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Romains 4.17

Oui, les Livres Saints le disent : « J’ai fait de toi le pĂšre de beaucoup de peuples. » Abraham est notre pĂšre devant Dieu en qui il a cru. C’est le Dieu qui donne la vie aux morts et qui appelle Ă  exister ce qui n’existe pas encore.
Je t'ai Ă©tabli pĂšre d'un grand nombre de nations. Il est notre pĂšre devant le Dieu en qui il a cru, le Dieu qui donne la vie aux morts et appelle ce qui n'existe pas Ă  l'existence.
comme le dit l’Ecriture : Je t’ai Ă©tabli pour ĂȘtre le pĂšre d’une multitude de peuples. PlacĂ© en prĂ©sence de Dieu, il mit sa confiance en celui qui donne la vie aux morts et appelle Ă  l’existence ce qui n’existe pas.
comme le dĂ©clare l’Écriture : « J’ai fait de toi l’ancĂȘtre d’une foule de nations. » Il est notre pĂšre devant Dieu en qui il a cru, le Dieu qui rend la vie aux morts et fait exister ce qui n’existait pas.
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La foi qui triomphe

Nous sommes impressionnĂ©s par les expĂ©riences glorieuses qui nous sont relatĂ©s dans l’Ancien Testament. L’auteur de l’épĂźtre aux HĂ©breux, pour 


Edouard Kowalski
Romains 4.1-25 Romains 4.1-25 Romains 4.1-25

Segond 21 Je t'ai Ă©tabli pĂšre d'un grand nombre de nations. Il est notre pĂšre devant le Dieu en qui il a cru, le Dieu qui donne la vie aux morts et appelle ce qui n'existe pas Ă  l'existence.

Segond 1910 Je t'ai Ă©tabli pĂšre d'un grand nombre de nations. Il est notre pĂšre devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles Ă©taient.

Segond 1978 (Colombe) © Je t’ai Ă©tabli pĂšre d’un grand nombre de nations. (Il est notre pĂšre Ă  tous) devant Dieu en qui il a cru, qui donne la vie aux morts et qui appelle Ă  l’existence ce qui n’existe pas.

Parole de Vie © Oui, les Livres Saints le disent : « J’ai fait de toi le pĂšre de beaucoup de peuples. » Abraham est notre pĂšre devant Dieu en qui il a cru. C’est le Dieu qui donne la vie aux morts et qui appelle Ă  exister ce qui n’existe pas encore.

Français Courant © comme le dĂ©clare l’Écriture : « J’ai fait de toi l’ancĂȘtre d’une foule de nations. » Il est notre pĂšre devant Dieu en qui il a cru, le Dieu qui rend la vie aux morts et fait exister ce qui n’existait pas.

Semeur © comme le dit l’Ecriture : Je t’ai Ă©tabli pour ĂȘtre le pĂšre d’une multitude de peuples. PlacĂ© en prĂ©sence de Dieu, il mit sa confiance en celui qui donne la vie aux morts et appelle Ă  l’existence ce qui n’existe pas.

Parole Vivante © N’est-il pas Ă©crit : Je t’ai Ă©tabli pĂšre d’une multitude de peuples ? Il est notre pĂšre Ă  tous, et comment l’est-il devenu ? Parce qu’il a fait confiance Ă  Dieu qui donne la vie aux morts et fait sortir l’ĂȘtre du nĂ©ant.

Darby (selon qu'il est écrit :" Je t'ai établi pÚre de plusieurs nations "), devant Dieu qu'il a cru, -qui fait vivre les morts et appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient,

Martin Selon qu'il est écrit : je t'ai établi pÚre de plusieurs nations, devant Dieu, en qui il a cru ; lequel fait vivre les morts, et qui appelle les choses qui ne sont point, comme si elles étaient.

Ostervald Lequel (selon qu'il est Ă©crit : Je t'ai Ă©tabli pour ĂȘtre pĂšre de plusieurs nations) est notre pĂšre Ă  tous devant Dieu, auquel il a cru, qui fait revivre les morts, et appelle les choses qui ne sont point, comme si elles Ă©taient.

HĂ©breu / Grec - Texte original © ÎșαΞᜌς ÎłÎ­ÎłÏÎ±Ï€Ï„Î±Îč ᜅτÎč Πατέρα Ï€ÎżÎ»Î»áż¶Îœ áŒÎžÎœáż¶Îœ τέΞΔÎčÎșÎŹ σΔ), ÎșατέΜαΜτÎč Îżáœ— áŒÏ€ÎŻÏƒÏ„Î”Ï…ÏƒÎ”Îœ ΞΔοῊ Ï„ÎżáżŠ Î¶áżłÎżÏ€ÎżÎčÎżáżŠÎœÏ„ÎżÏ‚ Ï„Îżáœșς ΜΔÎșÏÎżáœșς Îșα᜶ ÎșÎ±Î»ÎżáżŠÎœÏ„ÎżÏ‚ τᜰ Όᜎ ᜄΜτα áœĄÏ‚ ᜄΜτα·

World English Bible As it is written, "I have made you a father of many nations." This is in the presence of him whom he believed: God, who gives life to the dead, and calls the things that are not, as though they were.

La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
La citation, tirée de GenÚse 17.5, forme une parenthÚse ou une proposition incidente.

Les mots devant Dieu en qui il a cru...se rattachent à pÚre de nous tous : (verset 16) il est pÚre de nous tous devant Dieu, au jugement de ce Dieu devant qui il se tient, croyant à sa promesse et recevant ainsi le titre de pÚre des croyants.

Il serait moins naturel de relier devant Dieu Ă  la parole citĂ©e, puisque c'est Dieu qui la prononce. La citation sert de transition entre l'idĂ©e, exprimĂ©e Ă  verset 16, qu'Abraham est le pĂšre de nous tous, idĂ©e qu'elle confirme, et l'idĂ©e qui va ĂȘtre exposĂ©e, (versets 17-22) que c'est encore par la foi qu'Abraham a eu une postĂ©ritĂ© et qu'il est devenu pĂšre de cet Isaac dont la naissance Ă©tait nĂ©cessaire pour que la promesse du salut eut son accomplissement.

Cette naissance au moins pouvait paraĂźtre un fruit de la chair.

"L'apÎtre a demandé à verset 1 : Qu'a obtenu Abraham par la chair ? Il a obtenu son fils Isaac, pouvait répondre le Juif, par conséquent le peuple élu, par conséquent tout...Sapant par l'écriture la derniÚre racine du préjuge judaïque, Paul démontre que la naissance d'lsaac, non moins que la grùce de la justification et la promesse de l'héritage, a été un don accordé à la foi." Godet.

D'aprĂšs beaucoup d'interprĂštes, l'application de l'exemple d'Abraham aux croyants commence avec verset 17 : sa foi est de mĂȘme nature que la nĂŽtre, car elle s'attache Ă  Dieu qui vivifie les morts. Ils mĂ©connaissent la place que tient dans les versets suivants le fait mĂȘme de la naissance d'lsaac obtenue par la foi d'Abraham.

- Il crut à Dieu qui vivifie les morts et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient. La parole toute puissante et créatrice de Dieu, qui fait la promesse, tirera au besoin, pour l'accomplir, des morts de leur tombe ou un univers du néant.

Pour Dieu, appeler, c'est créer. (Psaumes 50.1 ; Esaïe 40.26)

Tel est l'inébranlable fondement sur lequel repose la foi. Ces paroles renferment du reste une évidente allusion au miracle que Dieu fit en Abraham et en Sarah pour accomplir sa promesse. (verset 19)

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Matthew Henry © traduction Dominique Osché
selon 2531 qu’il est Ă©crit 1125 5769 : 3754 Je t 4571’ai Ă©tabli 5087 5758 pĂšre 3962 d’un grand nombre 4183 de nations 1484. Il est notre pĂšre devant 2713 celui 3739 auquel il a cru 4100 5656, Dieu 2316, qui donne la vie 2227 5723 aux morts 3498, et 2532 qui appelle 2564 5723 les choses qui ne sont 5607 5752 point 3361 comme si 5613 elles Ă©taient 5607 5752.

