Paramètres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

1 Thessaloniciens 1.3

nous nous rappelons sans cesse, devant Dieu notre Père, votre foi agissante, votre amour actif, et votre ferme espérance en notre Seigneur Jésus-Christ.
Nous souvenant sans cesse, devant Dieu notre Père, des oeuvres de votre foi, des travaux de votre charité, et de la fermeté de votre espérance, en notre Seigneur Jésus-Christ ;
nous nous rappelons sans cesse, devant Dieu notre Père, votre foi agissante, votre amour actif, et votre ferme espérance en notre Seigneur Jésus-Christ.
  • versets sélectionnés
  • Vidéos et messages relatifs
  • Commentaires bibliques
  • Hébreu / Grec
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Favoris
  • Partager

    • Genèse 29

      Ecclésiaste 2

      Cantique 8

      Jean 6

      28 La foi en Christ est un « exercice » constant ; c’est le côté le plus important et le plus difficile de l'obéissance qui est exigée de notre part, par Dieu, en tant que pécheurs recherchant le salut.

      Lorsque par la Grâce, il est permis de vivre une vie de foi dans le Fils de Dieu, les âmes pieuses Le suivent, et un ministère spirituel, peut être alors entrepris. L’Éternel, qui autrefois dans le désert, a donné la nourriture du ciel (la manne) aux pères des enfants d’Israël, pour qu’ils restent en vie, nous donne maintenant le véritable « Pain », pour le salut des âmes. Le fait de venir à Jésus et de croire en Lui signifie symboliquement « manger de ce Pain de vie ». Christ annonce qu'Il est ce véritable Pain ; Il représente pour l'âme, ce que le pain est au corps, Il nourrit et entretient la vie spirituelle. Il est le « Pain de Dieu », ce Pain que le Père nous offre, pour nourrir notre âme. Le pain nourrit uniquement des corps en vie ; Christ est Lui-même ce Pain vivant ; Il nourrit par Sa propre puissance.

      Cette doctrine de Christ crucifié est toujours aussi vivifiante et réconfortante pour le croyant. Il est le Pain qui est descendu du ciel. Cette nourriture dénote la Divinité de la Personne de Christ, ainsi que son autorité ; elle est aussi l'origine divine de tout le bien qu’Il nous accorde.

      Puissions-nous par la foi et avec ferveur Lui demander : « Seigneur, donne-nous toujours de ce Pain » !

      Jean 14

      Jean 15

      Jean 21

      15 Notre Seigneur s'adressa à Pierre par son nom d'origine, (Simon, fils de Jonas), comme s'il avait perdu celui de Pierre, à cause de son reniement. L’apôtre répond alors au Seigneur : « Tu sais que je t'aime », mais sans professer L’aimer plus que quiconque.

      Ne soyons pas surpris de voir notre sincérité remise en question, quand nous elle a été ébranlée par nos actes. Chaque souvenir des péchés passés, même pardonnés, réactive la peine d'un véritable repentant.

      Soucieux d'intégrité, Pierre fit solennellement appel à Christ, Celui qui connait tout, même les pensées secrètes du cœur. Il est bénéfique de voir nos chutes et nos erreurs nous pousser à l’humilité et à la vigilance. La véracité de notre amour envers le Seigneur doit être éprouvée de temps en temps ; il nous appartient alors de rester sincère avec nous-mêmes, en adressant une prière fervente à Dieu, et en nous examinant, de façon à voir si nous sommes capables de supporter cet examen.

      Personne ne peut être apte à nourrir spirituellement les brebis et les agneaux de Christ s'il n'aime pas le bon Berger plus que tout. Quelle que soit la manière d’entrer dans l’au delà, un enfant de Dieu doit Le glorifier, lors de ce « passage » ; notre consécration ultime, n'est-elle pas de mourir pour le Seigneur, pour Sa Parole ?

      Actes 3

      19 Dans ce texte, l’absolue nécessité de se repentir est citée solennellement à tous ceux qui désirent que leurs péchés soient effacés, afin qu'ils puissent bénéficier du « rafraîchissement spirituel » que rien d’autre que l'Amour du Rédempteur, ne peut offrir. Bénis soient ceux qui sont conscients de cette vérité !

