MaĂźtre, parle, rĂ©pondit le pharisien.

      Jean 10

      33 Les *Juifs rĂ©pliquĂšrent : —Nous ne voulons pas te tuer pour une bonne action, mais parce que tu *blasphĂšmes. Car, toi qui n’es qu’un homme, tu te fais passer pour Dieu.
      34 JĂ©sus rĂ©pondit : —N’est-il pas Ă©crit dans votre propre *Loi : Moi, le Seigneur, je vous ai dit : Vous ĂȘtes des dieux ?
      35 Or, on ne saurait discuter le tĂ©moignage de l’Ecriture. Si donc votre Loi appelle « dieux Â» ceux auxquels s’adresse la Parole de Dieu,
      36 comment pouvez-vous m’accuser de *blasphĂšme parce que j’ai dit : « Je suis le Fils de Dieu Â», quand c’est le PĂšre qui m’a consacrĂ© et envoyĂ© dans le monde ?

      Actes 6

      11 LĂ -dessus, ils payĂšrent des gens pour dire : —Nous l’avons entendu prononcer des paroles *blasphĂ©matoires contre *MoĂŻse et contre Dieu.
      12 Ils ameutĂšrent ainsi le peuple, les responsables du peuple et les *spĂ©cialistes de la Loi. Survenant Ă  l’improviste, ils s’emparĂšrent d’Etienne et l’amenĂšrent au *Grand-Conseil.
      13 LĂ , ils firent comparaĂźtre de faux tĂ©moins qui dĂ©posĂšrent contre lui : —Cet homme que voici, dirent-ils, ne cesse de discourir contre ce *lieu saint et contre la *Loi de MoĂŻse.
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