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1 Corinthiens 7.29

Ce que je veux dire, frères et sœurs, c’est que le temps est court. Désormais, que ceux qui ont une femme soient comme s'ils n'en avaient pas,
Mais je vous dis ceci, mes frères, que le temps est court ; et ainsi que ceux qui ont une femme, soient comme s'ils n'en avaient point ;
Or je dis ceci, frères : Le temps est court désormais ; que ceux qui ont une femme soient comme s'ils n'en avaient point ;
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    • Job 14

      1

      Job parle de la vie de l'homme. (Job 14:1-6)
      Il médite sur la mort de l'homme. (Job 14:7-15)
      Par le péché, l'homme est corrompu. (Job 14:16-22)

      Job s'étend sur la condition de l'homme, il s'adresse également à Dieu. Chaque homme, de la lignée d'Adam, a une vie de bien courte durée. Toute manifestation de sa beauté, de son bonheur, et de sa splendeur, est réduite à néant par la maladie ou la mort, comme la fleur qui est fauchée ; l'homme ne fait que passer, comme l'ombre. Comment peut-il être possible que la conduite d'un homme puisse être pure, quand son cœur est par nature, souillé ? Ce texte prouve que Job a compris la doctrine du péché original et y a cru. Il semble que le patriarche ait exprimé une prière : pourquoi le Seigneur ne devrait-il pas le traiter selon ses propres œuvres, au lieu de le considérer selon Sa miséricorde et Sa grâce. La durée de notre vie est déterminée par les plans et les décrets divins. Notre temps est dans Ses mains, les puissances de la nature sont sous Sa domination ; par Lui nous vivons et nous nous déplaçons. Il est très utile de méditer sérieusement sur la brièveté et l'incertitude de la vie humaine et sur la nature bien fade de tous les plaisirs terrestres. Il est encore plus important d'observer la cause et le remède du mal. Avant d'être né de nouveau, aucune pensée religieuse ne demeure en nous, rien ne peut émaner de nous-mêmes. Même le peu de bonté qui pourrait nous animer est détourné par le péché. Nous devrions donc nous humilier devant Dieu, et nous reposer entièrement sur Sa miséricorde, sur la sécurité qu'Il nous offre. Nous devrions rechercher chaque jour le renouveau de l'Esprit Saint, et regarder au ciel, seul endroit où l'on trouve la perfection dans la sainteté et le bonheur.

      Psaumes 39

      7 Il n'y a aucune réelle satisfaction à n'être simplement qu'une créature ; la seule chose qui importe, c'est d'être avec le Seigneur et en communion avec Lui ; le monde ne vit que dans la vanité ; que Dieu puisse nous délivrer de céder à cette tentation. Quand la confiance en la créature s'effondre, quel réconfort de savoir que nous avons un Dieu auquel nous pouvons nous adresser et en qui nous pouvons placer toute notre confiance ! Nous pouvons voir un Dieu bon, maître de toutes choses et régissant tous les événements qui nous concernent ; et un homme bon ne peut rien dire contre cela. Il désire le pardon de son péché et l'effacement de sa honte. Nous devons à la fois rester vigilants et prier, face au péché.

      Quand nous sommes sous la main correctrice du Seigneur, nous devons tourner notre regard vers Dieu lui-même, qui ne gère toutes choses qu'en vue de notre bien. Nos voies et nos actes nous confrontent à différents problèmes et nous sommes frappés en retour par nos propres pratiques. Quelle bien piètre chose que la beauté ! Et quelle folie d'en être fier, alors qu'en fait, elle sera certainement et même rapidement bien vite flétrie !