1125 - graphoécrire, avec référence à la forme des lettres aligner ou former des lettres sur une 


1484 - ethnosune multitude (d'hommes ou d'animaux) vivant ensemble une compagnie, une troupe, un essaim une multitude 


2227 - zoopoieoproduire la vie, engendrer ou porter un enfant donner la vie vivifier par une puissance 


2316 - theosun dieu ou déesse, nom général de divinités la Divinité, la trinité Dieu le PÚre, 


2531 - kathosselon que juste comme, de mĂȘme que en proportion de, Ă  hauteur de, jusqu'Ă  depuis, 


2532 - kaiet, aussi, mĂȘme, en effet, mais

2564 - kaleoappeler appeler à haute voix, prononcer à voix haute inviter appeler c.à.d nommer, par le 


2713 - katenantidevant, Ă  l'opposĂ©, vis-Ă -vis mĂ©taph. devant quelqu'un c.Ă .d ĂȘtre jugĂ©

3361 - mepas, ne pas, point

3498 - nekrosréellement celui qui a rendu son dernier souffle, sans vie décédé, parti, celui dont l'ùme 


3739 - hosqui, lequel, ce que, que

3754 - hotique, parce que, puisque

3962 - patergĂ©niteur ou ancĂȘtre mĂąle soit le plus proche parent: pĂšre de la nature corporelle, les 


4100 - pisteuopenser ĂȘtre vrai, ĂȘtre persuadĂ© de, donner du crĂ©dit, placer sa confiance en de la 


4183 - polusun grand nombre de, beaucoup, grand ...

4571 - setoi, tu

5087 - tithemimettre, poser, placer mettre en place, destiner déposer fléchir poser, ou servir, quelque chose à 


5607 - onĂȘtre, Ă©tant, etc.

5613 - hoscomme, selon ce que, d'une façon semblable, etc.

5656Temps - Aoriste 5777 Voix - Active 5784 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 2319

5723Temps - Présent 5774 Voix - Active 5784 Mode - Participe 5796 Nombre - 2549

5752Temps - Présent 5774 Voix - Pas de Voix indiquée 5799 Mode - Participe 5796 


5758Temps - Parfait 5778 Voix - Active 5784 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 516

5769Temps - Parfait 5778 Voix - Passive 5786 Mode - Indicatif 5791 Nombre - 215

© Éditions CLÉ, avec autorisation

FOILe terme de foi est usuel dans le langage profane. Les philosophes ont distingué entre le sens objectif : confiance 


GOUVERNEMENTAutorité qui régit une société politique, religieuse ou autre. Nous appuyant sur cette définition, nous l'étudierons dans les périodes successives 


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ROMAINS (Ă©pĂźtre aux)L'annĂ©e 56 (ou peut-ĂȘtre 57), avec les deux crises de Galatie et de Corinthe, avait Ă©tĂ©, pour l'apĂŽtre Paul, particuliĂšrement 


    • Ces vidĂ©os ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      GenĂšse 17

      4 ŚÖČŚ ÖŽÖ•Ś™ Ś”ÖŽŚ ÖŒÖ”Ö„Ś” Ś‘Ö°ŚšÖŽŚ™ŚȘ֖֮Ś™ ŚÖŽŚȘ֌֑֞ŚšÖ° Ś•Ö°Ś”ÖžŚ™ÖŽÖ•Ś™ŚȘÖž ŚœÖ°ŚÖ·Ö–Ś‘ Ś”ÖČŚžÖ„Ś•Ö覟 Ś’ÖŒŚ•ÖčŚ™ÖŽÖœŚŚƒ
      5 Ś•Ö°ŚœÖčŚÖŸŚ™ÖŽŚ§ÖŒÖžŚšÖ”Ö„Ś ŚąÖ›Ś•Ö覓 ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ©ŚÖŽŚžÖ°ŚšÖžÖ– ŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžÖ‘Ś Ś•Ö°Ś”ÖžŚ™ÖžÖ€Ś” Ś©ŚÖŽŚžÖ°ŚšÖžÖ™ ŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖ”Ś Ś›ÖŒÖŽÖ›Ś™ ŚÖ·Ś‘ÖŸŚ”ÖČŚžÖ„Ś•Ö覟 Ś’ÖŒŚ•Ö覙֖֮Ś Ś Ö°ŚȘÖ·ŚȘ֌֎֜Ś™ŚšÖžŚƒ
      16 Ś•ÖŒŚ‘Ö”ŚšÖ·Ś›Ö°ŚȘÖŒÖŽÖŁŚ™ ŚÖčŚȘ־֔Ś”ÖŒ Ś•Ö°Ś’Ö·ÖšŚ Ś ÖžŚȘÖ·Ö§ŚȘ֌֎Ś™ ŚžÖŽŚžÖŒÖ¶Ö›Ś ÖŒÖžŚ” ŚœÖ°ŚšÖžÖ– Ś‘֌֑֔ŚŸ Ś•ÖŒŚ‘Ö”ÖœŚšÖ·Ś›Ö°ŚȘ֌֎֙Ś™Ś”ÖžÖ™ Ś•Ö°Ś”ÖžÖœŚ™Ö°ŚȘÖžÖŁŚ” ŚœÖ°Ś’Ś•Ö覙֮֔Ś ŚžÖ·ŚœÖ°Ś›Ö”Ö„Ś™ ŚąÖ·ŚžÖŒÖŽÖ–Ś™Ś ŚžÖŽŚžÖŒÖ¶Ö„Ś ÖŒÖžŚ” Ś™ÖŽŚ”Ö°Ś™ÖœŚ•ÖŒŚƒ
      20 Ś•ÖŒÖœŚœÖ°Ś™ÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖžŚąÖ”֘ŚŚœ Ś©ŚÖ°ŚžÖ·ŚąÖ°ŚȘ֌֎Ś™ŚšÖžÖ’ Ś”ÖŽŚ ÖŒÖ”ÖŁŚ” Ś€ Ś‘֌֔ŚšÖ·ÖŁŚ›Ö°ŚȘ֌֎Ś™ ŚÖčŚȘ֗Ś•Öč Ś•Ö°Ś”ÖŽŚ€Ö°ŚšÖ”Ś™ŚȘÖŽÖ„Ś™ ŚÖčŚȘ֛Ś•Öč Ś•Ö°Ś”ÖŽŚšÖ°Ś‘֌֔Ś™ŚȘÖŽÖ„Ś™ ŚÖčŚȘ֖Ś•Öč Ś‘֌֎ŚžÖ°ŚÖčÖŁŚ“ ŚžÖ°ŚÖč֑Ś“ Ś©ŚÖ°Ś Ö”Ś™ŚÖŸŚąÖžŚ©Ś‚ÖžÖ€Śš Ś Ö°Ś©Ś‚ÖŽŚ™ŚÖŽŚÖ™ Ś™Ś•Ö覜֮֔Ś™Ś“ Ś•ÖŒŚ Ö°ŚȘÖ·ŚȘ֌֎֖Ś™Ś• ŚœÖ°Ś’Ö„Ś•Ö覙 Ś’֌֞Ś“ÖœŚ•Ö覜Śƒ