      Il n'était pas nécessaire pour le Saint-Esprit de faire connaître les temps des promesses des dispensations futures. Ces sujets restent encore obscurs... Mais lorsque les pécheurs sont convaincus de leur culpabilité, ils s’adressent au Seigneur pour obtenir Son pardon ; l’âme perdue qui se convertit et qui croit à la rédemption offerte par Christ, reçoit, par Sa présence spirituelle, un rafraîchissement de Sa part. Au temps de l'épreuve, le Rédempteur peut demeurer « invisible spirituellement » : nous devons alors vivre par la foi, en Lui !

      Actes 10

      Romains 2

      Romains 5

      Romains 8

      Romains 12

      Romains 15

      Romains 16

      1 Corinthiens 13

      4 Ce texte nous montre quelques « bénéfices » apportés par l’amour, afin que nous puissions juger si nous les possédons, ou dans le cas contraire, que nous ne cessions de les rechercher. L’amour est une preuve tangible de notre régénération spirituelle, il est à la base de notre foi en Christ.

      Dans cette belle description de la nature et des effets de l'amour, l’apôtre désirait montrer aux Corinthiens que leur conduite était, sous de nombreux aspects, loin d’être en phase avec ces préceptes. La charité (l’amour) est totalement opposée à l'égoïsme ; elle ne désire ni ne cherche sa renommée, son honneur, son profit, ni sa satisfaction. Elle ne cherche pas à anéantir spécialement notre amour-propre, ni nos intérêts. Elle ne se satisfait jamais en blessant les autres, ou en les négligeant. Elle recherche toujours le bien-être et l’avantage personnel de notre prochain.

      L’amour du chrétien est vraiment merveilleux ! Quel beau témoignage pourrait avoir le christianisme, si ceux qui le professent vivaient davantage sous ce principe divin, en considérant l’intérêt qui lui est dû, et en respectant le commandement que son Auteur merveilleux a institué à son sujet !

      Demandons-nous si cet amour divin demeure en notre cœur. Guide-t-il notre comportement envers tous les hommes ? Sommes-nous disposés à laisser de côté notre égoïsme ? Nous avons dans ce texte un véritable appel à la vigilance, à l'assiduité, et la prière !

      1 Corinthiens 15

      2 Corinthiens 2

      2 Corinthiens 5

      2 Corinthiens 8

      7 La foi est une « racine » ; comme il est impossible de plaire à Dieu sans la foi, Heb 11:6, ceux qui abondent dans cette dernière abonderont de même, en miséricorde et en toute bonne œuvre ; cela produira du fruit et se révélera automatiquement par l'amour qui en émane.

      Les personnes douées d’une grande éloquence ne sont pas toujours celles qui œuvrent le mieux ; les Corinthiens s’appliquaient à cultiver leur savoir, comme à prononcer de belles paroles. À ceci, l'apôtre désire qu'ils ajoutent également cette grâce : abonder en charité envers les pauvres.

      Les meilleures facettes des devoirs chrétiens, proviennent de la Grâce et de l'Amour de Christ : malgré Sa grandeur, étant Dieu Lui-même, égal en pouvoir et en gloire avec le Père, Il est venu à nous en tant que simple être humain, bien plus, Il a demeuré dans la pauvreté. En fin de compte, Il s'est dépouillé Lui-même, pour se donner en rançon, au bénéfice de nos âmes, par Son sacrifice à la croix.

      De quel niveau de gloire, Seigneur béni, es-Tu descendu, pour atteindre un tel état de pauvreté, pour nous ! Et quelle richesse nous as-Tu fait partager, à travers Ta pauvreté, ici-bas ! Nous éprouvons vraiment un grand bonheur, en étant totalement voués à Ton service !

      Galates 1

      Galates 5

      13 L'Évangile est une « doctrine » conforme à la piété, 1Ti 6:3 ; Il est si opposé à la tolérance du moindre péché, qu'Il nous exhorte expressément à éviter toute dérive en ce domaine et à en rester maître.

