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Romains 7.14

Oui, nous le savons, la loi vient de Dieu, mais moi, je suis un homme faible, vendu comme esclave au péché.
Nous savons que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis un être faible, vendu comme esclave au péché.
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      Genèse 37

      Genèse 40

      Exode 21

      Exode 22

      Lévitique 19

      Deutéronome 6

      1 Rois 21

      2 Rois 17

      Job 42

      Psaumes 51

      Psaumes 119

      25 Tandis que les âmes des enfants de ce monde vivent les choses terrestres, les enfants de lumière, eux, supportent le lourd fardeau de leurs origines charnelles, dans leur cœur.

      C'est un réconfort indescriptible pour l'âme de savoir que toutes nos requêtes sont perçues par le Dieu de grâce. Nous pouvons témoigner des merveilles de Son amour rédempteur quand nous percevons les sentiers de Ses préceptes et que nous les empruntons. Celui qui se repent est transi de douleur par son péché : l'esprit, dans la souffrance, peut ressentir le même sentiment et il est de son intérêt d'épancher son âme à Dieu.

      Le chemin du mensonge révèle tous les moyens par lesquels les hommes trompent leurs semblables, ou sont trompés par Satan et ses artifices. Ceux qui connaissent et qui aiment la loi du Seigneur, désirent en connaître davantage et l'aimer de plus en plus. Le chemin de la piété est le chemin de la vérité, le seul qui mène au bonheur : nous devons toujours l'avoir réellement en ligne de mire. Ceux qui observent la Parole de Dieu peuvent, par la foi, avoir toute espérance en Dieu. Seigneur, ne me laisse jamais faire des choses honteuses et ne rejette jamais mes œuvres pour Ton service. Ceux qui se rendent aux cieux devraient presser le pas. Dieu, par son Esprit, affermit le cœur de ses enfants lorsqu’il leur donne la sagesse. Le croyant prie pour être libéré de l'emprise du péché.

      Proverbes 30

      Esaïe 6

      Esaïe 50

      1

      Le refus des Juifs. (Esaïe 50:1-3)
      Les souffrances et l'exaltation du Messie. (Esaïe 50:4-9)
      Consolation du croyant ; Avertissement à l'incrédule. (Esaïe 50:10,11)

      Ceux qui ont professé faire partie du peuple de Dieu, semblent, en cas de chute, être traités sévèrement ; ils se plaignent, comme si Dieu avait été trop dur avec eux. Voici la réponse qui peut être donnée à de tels murmures : Dieu n'a jamais privé les Siens de leurs diverses bénédictions, excepté quand ils se sont livrés au péché.

      Les juifs furent envoyés à Babylone à cause de leur idolâtrie, péché qui a brisé l'alliance que l'Éternel avait faite avec eux ; ils ont été rejetés par ce Dernier, pour plus tard, crucifier le Seigneur de Gloire. Dieu les avait invités à abandonner leurs péchés, pour les préserver de la ruine. En dernier lieu, le Fils de Dieu est venu ici-bas, mais les Siens ne l'ont pas reçu.

      Quand Dieu appelle les hommes à la félicité spirituelle, et qu'ils ne répondent pas, ils sont alors laissés, livrés à eux-mêmes pour être malheureux.

      Pour éradiquer les doutes quant à Sa Puissance, Dieu apporte différentes preuves. Les événements qui eurent lieu pendant les douleurs et la mort du Seigneur, proclamèrent qu'Il était vraiment le Fils de Dieu, Matthieu 27:54 !

      Esaïe 52

      Esaïe 64

      6 Le peuple de Dieu, dans l'affliction, admet ses péchés; il se lamente, s'estimant parfaitement indigne de la Grâce divine. Le péché est ce qui est le plus abominable aux yeux du Seigneur, Il le déteste. Si nous pensons mériter la faveur divine par nos actes, quels qu'ils puissent être, nous nous fourvoyons : ils ne sont en fait que des « haillons » souillés, nous polluant et incapables de nous couvrir. Même les quelques bonnes œuvres que nous pourrions avoir accomplies, fussent-elles excellentes, en tant que fruits de l'Esprit, sont en fait bien menues : elles doivent être lavées dans la « fontaine spirituelle d'eaux vives », capable de laver le péché et l'impureté.