      GenĂšse 25

      1 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖčÖ§ŚĄÖ¶ŚŁ ŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖ›Ś Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ§ÖŒÖ·Ö„Ś— ŚÖŽŚ©ŚÖŒÖžÖ–Ś” Ś•ÖŒŚ©ŚÖ°ŚžÖžÖ„Ś”ÖŒ Ś§Ö°Ś˜Ś•ÖŒŚšÖžÖœŚ”Śƒ
      2 Ś•Ö·ŚȘÖŒÖ”ÖŁŚœÖ¶Ś“ ŚœÖ—Ś•Öč ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ–ÖŽŚžÖ°ŚšÖžŚŸÖ™ Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ™ÖžŚ§Ö°Ś©ŚÖžÖ”ŚŸ Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚžÖ°Ś“ÖžÖ–ŚŸ Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚžÖŽŚ“Ö°Ś™ÖžÖ‘ŚŸ Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ™ÖŽŚ©ŚÖ°Ś‘֌֖֞Ś§ Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ©ŚÖœŚ•ÖŒŚ—Ö·Śƒ
      3 Ś•Ö°Ś™ÖžŚ§Ö°Ś©ŚÖžÖŁŚŸ Ś™ÖžŚœÖ·Ö”Ś“ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ©ŚÖ°Ś‘ÖžÖ–Ś Ś•Ö°ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ“֌ְŚ“ÖžÖ‘ŚŸ Ś•ÖŒŚ‘Ö°Ś Ö”ÖŁŚ™ Ś“Ö°Ś“ÖžÖ”ŚŸ Ś”ÖžŚ™Ö›Ś•ÖŒ ŚÖ·Ś©ŚÖŒŚ•ÖŒŚšÖŽÖ„Ś Ś•ÖŒŚœÖ°Ś˜Ś•ÖŒŚ©ŚÖŽÖ–Ś™Ś Ś•ÖŒŚœÖ°ŚÖ»ŚžÖŒÖŽÖœŚ™ŚŚƒ
      4 Ś•ÖŒŚ‘Ö°Ś Ö”ÖŁŚ™ ŚžÖŽŚ“Ö°Ś™ÖžÖ—ŚŸ ŚąÖ”Ś™Ś€ÖžÖ€Ś” Ś•ÖžŚąÖ”֙Ś€Ö¶ŚšÖ™ Ś•Ö·Ś—ÖČŚ Öč֔ŚšÖ° Ś•Ö·ŚÖČŚ‘ÖŽŚ™Ś“ÖžÖ–Śą Ś•Ö°ŚÖ¶ŚœÖ°Ś“֌֞ŚąÖžÖ‘Ś” Ś›ÖŒÖžŚœÖŸŚÖ”֖ŚœÖŒÖ¶Ś” Ś‘֌ְŚ Ö”Ö„Ś™ Ś§Ö°Ś˜Ś•ÖŒŚšÖžÖœŚ”Śƒ
      5 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚȘ֌֧֔ŚŸ ŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖ›Ś ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ›ÖŒÖžŚœÖŸŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚœÖ–Ś•Öč ŚœÖ°Ś™ÖŽŚŠÖ°Ś—ÖžÖœŚ§Śƒ
      6 Ś•Ö°ŚœÖŽŚ‘Ö°Ś Ö”Ö€Ś™ Ś”Ö·Ś€ÖŒÖŽÖœŚ™ŚœÖ·Ś’Ö°Ś©ŚÖŽŚ™ŚÖ™ ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖŁŚš ŚœÖ°ŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖ”Ś Ś ÖžŚȘÖ·Ö„ŚŸ ŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖ–Ś ŚžÖ·ŚȘ֌֞Ś Öč֑ŚȘ Ś•Ö·ÖœŚ™Ö°Ś©ŚÖ·ŚœÖŒÖ°Ś—Ö”֞Ś ŚžÖ”ŚąÖ·ÖšŚœ Ś™ÖŽŚŠÖ°Ś—ÖžÖ€Ś§ Ś‘֌ְŚ Ś•Öč֙ Ś‘֌ְŚąŚ•Ö茓ֶ֣Ś ÖŒŚ•ÖŒ Ś—Ö·Ö”Ś™ Ś§Ö”֖Ś“Ö°ŚžÖžŚ” ŚÖ¶ŚœÖŸŚÖ¶Ö„ŚšÖ¶Ś„ Ś§Ö¶ÖœŚ“Ö¶ŚŚƒ
      7 Ś•Ö°ŚÖ”֗ŚœÖŒÖ¶Ś” Ś™Ö°ŚžÖ”֛Ś™ Ś©ŚÖ°Ś Ö”ÖœŚ™ÖŸŚ—Ö·Ś™ÖŒÖ”Ö„Ś™ ŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖ–Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚ—ÖžÖ‘Ś™ ŚžÖ°ŚÖ·Ö„ŚȘ Ś©ŚÖžŚ ÖžÖ›Ś” Ś•Ö°Ś©ŚÖŽŚ‘Ö°ŚąÖŽÖ„Ś™Ś Ś©ŚÖžŚ ÖžÖ–Ś” Ś•Ö°Ś—ÖžŚžÖ”Ö„Ś©Ś Ś©ŚÖžŚ ÖŽÖœŚ™ŚŚƒ
      8 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ’Ö°Ś•Ö·ÖšŚą Ś•Ö·Ś™ÖŒÖžÖ§ŚžÖžŚȘ ŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖ›Ś Ś‘֌ְŚ©Ś‚Ö”Ś™Ś‘ÖžÖ„Ś” Ś˜Ś•Ö覑־֖Ś” Ś–ÖžŚ§Ö”ÖŁŚŸ Ś•Ö°Ś©Ś‚ÖžŚ‘Ö”֑ŚąÖ· Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ”ŚÖžÖ–ŚĄÖ¶ŚŁ ŚÖ¶ŚœÖŸŚąÖ·ŚžÖŒÖžÖœŚ™Ś•Śƒ
      9 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ§Ö°Ś‘֌ְŚšÖšŚ•ÖŒ ŚÖčŚȘ֜Ś•Öč Ś™ÖŽŚŠÖ°Ś—ÖžÖ€Ś§ Ś•Ö°Ś™ÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖžŚąÖ”ŚŚœÖ™ Ś‘֌֞Ś ÖžÖ”Ś™Ś• ŚÖ¶ŚœÖŸŚžÖ°ŚąÖžŚšÖ·Ö–ŚȘ Ś”Ö·ŚžÖŒÖ·Ś›Ö°Ś€ÖŒÖ”ŚœÖžÖ‘Ś” ŚÖ¶ŚœÖŸŚ©Ś‚Ö°Ś“Ö”֞Ś” ŚąÖ¶Ś€Ö°ŚšÖčÖ€ŚŸ Ś‘֌ֶŚŸÖŸŚŠÖč֙Ś—Ö·ŚšÖ™ Ś”Ö·ÖœŚ—ÖŽŚȘ֌֎֔Ś™ ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö–Śš ŚąÖ·ŚœÖŸŚ€ÖŒÖ°Ś Ö”Ö„Ś™ ŚžÖ·ŚžÖ°ŚšÖ”ÖœŚŚƒ
      10 Ś”Ö·Ś©Ś‚֌֞Ś“Ö¶Ö›Ś” ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖŸŚ§ÖžŚ ÖžÖ„Ś” ŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖ–Ś ŚžÖ”ŚÖ”ÖŁŚȘ Ś‘֌ְŚ Ö”Ś™ÖŸŚ—Ö”֑ŚȘ Ś©ŚÖžÖ›ŚžÖŒÖžŚ” Ś§Ö»Ś‘֌ַքŚš ŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖ–Ś Ś•Ö°Ś©Ś‚ÖžŚšÖžÖ„Ś” ŚÖŽŚ©ŚÖ°ŚȘ֌֜Ś•Ö范