      Le corps de l'homme est, en quelque sorte, un sarment de l'âme. Le péché s'est infiltré dans ce sarment pour en extraire en premier lieu la beauté, puis la force, et finalement toute substance vitale. Celui qui a observé la progression lente d'une douleur ou celle de la solitude humaine ressentira bien vite la véracité d'une telle comparaison et verra bien que tout n'est que vanité. Les afflictions sont envoyées pour stimuler la prière. Si elles nous affectent réellement, nous pouvons vraiment espérer que Dieu écoutera nos cris. Le croyant, dans sa route vers le ciel, espère ne pas traverser la maladie ou l'épreuve ; il ne restera pas très longtemps dans cette illusion : marchant avec Dieu, par la foi, il va de l'avant sur sa route, n'étant ni dévié de sa course ni brisé par les difficultés qu'il pourrait rencontrer. Quelle bénédiction de ne pas prendre à cœur les choses de ce monde ; tandis que nous nous dirigeons vers la maison du Père, usons des choses d'ici-bas sans toutefois en abuser ! Puissions-nous toujours porter notre regard vers cette cité, créée et construite par Dieu.

      Psaumes 90

      7 Les afflictions des saints proviennent quelquefois de l'amour de Dieu ; mais les réprimandes des pécheurs et des croyants au sujet de leurs péchés doivent être perçues comme étant directement produites par le déplaisir de Dieu. Les péchés secrets sont connus de Dieu et seront considérés comme tels.

      Remarquez la folie de ceux qui veulent essayer de masquer leurs péchés en vain. Les années qui se sont écoulées ne peuvent être revécues ; il en est de même avec les paroles qui, une fois émises, sont irrémédiablement lancées. Notre vie n'est que labeur et difficultés, nos années sont comptées. Nous voyons que tout cela doit être considéré avec respect. Les anges qui ont péché connaissent la puissance de la colère de Dieu ; les pécheurs en enfer la connaissent aussi ; mais qui d'entre nous peut réellement la décrire ? Seuls quelques-uns uns la considèrent réellement à sa juste mesure. Ceux qui considèrent leur péché et regardent à la lumière de Christ ne connaîtront pas la colère de Dieu. Qui parmi nous peut oser demeurer devant ce feu dévorant ?

      Psaumes 103

      15 Combien la vie de l'homme est courte et incertaine ! Une fleur de jardin est choisie pour sa beauté et on lui souhaite une longue durée de vie en la plaçant souvent le long d'un mur et en lui prodiguant tout le soin nécessaire ; mais la fleur des champs, comparée ici à la vie, n'est pas seulement exposée à la flétrissure naturelle, elle endure en plus la froidure et risque d'être piétinée par les bêtes des champs. Il en est ainsi pour l'homme. Dieu en est conscient et en éprouve de la pitié et de la considération. La miséricorde divine est supérieure à la vie, cette dernière ayant toujours une fin. Sa droiture et la véracité de Ses promesses s'appliqueront à ses enfants et à leur descendance, pour peu qu'ils suivent les pas et la piété de leurs pères. Alors la bénédiction divine les préservera.

      Ecclésiaste 6

      Ecclésiaste 9

      Ecclésiaste 12

      8 Salomon répète souvent cette expression : « Vanité des vanités ; tout est vanité. » Ces paroles révèlent le triste constat de ce monde : rien ne peut être fait ici-bas pour libérer les hommes du fardeau de leurs péchés.

      Du fait que Salomon sondait la pleine valeur des âmes, il pesait avec attention la portée de ses propos ; il est relativement facile de faire accepter la vérité : les vérités de Dieu sont semblables à des aiguillons, qui « dérangent » les inactifs ou ceux qui reculent, elles ressemblent à des « clous » qui blessent ceux qui errent ça et là, sans prendre le bon chemin, celui du devoir.

      Le « Berger d'Israël » accorde spirituellement la sagesse : tous ceux qui enseignent les œuvres de piété reçoivent leur édification préalable, du Seigneur. Ce titre de « Berger, » s’applique dans l'Écriture au Seigneur Jésus Christ, le Fils de Dieu. Les prophètes ont diligemment cherché ce que « l'Esprit de Christ » pouvait signifier, quand Il témoignait par avance des souffrances de Christ, et de la gloire qui devait en résulter.

