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25
Et voici, il y avait à Jérusalem un homme dont le nom était Siméon ; et cet homme était juste et pieux, et il attendait la consolation d'Israël ; et l'Esprit Saint était sur lui.
4
Et étant tombé par terre, il entendit une voix qui lui disait : Saul ! Saul ! pourquoi me persécutes-tu ?
10
Nous, nous sommes fous pour l'amour de Christ, mais vous, vous êtes sages en Christ ; nous sommes faibles, mais vous forts ; vous en honneur, mais nous dans le mépris.
11
Jusqu'à cette heure nous souffrons et la faim et la soif, et nous sommes nus, et nous sommes souffletés, et nous sommes sans demeure fixe,
12
et nous prenons de la peine, travaillant de nos propres mains ; injuriés, nous bénissons ; persécutés, nous le supportons ;
13
calomniés, nous supplions : nous sommes devenus comme les balayures du monde et le rebut de tous jusqu'à maintenant.
5
Car comme les souffrances du Christ abondent à notre égard, ainsi, par le Christ, notre consolation aussi abonde.
10
portant toujours partout dans le corps la mort de Jésus, afin que la vie aussi de Jésus soit manifestée dans nos corps.
11
Car nous qui vivons, nous sommes toujours livrés à la mort pour l'amour de Jésus, afin que la vie aussi de Jésus soit manifestée dans notre chair mortelle.
23
Sont-ils ministres de Christ ? (je parle comme un homme hors de sens,) -moi outre mesure ; dans les travaux surabondamment, sous les coups excessivement, dans les prisons surabondamment, dans les morts souvent
24
(cinq fois j'ai reçu des Juifs quarante coups moins un ;
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trois fois j'ai été battu de verges ; une fois j'ai été lapidé ; trois fois j'ai fait naufrage ; j'ai passé un jour et une nuit dans les profondeurs de la mer) ;
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en voyages souvent, dans les périls sur les fleuves, dans les périls de la part des brigands, dans les périls de la part de mes compatriotes, dans les périls de la part des nations, dans les périls à la ville, dans les périls au désert, dans les périls en mer, dans les périls parmi de faux frères,
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peine et en labeur, en veilles souvent, dans la faim et la soif, dans les jeûnes souvent, dans le froid et la nudité :
28
outre ces choses exceptionnelles, il y a ce qui me tient assiégé tous les jours, la sollicitude pour toutes les assemblées.
29
Qui est faible, que je ne sois faible aussi ? Qui est scandalisé, que moi aussi je ne brûle ?
30
S'il faut se glorifier, je me glorifierai dans ce qui est de mon infirmité.
20
selon ma vive attente et mon espérance que je ne serai confus en rien, mais qu'avec toute hardiesse, maintenant encore comme toujours, Christ sera magnifié dans mon corps, soit par la vie, soit par la mort.
1
Si donc il y a quelque consolation en Christ, si quelque soulagement d'amour, si quelque communion de l'Esprit, si quelque tendresse et quelques compassions,
10
pour le connaître, lui, et la puissance de sa résurrection, et la communion de ses souffrances, étant rendu conforme à sa mort,
24
Maintenant, je me réjouis dans les souffrances pour vous, et j'accomplis dans ma chair ce qui reste encore à souffrir des afflictions du Christ pour son corps qui est l'assemblée,
16
Or notre Seigneur Jésus Christ lui-même, et notre Dieu et Père, qui nous a aimés et nous a donné une consolation éternelle et une bonne espérance par grâce,
17
veuille consoler vos coeurs et vous affermir en toute bonne oeuvre et en toute bonne parole.
Les causes des douleurs que le monde a accumulées sur le Sauveur, subsistent pour les siens ; seulement, lui seul a souffert comme Médiateur, portant la peine de nos péchés, et nous rendant son imitation possible par sa parfaite obéissance ; tandis que tout pécheur souffre à la fois comme tel, et pour le nom de Christ.
Toutefois, en tant qu'il endure l'épreuve pour le nom de Christ, pour sa vérité, pour ses frères, dont il facilite le combat et la victoire, ses souffrances sont bien réellement les souffrances de Christ. C'est dans ce sens que Paul s'appelle prisonnier de Jésus-Christ. (Ephésiens 3.1)
De là vient que sa consolation abonde aussi par Christ. Sa communion avec Christ est la source de sa consolation, comme de ses souffrances, (Hébreux 2.17,18) parce que cette communion a pour terme la victoire et la gloire où Christ est entré pour lui-même et pour les siens. Par la nature des choses et par une dispensation de la bonté de Dieu, ces deux choses, souffrance et consolation, sont toujours proportionnées l'une à l'autre : lorsque la première abonde, la seconde abonde aussi : douce et précieuse assurance !