      La négligence de la prière n'est pas un bon présage. Prier, c'est, par la foi, implorer le Seigneur et réussir à obtenir la réalisation des promesses qu'Il nous a octroyées, selon Sa volonté bienveillante ; c'est aussi Le solliciter avec ferveur, pour qu'Il ne nous laisse pas errer ; c'est également solliciter Son retour.

      Les enfants d'Israël, par leur propre folie, furent confrontés à de terribles épreuves. Les pécheurs finissent par être anéantis, puis emportés par le « vent » de leur iniquité ; cette dernière les détruit petit à petit et les conduit à la ruine. Quand ils sont réduits à l'état d'immoralité ignoble, il ne faut pas s'étonner qu'ils deviennent répugnants aux yeux de Dieu.

      « Malgré notre folie, notre négligence et notre pauvre état méprisable, dus à notre péché, Tu es toujours notre Père céleste » : nous sommes toujours confrontés à la colère de ce Père, qui a malgré notre indignité, tout prévu pour que nous soyons réconciliés avec Lui ; toute notre délivrance ne peut provenir que de Lui.

      Les enfants d'Israël se référèrent à Dieu. Ils ne dirent pas : « Éternel, ne nous réprimande pas », malgré le fait que cela n'était nécessaire, mais ils s'exprimèrent ainsi : « Ne T'irrite pas ». En fait, ils reconnaissaient leur état lamentable. Remarquez la ruine, que le péché peut apporter sur un peuple ; une simple profession de sainteté ne sera vraiment d'aucune utilité.

      Le peuple de Dieu n'avait pas l'impertinence de masquer ses transgressions, il adressa cette prière à Dieu : « apporte-nous Ton réconfort et soulage les Tiens » !

      Combien peu de gens s'adressent au Seigneur de tout leur cœur, cherchant par tous les moyens à dépendre de Sa Personne ! Dieu peut mettre un certain temps à répondre à nos prières, mais en final, Il s'adressera toujours à ceux qui prient en Son Nom, dans l'espérance de Sa Miséricorde.

      Amos 2

      Matthieu 5

      Matthieu 16

      Matthieu 18

      Matthieu 22

      Luc 5

      Luc 7

      Luc 18

      Romains 7

      14 Comparé à la sainte règle de conduite de la loi, inhérente à la Parole de Dieu, l'apôtre constate son propre éloignement de la perfection spirituelle : il lui semblait être complètement charnel ; il pensait n’être qu’un homme, vendu contre son gré à un « maître détesté », duquel il ne pouvait obtenir la liberté.

      Un véritable chrétien sert involontairement ce maître honni ; il ne peut se débarrasser de cette servitude irritante, tant que son Ami puissant et plein de Grâce, Celui qui est au-dessus de toutes choses, ne vienne le délivrer. Le mal qui subsiste en son cœur est une réelle et humiliante entrave à son service pour Dieu, tel celui des anges.

      Les puissants propos de ce texte témoignent du grand avancement de Paul, dans le cheminement vers la sainteté ; ils soulignent la profondeur de l’avilissement de sa personne et sa haine du péché.

      Si nous ne comprenons pas ce type de langage, c'est que nous sommes bien en deçà du niveau de sainteté de l’apôtre, de sa connaissance de la spiritualité de la loi de Dieu, du mal et de la haine morale qui peuvent résider en notre cœur. De nombreux croyants ont adopté ces principes de l'apôtre, montrant qu'ils conviennent à leur aversion profonde du péché, et à l'avilissement de leur propre personne.