      L'apôtre insiste sur le fait que toute la loi est accomplie par l’obéissance à cette seule directive : « tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Si des chrétiens, qui normalement, doivent s'entre-aider et se réjouir mutuellement dans le Seigneur, se querellent, ils ne peuvent s’attendre qu’à voir le Dieu d'amour et le Saint-Esprit quitter leur cœur, et être remplacés par de vaines pensées, qui ne les mèneront qu’à leur destruction.

      Quel bonheur, si les chrétiens, au lieu de se quereller mutuellement, sous des prétextes d'opinions différentes, pouvaient « s'associer » contre le péché qui réside en eux-mêmes et dans les communautés qu’ils représentent !

      Galates 6

      1 Thessaloniciens 1

      1 Thessaloniciens 2

      13 Nous devons recevoir la Parole de Dieu avec un cœur conforme à Sa sainteté, Sa sagesse, Sa vérité, et Sa bonté.

      Les paroles des hommes sont éphémères et périssables, comme eux-mêmes... Elles sont quelquefois fausses, insensées, et inconstantes ; la Parole de Dieu, quant à Elle, est sainte, pleine de sagesse, juste, et fidèle. Recevons-là et estimons-là en conséquence ! La Parole agit dans le cœur des chrétiens pour qu’ils soient des exemples pour leurs frères dans la foi, par leurs bonnes œuvres, leur patience dans la souffrance et les épreuves, liées à la diffusion de l'Évangile.

      Pour Dieu, le meurtre et la persécution sont odieux ; le zèle le plus intense dans la religion ne peut les excuser. Rien ne peut davantage culpabiliser une personne ou un peuple, que l'opposition à l'Évangile et à l'entrave du salut des âmes. L’Évangile de Christ est abhorré par beaucoup, et Sa prédication fidèle est entravée par de nombreux moyens. Ceux qui interdisent Sa prédication aux pécheurs, à ceux qui sont « morts » dans le péché, ne peuvent qu’être rejetés par Dieu.

      Tous ceux qui renient la Bible ont un cœur cruel, ils sont des ennemis de la gloire de Dieu et du salut de Son peuple...

      1 Thessaloniciens 3

      6 Notre reconnaissance envers Dieu reste très imparfaite, vu l'état actuel de notre propre nature ; mais un des buts de Sa Parole, est d'aider à progresser dans la foi.

      La Parole, qui nous a permis d’obtenir la foi, nous permet également de la faire croître et de l’affermir par la connaissance des ordonnances divines ; comme la foi vient de ce qu’on entend, (Romains 10:17)* elle est également confirmée de la même manière !

      * Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.

      2 Thessaloniciens 1

      11 Notre conviction et notre attente de la seconde venue de Christ doivent nous amener à prier davantage, pour nous-mêmes comme pour les autres.

      S'il réside quelque chose de bon en nous-même, cela ne peut provenir que du bon plaisir et de la bonté de Dieu : cela s'appelle la Grâce !

      Il existe de nombreux desseins divins relatifs à la Grâce, conformément à la Volonté de Dieu envers Son peuple ; l'apôtre Paul prie pour que Dieu accomplisse puissamment dans le cœur des Thessaloniciens l’œuvre de la foi.

      La Puissance divine ne fait pas qu’initier la foi, elle agit sur les œuvres qui en découlent. Tels sont le grand but et le dessein de la Grâce de notre Dieu et du Seigneur Jésus-Christ, qui s'est fait connaître à nous, et qui œuvre en notre cœur !

      1 Timothée 2

      2 Timothée 1

      Philémon 1

      Hébreux 4

      11 Méditons la fin de ce chapitre : le repos spirituel et éternel ; repos, sous la Grâce ici-bas, et dans la gloire céleste plus tard, en Christ en ce monde et avec Lui dans le ciel !

      Après un dur travail, bien exécuté, un bon repos suit ; le labeur du jour rend le repos bien agréable, le moment venu ! Œuvrons, aidons chacun à être diligent dans l’exercice de son devoir.

