Ces vidéos ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.
25
Il y avait alors, à Jérusalem, un homme appelé Siméon. C’était un homme droit et pieux ; il vivait dans l’attente du salut d’*Israël, et le Saint-Esprit reposait sur lui.
4
Il tomba à terre et entendit une voix qui lui disait :
—Saul, Saul, pourquoi me persécutes-tu ?
—Qui es-tu, Seigneur ? demanda-t-il.
La voix reprit :
10
Nous sommes « fous » à cause du Christ, mais vous, vous êtes sages en Christ ! Nous sommes faibles, mais vous, vous êtes forts ! Vous êtes honorés, nous, nous sommes méprisés.
11
Jusqu’à présent, nous souffrons la faim et la soif, nous sommes mal vêtus, exposés aux coups, errant de lieu en lieu.
12
Nous nous épuisons à travailler de nos propres mains. On nous insulte ? Nous bénissons. On nous persécute ? Nous le supportons.
13
On nous calomnie ? Nous répondons par des paroles bienveillantes. Jusqu’à maintenant, nous sommes devenus comme les déchets du monde et traités comme le rebut de l’humanité.
5
De même, en effet, que les souffrances du Christ surabondent dans notre vie, surabonde le réconfort qu’il nous donne.
10
Oui, nous portons toujours et en tout lieu, dans notre corps, la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus soit, elle aussi, rendue manifeste par notre corps.
11
Car sans cesse, nous qui vivons, nous sommes exposés à la mort à cause de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi rendue manifeste par notre corps mortel.
23
Ils sont serviteurs du Christ ? C’est une folie que je vais dire : je le suis plus qu’eux. Car j’ai travaillé davantage, j’ai été plus souvent en prison, j’ai essuyé infiniment plus de coups ; plus souvent, j’ai vu la mort de près.
24
Cinq fois, j’ai reçu des *Juifs les « quarante coups moins un ».
25
Trois fois, j’ai été fouetté, une fois lapidé, j’ai vécu trois naufrages, j’ai passé un jour et une nuit dans la mer.
26
Souvent en voyage, j’ai été en danger au passage des fleuves, en danger dans des régions infestées de brigands, en danger à cause des Juifs, mes compatriotes, en danger à cause des païens, en danger dans les villes, en danger dans les contrées désertes, en danger sur la mer, en danger à cause des faux frères.
27
J’ai connu bien des travaux et des peines, de nombreuses nuits blanches, la faim et la soif, de nombreux jeûnes, le froid et le manque d’habits.
28
Et sans parler du reste, je porte mon fardeau quotidien : le souci de toutes les Eglises.
29
En effet, qui est faible sans que je sois faible ? Qui tombe sans que cela me brûle ?
30
Oui, s’il faut se vanter, c’est de ma faiblesse que je me vanterai.
20
Car ce que j’attends et que j’espère de toutes mes forces, c’est de n’avoir à rougir de rien mais, au contraire, maintenant comme toujours, de manifester en ma personne, avec une pleine assurance, la grandeur du Christ, soit par ma vie, soit par ma mort.
1
N’avez-vous pas trouvé dans le Christ un réconfort, dans l’amour un encouragement, par l’Esprit une communion entre vous ? N’avez-vous pas de l’affection et de la bonté les uns pour les autres ?
10
C’est ainsi que je pourrai connaître le Christ, c’est-à-dire expérimenter la puissance de sa résurrection et avoir part à ses souffrances, en devenant semblable à lui jusque dans sa mort,
24
Maintenant, je me réjouis des souffrances que j’endure pour vous. Car, en ma personne, je complète, pour le bien de son corps — qui est l’Eglise — ce qui manque aux détresses que connaît le Christ.
16
Notre Seigneur Jésus-Christ lui-même, et Dieu, notre Père, nous ont témoigné tant d’amour, et, par grâce, nous ont donné une source éternelle de réconfort et une bonne espérance.
17
Qu’ils vous remplissent de courage et vous accordent la force de pratiquer toujours le bien, en actes et en paroles.
Les causes des douleurs que le monde a accumulées sur le Sauveur, subsistent pour les siens ; seulement, lui seul a souffert comme Médiateur, portant la peine de nos péchés, et nous rendant son imitation possible par sa parfaite obéissance ; tandis que tout pécheur souffre à la fois comme tel, et pour le nom de Christ.
Toutefois, en tant qu'il endure l'épreuve pour le nom de Christ, pour sa vérité, pour ses frères, dont il facilite le combat et la victoire, ses souffrances sont bien réellement les souffrances de Christ. C'est dans ce sens que Paul s'appelle prisonnier de Jésus-Christ. (Ephésiens 3.1)
De là vient que sa consolation abonde aussi par Christ. Sa communion avec Christ est la source de sa consolation, comme de ses souffrances, (Hébreux 2.17,18) parce que cette communion a pour terme la victoire et la gloire où Christ est entré pour lui-même et pour les siens. Par la nature des choses et par une dispensation de la bonté de Dieu, ces deux choses, souffrance et consolation, sont toujours proportionnées l'une à l'autre : lorsque la première abonde, la seconde abonde aussi : douce et précieuse assurance !