      Paul s'étend ensuite sur le conflit journalier qui subsiste en lui, causé par la dépravation de son ancienne nature. Il était confronté fréquemment à de tels sentiments, de telles paroles ou actions qui ne concordaient pas avec son renouvellement spirituel et son affection pour le Seigneur. En distinguant sa véritable identité spirituelle, de son corps charnel, dans lequel demeure le mal, et en observant que ses mauvaises actions n’avaient pour origine que le péché qui demeurait en lui, l'apôtre n'avait pas l'intention d’annoncer que les hommes ne sont pas responsables de leurs fautes, mais il enseigne le côté négatif de leurs iniquités, même celles condamnées par leur conscience.

      Le péché qui demeure chez un homme, ne prouve pas qu'il y règne, ou qu'il domine ce dernier. Quelqu'un peut demeurer dans une ville, ou dans un pays, sans toutefois le gouverner...

      18 Plus le cœur est pur et saint, plus il pourra rapidement se rendre compte du péché qui réside en lui. Le croyant est le mieux placé pour évaluer la beauté de la sainteté et l'excellence de la loi divine. Plus il grandit dans la connaissance de la Grâce, plus il désire obéir au Seigneur.

      Il ne parvient pas, hélas, à accomplir tout le bien auquel il aspire ; le péché ressurgit toujours en lui, compte tenu de son ancienne nature, ce qui le pousse à pratiquer le mal, malgré la détermination de sa volonté.

      Cette pratique attristait l'apôtre. Si par la lutte entre la chair et l'Esprit, Paul ne parvenait pas à réaliser ce que ce Dernier lui suggérait, il ne voulait pas non plus accomplir ce que son ancienne nature l’incitait à faire.

      Le cas de Paul était absolument différent de ceux qui s'abandonnent délibérément à leurs penchants iniques, qui continuent, hélas, malgré les avertissements de la Parole et de leur conscience, à pratiquer le mal, se dirigeant ainsi avec préméditation, vers le chemin de la perdition !

      Puisque le croyant est sous le régime de la grâce et désire croître dans la sainteté, il prend pleinement plaisir à obéir à la Parole de Dieu ; cette « nouvelle créature » homme est régénérée par Dieu dans la marche véritable vers la sainteté !

      23 Ce texte ne présente pas l'apôtre comme pratiquant les œuvres de la chair, mais comme quelqu'un aspirant puissamment à marcher selon l’Esprit.

      Si certaines personnes interprètent volontairement mal ce passage, (comme d’ailleurs d’autres textes de l’Écriture), courant ainsi à leur propre destruction, les chrétiens véritables, quant à eux, y trouvent le motif de bénir Dieu, qui leur a apporté le réconfort et la consolation spirituels.

      Nous ne devons pas, contrairement à ceux qui sont aveuglés par leurs propres convoitises, chercher des fautes éventuelles dans la Parole de Dieu ; recherchons uniquement l’interprétation correcte des textes. Celui qui n'est pas engagé dans le conflit spirituel entre la chair et l’Esprit, ne peut comprendre clairement la signification de ce texte, ne pouvant juger exactement le conflit douloureux qui rongeait le cœur de l'apôtre, le conduisant à pleurer, tel un misérable, contraint à pratiquer encore le péché.

      Paul constatait qu’il était incapable de se délivrer lui-même de cette situation, ce qui le poussait à remercier Dieu avec ferveur de lui avoir révélé le chemin du salut, par le biais de Jésus-Christ, avec la promesse de délivrance de « l’ennemi » qui le poussait sans cesse à commettre l‘iniquité. Alors, dit-il : « je suis moi-même, par mon esprit, ma conscience, mes affections et mes buts, un homme régénéré par la Grâce divine, qui sert la loi de Dieu et lui obéit ; mais avec la chair, ma nature charnelle et les restes de sa dépravation, je sers la loi du péché, qui fait la guerre à la loi de mon esprit ».