      Les Saintes Écritures sont la Parole de Dieu. Quand ce Dernier La place dans une demeure, par son Esprit, Il convainc et pousse les âmes à la conversion avec puissance, Il les console véritablement. L’Esprit transforme une âme qui a été longtemps sous l’emprise de l’orgueil, Il la pousse à l’humilité ; un homme pervers devient alors doux et obéissant à la loi divine !

      Les habitudes coupables, devenues naturelles pour l’impie, profondément enracinées en son âme, sont séparées et tranchées par cette « épée », qu’est la Parole de Dieu. Cette dernière fera découvrir aux hommes leurs pensées et leurs desseins réels, leur bassesse, les mauvais principes et les fins coupables qui les animent. La Parole révèlera au pécheur le vrai contenu de son cœur.

      Gardons fermement les doctrines de la foi chrétienne, ses principes vivants en notre cœur ; confessons clairement cette foi, qu’elle soit le sujet majeur de notre vie. Christ a réalisé une partie de Son sacerdoce ici-bas, en mourant pour nous ; Il œuvre également dans le ciel, en intercédant pour la cause des Siens, et en présentant les offrandes spirituelles de Son peuple.

      Au regard de la Sagesse Infinie, il était nécessaire que le Sauveur des hommes puisse non seulement imaginer, mais qu'Il ait également vécu réellement ce que ses créatures peuvent éprouver ; il était donc essentiel qu'Il ait une véritable expérience de tous les effets inhérents au péché, pour que celui-ci puisse être ôté.

      Dieu a envoyé Son propre Fils « dans une chair semblable à celle du péché, » Romains 8:3 ; mais à cause de Sa sainteté et de Sa pureté, Il a souffert du mal occasionné par nos fautes ; par conséquent, Il est le plus apte à délivrer Son peuple de sa culpabilité et du pouvoir de l’iniquité.

      Nous devons nous encourager devant l'excellence de notre « Souverain Sacrificateur », et nous approcher avec confiance du Trône de la Grâce. La Miséricorde et la Grâce sont ce dont nous avons vraiment besoin ; la première pour le pardon de tous nos péchés, et la seconde pour la purification de nos âmes. En plus de notre dépendance journalière envers Dieu, pour nos besoins actuels, nous devons confier au Seigneur tout notre cheminement ici-bas par la prière ; nous devons Lui demander de nous éloigner de la tentation, quel que soit l’instant que nous traversons, jusqu’à l’approche du terme de notre vie.

      Nous devons nous approcher de Christ avec vénération, dans une crainte pieuse, sans être « traînés » devant le trône de Sa Justice, mais étant invité, par Son Amour, au propitiatoire, où règne la Grâce. Nous pourrons, avec hardiesse, entrer dans le « saint des saints », uniquement grâce au sang de Jésus ! Il est notre Avocat, et Il a acquis tout ce dont notre âme a besoin ou pourrait désirer !

      Hébreux 6

      11 L'espérance mentionnée dans ce texte est une recherche certaine des bénédictions promises par Dieu ; cette espérance est animée par l’amour que l’on éprouve pour Dieu, elle conditionne notre attente et la mesure de Ses engagements.

      L'espérance comporte divers degrés, tout comme la foi. La promesse que Dieu a faite aux croyants provient du dessein éternel qu’Il a établi, elle est immuable et en phase avec le Père éternel, le Fils, et l'Esprit. Les promesses de Dieu sont pour nous une ferme assurance ; nous avons dans ce texte deux éléments immuables : le conseil et le serment de Dieu, au sujet desquels Il ne peut mentir. Si cette vérité n’était pas, elle serait contraire à la nature et à la volonté divines. Comme Dieu ne peut pas mentir, la destruction de l'incrédule et le salut du croyant sont inexorables, l'une comme l'autre.

      Observons dans ce texte que ceux à qui Dieu a accordé la joie de demeurer en Lui, bénéficient de promesses, par « héritage ». Les consolations de Dieu sont suffisamment solides pour soutenir Son peuple, même dans les épreuves les plus lourdes. Dieu est un véritable « Refuge », pour tous les pécheurs qui recherchent Sa Miséricorde, à travers la Rédemption de Christ, selon Sa Grâce, laissant de côté toute autre considération.

