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Romains 4.17

Je t'ai établi père d'un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient.
Lequel (selon qu'il est écrit : Je t'ai établi pour être père de plusieurs nations) est notre père à tous devant Dieu, auquel il a cru, qui fait revivre les morts, et appelle les choses qui ne sont point, comme si elles étaient.
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    • Genèse 17

      Genèse 25

      1

      La famille d'Abraham avec Ketura, Sa mort et son inhumation. (Genèse 25:1-10)
      Dieu bénit Isaac. Les descendants d'Ismaël. (Genèse 25:11-18)
      La naissance d'Ésaü et de Jacob. (Genèse 25:19-26)
      Les caractères différents d'Ésaü et de Jacob. (Genèse 25:27,28)
      Ésaü méprise et vend son droit d'aînesse. (Genèse 25:29-34)

      Certains jours, même les plus grands hommes dans la foi ne sont pas des plus remarquables ; dans la Bible, il y a des périodes passées plus ou moins sous silence ; il en était ainsi quant aux derniers jours d'Abraham. Voici une liste des enfants qu'Abraham a eut avec Ketura, suivi des dispositions qu'il a prises au sujet de sa propriété. Après la naissance de ces fils, il a mis de l'ordre dans sa maison, avec prudence et droiture. Il a fait tout cela de son vivant. Il est sage que les hommes accomplissent leur devoir pendant le temps qui leur est donné de vivre, dans la mesure où ils le peuvent.

      Abraham vécut cent soixante quinze ans ; il mourut juste cent ans après être venu en Canaan ; que de temps passé dans ce pays étranger !

      Si notre séjour ici-bas est plus ou moins long, peu importe ; laissons par contre derrière nous, en bon exemple à nos familles, un témoignage sur notre fidélité et notre qualité de vie avec le Seigneur. Le texte nous dit que ses fils, Isaac et Ismaël ont enterré leur père. Il semble qu'Abraham, les avait réunis lui-même, du temps de son vivant. Ne clôturons pas cette histoire de la vie d'Abraham sans remercier Dieu pour un tel témoignage sur le triomphe de la foi.

      11 Ismaël a eu douze fils, dont les familles sont devenues des tribus bien distinctes. Elles peuplèrent un vaste pays qui s'étend entre l'Égypte et l'Assyrie : l'Arabie. La grandeur et la force de cette famille étaient le fruit de la promesse faite à Hagar et à Abraham, au sujet d'Ismaël.
      19 Isaac semble ne pas avoir été vraiment éprouvé, et il est permis de penser qu'il ait vécu dans une certaine quiétude. Jacob et Ésaü ont été l'objet de prières ; leurs parents, après avoir été longtemps sans enfant, les ont obtenus par la prière. L'accomplissement de la promesse de Dieu est toujours garanti, cependant il peut être parfois assez lent à venir. La foi des croyants est testée, leur patience éprouvée, et les bénédictions, longtemps attendues, sont les bienvenues quand elles arrivent.

      Isaac et Rébecca gardaient dans leur cœur la promesse de bénédiction à l'égard de toutes les nations devant naître de leur postérité ; ils étaient non seulement désireux d'avoir des enfants, mais ils étaient également inquiets au sujet des traits qui semblaient marquer leur futur caractère.

      Dans tous nos doutes nous devrions nous enquérir de la volonté du Seigneur, par la prière. Souvent, dans nos luttes avec le péché et la tentation, nous pouvons adopter l'attitude défaitiste de Rébecca, « s'il doit en être ainsi, pourquoi suis-je dans un tel état ? Si je suis un enfant de Dieu, pourquoi Celui-ci me délaisse-t-il autant ? Si je ne suis pas un enfant de Dieu, pourquoi suis-je si effrayé ou accablé par mon péché » ?

      27 Ésaü chassait les bêtes des champs avec une réelle habileté, jusqu'à devenir un homme puissant, dominant ses voisins. Jacob était un homme simple, qui aimait être tranquille et à l'écart, plutôt que de vivre parmi les vains plaisirs. Il se considérait comme un étranger, un pèlerin et un berger. Isaac et Rébecca n'ont eu que ces deux enfants, l'un étant préféré par son père, et l'autre par sa mère.

      Bien que des parents pieux puissent ressentir une certaine affection préférentielle vers un enfant fidèle, ceux-ci ne doivent pas montrer cette partialité. Que les affections familiales les conduisent à pratiquer ce qui est juste et équitable pour chaque enfant, ou alors, les ennuis surgiront.

      29 Ce texte nous décrit l'histoire entre Jacob et son frère, au sujet du droit d'aînesse, qui revenait à Ésaü, par sa naissance, mais aussi à Jacob selon la Promesse. Il s'agissait d'un privilège spirituel ; nous voyons ici Jacob en quête d'obtenir ce droit d'aînesse, mais en fait, il a cherché à l'obtenir par la ruse, ce qui n'était pas dans son habitude. Il avait raison de rechercher sincèrement la meilleure part, cependant, il avait tort de vouloir léser son frère. L'héritage de leur père ne revenait pas, en premier lieu à Jacob, à cause de son ordre de naissance, et cela n'a pas été mentionné dans ce texte. Cette histoire préfigure la future possession du pays de Canaan par la descendance du patriarche, et également l'alliance faite avec Abraham quant à Christ, la Semence promise. Jacob gardait toutes ces promesses en son cœur, alors qu'Ésaü les méprisait, par incrédulité.

      Bien que nous devrions être comme Jacob, en recherchant ce droit d'aînesse spirituel, évitons soigneusement tout genre de ruse, devant l'attrait que pourraient nous offrir les plus grands gains.

