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Jacob répondit : Mon fils ne descendra pas avec vous ; car son frère est mort, et il reste seul ; s’il lui arrivait un accident dans le voyage où vous vous engagez, vous feriez descendre mes cheveux blancs avec douleur dans le séjour des morts.
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Si vous me prenez encore celui-ci, et qu’il lui arrive un accident, c’est dans le malheur que vous ferez descendre mes cheveux blancs au séjour des morts.
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il mourra, en voyant que le garçon n’est pas là. Tes serviteurs auront fait descendre avec douleur dans le séjour des morts les cheveux blancs de ton serviteur, notre père.
3
Il y fallut quarante jours ; en effet c’est le temps qu’il faut pour embaumer. Les Égyptiens le pleurèrent soixante-dix jours.
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Quand les jours du deuil furent passés, Joseph s’adressa aux gens de la cour du Pharaon, et leur dit : Si je peux obtenir de vous cette faveur, parlez, je vous prie, en ces termes au Pharaon :
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Mon père m’a fait prêter serment, en disant : Je vais mourir ! Tu m’enseveliras dans la tombe que j’ai creusée au pays de Canaan. Je voudrais donc y monter pour ensevelir mon père ; puis je reviendrai.
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Le Pharaon répondit : Monte et ensevelis ton père, comme il t’en a fait faire le serment.
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Joseph monta pour ensevelir son père. Avec lui montèrent tous les serviteurs du Pharaon, anciens de sa cour, tous les anciens du pays d’Égypte,
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toute la famille de Joseph, ses frères et la famille de son père : on ne laissa dans le pays de Gochên que leurs enfants, leur petit et leur gros bétail.
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Avec Joseph, des chars et des cavaliers montèrent aussi, en sorte que le cortège était très important.
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Arrivés à l’aire d’Atad, qui est au-delà du Jourdain, ils firent des funérailles grandes et imposantes, et Joseph fit en l’honneur de son père un deuil de sept jours.
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Tu te lèveras devant les cheveux blancs et tu honoreras la personne du vieillard. Tu craindras ton Dieu. Je suis l’Éternel.
10
Il y a parmi nous des cheveux blancs, des vieillards, Plus riches de jours que ton père.
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N’est-ce pas le séjour des morts que j’espère pour demeure ? C’est dans les ténèbres que je dresserai ma couche ;
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Car, je le sais, tu me mènes à la mort, Au lieu de rendez-vous de tous les vivants.
10
Vivrait-on à toujours, Sans voir le gouffre ?
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Car on le verra : les sages meurent, L’insensé et le stupide périssent également Et laissent leurs biens à d’autres.
12
Ils s’imaginent que leurs maisons subsisteront toujours, Et leurs demeures de génération en génération, Eux qui avaient donné leurs noms à des terres.
13
Mais l’homme qui est en honneur n’a point de durée, Il est semblable aux bêtes qui périssent.
14
Telle est leur voie, leur folie, Et ceux qui les suivent se plaisent à leurs discours. Pause.
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Aussi, jusque dans la vieillesse aux cheveux blancs, O Dieu, ne m’abandonne pas, Afin que j’annonce ta force à cette génération, Ta puissance à tous ceux qui viendront,
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Les cheveux blancs sont une magnifique couronne ; C’est sur la voie de la justice qu’on la trouve.
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La force est la parure des jeunes gens, Et les cheveux blancs sont l’ornement des vieillards.
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Tout ce que ta main trouve à faire avec ta force, fais-le ; car il n’y a ni activité, ni raison, ni science, ni sagesse dans le séjour des morts où tu vas.
5
l’on craint ce qui est élevé, l’on a des terreurs en chemin, l’amandier fleurit, la sauterelle devient pesante, la câpre n’a plus d’effet, car l’homme s’en va vers sa demeure éternelle, et les pleureurs circulent dans la rue ;
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Jusqu’à votre vieillesse je serai le même, Jusqu’à votre âge avancé je vous soutiendrai ; Je l’ai fait et je veux encore porter, Soutenir et libérer.
11
La parole de l’Éternel me fut adressée en ces mots : Que vois-tu, Jérémie ? Je répondis : Je vois une branche de l’amandier hâtif.
17
Qu’elles se hâtent d’élever sur nous (leur) gémissement, Et que les larmes tombent de nos yeux, Que l’eau coule de nos paupières !
18
Car des gémissements se font entendre de Sion : Eh quoi ! nous sommes dévastés ! Nous sommes couverts de honte, Car il nous faut abandonner le pays, Car on a renversé nos demeures !
19
Femmes, écoutez donc la parole de l’Éternel, Et que votre oreille saisisse ce que dit sa bouche ! Apprenez à vos filles à gémir, (Enseignez-vous) des complaintes les unes aux autres !
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Car la mort est montée par nos fenêtres, Elle a pénétré dans nos donjons, Elle retranche les enfants des rues, Les jeunes gens des places.
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Ils arrivèrent à la maison du chef de la synagogue, où Jésus vit qu’il y avait du tumulte et des gens qui pleuraient et poussaient des cris retentissants.
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Il entra et leur dit : Pourquoi ce tumulte, et ces pleurs ? L’enfant n’est pas morte, mais elle dort.
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Et comme il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, – après quoi vient le jugement –
5 à 7 Affaiblissement physique du vieillard, dont les membres, les uns après les autres, deviennent impropres à leur destination naturelle. Le corps est comparé à une maison (Job 4.19 ; 2Corinthiens 5.1 et suivants) dont le service commence à laisser à désirer et dont les diverses parties menacent ruine.
Les gardiens : les bras et les mains, qui servent à détourner de la personne ce qui pourrait lui nuire et à lui procurer ce dont elle a besoin.
Les hommes forts : les jambes, colonnes qui supportent tout l'édifice.
Les meunières : les dents. Nous parlons aussi de dents molaires ; l'auteur dit : meunières, et non pas meuniers, parce que le soin de moudre le grain incombait le plus souvent aux femmes (Exode 11.5 ; Job 31.10 ; Esaïe 47.2 ; Matthieu 24.41 ; Luc 17.35). Ajoutons qu'il n'y avait pas de moulins publics, en sorte que l'Ecclésiaste peut mentionner ce travail comme faisant partie des occupations ordinaires de chaque ménage.
Celles qui regardent par les fenêtres : les yeux par lesquels l'âme contemple le monde extérieur. Ce mot est en hébreu du genre féminin. Les paupières, avec leurs cils, sont comme les fenêtres, ou, plus exactement, les treillis à travers lesquels on regarde.
Se voilent : manière très poétique d'indiquer le déclin de la vue.