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Romains 6.12

Que le péché ne règne donc pas dans votre corps mortel, et n’obéissez pas à ses convoitises.
Donc le péché ne doit plus avoir de pouvoir sur votre corps qui mourra un jour, et vous ne devez plus obéir aux désirs mauvais de votre corps.
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      Nombres 33

      Deutéronome 7

      Josué 23

      Juges 2

      Psaumes 19

      Psaumes 119

      Romains 2

      Romains 5

      Romains 6

      16 Tout homme est serviteur d’un maître, auquel il doit rendre des comptes, qu’il s’agisse des culpabilités de son cœur, qui conduisent à la mort, ou de l'obéissance nouvelle et spirituelle implantée par la régénération.

      Dans ce texte, l'apôtre se réjouit de voir les nouveaux convertis obéir de tout cœur à l'Évangile, auquel ils se conforment en tous points. De même que du métal prenant la forme d’un vase neuf, quand il est fondu et versé dans un moule, le croyant, né de nouveau, devient une autre créature. Il y a ainsi une grande différence dans la liberté de pensée de l’impie et l'esprit du croyant : ils sont opposés quant à leur « esclavage » ; cela permet au véritable chrétien, assurant le service de son Seigneur légitime, de Le considérer comme son Père, tout en sachant qu’il est lui-même Son fils et Son héritier, par l'adoption de la Grâce.

      Quand on est dominé par le péché, on en devient esclave, volontairement, sans en détester, hélas, le pouvoir néfaste. Ceux qui sont maintenant serviteurs de Dieu, étaient jadis esclaves du péché.

      Romains 7

      23 Ce texte ne présente pas l'apôtre comme pratiquant les œuvres de la chair, mais comme quelqu'un aspirant puissamment à marcher selon l’Esprit.

      Si certaines personnes interprètent volontairement mal ce passage, (comme d’ailleurs d’autres textes de l’Écriture), courant ainsi à leur propre destruction, les chrétiens véritables, quant à eux, y trouvent le motif de bénir Dieu, qui leur a apporté le réconfort et la consolation spirituels.

      Nous ne devons pas, contrairement à ceux qui sont aveuglés par leurs propres convoitises, chercher des fautes éventuelles dans la Parole de Dieu ; recherchons uniquement l’interprétation correcte des textes. Celui qui n'est pas engagé dans le conflit spirituel entre la chair et l’Esprit, ne peut comprendre clairement la signification de ce texte, ne pouvant juger exactement le conflit douloureux qui rongeait le cœur de l'apôtre, le conduisant à pleurer, tel un misérable, contraint à pratiquer encore le péché.

      Paul constatait qu’il était incapable de se délivrer lui-même de cette situation, ce qui le poussait à remercier Dieu avec ferveur de lui avoir révélé le chemin du salut, par le biais de Jésus-Christ, avec la promesse de délivrance de « l’ennemi » qui le poussait sans cesse à commettre l‘iniquité. Alors, dit-il : « je suis moi-même, par mon esprit, ma conscience, mes affections et mes buts, un homme régénéré par la Grâce divine, qui sert la loi de Dieu et lui obéit ; mais avec la chair, ma nature charnelle et les restes de sa dépravation, je sers la loi du péché, qui fait la guerre à la loi de mon esprit ».

      L’apôtre ne « servait » pas son ancienne nature en vivant délibérément en elle, mais il était incapable, même avec la meilleure volonté, de se libérer de cette servitude, éprouvant néanmoins le besoin de chercher de l'aide et la délivrance du ciel. Il est évident qu'il remercie Dieu pour Christ, notre Libérateur, Celui qui a expié nos péchés, Celui qui est notre Justice. Paul, avant sa conversion, ne connaissait pas l’existence d’un tel salut et se sentait indigne d’y accéder. Il était disposé à agir en tous points selon la loi, avec une bonne conscience, mais il en était empêché par son péché : il ne pouvait donc atteindre la perfection que la loi exige.