      Nous sommes en ce monde tel un navire sur la mer, ballotté ça et là, courant souvent le risque de partir à la dérive. Nous avons besoin d'une « ancre » pour nous garder fermement. L'espérance que nous accorde l'Évangile est notre « ancre », dans les tempêtes ici-bas. Cette ancre est sûre et solide, sinon elle ne pourrait pas nous garder ainsi, en sécurité !

      La Grâce de Dieu, les mérites et la médiation de Christ, comme les influences puissantes de son Esprit, constituent les bases d’une solide espérance spirituelle. Christ est l'objet et le fondement de l'espérance du croyant. Portons donc nos affections sur les « choses d'en haut », et attendons patiemment leur venue, lorsque nous paraîtrons avec Christ, dans Sa gloire !

      Hébreux 10

      Hébreux 11

      8 Nous sommes souvent appelés à détacher nos liens qui nous lient au monde, à perdre nos intérêts et nos commodités d’ici-bas. Si nous sommes les « héritiers de la foi d'Abraham », nous obéirons et irons de l'avant, bien que nous ne sachions pas ce qui nous attend ; nous emprunterons alors le chemin du devoir, espérant fermement l'accomplissement des promesses de Dieu.

      L'épreuve de la foi d'Abraham consistait simplement à obéir totalement à l'appel de Dieu. Sara reçut la « promesse » comme étant celle de Dieu ; étant ainsi convaincue, elle estima avec assurance que non seulement, ce Dernier pouvait, exécuter cette promesse, mais qu’Il le ferait.

      Beaucoup de personnes, auxquelles Dieu a fait des promesses, ne reçoivent pas immédiatement ce qui leur a été promis. La foi peut faire patienter, en vue de bénédictions lointaines, comme les voir s’accomplir très rapidement ; elle peut se réjouir en ces bénédictions, bien que nous soyons « qu'étrangers » ici-bas : la demeure des saints (ou des pèlerins) se trouve en effet dans le ciel ! Par la foi, ces derniers sont vainqueurs sur l’anxiété que peut provoquer la mort, ils sont prêts à dire « au revoir » à ce monde, à toutes ses plaisir comme à toutes ses souffrances.

      Les coupables qui ont été jadis véritablement sauvés et appelés vers le Royaume céleste, n'ont aucunement l'envie de revenir en ce monde. Tous les croyants authentiques aspirent à l'héritage céleste ; plus leur foi est déterminée, plus ils sont fervents de cœur ! Malgré les dégâts qu’ont pu occasionner leurs péchés, et la pauvreté de leur condition spirituelle, Dieu n'a pas honte d'être appelé LEUR Dieu ; telle est Sa Miséricorde et Son Amour envers eux. Que les rachetés n'aient jamais honte d'être appelés Son peuple, ni de faire partie de ceux qui sont tant méprisés ici-bas ! Par dessus tout, qu'ils veillent à ce qu'ils ne soient l’objet d’aucune honte ni d’aucun reproche envers leur Dieu.

      L'épreuve et l'acte de foi les plus grands, cités dans la Parole, se retrouvent dans l'offrande qu'a faite Abraham, avec son fils Isaac, Ge 22:2. Dans ce texte, chaque terme retrace une épreuve.

      Notre devoir consiste à distinguer et à dissiper nos doutes éventuels et nos craintes, en regardant, comme l’a fait Abraham, à la Toute-puissance divine. La meilleure façon d’apprécier tout ce que nous possédons est de tout remettre à Dieu ; Il continuera alors à nous octroyer ce qu’il y a de meilleur.

      Considérons quelle a été notre obéissance à Dieu, lorsque qu’Il nous a appelés à des actes de bien moindre envergure que ceux qui sont cités dans ce texte. Avons-nous abandonné tout ce que nous avions, totalement persuadés que le Seigneur compenserait toutes nos pertes, et nous bénirait par Ses dispensations, même celles qui pourraient nous paraître les plus affligeantes ?