      Le plat de lentilles de Jacob a excité l'appétit d'Ésaü. « Laisse-moi, je te prie, manger de ce roux » ; C'est pour cela qu'on a donné à Ésaü le nom d'Édom. Assouvir l'appétit sensuel cause la ruine de milliers d'âmes.

      Quand le cœur des hommes succombe à la convoitise de leurs yeux, Job 31:7, et quand ils servent leurs propres ventres, ils sont sûrs d'être punis. Si nous refusons de céder au péché, nous brisons à la base la plupart des tentations. On peut supposer qu'Ésaü ne mourait pas de faim dans la maison d'Isaac. Le texte nous rapporte, « Voici, je m'en vais mourir » ; cela semble vouloir signifier, « je ne vivrai jamais assez pour hériter de Canaan, ou d'aucune de ces futures bénédictions promises par Dieu » ; « et quand bien même elles seraient à moi, je serai mort et loin de ce monde ».

      Ce sont là les propos d'un profane, cités par l'apôtre en, Hébreux 12:16 ; ce mépris du droit d'aînesse est blâmé, verset \\#34\\.

      Il n’y a pas de plus grande folie que de vouloir essayer de gérer nos intérêts sans Dieu, sans Christ, et loin du ciel, en côtoyant les riches, les honneurs, et plaisirs de ce monde ; quelle mauvaise affaire d'avoir ainsi vendu son droit d'aînesse pour un plat de lentilles ! Ésaü a mangé et a bu ; il a satisfait son palais et son appétit, puis, négligemment, il s'est levé et s'en est allé, sans songer sérieusement à la mauvaise transaction qu'il avait faite, sans la regretter. Il a dédaigné son droit d'aînesse. Par sa négligence, suivie de son mépris, pleinement satisfait de son acte, il a clos cette affaire. Les gens sont perdus, non seulement par leur faute, mais aussi par leur manque de repentance.

      Genèse 28

      Esaïe 43

      Esaïe 44

      Esaïe 48

      Esaïe 49

      Esaïe 55

      Matthieu 3

      Jean 5

      Jean 6

      Actes 15

      Romains 3

      Romains 4

      Romains 8

      Romains 9

      1 Corinthiens 1

      1 Corinthiens 15

      Ephésiens 2

      1

      Richesse de la Grâce de Dieu envers les hommes, révélée à cause de l’état déplorable de leur nature ; l’heureux changement qu’Elle opère en eux. (Ephésiens 2:1-10)
      Les Éphésiens appelés à réfléchir sur leur triste état, qui frôlait le paganisme. (Ephésiens 2:11-13)
      Les privilèges et les bénédictions de l'Évangile. (Ephésiens 2:14-22)

      Le péché est la mort de l'âme. Un homme qui est mort dans ses offenses et ses péchés, ne recevra aucun bien-être spirituel.

      La vue d’un cadavre suscite en nous un sentiment d’horreur. L’esprit, toujours vivant, vient de quitter ce corps, en ne laissant que les « ruines » de ce dernier. Mais en étant vraiment réalistes, nous devrions être bien plus affectés par la mort d'une âme, par un esprit perdu.

      Un état de péché est conforme à celui du monde. Les hommes mauvais sont des esclaves de Satan. Celui-ci est à l’origine du cœur orgueilleux et charnel que l’on voit chez les impies ; en fait, Satan gouverne le cœur des hommes...

      Selon l'Écriture, il est clair que si les hommes se sont rapidement penchés vers la sensualité ou la méchanceté spirituelle, étant par nature des « enfants de désobéissance », ils sont aussi de ce fait, des « enfants de colère ». Les raisons qui peuvent alors pousser les pécheurs à vraiment rechercher la Grâce, qui seule, les transformera, « d'enfants de colère » en enfants de Dieu et héritiers de Sa Gloire, sont vraiment évidentes !

      L'Amour éternel de Dieu et Sa Volonté de sauver Ses créatures sont la source de toutes Sa Miséricorde envers nous ; il s’agit d’un Amour immense et d’une riche Miséricorde. Chaque pécheur converti est un pécheur sauvé, délivré du péché et du courroux divin. La Grâce qui sauve est entièrement gratuite et imméritée, c’est une faveur divine ; Elle sauve, non pas selon les œuvres de la loi, mais par la foi en Jésus-Christ. La Grâce représente pour l'âme une nouvelle vie. Un pécheur régénéré devient une « âme vivante » ; il vit désormais dans la sainteté, étant né de Dieu : il vit, étant délivré de la culpabilité de ses péchés, par la Grâce qui pardonne et qui justifie.

      Les pécheurs vaquent dans la dépravation de ce monde ; les âmes sanctifiées « résident » dans les lieux célestes, elles sont élevées au-dessus de ce monde, par la Grâce de Christ. La bonté divine, qui a converti et sauvé les pécheurs repentants, encourage les autres à espérer dans la Grâce et la Miséricorde. Notre foi, notre conversion, et notre salut éternel, ne proviennent pas des œuvres, afin que personne ne puisse s'en glorifier, afin que toute vantardise soit vaine.

      Tout salut provient du don gratuit de Dieu ; nous sommes « ramenés » à la vie par Son pouvoir. Tel était Son but, auquel Il nous a préparés, en nous bénissant, par la connaissance de Sa Volonté et de Son Esprit Saint ; cela opère un tel changement en nous, que nous devons glorifier verbalement le Seigneur, et persévérer dans la sainteté.

      Sur les bases de l'Écriture, nul ne peut contredire cette doctrine du salut, ni l'accuser faussement de nous conduire à nouveau vers le mal. Tous ceux qui font ainsi sont sans excuse.

      1 Timothée 6

      Hébreux 11

      1 Pierre 2

      2 Pierre 3

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