2
« Ordonne aux Israélites d'accorder aux Lévites, sur l'héritage qu'eux-mêmes posséderont, des villes où ils puissent habiter. Vous leur donnerez aussi un territoire autour de ces villes.
19
Aussi longtemps que tu vivras dans ton pays, fais bien attention de ne pas délaisser le Lévite.
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ainsi que les premiers-nés de nos fils et de nos animaux, conformément à ce qui est écrit dans la loi, à amener à la maison de notre Dieu, aux prêtres qui y font le service, les premiers-nés de notre petit et de notre gros bétail.
28
Les membres des chorales se sont rassemblés, venus de la plaine qui entoure Jérusalem, des villages des Nethophathiens,
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de Beth-Guilgal ainsi que du territoire de Guéba et d'Azmaveth. En effet, les musiciens s'étaient construit des villages autour de Jérusalem.
47
A l’époque de Zorobabel comme à celle de Néhémie, tout Israël faisait don des parts journalières destinées aux musiciens et aux portiers ; il donnait aussi aux Lévites les éléments consacrés, et les Lévites les redistribuaient aux descendants d'Aaron.
10
J'ai aussi appris que les Lévites n’avaient pas reçu leurs parts et qu’ils s'étaient repliés sur leurs terres, en particulier les musiciens chargés du service.
6
Un fils honore son père, et un serviteur son maître. Si je suis père, où est l'honneur qui me revient ? Si je suis maître, où est la crainte qui m’est due ? dit l'Eternel, le maître de l’univers, à vous, les prêtres, qui méprisez mon nom et qui dites : « En quoi avons-nous méprisé ton nom ? »
7
Vous offrez sur mon autel des aliments impurs et vous dites : « En quoi t'avons-nous souillé ? » C'est en disant : « La table de l'Eternel est dérisoire. »
8
Quand vous offrez en sacrifice une bête aveugle, n'est-ce pas mal ? Quand vous offrez une bête boiteuse ou malade, n'est-ce pas mal ? Offre-la donc à ton gouverneur ! Te recevra-t-il bien, te fera-t-il bon accueil ? dit l'Eternel, le maître de l’univers.
9
Et maintenant, priez Dieu pour qu'il ait pitié de nous ! C'est de vous que cela vient : vous recevra-t-il favorablement ? dit l'Eternel, le maître de l’univers.
10
Lequel de vous fermera les portes pour que vous n'allumiez plus inutilement le feu sur mon autel ? Je ne prends aucun plaisir en vous, dit l'Eternel, le maître de l’univers, et je n’accepte pas les offrandes de votre main.
11
En effet, du soleil levant au soleil couchant, mon nom est grand parmi les nations, et partout on fait brûler de l'encens en l'honneur de mon nom, on présente des offrandes pures. Oui, mon nom est grand parmi les nations, dit l'Eternel, le maître de l’univers,
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mais vous, vous le déshonorez en déclarant : « La table de l'Eternel est souillée, et ce qu'elle rapporte est une nourriture dérisoire. »
13
Vous dites : « Quel ennui ! » et vous la dédaignez, dit l'Eternel, le maître de l’univers. Cependant vous amenez des bêtes volées, boiteuses ou malades. Voilà les offrandes que vous faites ! Puis-je les accepter de vos mains ? dit l'Eternel.
14
Maudit soit le tricheur qui a dans son troupeau un mâle et qui offre et sacrifie au Seigneur une bête en mauvais état, car je suis un grand roi, dit l'Eternel, le maître de l’univers, et mon nom est craint parmi les nations.
8
Un homme peut-il tromper Dieu ? En effet, vous me trompez et vous dites : « En quoi t'avons-nous trompé ? » Dans les dîmes et les offrandes.
17
Que les anciens qui dirigent bien soient jugés dignes d'une double marque d’honneur, surtout ceux qui travaillent à la prédication et à l'enseignement.
18
En effet, l'Ecriture dit : Tu ne mettras pas de muselière au bœuf quand il foule le grain et : « *L'ouvrier mérite son salaire. »
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
10 à 14 Deuxième abus. Peu à peu le peuple s'était relâché dans le zèle qu'il avait naguère déployé à payer les redevances sacrées (10.39 ; 12.47).
Sur son champ : dans les banlieues de leurs villes (12.28 et suivants). Obligés d'aller se pourvoir de vivres, ils négligeaient le service du temple.
Ils s'étaient retirés, littéralement : ils avaient fui, déserté, ce qui suppose même pour quelques uns l'abandon de leur poste.
Si la piété ne peut empêcher les hommes de donner le mauvais exemple, il n'y aura alors aucune retenue dans le jugement céleste. Les Lévites commirent des fautes ; leurs portions ne leur avaient pas été données. Ils sortirent pour tenter de subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille, car leur fonction ne permettait pas de le faire. Si les serviteurs de Dieu ne perçoivent qu'une « triste » rémunération, ils ne pourront offrir qu'un ministère en conséquence. Quand les ouvriers sont peu « rétribués », la qualité de leur travail s'en ressent...
Néhémie accusa les dirigeants juifs, d'être à l'origine de cette faute, commise pas les Lévites et les chantres. Tout peuple, par ses différents responsables et magistrats, qui abandonne la religion et les services qui lui sont inhérents, et qui ne fait rien pour rétablir le bon ordre des choses, devra répondre devant Dieu, de ses actes. Néhémie ne tarda pas à replacer les Lévites dans leurs fonctions, avec la juste rétribution qu'ils devaient toucher.
En chaque occasion, le prophète s'adressa à Dieu, en se confiant en Lui et en Lui remettant tous ses problèmes. Néhémie était satisfait de constater qu'il avait été utile, dans le rétablissement et le soutien de la piété de son pays. Il n'éprouva aucune fierté particulière, mais l'humble sentiment d'avoir accompli honnêtement sa tâche. Il pria Dieu en ces termes : « souviens-toi de moi », et non pas : « récompense-moi » ; « n'oublie-pas mes actes de piété », « publie ces actions », et « enregistre-les bien » !
Malgré tout, il fut récompensé, et ses actes consignés dans la Parole de Dieu. Le Seigneur nous accorde plus que nous ne pouvons en fait, Lui demander !