      11 Ś•Ö·Ś™Ö°Ś”ÖŽÖ—Ś™ ŚÖ·Ś—ÖČŚšÖ”Ś™Ö™ ŚžÖŁŚ•ÖčŚȘ ŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖ”Ś Ś•Ö·Ś™Ö°Ś‘ÖžÖ„ŚšÖ¶ŚšÖ° ŚÖ±ŚœÖ覔֖֮Ś™Ś ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ™ÖŽŚŠÖ°Ś—ÖžÖŁŚ§ Ś‘֌ְŚ Ö‘Ś•Öč Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ”ÖŁŚ©ŚÖ¶Ś‘ Ś™ÖŽŚŠÖ°Ś—ÖžÖ”Ś§ ŚąÖŽŚÖŸŚ‘֌ְŚÖ”Ö„Śš ŚœÖ·Ś—Ö·Ö–Ś™ ŚšÖčŚÖŽÖœŚ™Śƒ
      12 Ś•Ö°ŚÖ”֛ŚœÖŒÖ¶Ś” ŚȘÖŒÖ覜ְŚ“ÖčÖ„ŚȘ Ś™ÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖžŚąÖ”֖ŚŚœ Ś‘֌ֶŚŸÖŸŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖ‘Ś ŚÖČŚ©ŚÖ¶ÖšŚš Ś™ÖžŚœÖ°Ś“ÖžÖœŚ” Ś”ÖžŚ’ÖžÖ§Śš Ś”Ö·ŚžÖŒÖŽŚŠÖ°ŚšÖŽÖ›Ś™ŚȘ Ś©ŚÖŽŚ€Ö°Ś—Ö·Ö„ŚȘ Ś©Ś‚ÖžŚšÖžÖ–Ś” ŚœÖ°ŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖœŚŚƒ
      13 Ś•Ö°ŚÖ”֗ŚœÖŒÖ¶Ś” Ś©ŚÖ°ŚžŚ•ÖčŚȘ֙ Ś‘֌ְŚ Ö”ÖŁŚ™ Ś™ÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖžŚąÖ”֔ŚŚœ Ś‘֌֎Ś©ŚÖ°ŚžÖčŚȘ־֖Ś ŚœÖ°ŚȘŚ•Ö覜ְŚ“ÖčŚȘ־֑Ś Ś‘֌ְŚ›ÖčÖ€Śš Ś™ÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖžŚąÖ”ŚŚœÖ™ Ś Ö°Ś‘ÖžŚ™Öč֔ŚȘ Ś•Ö°Ś§Ö”Ś“ÖžÖ„Śš Ś•Ö°ŚÖ·Ś“Ö°Ś‘֌ְŚÖ”֖Śœ Ś•ÖŒŚžÖŽŚ‘Ö°Ś©Ś‚ÖžÖœŚŚƒ
      14 Ś•ÖŒŚžÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖžÖ„Śą Ś•Ö°Ś“Ś•ÖŒŚžÖžÖ–Ś” Ś•ÖŒŚžÖ·Ś©Ś‚֌֞֜ŚŚƒ
      15 Ś—ÖČŚ“Ö·ÖŁŚ“ Ś•Ö°ŚȘÖ”Ś™ŚžÖžÖ”Ś Ś™Ö°Ś˜Ö„Ś•ÖŒŚš Ś ÖžŚ€ÖŽÖ–Ś™Ś©Ś Ś•ÖžŚ§Ö”ÖœŚ“Ö°ŚžÖžŚ”Śƒ
      16 ŚÖ”ÖŁŚœÖŒÖ¶Ś” Ś”Ö”֞Ś Ś‘֌ְŚ Ö”Ö€Ś™ Ś™ÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖžŚąÖ”ŚŚœÖ™ Ś•Ö°ŚÖ”ÖŁŚœÖŒÖ¶Ś” Ś©ŚÖ°ŚžÖčŚȘ־֔Ś Ś‘֌ְŚ—Ö·ŚŠÖ°ŚšÖ”Ś™Ś”Ö¶Ö–Ś Ś•ÖŒŚ‘Ö°Ś˜ÖŽÖœŚ™ŚšÖčŚȘ־֑Ś Ś©ŚÖ°Ś Ö”Ś™ŚÖŸŚąÖžŚ©Ś‚ÖžÖ„Śš Ś Ö°Ś©Ś‚ÖŽŚ™ŚÖŽÖ–Ś ŚœÖ°ŚÖ»ŚžÖŒÖčŚȘÖžÖœŚŚƒ
      17 Ś•Ö°ŚÖ”֗ŚœÖŒÖ¶Ś” Ś©ŚÖ°Ś Ö”Ś™Ö™ Ś—Ö·Ś™ÖŒÖ”ÖŁŚ™ Ś™ÖŽŚ©ŚÖ°ŚžÖžŚąÖ”֔ŚŚœ ŚžÖ°ŚÖ·Ö„ŚȘ Ś©ŚÖžŚ ÖžÖ›Ś” Ś•ÖŒŚ©ŚÖ°ŚœÖ茩ŚÖŽÖ„Ś™Ś Ś©ŚÖžŚ ÖžÖ–Ś” Ś•Ö°Ś©ŚÖ¶ÖŁŚ‘Ö·Śą Ś©ŚÖžŚ ÖŽÖ‘Ś™Ś Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ’Ö°Ś•Ö·ÖŁŚą Ś•Ö·Ś™ÖŒÖžÖ”ŚžÖžŚȘ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ”ŚÖžÖ–ŚĄÖ¶ŚŁ ŚÖ¶ŚœÖŸŚąÖ·ŚžÖŒÖžÖœŚ™Ś•Śƒ
      18 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ©ŚÖ°Ś›ÖŒÖ°Ś ÖšŚ•ÖŒ ŚžÖœÖ”Ś—ÖČŚ•ÖŽŚ™ŚœÖžÖœŚ” ŚąÖ·Ś“ÖŸŚ©ŚÖ—Ś•ÖŒŚš ŚÖČŚ©ŚÖ¶ŚšÖ™ ŚąÖ·ŚœÖŸŚ€ÖŒÖ°Ś Ö”ÖŁŚ™ ŚžÖŽŚŠÖ°ŚšÖ·Ö”Ś™ÖŽŚ Ś‘ÖŒÖ茐ÖČŚ›ÖžÖ–Ś” ŚÖ·Ś©ŚÖŒÖ‘Ś•ÖŒŚšÖžŚ” ŚąÖ·ŚœÖŸŚ€ÖŒÖ°Ś Ö”Ö„Ś™ Ś›ÖžŚœÖŸŚÖ¶Ś—ÖžÖ–Ś™Ś• Ś ÖžŚ€ÖžÖœŚœŚƒ
      19 Ś•Ö°ŚÖ”֛ŚœÖŒÖ¶Ś” ŚȘÖŒŚ•Ö覜ְŚ“ÖčÖ„ŚȘ Ś™ÖŽŚŠÖ°Ś—ÖžÖ–Ś§ Ś‘֌ֶŚŸÖŸŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖ‘Ś ŚÖ·Ś‘Ö°ŚšÖžŚ”ÖžÖ–Ś Ś”Ś•ÖčŚœÖŽÖ„Ś™Ś“ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ™ÖŽŚŠÖ°Ś—ÖžÖœŚ§Śƒ
      20 Ś•Ö·Ś™Ö°Ś”ÖŽÖ€Ś™ Ś™ÖŽŚŠÖ°Ś—ÖžŚ§Ö™ Ś‘֌ֶŚŸÖŸŚÖ·ŚšÖ°Ś‘֌֞ŚąÖŽÖŁŚ™Ś Ś©ŚÖžŚ ÖžÖ”Ś” Ś‘֌ְŚ§Ö·Ś—Ö°ŚȘÖŒÖŁŚ•Öč ŚÖ¶ŚȘÖŸŚšÖŽŚ‘Ö°Ś§ÖžÖ—Ś” Ś‘֌ַŚȘÖŸŚ‘֌ְŚȘŚ•ÖŒŚÖ”ŚœÖ™ Ś”֜֞ŚÖČŚšÖ·ŚžÖŒÖŽÖ”Ś™ ŚžÖŽŚ€ÖŒÖ·Ś“֌ַ֖ŚŸ ŚÖČŚšÖžÖ‘Ś ŚÖČŚ—Ö›Ś•ÖčŚȘ ŚœÖžŚ‘ÖžÖ„ŚŸ Ś”ÖžŚÖČŚšÖ·ŚžÖŒÖŽÖ–Ś™ ŚœÖ„Ś•Öč ŚœÖ°ŚÖŽŚ©ŚÖŒÖžÖœŚ”Śƒ
      21 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ¶ŚąÖ°ŚȘ֌ַ֚Śš Ś™ÖŽŚŠÖ°Ś—ÖžÖ€Ś§ ŚœÖœÖ·Ś™Ś”Ś•ÖžŚ”Ö™ ŚœÖ°Ś ÖčÖŁŚ›Ö·Ś— ŚÖŽŚ©ŚÖ°ŚȘ֌֔Ś•Öč Ś›ÖŒÖŽÖ„Ś™ ŚąÖČŚ§ÖžŚšÖžÖ–Ś” Ś”ÖŽÖ‘Ś•Ś Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ”ŚąÖžÖ€ŚȘÖ¶Śš ŚœŚ•Öč֙ Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖ”Ś” Ś•Ö·ŚȘ֌ַ֖Ś”Ö·Śš ŚšÖŽŚ‘Ö°Ś§ÖžÖ„Ś” ŚÖŽŚ©ŚÖ°ŚȘ֌֜Ś•Ö范
      22 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚȘÖ°ŚšÖčÖœŚŠÖČŚŠÖ€Ś•ÖŒ Ś”Ö·Ś‘֌֞Ś ÖŽŚ™ŚÖ™ Ś‘֌ְŚ§ÖŽŚšÖ°Ś‘֌֞֔Ś”ÖŒ Ś•Ö·ŚȘÖŒÖčÖŁŚŚžÖ¶Śš ŚÖŽŚÖŸŚ›ÖŒÖ”֔ŚŸ ŚœÖžÖ„ŚžÖŒÖžŚ” Ś–֌ֶ֖Ś” ŚÖžŚ Öč֑Ś›ÖŽŚ™ Ś•Ö·ŚȘ֌֖֔ŚœÖ¶ŚšÖ° ŚœÖŽŚ“Ö°ŚšÖčÖ„Ś©Ś ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ™Ö°Ś”Ś•ÖžÖœŚ”Śƒ