      Peut-il y avoir une délivrance, pour un homme toujours coupable, si ce n'est par la Grâce de Dieu, offerte par Jésus-Christ ? Le pouvoir de la Grâce divine et du Saint-Esprit aurait pu autoritairement « déraciner » le péché de notre cœur, mais la sagesse divine avait prévu d’agir autrement. Dieu a estimé que les chrétiens doivent ressentir constamment l'état misérable dans lequel ils se trouvent, sachant que seule la Grâce divine est capable de les sauver ; les enfants de Dieu doivent se garder de leur confiance en eux-mêmes ; ils doivent toujours tirer leur consolation et leur espérance dans la Grâce merveilleuse et gratuite de Dieu, en Christ !

      Romains 8

      Romains 13

      1 Corinthiens 15

      2 Corinthiens 4

      2 Corinthiens 5

      Galates 5

      16 Si nous prenons bien soin d'agir sous l’égide et la puissance de l'Esprit, bien que nous ne puissions pas être complètement libérés des diverses tentations et risques de corruption dus à notre nature corrompue, ces derniers ne pourront pas prévaloir sur nous.

      Les croyants sont engagés dans un véritable « conflit » : ils désirent vraiment que la Grâce puisse les conduire vers une victoire totale et rapide. Ceux qui désirent être véritablement conduits par le Saint-Esprit, ne sont plus sous le régime de la loi, avec les ordonnances qu’elle réclame, ni exposés à sa terrible malédiction. Leur haine du péché, et leurs désirs de sainteté, montrent qu'ils ont une part dans le salut offert par l'Évangile.

      Les œuvres de la chair sont nombreuses et manifestes. Les péchés qu’elles comportent ferment les « portes du ciel » aux hommes. Cependant, combien voit-on de personnes qui professent être chrétiennes, annonçant leur espérance pour le ciel, tout en vivant dans le péché !

      Le « fruit de l'Esprit », ou de la nature renouvelée que nous revêtons, est nommé dans ce texte. Comme l'apôtre avait nommé préalablement les œuvres de la chair, non seulement nuisibles à ceux qui les pratiquent, mais aussi pour leur entourage, de la même façon, dans ce texte, il remarque principalement le fruit de l'Esprit, qui tend à rendre les chrétiens heureux, à titre personnel, mais aussi sur le plan fraternel.

      Le fruit de l'Esprit montre clairement que de tels chrétiens sont menés par le Saint-Esprit. En décrivant les œuvres de la chair et le fruit de l'Esprit, il nous est enseigné ce que nous devons éviter, ce à quoi nous devons nous opposer, et ce que nous devons chérir et « cultiver » ; ce type de conduite doit être effectué avec un cœur sincère, conformément aux principes de la véritable vie chrétienne : le péché ne règne plus désormais dans notre corps mortel, nous ne devons plus lui céder quoi que ce soit, Romains 6:12, mais chercher à l’endiguer.

      Christ ne « possédera » jamais ceux qui veulent rester des « serviteurs » du péché. Il n'est pas suffisant que nous cessions de pratiquer le mal, nous devons aussi apprendre à faire le bien. La nature de nos conversations témoignera toujours des principes spirituels qui nous animent et nous gouvernent, Romains 8:5. Nous devons chercher sérieusement à mortifier les vaines actions de notre corps mortel, pour marcher en nouveauté de vie. Non pas en étant désireux des honneurs et de la gloire de ce monde, mais en n’excitant aucune provocation ni jalousie, et en cherchant à donner abondamment les bons fruits qui proviennent de la vie « en » Jésus-Christ, à la louange et à la gloire de Dieu !

      Ephésiens 2

      Ephésiens 4

      1 Thessaloniciens 4

      2 Timothée 2

      22 Plus nous nous efforcerons de pratiquer le bien, plus nous nous éloignerons rapidement du mal. Le fait d'entretenir une communion spirituelle avec les « saints », nous détachera de toute association avec les œuvres stériles des ténèbres.

      Remarquez le nombre de fois où l'apôtre Paul nous avertit de veiller à tous les différends qui peuvent survenir dans l’exercice de la piété ! Ceci démontre d'une façon certaine, que cette dernière consiste à croire et pratiquer ce que Dieu demande, plutôt que de vaquer à la poursuite de vains débats.