      Le fait de rédiger de si nombreuses prophéties par une seule personne, n’était pas vraiment compatible avec la brièveté de la vie humaine : cela ne pouvait engendrer que lassitude, pour l’écrivain comme pour le lecteur ; c'était davantage le cas à cette époque, que de nos jours, où les livres étaient encore peu répandus.

      Donc, selon Salomon, tout n’est que vanité et contrariété ici-bas ; la conclusion du livre devrait être le but de tout homme : elle exhorte à craindre Dieu, et à garder Ses commandements. La crainte de Dieu comprend l'ensemble des affections d’une âme vers le Créateur, le tout étant produit par l'Esprit-Saint.

      Là où l’amour est totalement absent, la haine peut s’installer et même une certaine terreur. Cette dernière est totalement différente de la crainte de Dieu, que l’on peut comparer aux sentiments affectueux et respectueux d'un enfant, vis à-vis de son père. La crainte de Dieu, est souvent l’unique représentation de la piété d’une âme, elle se manifeste par un témoignage pratique d’une vie ici-bas.

      Saisissons-nous de cette crainte respectueuse, le seul sentiment qui soit nécessaire, et approchons-nous de Christ, le Sauveur miséricordieux ; Il vient bientôt, tel un Juge tout-puissant, Il mettra en lumière les secrets des ténèbres, et dévoilera les pensées de chaque cœur.

      Pourquoi Dieu dit-il dans Sa Parole : « Tout est vanité », si ce n'est pour nous garder de nous tromper nous-mêmes et d'aller ainsi à notre perte ? C'est pour nous montrer que notre devoir est en même temps notre intérêt ! Puisse ces exhortations être gravées en notre cœur ! Craindre Dieu, et garder Ses commandements, voilà ce qui convient à l'homme !

      Esaïe 24

      1

      La désolation du pays. (Esaïe 24:1-12)
      Quelques âmes allaient être préservées. (Esaïe 24:13-15)
      Dieu, par Ses Jugements, établit Son Royaume. (Esaïe 24:16-23)

      Tous ceux qui se vantent ici-bas de leurs trésors et de leur prospérité, finissent tôt ou tard par être dans le besoin et la misère. En ce qui nous concerne, il est bon de garder à l'esprit, ce que l'Écriture mentionne dans ce texte, au sujet de la vanité et de tout ce qui en découle. Le péché a amené le chaos ici-bas : la terre est devenue pour l'homme, tout à fait différente de ce qu'elle était à l'origine, quand Dieu l'a conçue, pour héberger les humains. Elle est, en quelque sorte, comme une fleur qui se défraîchit dans les mains de ceux qui la possèdent, et qui désirent la porter comme une parure.

      Le monde dans lequel nous vivons, est un monde de déception, une « vallée des larmes » ; les hommes qui l'habitent n'y sont que pour peu de jours, étant confrontés à différentes épreuves. Remarquez la puissance de la malédiction divine, à quel point elle est capable d'apporter la dévastation et la désolation ici-bas ! Le péché est la cause de toutes ces calamités ; la terre est polluée par l'iniquité des hommes, et doit, en conséquence, subir les Jugements divins à ce sujet.

      Les joies « de la chair » auront inexorablement une fin, une fin lourde de conséquences. Dieu dispose de nombreux moyens pour rendre le vin et la boisson forte, « amers », à ceux qui les aiment ; Il peut les frapper par la maladie, l'angoisse, et la ruine, ce qui donnera de l'amertume à tous leurs plaisirs, en rendant toutes leurs joies insipides.

      Que les hommes apprennent à fuir le péché, pour se réjouir en Dieu ; personne, voire aucun événement, ne pourra alors leur ravir cette félicité !