      23 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖčÖšŚŚžÖ¶Śš Ś™Ö°Ś”Ś•ÖžÖœŚ” ŚœÖžÖ—Ś”ÖŒ Ś©ŚÖ°Ś Ö”Ö€Ś™ *Ś’Ś™Ś™Ś **Ś’Ś•Ö覙֮ŚÖ™ Ś‘֌ְŚ‘ÖŽŚ˜Ö°Ś Ö”֔ŚšÖ° Ś•ÖŒŚ©ŚÖ°Ś Ö”ÖŁŚ™ ŚœÖ°ŚÖ»ŚžÖŒÖŽÖ”Ś™Ś ŚžÖŽŚžÖŒÖ”ŚąÖ·Ö–Ś™ÖŽŚšÖ° Ś™ÖŽŚ€ÖŒÖžŚšÖ”֑Ś“Ś•ÖŒ Ś•ÖŒŚœÖ°ŚÖ覝֙ ŚžÖŽŚœÖ°ŚÖčÖŁŚ Ś™Ö¶ÖœŚÖ±ŚžÖžÖ”Ś„ Ś•Ö°ŚšÖ·Ö–Ś‘ Ś™Ö·ŚąÖČŚ‘ÖčÖ„Ś“ ŚŠÖžŚąÖŽÖœŚ™ŚšŚƒ
      24 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚžÖ°ŚœÖ°ŚÖ„Ś•ÖŒ Ś™ÖžŚžÖ¶Ö–Ś™Ś”Öž ŚœÖžŚœÖ¶Ö‘Ś“Ö¶ŚȘ Ś•Ö°Ś”ÖŽŚ ÖŒÖ”Ö„Ś” ŚȘŚ•Ö覞֖֮Ś Ś‘֌ְŚ‘ÖŽŚ˜Ö°Ś ÖžÖœŚ”ÖŒŚƒ
      25 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ”ŚŠÖ”Ö€Ś Ś”ÖžŚšÖŽŚŚ©ŚŚ•Ö覟֙ ŚÖ·Ś“Ö°ŚžŚ•Ö覠֮֔Ś™ Ś›ÖŒÖ»ŚœÖŒÖ–Ś•Öč Ś›ÖŒÖ°ŚÖ·Ś“ÖŒÖ¶ÖŁŚšÖ¶ŚȘ Ś©Ś‚Ö”ŚąÖžÖ‘Śš Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ§Ö°ŚšÖ°ŚÖ„Ś•ÖŒ Ś©ŚÖ°ŚžÖ–Ś•Öč ŚąÖ”Ś©Ś‚ÖžÖœŚ•Śƒ
      26 Ś•Ö°ŚÖ·ÖœŚ—ÖČŚšÖ”Ś™ÖŸŚ›Ö”֞ŚŸ Ś™ÖžŚŠÖžÖŁŚ ŚÖžŚ—ÖŽÖ—Ś™Ś• Ś•Ö°Ś™ÖžŚ“Ö€Ś•Öč ŚÖ茗ֶ֙Ś–Ö¶ŚȘ֙ Ś‘֌ַŚąÖČŚ§Ö”ÖŁŚ‘ ŚąÖ”Ś©Ś‚ÖžÖ”Ś• Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ§Ö°ŚšÖžÖ„Ś Ś©ŚÖ°ŚžÖ–Ś•Öč Ś™Ö·ŚąÖČŚ§Öč֑Ś‘ Ś•Ö°Ś™ÖŽŚŠÖ°Ś—ÖžÖ›Ś§ Ś‘֌ֶŚŸÖŸŚ©ŚÖŽŚ©ŚÖŒÖŽÖ„Ś™Ś Ś©ŚÖžŚ ÖžÖ–Ś” Ś‘֌ְŚœÖ¶Ö„Ś“Ö¶ŚȘ ŚÖčŚȘÖžÖœŚŚƒ
      27 Ś•ÖœÖ·Ś™ÖŒÖŽŚ’Ö°Ś“֌ְŚœŚ•ÖŒÖ™ Ś”Ö·Ś ÖŒÖ°ŚąÖžŚšÖŽÖ”Ś™Ś Ś•Ö·Ś™Ö°Ś”ÖŽÖŁŚ™ ŚąÖ”Ś©Ś‚ÖžÖ—Ś• ŚÖŽÖ›Ś™Ś©Ś Ś™Ö茓֔քŚąÖ· ŚŠÖ·Ö–Ś™ÖŽŚ“ ŚÖŽÖŁŚ™Ś©Ś Ś©Ś‚ÖžŚ“Ö¶Ö‘Ś” Ś•Ö°Ś™Ö·ŚąÖČŚ§Ö覑֙ ŚÖŽÖŁŚ™Ś©Ś ŚȘ֌֞֔Ś Ś™Ö茩ŚÖ”֖Ś‘ ŚÖ覔־ŚœÖŽÖœŚ™ŚŚƒ
      28 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ¶ŚÖ±Ś”Ö·Ö„Ś‘ Ś™ÖŽŚŠÖ°Ś—ÖžÖ›Ś§ ŚÖ¶ŚȘÖŸŚąÖ”Ś©Ś‚ÖžÖ–Ś• Ś›ÖŒÖŽŚ™ÖŸŚŠÖ·ÖŁŚ™ÖŽŚ“ Ś‘֌ְŚ€ÖŽÖ‘Ś™Ś• Ś•Ö°ŚšÖŽŚ‘Ö°Ś§ÖžÖ–Ś” ŚÖ茔ֶքŚ‘Ö¶ŚȘ ŚÖ¶ÖœŚȘÖŸŚ™Ö·ŚąÖČŚ§ÖčÖœŚ‘Śƒ
      29 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖžÖ„Ś–Ö¶Ś“ Ś™Ö·ŚąÖČŚ§Öč֖Ś‘ Ś ÖžŚ–ÖŽÖ‘Ś™Ś“ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖžŚ‘ÖčÖ„Ś ŚąÖ”Ś©Ś‚ÖžÖ›Ś• ŚžÖŽŚŸÖŸŚ”Ö·Ś©Ś‚֌֞Ś“Ö¶Ö–Ś” Ś•Ö°Ś”Ö„Ś•ÖŒŚ ŚąÖžŚ™Ö”ÖœŚŁŚƒ
      30 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖčÖšŚŚžÖ¶Śš ŚąÖ”Ś©Ś‚ÖžÖœŚ• ŚÖ¶ÖœŚœÖŸŚ™Ö·ŚąÖČŚ§Öč֗Ś‘ Ś”Ö·ŚœÖ°ŚąÖŽŚ™Ś˜Ö”Ö€Ś ÖŽŚ™ Ś ÖžŚÖ™ ŚžÖŽŚŸÖŸŚ”ÖžŚÖžŚ“ÖčÖ€Ś Ś”ÖžŚÖžŚ“Ö覝֙ Ś”Ö·Ś–֌ֶ֔Ś” Ś›ÖŒÖŽÖ„Ś™ ŚąÖžŚ™Ö”֖ŚŁ ŚÖžŚ Öč֑Ś›ÖŽŚ™ ŚąÖ·ŚœÖŸŚ›ÖŒÖ”Ö„ŚŸ Ś§ÖžŚšÖžÖœŚÖŸŚ©ŚÖ°ŚžÖ–Ś•Öč ŚÖ±Ś“ÖœŚ•Ö覝Śƒ
      31 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖč֖ŚŚžÖ¶Śš Ś™Ö·ŚąÖČŚ§Öč֑Ś‘ ŚžÖŽŚ›Ö°ŚšÖžÖ„Ś” Ś›Ö·Ś™ÖŒÖ›Ś•Ö覝 ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ‘֌ְŚ›ÖčÖœŚšÖžŚȘÖ°ŚšÖžÖ– ŚœÖŽÖœŚ™Śƒ
      32 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖčÖŁŚŚžÖ¶Śš ŚąÖ”Ś©Ś‚ÖžÖ”Ś• Ś”ÖŽŚ ÖŒÖ”֛Ś” ŚÖžŚ Ö茛֎քŚ™ Ś”Ś•ÖčŚœÖ”Ö–ŚšÖ° ŚœÖžŚžÖ‘Ś•ÖŒŚȘ Ś•Ö°ŚœÖžŚžÖŒÖžŚ”ÖŸŚ–֌ֶքŚ” ŚœÖŽÖ–Ś™ Ś‘֌ְŚ›ÖčŚšÖžÖœŚ”Śƒ
      33 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖčÖŁŚŚžÖ¶Śš Ś™Ö·ŚąÖČŚ§Öč֗Ś‘ Ś”ÖŽŚ©ŚÖŒÖžÖ€Ś‘Ö°ŚąÖžŚ” ŚœÖŒÖŽŚ™Ö™ Ś›ÖŒÖ·Ś™ÖŒÖ”Ś•Ö覝 Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚ©ŚÖŒÖžŚ‘Ö·Ö–Śą ŚœÖ‘Ś•Öč Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽŚžÖ°Ś›ÖŒÖčÖ„Śš ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ‘֌ְŚ›Ö茚֞ŚȘ֖Ś•Öč ŚœÖ°Ś™Ö·ŚąÖČŚ§ÖčÖœŚ‘Śƒ
      34 Ś•Ö°Ś™Ö·ŚąÖČŚ§Öč֞Ś‘ Ś ÖžŚȘÖ·ÖŁŚŸ ŚœÖ°ŚąÖ”Ś©Ś‚ÖžÖ—Ś• ŚœÖ¶ÖšŚ—Ö¶Ś Ś•ÖŒŚ Ö°Ś–ÖŽÖŁŚ™Ś“ ŚąÖČŚ“ÖžŚ©ŚÖŽÖ”Ś™Ś Ś•Ö·Ś™ÖŒÖčÖŁŚŚ›Ö·Śœ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ”֔Ś©ŚÖ°ŚȘ֌ְ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖžÖ–Ś§ÖžŚ Ś•Ö·Ś™ÖŒÖ”ŚœÖ·Ö‘ŚšÖ° Ś•Ö·Ś™ÖŒÖŽÖ„Ś‘Ö¶Ś– ŚąÖ”Ś©Ś‚ÖžÖ–Ś• ŚÖ¶ŚȘÖŸŚ”Ö·Ś‘֌ְŚ›ÖčŚšÖžÖœŚ”Śƒ