      Ceux qui sont enclins aux disputes, à la violence et à l’orgueil, sont inaptes à l'enseignement. L'enseignement, au contraire de la persécution, est ce qui caractérise les « agissements spirituels » de l'Écriture pour contrer ceux qui se trouvent dans l'erreur. Dieu, qui nous permet de découvrir la Vérité, nous apporte, par Sa Grâce, l’opportunité de Le connaître ; si tel n’était pas le cas, notre cœur continuerait à se rebeller contre Lui.

      Il n'y a pas de « peut-être » dans les propos divins, au sujet de ceux qui se repentent ; toutefois, nous ne pouvons pas dire que Dieu accordera le repentir à ceux qui s'opposent à Sa Volonté.

      Les pécheurs, de manière imagée, sont pris dans le pire des filets : celui du diable ; ils deviennent en fait les esclaves de Celui-ci.

      Si certains espèrent une délivrance, qu'ils se souviennent qu'ils ne pourront jamais s'échapper de ce piège, excepté par la repentance, qui est le don de Dieu ; ils devront demander cette délivrance à Dieu, en persévérant par de ferventes prières.

      Tite 2

      Tite 3

      Jacques 1

      Jacques 4

      1

      Avertissements contre les affections corrompues et l'amour de ce monde, qui ne sont qu'inimitié envers Dieu. (Jacques 4:1-10)
      Exhortations à ne pas entreprendre d'affaires sans un regard constant vers la Volonté et la Providence divines. (Jacques 4:11-17)

      Toutes les guerres et combats divers provenant de la corruption de notre cœur, il est juste de mortifier cette dernière, qui ne cherche qu’à satisfaire notre convoitise, même au sein de l'église.

      Les convoitises mondaines et charnelles ne sont que des « onguents » ; elles sont vaines et ne procurent ni contentement, ni satisfaction. Les désirs et les affections coupables nuisent à la prière et à notre communion avec Dieu.

      Gardons-nous d’abuser de la Miséricorde, lorsque nos prières sont exaucées. Quand les hommes demandent à Dieu la prospérité, ils la demandent fréquemment, avec de mauvaises intentions. Si nous ne recherchons que les intérêts de ce monde, il est tout-à-fait juste que Dieu nous les refuse. Les vains désirs, incrédules, ne provoquent que le refus céleste ; nous pouvons alors être certains que ces prière, exprimées au Seigneur par notre convoitise, ne seront jamais exaucées.

      Ce texte nous donne un avertissement : éviter toute amitié criminelle avec ce monde. L'amour du monde est en effet dirigé contre Dieu. Des ennemis peuvent se réconcilier, sauf si de l’inimitié les sépare. Un homme peut prendre une grande part dans les entreprises ici-bas, tout en étant cependant fidèle à l'Amour de Dieu ; mais celui qui donne son cœur au monde, lui réservant toutes les priorités, est en fait un ennemi de Dieu. Tous ceux qui prennent la résolution de rester « amis » avec le monde, sont obligatoirement ennemis de Dieu.

      Les Juifs, à l’époque de l’apôtre, et ceux qui enseignaient de fausses doctrines, pouvaient-ils penser que l'Écriture parle en vain, contre cet esprit du monde ? Le Saint-Esprit, qui demeure en tout chrétien, la nouvelle nature qu'Il crée en lui, pouvaient-ils produire un tel fruit d’égarement spirituel ? En fait, la corruption du cœur se révèle par la jalousie...

      L'esprit du monde nous apprend à tout accumuler, ou abandonner, selon nos propres convoitises ; Dieu, par le Saint-Esprit, nous apprend à croître spirituellement, selon nos capacités. La Grâce de Dieu corrigera et guérira notre esprit et notre mauvaise nature ; là où Il accorde la Grâce, Il accorde aux Siens un esprit différent de celui qui anime le monde.

