35
Et toi, tu as eu la possibilitĂ© de voir cela afin que tu reconnaisses que câest l'Eternel qui est Dieu et qu'il *n'y en a pas d'autre que lui.
36
Du ciel il t'a fait entendre sa voix pour t'instruire et sur la terre il t'a fait voir son grand feu, et tu as entendu ses paroles du milieu du feu.
6
» â*Je suis l'Eternel, ton Dieu, qui t'ai fait sortir d'Egypte, de la maison d'esclavage.
4
» *Ecoute, Israël ! L'Eternel, notre Dieu, est le seul Eternel.
21
Alors Elie s'approcha de tout le peuple et dit : « Jusqu'Ă quand aurez-vous un comportement boiteux ? Si câest l'Eternel qui est Dieu, suivez-le ! Si c'est Baal, suivez-le ! » Le peuple ne lui rĂ©pondit rien.
5
Les serviteurs du roi Ezéchias allÚrent donc trouver Esaïe,
10
David bĂ©nit l'Eternel en prĂ©sence de toute l'assemblĂ©e. Il dit : « BĂ©ni sois-tu d'Ă©ternitĂ© en Ă©ternitĂ©, Eternel, Dieu de notre ancĂȘtre IsraĂ«l !
8
Je suis l'Eternel, voilĂ quel est mon nom, et je ne donnerai pas ma gloire Ă un autre ni la louange qui mâest due aux sculptures sacrĂ©es.
6
Voici ce que dit l'Eternel, le roi d'IsraĂ«l et celui qui le rachĂšte, l'Eternel, le maĂźtre de lâunivers : Je suis le premier et le dernier. En dehors de moi, il n'y a pas de Dieu.
8
Ne tremblez pas, nâayez pas peur ! Ne te l'ai-je pas depuis longtemps annoncĂ© et rĂ©vĂ©lé ? Vous ĂȘtes mes tĂ©moins : y a-t-il un autre Dieu en dehors de moi ? Il n'y a pas d'autre rocher, je n'en connais pas.
5
Câest moi qui suis l'Eternel et il n'y en a pas d'autre ; Ă part moi, il n'y a pas de Dieu. Je t'ai Ă©quipĂ© pour le combat alors que tu ne me connaissais pas.
6
Câest afin que l'on sache, Ă lâest comme Ă lâouest, quâen dehors de moi il nây a que nĂ©ant. Câest moi qui suis l'Eternel et il n'y en a pas d'autre.
10
Mais câest l'Eternel qui est le vrai Dieu. Lui, il est un Dieu vivant, et il est roi pour lâĂ©ternitĂ©. La terre tremble devant sa colĂšre, et les nations ne supportent pas sa fureur.
11
» Vous leur tiendrez ce langage : âLes dieux qui n'ont pas fait le ciel et la terre disparaĂźtront de la terre et de dessous le ciel.
29
Jésus répondit : « Voici le premier : Ecoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l'unique Seigneur
30
et tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cĆur, de toute ton Ăąme, de toute ta pensĂ©e et de toute ta force.
31
Voici le deuxiĂšme : Tu aimeras ton prochain comme toi-mĂȘme. Il n'y a pas d'autre commandement plus grand que ceux-lĂ . »
32
Le spécialiste de la loi lui dit : « Bien, maßtre. Tu as dit avec vérité que Dieu est unique, qu'il n'y en a pas d'autre que lui
30
Le PÚre et moi, nous sommes un. »
3
Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ.
4
Donc, pour ce qui est de manger des viandes sacrifiĂ©es aux idoles, nous savons quâune idole nâest rien dans le monde et qu'il n'y a quâun seul Dieu.
5
En effet, il est vrai quâil y a des ĂȘtres appelĂ©s dieux, soit dans le ciel, soit sur la terre, et de fait il y a beaucoup de dieux et de seigneurs.
6
Néanmoins, pour nous il n'y a qu'un seul Dieu, le PÚre, de qui viennent toutes choses et pour qui nous vivons, et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par qui tout existe et par qui nous vivons.
5
En effet, il y a un seul Dieu et il y a aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes : un homme, Jésus-Christ,
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Le grand commandement.