      GenĂšse 28

      3 Ś•Ö°ŚÖ”Ö€Śœ Ś©ŚÖ·Ś“֌ַŚ™Ö™ Ś™Ö°Ś‘ÖžŚšÖ”ÖŁŚšÖ° ŚÖčÖœŚȘÖ°ŚšÖžÖ” Ś•Ö°Ś™Ö·Ś€Ö°ŚšÖ°ŚšÖžÖ– Ś•Ö°Ś™Ö·ŚšÖ°Ś‘֌ֶ֑ŚšÖž Ś•Ö°Ś”ÖžŚ™ÖŽÖ–Ś™ŚȘÖž ŚœÖŽŚ§Ö°Ś”Ö·Ö„Śœ ŚąÖ·ŚžÖŒÖŽÖœŚ™ŚŚƒ

      EsaĂŻe 43

      6 ŚÖ茞ַրŚš ŚœÖ·ŚŠÖŒÖžŚ€Ś•Ö覟֙ ŚȘ֌֔֔Ś ÖŽŚ™ Ś•ÖŒŚœÖ°ŚȘÖ”Ś™ŚžÖžÖ–ŚŸ ŚÖ·ŚœÖŸŚȘ֌֎Ś›Ö°ŚœÖžÖ‘ŚÖŽŚ™ Ś”ÖžŚ‘ÖŽÖ€Ś™ŚÖŽŚ™ Ś‘ÖžŚ Ö·Ś™Ö™ ŚžÖ”ŚšÖžŚ—Ö”Ś•Ö茧 Ś•ÖŒŚ‘Ö°Ś Ś•ÖčŚȘַ֖Ś™ ŚžÖŽŚ§Ö°ŚŠÖ”Ö„Ś” Ś”ÖžŚÖžÖœŚšÖ¶Ś„Śƒ

      EsaĂŻe 44

      7 Ś•ÖŒŚžÖŽÖœŚ™ÖŸŚ›ÖžŚžÖŁŚ•Ö茠֎Ś™ Ś™ÖŽŚ§Ö°ŚšÖžÖ—Ś Ś•Ö°Ś™Ö·Ś’֌֎Ś™Ś“Ö¶Ö€Ś”Öž Ś•Ö°Ś™Ö·ŚąÖ°ŚšÖ°Ś›Ö¶Ö™Ś”ÖžÖ™ ŚœÖŽÖ”Ś™ ŚžÖŽŚ©Ś‚ÖŒŚ•ÖŒŚžÖŽÖ–Ś™ ŚąÖ·ŚÖŸŚąŚ•Ö覜־֑Ś Ś•Ö°ŚÖčŚȘÖŽŚ™ÖŒÖ›Ś•ÖčŚȘ Ś•Ö·ŚÖČŚ©ŚÖ¶Ö„Śš ŚȘ֌֞Ś‘Öč֖ŚŚ ÖžŚ” Ś™Ö·Ś’֌֎քŚ™Ś“Ś•ÖŒ ŚœÖžÖœŚžŚ•Ö范

      EsaĂŻe 48

      13 ŚÖ·ŚŁÖŸŚ™ÖžŚ“ÖŽŚ™Ö™ Ś™ÖžÖŁŚĄÖ°Ś“ÖžŚ” ŚÖ¶Ö”ŚšÖ¶Ś„ Ś•ÖŽÖœŚ™ŚžÖŽŚ™Ś ÖŽÖ–Ś™ Ś˜ÖŽŚ€ÖŒÖ°Ś—ÖžÖŁŚ” Ś©ŚÖžŚžÖžÖ‘Ś™ÖŽŚ Ś§Ö茚֔քŚ ŚÖČŚ ÖŽÖ›Ś™ ŚÖČŚœÖ”Ś™Ś”Ö¶Ö–Ś Ś™Ö·ŚąÖ·ŚžÖ°Ś“Ö„Ś•ÖŒ Ś™Ö·Ś—Ö°Ś“֌֞֜Ś•Śƒ

      EsaĂŻe 49

      12 Ś”ÖŽŚ ÖŒÖ”Ś”ÖŸŚÖ”֕ŚœÖŒÖ¶Ś” ŚžÖ”ŚšÖžŚ—Ö–Ś•Ö茧 Ś™ÖžŚ‘Öč֑ŚŚ•ÖŒ Ś•Ö°Ś”ÖŽÖœŚ ÖŒÖ”Ś”ÖŸŚÖ”֙ŚœÖŒÖ¶Ś”Ö™ ŚžÖŽŚŠÖŒÖžŚ€ÖŁŚ•Ö覟 Ś•ÖŒŚžÖŽŚ™ÖŒÖžÖ”Ś Ś•Ö°ŚÖ”֖ŚœÖŒÖ¶Ś” ŚžÖ”ŚÖ¶Ö„ŚšÖ¶Ś„ ŚĄÖŽŚ™Ś ÖŽÖœŚ™ŚŚƒ

      EsaĂŻe 55

      12 Ś›ÖŒÖŽÖœŚ™ÖŸŚ‘Ö°Ś©Ś‚ÖŽŚžÖ°Ś—ÖžÖŁŚ” ŚȘÖ”ŚŠÖ”֔ŚŚ•ÖŒ Ś•ÖŒŚ‘Ö°Ś©ŚÖžŚœÖ–Ś•Ö覝 ŚȘ֌֜Ś•ÖŒŚ‘ÖžŚœÖ‘Ś•ÖŒŚŸ Ś”Ö¶Ś”ÖžŚšÖŽÖŁŚ™Ś Ś•Ö°Ś”Ö·Ś’֌ְŚ‘ÖžŚąÖ—Ś•ÖčŚȘ Ś™ÖŽŚ€Ö°ŚŠÖ°Ś—Ö€Ś•ÖŒ ŚœÖŽŚ€Ö°Ś Ö”Ś™Ś›Ö¶ŚÖ™ ŚšÖŽŚ ÖŒÖžÖ”Ś” Ś•Ö°Ś›ÖžŚœÖŸŚąÖČŚŠÖ”Ö„Ś™ Ś”Ö·Ś©Ś‚֌֞Ś“Ö¶Ö–Ś” Ś™ÖŽŚžÖ°Ś—ÖČŚŚ•ÖŒÖŸŚ›ÖžÖœŚŁŚƒ

      Matthieu 3

      9 Îșα᜶ Όᜎ ΎόΟητΔ λέγΔÎčÎœ ጐΜ áŒ‘Î±Ï…Ï„Îżáż–Ï‚Î‡ Πατέρα áŒ”Ï‡ÎżÎŒÎ”Îœ τ᜞Μ ገÎČÏÎ±ÎŹÎŒ, Î»Î­ÎłÏ‰ Îłáœ°Ï áœ‘ÎŒáż–Îœ ᜅτÎč ΎύΜαταÎč ᜁ ΞΔ᜞ς ጐÎș Ï„áż¶Îœ Î»ÎŻÎžÏ‰Îœ Ï„ÎżÏÏ„Ï‰Îœ áŒÎłÎ”áż–ÏÎ±Îč τέÎșΜα Ï„áż· ገÎČÏÎ±ÎŹÎŒ.