      Les orgueilleux résistent à Dieu : dans leur « univers », ils résistent aux Vérités et aux lois divines ; pour assouvir leurs passions, ils résistent à la Providence ; il n'est donc pas étonnant que Dieu résiste aux orgueilleux... Quel misérable état peut-on constater chez ceux qui font de Dieu leur ennemi ! Dieu accordera davantage de Grâce aux humbles qui reconnaissent leur besoin de Son action divine ; ils prient à cet effet et expriment leur reconnaissance au ciel, pour tout ce qu'ils obtiennent.

      Soumettez-vous donc à Dieu, verset Jacques 4:7. Soumettez votre esprit à la vérité de Dieu ; soumettez votre volonté à Ses préceptes, à Sa Providence. Soumettez-vous à Dieu, car Il est prêt à vous faire du bien !

      Si nous cédons aux tentations, le diable sera continuellement près de nous ; mais si nous avons revêtu « l'armure de Dieu », si nous résistons fermement à « l’ennemi », il nous laissera. Que les pécheurs se soumettent alors à Dieu, en recherchant Sa Grâce et Sa faveur, en résistant au diable.

      On doit se lamenter devant tout péché ; ici-bas, avec un « pieux chagrin », ou plus tard, dans la détresse éternelle. Le Seigneur ne refusera jamais de consoler celui qui pleure vraiment sur son péché, ni d'élever celui qui s'humilie devant Lui !

      1 Pierre 1

      1 Pierre 2

      11 Même les meilleurs des hommes pieux, « la génération choisie », « le peuple de Dieu », ont besoin d'être exhortés pour se garder des pires iniquités. Les convoitises charnelles sont les plus destructrices de l'âme. Un Jugement fâcheux les attend...

      Dieu s’approche des âmes, pour les appeler à la repentance, par Sa Parole et par Sa Grâce ; beaucoup Le glorifieront, et Son peuple, dans la voie de la sainteté, connaîtra un heureux changement !

      1 Pierre 4

      1 Jean 2

      15 Ce qui fait partie du monde peut être désiré et possédé en vue d’emplois et de buts que Dieu a prévus ; cela doit toutefois être utilisé selon Sa grâce et à Sa gloire !

      Les croyants ne doivent pas rechercher les attraits de ce monde, ni leur donner une valeur qui puisse donner prise au péché. Le monde place un obstacle entre le cœur et Dieu ; plus l'amour du monde prédomine, plus l'amour envers Dieu va s’amenuiser...

      Les convoitises du monde sont classées ainsi d'après les trois penchants principaux d'une nature dépravée : 1. Le désir de la chair, du corps : les mauvais désirs du cœur, l'envie de rechercher tout ce qui peut exciter et enflammer les plaisirs sensuels. 2. Le désir des yeux : les yeux prennent plaisir aux richesses et à l’avidité de posséder : c’est la cupidité. 3. La fierté, l'orgueil de la vie : un homme « vain » désire ardemment la grandeur et le faste d'une vie dont la gloire est pourtant sans issue ; ceci inclut la recherche acharnée des honneurs et des acclamations.

      Les attraits du monde se « fanent rapidement et finissent par disparaitre ; le désir coupable lui-même ne dure qu'un temps : il finit par s'éroder et disparaître, alors qu’une sainte affection perdure.

      L'amour de Dieu est éternel. De nombreux et vains efforts ont été tentés pour éviter la contrainte de ce texte, contourner ses limitations, ses distinctions ou ses exceptions. Beaucoup ont essayé de nous montrer jusqu'où peut aller l'esprit charnel et l'amour du monde ; mais la signification de ces versets est claire et ne peut être incomprise.

      Même si que ce désir de victoire sur le monde est ardent dans le cœur d’un homme, ce dernier n'a aucun fondement sur lequel s’appuyer et sa chute sera inéluctable ; il ne sera tout au plus qu’un être stérile. Cependant, les vanités et les convoitises du monde sont si attrayantes, que sans une prière assidue, nous ne pourrons échapper à cette « pente dangereuse », ni obtenir la victoire sur le prince du mal...

      Jude 1

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