      32 Nous pouvons sans cesse faire des recherches dans les Écritures, il y aura toujours un enseignement à en tirer !

      Songeons avec plaisir au grand nombre de croyants qui vécurent sous l'Ancien Testament : quelle ferveur dans leur foi, alors que tout ne leur était pas alors complètement dévoilé, à l’inverse de ceux qui vivent aujourd’hui, au temps de l’Évangile ! Regrettons seulement que de nos jours, alors que la la foi devrait être plus forte, les croyants soient devenus aussi « tièdes »...

      L'excellence de la foi, aide certains hommes à accomplir de grands projets, tel Gédéon. Elle les garde d’avoir une trop haute opinion d’eux-mêmes. La foi, comme celle de Barak, a recours à Dieu dans tous les dangers et difficultés ; elle permet d'être reconnaissant envers ce Dernier pour toutes Ses miséricordes et Ses délivrances. Par la foi, les serviteurs de Dieu parviendront à vaincre le lion rugissant qui cherche la victime qu’il peut dévorer. La foi du véritable croyant persiste jusqu'au terme de sa vie, et lors de son agonie, lui donne toute victoire sur la mort et sur ses ennemis mortels : c’est le cas de Samson.

      La Grâce de Dieu opère souvent sur des personnes bien peu méritantes, voire insignifiantes, pour accomplir de grands projets, par leur intermédiaire. La Grâce stimule la foi, elle amène des hommes à reconnaître Dieu dans toutes leurs voies, c’est le cas de Jephté. La foi établit des hommes solides et courageux, pour une bonne cause. Peu de personnes ont rencontré de plus rudes épreuves, ni montré une foi plus fervente, que David : son témoignage se trouve dans le livre des Psaumes, qui a été, et sera toujours d'un grand enseignement pour le peuple de Dieu.

      Nombreux sont ceux qui se sont distingués par leur foi, tel Samuel par exemple. La foi permet à un homme de servir Dieu et sa propre famille, quel que soit le chemin emprunté.

      Les intérêts et les pouvoirs des rois sont souvent opposés à Dieu et à Son peuple ; mais le Seigneur peut facilement subjuguer tous ceux qui s'opposent à Lui.

      Il est plus honorable de travailler au respect de la justice que d’accomplir des prouesses. Par la foi nous avons la consolation de pouvoir bénéficier des promesses divines ; en elle, nous sommes préparés à nous attendre aux engagements de Dieu, à les recevoir au temps marqué.

      Bien que nous ne nous attendions pas à revoir nos parents ou nos amis décédés, revenir en vie ici-bas, la foi nous aide cependant à supporter la tristesse due à leur départ, elle nous conduit dans l’espérance de les voir ressusciter dans le ciel !

      Sommes-nous étonnés de la méchanceté de la nature humaine, capable de commettre tant de cruautés, à l’inverse de l'excellence de la Grâce Divine, capable de fortifier et de préserver les fidèles serviteurs de Dieu, au temps de l’épreuve ? Quelle différence peut-on constater entre le jugement de Dieu envers un saint, et le jugement de l'homme ! Le monde n'est pas digne de ces saints méprisés, persécutés, et que leurs bourreaux ont jugé indignes de vivre. Le monde est indigne de partager leur compagnie, leur exemple, leurs conseils, ou leurs nombreux bienfaits. En fait, il ne sait pas vraiment ce qu'est un saint, il ne connaît pas sa valeur, ni comment bénéficier de ses mérites ; les saints sont détestés et chassés, comme l’a été Christ ici-bas.

      Hébreux 13

      Jacques 1

      Jacques 2

      Jacques 5

      7 Quand on considère celui qui attend le bénéfice légitime de la récolte de sa moisson, pourquoi n'attendrions-nous pas avec patience la « couronne de gloire » ?

      Si vous devez être appelé à attendre plus longtemps qu’un agriculteur ne le fait devant sa moisson, n'y a-t-il pas devant vous un sujet de plus grande valeur ? La venue du Seigneur est proche : toutes les privations de Son peuple, ses épreuves, et ses souffrances, seront compensées !

      Certaines personnes perdent un peu patience, en attendant ce retour : en fait, elles comptent le temps corrélativement à leur propre vie ; mais cette durée est bien courte aux yeux de Dieu : elle ne représente qu’un simple instant ! Pour les créatures que nous sommes, à la vie éphémère, quelques années peuvent paraître un siècle ; mais l'Écriture, qui mesure toutes choses selon l'existence de Dieu, compare des milliers d'années à autant de jours !

