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10
Toutes les villes de la plaine, et tout Galaad, et tout Bassan, jusqu'à Salca et Edréi, les villes du royaume d'Og en Bassan.
6
Et moi, dira-t-il, j'ai sacré mon roi, sur Sion, ma montagne sainte.
15
Montagne de Dieu, mont de Bassan, montagne aux cimes nombreuses, mont de Bassan,
68
Il choisit la tribu de Juda, la montagne de Sion qu'il aime.
69
Il bâtit son sanctuaire comme les lieux très hauts, comme la terre qu'il a fondée pour toujours.
1
Psaume, cantique des enfants de Coré. Elle est fondée sur les saintes montagnes.
2
L'Éternel aime les portes de Sion, plus que toutes les demeures de Jacob.
2
Il arrivera, aux derniers jours, que la montagne de la maison de l'Éternel sera établie au-dessus des montagnes, et s'élèvera par-dessus les collines ; et toutes les nations y afflueront.
3
Et plusieurs peuples viendront et diront : Venez et montons à la montagne de l'Éternel, à la maison du Dieu de Jacob ; il nous instruira de ses voies, et nous marcherons dans ses sentiers ! Car la loi sortira de Sion et la parole de l'Éternel de Jérusalem.
14
Pais ton peuple avec ta houlette, le troupeau de ton héritage, qui demeure seul dans la forêt au milieu du Carmel ! Qu'ils paissent en Bassan et en Galaad, comme aux jours d'autrefois !
Il y eut de la neige sur le Tsalmon... Chez les Arabes, l'expression asperger de neige est synonyme de : répandre de la joie, tant la fraîcheur de la neige charme dans les contrées que brûle le soleil. La même image parait avoir été familière aux Israélites (comparez Proverbes 25.13). Ces mots peuvent donc s'entendre ainsi : il y aura de la joie dans cette victoire péniblement remportée. Tsalmon signifie obscurité. Ce mot désigne, comme nom propre, une montagne noire, couverte d'un épais et sombre feuillage ; il est spécialement appliqué à une montagne située près de Sichem (Juges 9.48). On pourrait entendre : Le Tsalmon se couvrit de neige, comme d'un joyeux vêtement de fête. Mais il y a peut-être une explication plus simple. Le fameux savant juif Aben-Esra voyait dans le Tsalmon de notre psaume une montagne du Hauran, au nord de la contrée où les Syriens et les Ammonites furent battus par les Israélites, et le géographe Ptolémée mentionne un mont Asalmanon parmi les sommités du Hauran. Il est naturel que le psalmiste, voulant exprimer la joie des vainqueurs, ait choisi ses images dans la contrée même où fut remportée la victoire. Le Tsalmon (du Hauran), témoin de la bataille, s'associa à la joie des vainqueurs. Cette explication a l'avantage de faire comprendre comment, dans la strophe suivante, le poète s'adresse aux monts de Basan (ou du Hauran). On ne comprendrait pas autrement ce qu'il y aurait de soudain dans cette allocution, que rien, dans ce qui précède, n'aurait préparée.
Christ est venu dans un monde rebelle, non pas pour le condamner, mais pour le sauver. La gloire du Roi de Sion repose sur le fait qu'Il est le Sauveur et le bienfaiteur de Son peuple, mais aussi qu'Il est un feu dévorant pour ceux qui persistent dans une attitude de rébellion contre Lui. Dans son immense bonté, Dieu nous couvre de bienfaits innombrables. Il ne veut pas seulement être un Dieu bon, Il veut également être le Dieu de notre salut. Le Seigneur Jésus a toute autorité et puissance nécessaires pour vaincre la domination de la mort en ôtant cet aiguillon qui attaque Son peuple. Il donne à celui-ci une complète victoire. L'ennemi orgueilleux sera frappé ; Christ écrasera la tête du Serpent.