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38
Et il répondit : Mon fils ne descendra point avec vous ; car son frère est mort, et celui-ci est resté seul. Et s'il lui arrivait malheur dans le chemin par où vous irez, vous feriez descendre mes cheveux blancs avec douleur au Sépulcre.
29
Si vous ôtez aussi celui-ci de ma présence, et qu'il lui arrive malheur, vous ferez descendre mes cheveux blancs avec douleur au Sépulcre.
31
Il arrivera que, dès qu'il verra que le jeune homme n'y est point, il mourra. Et tes serviteurs feront descendre avec douleur les cheveux blancs de ton serviteur notre père au Sépulcre.
3
Et quarante jours y furent employés ; car c'est le nombre de jours qu'on met à embaumer. Et les Égyptiens le pleurèrent soixante et dix jours.
4
Quand les jours de son deuil furent passés, Joseph parla à ceux de la maison de Pharaon, en disant : Si j'ai trouvé grâce à vos yeux, faites entendre, je vous prie, à Pharaon, ces paroles :
5
Mon père m'a fait jurer, en disant : Voici, je vais mourir ; tu m'enseveliras dans mon tombeau que je me suis acquis au pays de Canaan. Maintenant donc, que j'y monte, je te prie, et que j'ensevelisse mon père ; et je reviendrai.
6
Et Pharaon répondit : Monte, et ensevelis ton père, comme il te l'a fait jurer.
7
Alors Joseph monta pour ensevelir son père ; avec lui montèrent tous les serviteurs de Pharaon, anciens de sa maison, et tous les anciens du pays d'Égypte,
8
Et toute la maison de Joseph, ses frères, et la maison de son père ; ils ne laissèrent dans le pays de Gossen que leurs petits enfants, leurs brebis et leurs boeufs,
9
Il monta aussi avec lui des chars et des cavaliers, et le camp fut très considérable.
10
Ils vinrent jusqu'à l'aire d'Atad, qui est au delà du Jourdain, et ils y firent de très grandes et extraordinaires lamentations ; et Joseph fit à son père un deuil de sept jours.
32
Lève-toi devant les cheveux blancs, honore la personne du vieillard, et crains ton Dieu : Je suis l'Éternel.
10
Il y a aussi parmi nous des cheveux blancs, des vieillards, plus riches de jours que ton père.
13
Quand je n'attends plus pour demeure que le Sépulcre, quand j'étends ma couche dans les ténèbres,
23
Oui, je sais bien que tu m'amènes à la mort, et dans la demeure, rendez-vous de tous les vivants.
10
Car on voit que les sages meurent ; le fou et l'insensé périssent également, et laissent leurs biens à d'autres.
11
Ils pensent que leurs maisons dureront éternellement, et leurs demeures d'âge en âge ; ils ont donné leurs noms à leurs terres.
12
Mais l'homme ne peut demeurer dans son éclat ; il est rendu semblable aux bêtes qui périssent.
13
Telle est la voie sur laquelle ils se fient ; et leurs successeurs se plaisent à leurs discours.
14
Ils sont poussés au Sépulcre comme un troupeau ; la mort se repaîtra d'eux ; les justes domineront sur eux au matin ; leur beauté sera consumée dans le Sépulcre, loin de leurs habitations.
18
Et même jusqu'à la vieillesse, jusqu'à la blanche vieillesse, ô Dieu, ne m'abandonne pas ; jusqu'à ce que j'aie annoncé la force de ton bras à cette génération, ta puissance à tous ceux qui naîtront,
31
Les cheveux blancs sont une couronne d'honneur ; c'est dans la voie de la justice qu'elle se trouve.
29
La force des jeunes gens est leur gloire, et les cheveux blancs sont l'honneur des vieillards.
10
Tout ce que ta main trouve à faire, fais-le selon ton pouvoir ; car il n'y a ni oeuvre, ni pensée, ni science, ni sagesse, dans le Sépulcre où tu vas.
5
Et que l'on craindra ce qui est élevé, qu'on aura des terreurs en marchant, que l'amandier fleurira, que la sauterelle deviendra pesante, et que l'appétit manquera ; car l'homme s'en va vers sa demeure éternelle, et ceux qui pleurent feront le tour des rues ;
4
Jusqu'à votre vieillesse je serai le même, et je vous soutiendrai jusqu'à la blanche vieillesse ; je l'ai fait, et je vous porterai encore ; je vous soutiendrai, et vous sauverai.
11
Et la parole de l'Éternel me fut adressée, disant : Que vois-tu, Jérémie ? Et je répondis : Je vois une branche d'amandier.
17
Ainsi a dit l'Éternel des armées : Cherchez, appelez des pleureuses, et qu'elles viennent ; envoyez vers les femmes sages, et qu'elles viennent.
18
Qu'elles se hâtent, et qu'elles prononcent sur nous une complainte ; et que nos yeux fondent en larmes, que l'eau coule de nos paupières.
19
Car une voix de lamentation se fait entendre de Sion : Quel est notre désastre ! Nous sommes couverts de honte ! Car nous abandonnons le pays ; car on a renversé nos demeures !
20
Femmes, écoutez la parole de l'Éternel ; et que votre oreille reçoive la parole de sa bouche. Enseignez vos filles à se lamenter, et chacune sa compagne à faire des complaintes !
38
Étant arrivé à la maison du chef de la synagogue, il vit qu'on y faisait un grand bruit, et des gens qui pleuraient et qui jetaient de grands cris.
39
Et étant entré, il leur dit : Pourquoi faites-vous ce bruit, et pourquoi pleurez-vous ? l'enfant n'est pas morte, mais elle dort.
27
Et comme il est réservé aux hommes de mourir une fois, et après cela vient le jugement ;
5 à 7 Affaiblissement physique du vieillard, dont les membres, les uns après les autres, deviennent impropres à leur destination naturelle. Le corps est comparé à une maison (Job 4.19 ; 2Corinthiens 5.1 et suivants) dont le service commence à laisser à désirer et dont les diverses parties menacent ruine.
Les gardiens : les bras et les mains, qui servent à détourner de la personne ce qui pourrait lui nuire et à lui procurer ce dont elle a besoin.
Les hommes forts : les jambes, colonnes qui supportent tout l'édifice.
Les meunières : les dents. Nous parlons aussi de dents molaires ; l'auteur dit : meunières, et non pas meuniers, parce que le soin de moudre le grain incombait le plus souvent aux femmes (Exode 11.5 ; Job 31.10 ; Esaïe 47.2 ; Matthieu 24.41 ; Luc 17.35). Ajoutons qu'il n'y avait pas de moulins publics, en sorte que l'Ecclésiaste peut mentionner ce travail comme faisant partie des occupations ordinaires de chaque ménage.
Celles qui regardent par les fenêtres : les yeux par lesquels l'âme contemple le monde extérieur. Ce mot est en hébreu du genre féminin. Les paupières, avec leurs cils, sont comme les fenêtres, ou, plus exactement, les treillis à travers lesquels on regarde.
Se voilent : manière très poétique d'indiquer le déclin de la vue.