      En ce qui concerne Job, Dieu a autorisé toutes ses souffrances pour prouver simplement qu'Il est plein de compassion et de miséricorde. Ce fait n'est pas apparu durant les afflictions du patriarche, mais s’est manifesté après coup ; de même, les croyants trouveront toujours une fin heureuse à leurs épreuves !

      Servons notre Dieu, et supportons nos épreuves, étant persuadés que nous obtiendrons en final notre couronne. Notre bonheur éternel est garanti si nous plaçons notre confiance dans le Seigneur : tout le reste n'est que vanité, et sera bientôt détruit à jamais...

      1 Pierre 3

      1 Jean 3

      3 Les enfants de Dieu savent que leur Seigneur est trop pur pour permettre à tout ce qui est profane et souillé de demeurer en Lui. La convoitise qui anime les hypocrites, contrairement aux enfants de Dieu, consiste à se permettre de vains désirs, voire la luxure.

      Puissions-nous être de véritables disciples du Seigneur, Ses enfants bien-aimés, montrant ainsi tout le sens de Son ineffable Miséricorde, afin que nous puissions Lui exprimer notre obéissance, dans la reconnaissance et l’humilité, qui doivent être les nôtres.

      Le péché est le rejet de la loi divine. En Christ, il ne se trouve aucun péché. Toutes les moindres faiblesses et fautes qui furent les conséquence de la chute originelle, ont été supportées par Christ : elles concernent toutes ces infirmités de l'esprit ou du corps, qui assujettissent l'homme à la souffrance, et l'exposent à la tentation. Christ n’a jamais été victime de nos infirmités morales, ni de notre inclination à pécher.

      Celui qui demeure en Christ ne persévère pas dans la pratique du péché. Renoncer au péché est la grande preuve d'union spirituelle avec le Seigneur Jésus, le signe d’une « progression spirituelle » en Lui, et une connaissance à salut de Sa personne.

      Prenons garde de ne pas nous tromper nous-mêmes. Celui qui pratique la droiture est juste ; en étant un disciple de Christ, il montre, par sa foi, tout l’intérêt qu’il porte dans l’obéissance et les souffrances que le Seigneur a manifestées.

      Un homme ne peut pas agir conjointement avec le diable et être en même temps un disciple de Jésus-Christ. Ne servons pas « l’ennemi », et n'ayons aucune indulgence pour le diable, que le Fils de Dieu est venu ici-bas pour vaincre. Être né de Dieu c'est être intérieurement renouvelé par la puissance de Son Esprit. La Grâce régénératrice est durable !

      La religion n'est pas un art, ni un sujet de savoir-faire, voire d'habileté, mais l’expression d’une nouvelle nature. La personne régénérée par le Seigneur ne peut pas continuer à pécher, comme elle le faisait avant qu'elle ne soit née de Dieu, et comme le font toujours ceux qui ne sont pas nés de nouveau. Une « lumière spirituelle » luit dans l’âme d’un racheté, elle lui montre le mal et la malignité du péché. Cette lumière a une influence sur son cœur, et le prédispose à haïr le péché, à s’opposer à ses actions coupables.

      Il existe le repentir pour le péché, une fois celui-ci commis. La repentance tend à prévenir toute nouvelle chute. Les enfants de Dieu et ceux du diable appliquent des principes bien différents. La « postérité du serpent » est connue par son rejet de la piété, et par sa haine envers les véritables chrétiens. Le seul qui puisse être juste devant Dieu est le croyant racheté, celui qui est disposé à suivre la justice divine, par le Saint-Esprit. Par leur conduite, se distinguent les enfants de Dieu de ceux du diable...

      Que tous ceux qui professent l'Évangile puissent avoir ces vérités en leur cœur, et s'éprouver eux-mêmes !

      1 Jean 5

      Apocalypse 2

      Apocalypse 3

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Générer un verset illustré
Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légères variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.

Vous avez aimé ? Partagez autour de vous !

Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.