      Jean 5

      21 ᜄσπΔρ Îłáœ°Ï ᜁ πατᜎρ áŒÎłÎ”ÎŻÏÎ”Îč Ï„Îżáœșς ΜΔÎșÏÎżáœșς Îșα᜶ Î¶áżłÎżÏ€ÎżÎčΔῖ, Îżáœ•Ï„Ï‰Ï‚ Îșα᜶ ᜁ υጱ᜞ς Îżáœ“Ï‚ ΞέλΔÎč Î¶áżłÎżÏ€ÎżÎčΔῖ.
      25 ገΌᜎΜ ጀΌᜎΜ Î»Î­ÎłÏ‰ áœ‘ÎŒáż–Îœ ᜅτÎč ጔρχΔταÎč ᜄρα Îșα᜶ ÎœáżŠÎœ ጐστÎčÎœ ᜅτΔ ÎżáŒ± ΜΔÎșÏÎżáœ¶ ጀÎșÎżÏÏƒÎżÏ…ÏƒÎčÎœ Ï„áż†Ï‚ Ï†Ï‰Îœáż†Ï‚ Ï„ÎżáżŠ Ï…áŒ±ÎżáżŠ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ Îșα᜶ ÎżáŒ± ጀÎșÎżÏÏƒÎ±ÎœÏ„Î”Ï‚ Î¶ÎźÏƒÎżÏ…ÏƒÎčÎœ.

      Jean 6

      63 τ᜞ Ï€ÎœÎ”áżŠÎŒÎŹ ጐστÎčÎœ τ᜞ Î¶áżłÎżÏ€ÎżÎčÎżáżŠÎœ, áŒĄ σᜰρΟ ÎżáœÎș áœ Ï†Î”Î»Î”áż– ÎżáœÎŽÎ­ÎœÎ‡ τᜰ áż„ÎźÎŒÎ±Ï„Î± ጃ áŒÎłáœŒ λΔλΏληÎșα áœ‘ÎŒáż–Îœ Ï€ÎœÎ”áżŠÎŒÎŹ ጐστÎčÎœ Îșα᜶ Î¶Ï‰Îź ጐστÎčÎœ.

      Actes 15

      18 ÎłÎœÏ‰ÏƒÏ„áœ° ጀπ’ Î±áŒ°áż¶ÎœÎżÏ‚.

      Romains 3

      29 áŒą áŒžÎżÏ…ÎŽÎ±ÎŻÏ‰Îœ ᜁ ΞΔ᜞ς ÎŒÏŒÎœÎżÎœ; ÎżáœÏ‡áœ¶ Îșα᜶ áŒÎžÎœáż¶Îœ; Μα᜶ Îșα᜶ áŒÎžÎœáż¶Îœ,

      Romains 4

      2 Δጰ Îłáœ°Ï ገÎČραᜰΌ ጐΟ áŒ”ÏÎłÏ‰Îœ ጐΎÎčÎșαÎčώΞη, ጔχΔÎč ÎșαύχηΌα· ጀλλ’ Îżáœ πρ᜞ς ΞΔόΜ,
      17 ÎșαΞᜌς ÎłÎ­ÎłÏÎ±Ï€Ï„Î±Îč ᜅτÎč Πατέρα Ï€ÎżÎ»Î»áż¶Îœ áŒÎžÎœáż¶Îœ τέΞΔÎčÎșÎŹ σΔ), ÎșατέΜαΜτÎč Îżáœ— áŒÏ€ÎŻÏƒÏ„Î”Ï…ÏƒÎ”Îœ ΞΔοῊ Ï„ÎżáżŠ Î¶áżłÎżÏ€ÎżÎčÎżáżŠÎœÏ„ÎżÏ‚ Ï„Îżáœșς ΜΔÎșÏÎżáœșς Îșα᜶ ÎșÎ±Î»ÎżáżŠÎœÏ„ÎżÏ‚ τᜰ Όᜎ ᜄΜτα áœĄÏ‚ ᜄΜτα·

      Romains 8

      11 Δጰ ÎŽáœČ τ᜞ Ï€ÎœÎ”áżŠÎŒÎ± Ï„ÎżáżŠ áŒÎłÎ”ÎŻÏÎ±ÎœÏ„ÎżÏ‚ τ᜞Μ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÎœ ጐÎș ΜΔÎșÏáż¶Îœ ÎżáŒ°ÎșΔῖ ጐΜ áœ‘ÎŒáż–Îœ, ᜁ áŒÎłÎ”ÎŻÏÎ±Ï‚ ጐÎș ΜΔÎșÏáż¶Îœ ΧρÎčστ᜞Μ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠÎœ Î¶áżłÎżÏ€ÎżÎčÎźÏƒÎ”Îč Îșα᜶ τᜰ ΞΜητᜰ σώΌατα áœ‘ÎŒáż¶Îœ ÎŽÎčᜰ τ᜞ áŒÎœÎżÎčÎșÎżáżŠÎœ Î±áœÏ„ÎżáżŠ Ï€ÎœÎ”áżŠÎŒÎ± ጐΜ áœ‘ÎŒáż–Îœ.
      29 ᜅτÎč Îżáœ“Ï‚ Ï€ÏÎżÎ­ÎłÎœÏ‰, Îșα᜶ Ï€ÏÎżÏŽÏÎčσΔΜ ÏƒÏ…ÎŒÎŒÏŒÏÏ†ÎżÏ…Ï‚ Ï„áż†Ï‚ ΔጰÎșÏŒÎœÎżÏ‚ Ï„ÎżáżŠ Ï…áŒ±ÎżáżŠ Î±áœÏ„ÎżáżŠ, Δጰς τ᜞ ΔጶΜαÎč αᜐτ᜞Μ Ï€ÏÏ‰Ï„ÏŒÏ„ÎżÎșÎżÎœ ጐΜ Ï€ÎżÎ»Î»Îżáż–Ï‚ áŒ€ÎŽÎ”Î»Ï†Îżáż–Ï‚Î‡
      30 Îżáœ“Ï‚ ÎŽáœČ Ï€ÏÎżÏŽÏÎčσΔΜ, Ï„ÎżÏÏ„ÎżÏ…Ï‚ Îșα᜶ ጐÎșÎŹÎ»Î”ÏƒÎ”ÎœÎ‡ Îșα᜶ Îżáœ“Ï‚ ጐÎșÎŹÎ»Î”ÏƒÎ”Îœ, Ï„ÎżÏÏ„ÎżÏ…Ï‚ Îșα᜶ ጐΎÎčÎșÎ±ÎŻÏ‰ÏƒÎ”ÎœÎ‡ Îżáœ“Ï‚ ÎŽáœČ ጐΎÎčÎșÎ±ÎŻÏ‰ÏƒÎ”Îœ, Ï„ÎżÏÏ„ÎżÏ…Ï‚ Îșα᜶ ጐΎόΟασΔΜ.

      Romains 9

      26 Îșα᜶ ጔσταÎč ጐΜ Ï„áż· Ï„ÏŒÏ€áżł Îżáœ— ጐρρέΞη Î±áœÏ„Îżáż–Ï‚Î‡ Οᜐ λαός ÎŒÎżÏ… áœ‘ÎŒÎ”áż–Ï‚, ጐÎșΔῖ ÎșÎ»Î·ÎžÎźÏƒÎżÎœÏ„Î±Îč Ï…áŒ±Îżáœ¶ ΞΔοῊ Î¶áż¶ÎœÏ„ÎżÏ‚.

      1 Corinthiens 1

      28 Îșα᜶ τᜰ áŒ€ÎłÎ”Îœáż† Ï„ÎżáżŠ ÎșÏŒÏƒÎŒÎżÏ… Îșα᜶ τᜰ áŒÎŸÎżÏ…ÎžÎ”ÎœÎ·ÎŒÎ­ÎœÎ± áŒÎŸÎ”Î»Î­ÎŸÎ±Ï„Îż ᜁ ΞΔός, τᜰ Όᜎ ᜄΜτα, ጔΜα τᜰ ᜄΜτα ÎșÎ±Ï„Î±ÏÎłÎźÏƒáżƒ,

      1 Corinthiens 15

      45 Îżáœ•Ï„Ï‰Ï‚ Îșα᜶ ÎłÎ­ÎłÏÎ±Ï€Ï„Î±Îč· áŒ˜ÎłÎ­ÎœÎ”Ï„Îż ᜁ Ï€Ïáż¶Ï„ÎżÏ‚ áŒ„ÎœÎžÏÏ‰Ï€ÎżÏ‚ ገΎᜰΌ Δጰς ψυχᜎΜ Î¶áż¶ÏƒÎ±ÎœÎ‡ ᜁ áŒ”ÏƒÏ‡Î±Ï„ÎżÏ‚ ገΎᜰΌ Δጰς Ï€ÎœÎ”áżŠÎŒÎ± Î¶áżłÎżÏ€ÎżÎčÎżáżŠÎœ.