      L’apôtre ne « servait » pas son ancienne nature en vivant délibérément en elle, mais il était incapable, même avec la meilleure volonté, de se libérer de cette servitude, éprouvant néanmoins le besoin de chercher de l'aide et la délivrance du ciel. Il est évident qu'il remercie Dieu pour Christ, notre Libérateur, Celui qui a expié nos péchés, Celui qui est notre Justice. Paul, avant sa conversion, ne connaissait pas l’existence d’un tel salut et se sentait indigne d’y accéder. Il était disposé à agir en tous points selon la loi, avec une bonne conscience, mais il en était empêché par son péché : il ne pouvait donc atteindre la perfection que la loi exige.

      Peut-il y avoir une délivrance, pour un homme toujours coupable, si ce n'est par la Grâce de Dieu, offerte par Jésus-Christ ? Le pouvoir de la Grâce divine et du Saint-Esprit aurait pu autoritairement « déraciner » le péché de notre cœur, mais la sagesse divine avait prévu d’agir autrement. Dieu a estimé que les chrétiens doivent ressentir constamment l'état misérable dans lequel ils se trouvent, sachant que seule la Grâce divine est capable de les sauver ; les enfants de Dieu doivent se garder de leur confiance en eux-mêmes ; ils doivent toujours tirer leur consolation et leur espérance dans la Grâce merveilleuse et gratuite de Dieu, en Christ !

      1 Corinthiens 3

      1

      Les Corinthiens blâmés pour leurs querelles. (1 Corinthiens 3:1-4)
      Les véritables serviteurs de Christ ne peuvent rien faire sans Lui. (1 Corinthiens 3:5-9)
      Christ est le fondement unique, chacun doit veiller à « bâtir » sur ce fondement. (1 Corinthiens 3:10-15)
      Les églises de Christ doivent être pures et humbles.(1 Corinthiens 3:16,17)
      Personne ne doit se glorifier dans l’homme ; toutes les bénédictions des enfants de Dieu ne proviennent que de Christ. (1 Corinthiens 3:18-23)

      Les vérités les plus simples de l'Évangile, énoncées clairement, comme la culpabilité de l'homme, la Miséricorde divine, la repentance envers Dieu et la foi en notre Seigneur Jésus-Christ, étaient plus accessibles aux frères qui entouraient l’apôtre, que les plus profonds mystères révélés dans la Parole.

      Les hommes peuvent avoir une grande connaissance doctrinale, et n’être cependant que des « débutants » dans la foi et l’expérience spirituelle. Les disputes et les querelles au sujet de la piété sont de tristes évidences d'un esprit encore charnel. Une vie spirituelle authentique rend les hommes paisibles et non belliqueux. On peut se lamenter en constatant que ceux qui devraient marcher comme de véritables chrétiens, vivent et agissent en fait comme les hommes de ce monde.

      Certains prédicateurs s'exposent à rester « charnels », par leur recherche d’une vaine gloire, leur trop grande impatience à régler les différends et leur tendance à critiquer les autres.

      Ephésiens 3

      8 Dieu pousse à l’humilité ceux qu’Il a promus à d'honorables tâches ; et là où Il accorde Sa Grâce, dans ce cadre, Il offre celle-ci sans limitation.

      Avec quelle force, Paul parle-t-il de l’insondable richesse de Jésus-Christ ! Cependant, beaucoup de personnes n’en bénéficient pas, malgré la grande faveur qui leur est accordée, par la libre prédication de l’Évangile !

      C’est par notre faute si nous ne sommes pas régénérés spirituellement par les richesses de notre Seigneur. Toute création a été opérée par Dieu, en Jésus-Christ : celle de l’origine du monde, lorsque qu’Il a généré toutes choses à partir du néant, comme celle par laquelle les pécheurs deviennent de « nouvelles créatures », par la Grâce qui opère en eux.

      Ces richesses divines sont insondables et demeurent éternellement. Alors que les anges vénèrent la Sagesse de Dieu, quant à la rédemption de l’Église, les impies, dans leur ignorance, continuent à considérer tout cela comme des fables...

      Hébreux 4

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