      Esaïe 40

      Romains 13

      11 Ce texte nous apporte plusieurs enseignements, relatifs à la conduite journalière du chrétien.

      - Quand doit-il se réveiller ? Maintenant ! Il doit s’échapper du sommeil de la sécurité matérielle, de la paresse et de la négligence, du sommeil de la « mort et de l’engourdissement spirituels ». – En ce qui concerne le temps : « le jour approche » ; c’est un moment important. Le salut est « à portée de main ». Veillons sur le chemin que nous empruntons, améliorons notre conduite, nous approchons de la fin de notre voyage. Soyons prêts ! La nuit s'éloigne, le jour approche. - Il est temps de nous vêtir. Quels anciens vêtements devons-nous ôter ? Ceux que nous portions la nuit. Nous devons rejeter les œuvres coupables des ténèbres. Que devons-nous revêtir ? Comment devons-nous « habiller » notre âme ? - Revêtons les armes de la lumière ! Un chrétien doit considérer qu'au départ, il est désarmé. Les grâces de l'Esprit constituent son armure, pour protéger son âme des tentations de Satan, et des assauts néfastes de ce monde. Revêtons-nous de Christ : cela inclut tout ! Revêtons la justice de Christ, pour notre justification ! Revêtons l'Esprit et la Grâce de Christ, pour notre sanctification ! Nous devons nous « revêtir » du Seigneur Jésus, Il doit nous gouverner, après nous avoir rachetés ; Il est l’Oint, désigné par le Père pour cette œuvre souveraine, que représente le salut. - Comment marcher : dès que nous sommes debout et prêts ! Nous ne devons pas nous asseoir de nouveau, mais nous avancer : marchons ! Dans le christianisme, il nous est enseigné comment marcher, de façon à plaire à Dieu, Celui qui nous voit en permanence. Marchons honnêtement, comme en plein jour, évitant les œuvres des ténèbres. Là où il y a tumulte et ivresse, il y a en général impudicité et libertinage, conflits et envies. Salomon regroupe tous ces maux dans Proverbes 23:29-35.

      - De quoi devons-nous faire provision ? Notre grand souci doit être de pourvoir à notre âme : devons-nous autant négliger notre corps ? Deux choses sont défendues : nous embarrasser des inquiétudes et des soucis et nous laisser dériver vers des désirs douteux. Le « nécessaire » doit être satisfait, mais les mauvais appétits doivent être contrôlés et éliminés. Recherchons la nourriture nécessaire à notre bonne santé, c’est notre devoir : il nous est enseigné de prier pour notre pain quotidien ; ne recherchons pas, par contre celle qui pourrait satisfaire notre convoitise, c’est une provocation contre Dieu, Psaume 78:18.

      1 Corinthiens 7

      Hébreux 13

      Jacques 4

      1 Pierre 1

      1 Pierre 4

      7 La destruction de la nation et de l'église juive, prédite par notre Sauveur, était imminente. L'approche rapide de la mort et du jugement nous concerne tous : tel est le sujet de ce texte. Le sentiment de notre fin, qui approche inéluctablement, est un puissant argument pour nous rendre sobres, en ce qui concerne les attraits du monde, en veillant sérieusement au cheminement de notre piété.

      Tant de sujets ici-bas nous déconcertent et sont mal compris : à moins que l'amour ne couvre, n'excuse et ne pardonne les erreurs que nous pouvons découvrir chez notre prochain, nous devons nous abstenir de le juger ; Satan fera tout pour tenter de développer les divisions et les désaccords entre tous.

      Nous ne devons pas sous-estimer l’amour : il couvre un grand nombre de péchés. La tâche d'un chrétien est une œuvre noble mais difficile ; quand on songe à la bonté de notre Maître, et à l'excellence de la récompense céleste qui nous attend, cela exige que nos efforts soient fervents et sincères. Dans tous nos devoirs et nos services ici-bas, nous devons tout accomplir à la gloire de Dieu : cela doit être notre but essentiel.

      L’égocentriste, celui qui oublie Dieu, n’est qu’un misérable ; il ne songe qu’à son argent, à ses gains, et à ses vains projets, puis, lorsqu'il estime tout posséder, ses biens finissent par disparaître...

      Mais celui qui a tout abandonné ici-bas, qui s’est entièrement confié en Dieu, peut dire avec confiance que le Seigneur « est sa part » ; seule la gloire EN Jésus-Christ est solide et durable ; elle demeure à toujours !

      2 Pierre 3

      1 Jean 2

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