Ce verset pose le fait divin d'oĂč dĂ©coule le grand devoir. On l'a traduit de diffĂ©rentes maniĂšres : L'Eternel est notre Dieu ; l'Eternel est un ! ou bien : L'Eternel notre Dieu, l'Eternel, est un, et autrement encore. La traduction indiquĂ©e dans le texte nous paraĂźt la plus exacte ; en voici le sens : Le Dieu que tu adores comme ton Dieu sous le nom de JĂ©hova (JahvĂ©, Celui qui est), est le seul ĂȘtre qui possĂšde l'Ă©ternitĂ©. Tout autre ĂȘtre est par consĂ©quent nĂ©ant, Ă cĂŽtĂ© de lui. C'est ici l'affirmation la plus brĂšve et la plus catĂ©gorique possible du caractĂšre unique de la personne divine. Non seulement il ne peut ĂȘtre question pour IsraĂ«l que de ce Dieu-lĂ , mais le monde entier n'a pas d'autre maĂźtre ; ceci en opposition Ă l'idĂ©e rĂ©gnante que chaque peuple avait son ou ses dieux particuliers, capables de le protĂ©ger et de le soutenir ; comparez JosuĂ© 9.9.
De tous temps cette affirmation a été considérée comme le point le plus essentiel du credo juif. C'est, dans le culte synagogal du matin et du soir, la formule par laquelle s'ouvre à chaque fois l'exhortation liturgique qui s'appelle schema ; elle comprend le paragraphe versets 4 à 9, et se récite sur un ton particuliÚrement élevé et solennel. C'est, la confession de foi d'Israël, son acte de foi, comme dit le rabbin Wogue. Le texte hébreu offre ici une singuliÚre particularité, à laquelle les commentateurs juifs attribuent une trÚs grande importance : le premier et le dernier mot du verset se terminent par deux lettres (schema et échad), dont la réunion forme le mot qui en hébreu signifie témoin. Les copistes écrivent ces deux lettres en caractÚres majuscules, sans doute pour indiquer que ces paroles sont le grand témoignage de la foi israélite.
Ecoute. Cet appel, propre à faire sentir toute l'importance de la déclaration qui va suivre, peut se comparer à l'expression : Amen, amen, par laquelle Jésus commence parfois ses discours. Voir, pour le sens du mot JéhovaExode 3.14-15 ; 6.3. Pour Elohim, voir GenÚse 1.1.
Nous trouvons dans ce texte les « clés » de la piété : ce sont les premiers principes qui animent la foi et l'obéissance.
LâĂternel, notre Dieu, est le seul et vĂ©ritable Dieu vivant ; Lui seul est Dieu, Il est unique. Ne cherchons pas Ă en trouver d'autres ! Dans ces versets, malgrĂ© le fait de trouver souvent un mot au pluriel, traduit par « Dieu », reprĂ©sentant l'entitĂ© du PĂšre, nous pouvons discerner pleinement l'intimitĂ© des personnes de la TrinitĂ©. Heureux sont ceux qui ont ce Dieu pour Seigneur ! Il est prĂ©fĂ©rable de disposer d'une fontaine d'eau vive permanente, plutĂŽt que de milliers de citernes ! Il vaut mieux avoir un Dieu Tout Puissant, que des milliers d'amis incompĂ©tents. Voici le premier et le plus grand des commandements : « Tu aimeras l'Ăternel, ton Dieu, de tout ton cĆur, et de toute ton Ăąme, et de toute ta force » ; tout ce que nous pouvons faire, dans le cadre de notre devoir, dĂ©coule de cet amour. Ce Dieu nous dit : « mon fils, donne-moi ton cĆur », Proverbes 23:26*. Nous devons effectivement aimer Dieu, de tout notre cĆur, de toute notre Ăąme et de toute notre force.
C'est-Ă -dire : - D'un amour sincĂšre et non par des paroles ou des grandes phrases : l'aimer en vĂ©ritĂ©. - D'un amour puissant : celui qui est notre « Tout », doit en effet faire l'objet de toute notre dĂ©votion. - D'un amour suprĂȘme : Nous devons aimer Dieu, plus que toute autre crĂ©ature, ou tout autre chose. - D'un amour intelligent : l'aimer de tout notre cĆur, avec sagacitĂ©, en discernant le bien fondĂ© de cet amour. - D'un amour entier : l'Ăternel est « Un », notre cĆur doit rester sans partage, quant Ă cet amour.
Que cet amour de Dieu puisse rĂ©sider vraiment dans notre cĆur !
* Référence ajoutée par le traducteur pour faciliter la compréhension du texte.