      Ephésiens 2

      1 Κα᜶ ᜑΌ៶ς ᜄΜτας ΜΔÎșÏÎżáœșς Ï„Îżáż–Ï‚ παραπτώΌασÎčÎœ Îșα᜶ Ï„Î±áż–Ï‚ áŒÎŒÎ±ÏÏ„ÎŻÎ±Îčς áœ‘ÎŒáż¶Îœ,
      2 ጐΜ αጷς Ï€ÎżÏ„Î” πΔρÎčÎ”Ï€Î±Ï„ÎźÏƒÎ±Ï„Î” Îșατᜰ τ᜞Μ Î±áŒ°áż¶ÎœÎ± Ï„ÎżáżŠ ÎșÏŒÏƒÎŒÎżÏ… Ï„ÎżÏÏ„ÎżÏ…, Îșατᜰ τ᜞Μ áŒ„ÏÏ‡ÎżÎœÏ„Î± Ï„áż†Ï‚ áŒÎŸÎżÏ…ÏƒÎŻÎ±Ï‚ Ï„ÎżáżŠ áŒ€Î­ÏÎżÏ‚, Ï„ÎżáżŠ Ï€ÎœÎ”ÏÎŒÎ±Ï„ÎżÏ‚ Ï„ÎżáżŠ ÎœáżŠÎœ áŒÎœÎ”ÏÎłÎżáżŠÎœÏ„ÎżÏ‚ ጐΜ Ï„Îżáż–Ï‚ Ï…áŒ±Îżáż–Ï‚ Ï„áż†Ï‚ ጀπΔÎčÎžÎ”ÎŻÎ±Ï‚Î‡
      3 ጐΜ ÎżáŒ·Ï‚ Îșα᜶ áŒĄÎŒÎ”áż–Ï‚ Ï€ÎŹÎœÏ„Î”Ï‚ áŒ€ÎœÎ”ÏƒÏ„ÏÎŹÏ†Î·ÎŒÎ­Îœ Ï€ÎżÏ„Î” ጐΜ Ï„Î±áż–Ï‚ ጐπÎčÎžÏ…ÎŒÎŻÎ±Îčς Ï„áż†Ï‚ σαρÎș᜞ς áŒĄÎŒáż¶Îœ, Ï€ÎżÎčÎżáżŠÎœÏ„Î”Ï‚ τᜰ ÎžÎ”Î»ÎźÎŒÎ±Ï„Î± Ï„áż†Ï‚ σαρÎș᜞ς Îșα᜶ Ï„áż¶Îœ ÎŽÎčÎ±ÎœÎżÎčáż¶Îœ, Îșα᜶ ጀΌΔΞα τέÎșΜα φύσΔÎč áœ€ÏÎłáż†Ï‚ áœĄÏ‚ Îșα᜶ ÎżáŒ± λοÎčÏ€ÎżÎŻÎ‡
      4 ᜁ ÎŽáœČ ΞΔ᜞ς Ï€Î»ÎżÏÏƒÎčÎżÏ‚ áœąÎœ ጐΜ ጐλέΔÎč, ÎŽÎčᜰ τᜎΜ Ï€ÎżÎ»Î»áœŽÎœ áŒ€ÎłÎŹÏ€Î·Îœ Î±áœÏ„ÎżáżŠ áŒŁÎœ áŒ ÎłÎŹÏ€Î·ÏƒÎ”Îœ áŒĄÎŒáŸ¶Ï‚,
      5 Îșα᜶ ᜄΜτας áŒĄÎŒáŸ¶Ï‚ ΜΔÎșÏÎżáœșς Ï„Îżáż–Ï‚ παραπτώΌασÎčÎœ ÏƒÏ…ÎœÎ”Î¶Ï‰ÎżÏ€ÎżÎŻÎ·ÏƒÎ”Îœ Ï„áż· ΧρÎčÏƒÏ„áż· — Ï‡ÎŹÏÎčÏ„ÎŻ ጐστΔ ÏƒÎ”ÏƒáżłÏƒÎŒÎ­ÎœÎżÎč —

      1 Timothée 6

      13 Ï€Î±ÏÎ±ÎłÎłÎ­Î»Î»Ï‰ ÏƒÎżÎč ጐΜώπÎčÎżÎœ Ï„ÎżáżŠ ΞΔοῊ Ï„ÎżáżŠ Î¶áżłÎżÎłÎżÎœÎżáżŠÎœÏ„ÎżÏ‚ τᜰ Ï€ÎŹÎœÏ„Î± Îșα᜶ ΧρÎčÏƒÏ„ÎżáżŠ áŒžÎ·ÏƒÎżáżŠ Ï„ÎżáżŠ ÎŒÎ±ÏÏ„Ï…ÏÎźÏƒÎ±ÎœÏ„ÎżÏ‚ ጐπ᜶ Î ÎżÎœÏ„ÎŻÎżÏ… ΠÎčÎ»ÎŹÏ„ÎżÏ… τᜎΜ ÎșαλᜎΜ áœÎŒÎżÎ»ÎżÎłÎŻÎ±Îœ,

      HĂ©breux 11

      7 Ï€ÎŻÏƒÏ„Î”Îč χρηΌατÎčσΞΔ᜶ς Îáż¶Î” πΔρ᜶ Ï„áż¶Îœ ΌηΎέπω ÎČÎ»Î”Ï€ÎżÎŒÎ­ÎœÏ‰Îœ ΔᜐλαÎČηΞΔ᜶ς ÎșατΔσÎșΔύασΔΜ ÎșÎčÎČωτ᜞Μ Δጰς ÏƒÏ‰Ï„Î·ÏÎŻÎ±Îœ Ï„ÎżáżŠ ÎżáŒŽÎșÎżÏ… Î±áœÏ„ÎżáżŠ, ÎŽÎč’ ጧς ÎșατέÎșρÎčΜΔΜ τ᜞Μ ÎșÏŒÏƒÎŒÎżÎœ, Îșα᜶ Ï„áż†Ï‚ Îșατᜰ Ï€ÎŻÏƒÏ„ÎčÎœ ÎŽÎčÎșαÎčÎżÏƒÏÎœÎ·Ï‚ áŒÎłÎ­ÎœÎ”Ï„Îż ÎșÎ»Î·ÏÎżÎœÏŒÎŒÎżÏ‚.
      12 ÎŽÎč᜞ Îșα᜶ ጀφ’ ጑Μ᜞ς áŒÎłÎ”ÎœÎœÎźÎžÎ·ÏƒÎ±Îœ, Îșα᜶ Ï„Î±áżŠÏ„Î± ΜΔΜΔÎșÏÏ‰ÎŒÎ­ÎœÎżÏ…, ÎșαΞᜌς τᜰ ጄστρα Ï„ÎżáżŠ ÎżáœÏÎ±ÎœÎżáżŠ Ï„áż· Ï€Î»ÎźÎžÎ”Îč Îșα᜶ áœĄÏ‚ áŒĄ áŒ„ÎŒÎŒÎżÏ‚ áŒĄ παρᜰ τ᜞ Ï‡Î”áż–Î»ÎżÏ‚ Ï„áż†Ï‚ ÎžÎ±Î»ÎŹÏƒÏƒÎ·Ï‚ áŒĄ áŒ€ÎœÎ±ÏÎŻÎžÎŒÎ·Ï„ÎżÏ‚.

      1 Pierre 2

      10 ÎżáŒ” Ï€ÎżÏ„Î” Îżáœ λα᜞ς ÎœáżŠÎœ ÎŽáœČ λα᜞ς ΞΔοῊ, ÎżáŒ± ÎżáœÎș áŒ Î»Î”Î·ÎŒÎ­ÎœÎżÎč ÎœáżŠÎœ ÎŽáœČ ጐλΔηΞέΜτΔς.

      2 Pierre 3

      8 ጛΜ ÎŽáœČ Ï„ÎżáżŠÏ„Îż Όᜎ λαΜΞαΜέτω ᜑΌ៶ς, áŒ€ÎłÎ±Ï€Î·Ï„ÎżÎŻ, ᜅτÎč ÎŒÎŻÎ± áŒĄÎŒÎ­ÏÎ± παρᜰ ÎșÏ…ÏÎŻáżł áœĄÏ‚ Ï‡ÎŻÎ»Îčα ጔτη Îșα᜶ Ï‡ÎŻÎ»Îčα ጔτη áœĄÏ‚ áŒĄÎŒÎ­ÏÎ± ÎŒÎŻÎ±.
      Hébreu : © Westminster Leningrad Codex - tanach.us --- Grec : © 2010 by the Society of Biblical Literature and Logos Bible Software - sblgnt.com
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