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38
Jacob répond : « Non, mon fils ne partira pas avec vous. Son frère est mort, je n’ai plus que lui. Je suis très vieux. Si un malheur lui arrive pendant votre voyage, je mourrai de chagrin par votre faute. »
29
Vous voulez encore m’enlever ce fils ! Je suis vieux. Si un malheur lui arrive, je mourrai de chagrin par votre faute.”
31
La vie de mon père est trop liée à la sienne. S’il ne le voit pas revenir, il va mourir. Nous serons alors coupables de l’avoir fait mourir de chagrin dans sa vieillesse.
4
Quand le temps du deuil est fini, Joseph dit aux gens proches du roi d’Égypte : « Si vous avez de l’amitié pour moi, je vous prie de transmettre mon message au roi.
5
Dites-lui de ma part : “Avant de mourir, mon père m’a fait jurer de l’enterrer en Canaan, dans la tombe qu’il s’est préparée.” Je souhaiterais aller enterrer mon père maintenant, puis je reviendrai. »
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Le roi d’Égypte fait dire à Joseph : « Va enterrer ton père comme tu l’as promis. »
7
Joseph part avec tous les fonctionnaires importants du roi, avec les anciens du palais du roi, et tous les anciens d’Égypte.
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Il emmène aussi toute sa famille, ses frères et les autres personnes de la famille de son père. Dans la région de Gochen, ils laissent seulement les enfants et les troupeaux.
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Des chars et des cavaliers les accompagnent. Ils forment un groupe très important.
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Ils arrivent au champ de l’Épine, à l’est du fleuve Jourdain. Là, ils font pour Jacob des funérailles extraordinaires et magnifiques. Joseph pleure son père pendant sept jours.
32
« Levez-vous devant une personne âgée. Soyez pleins de respect pour les gens âgés. Ainsi, vous respecterez votre Dieu. Le SEIGNEUR, c’est moi.
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Il y a même parmi nous un ancien, un homme plus âgé que ton père !
13
« Qu’est-ce que je peux attendre ? Une place dans le monde des morts, une natte pour m’étendre dans son obscurité.
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Oui, je le sais, tu m’emmènes vers la mort, au rendez-vous de tous les vivants.
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Est-ce qu’ils vivront encore longtemps, est-ce qu’ils ne finiront pas dans la tombe, eux aussi ?
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Pourtant, on le voit bien : les sages meurent, tout comme les gens stupides et sans intelligence. Et ils laissent à d’autres leur fortune.
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Ils pensent posséder leurs champs pour toujours. Mais leur tombe, voilà leur habitation pour toujours, leur maison pour tous les temps.
13
Au milieu de leur richesse, les humains ne comprennent pas qu’ils mourront un jour comme les animaux.
14
Voici le chemin de ceux qui mettent leur confiance en eux-mêmes, voici ce qui attend les gens qui aiment s’écouter parler :
18
Maintenant que je suis vieux, couvert de cheveux blancs, ne m’abandonne pas, ô Dieu ! Alors je pourrai annoncer ta puissance éclatante aux jeunes d’aujourd’hui et aux enfants qui vont naître.
31
Une longue vie est une belle récompense. Ceux qui agissent bien la reçoivent.
29
La fierté des jeunes, c’est la force, la beauté des vieillards, ce sont les cheveux blancs.
10
Tout ce que tu peux accomplir avec tes seules forces, fais-le. Car dans le monde des morts où tu vas aller, on ne peut rien faire, on ne peut pas réfléchir, il n’y a ni connaissance ni sagesse.
5
Alors la route qui monte fait peur, la marche effraie. Les cheveux deviennent blancs comme un arbre en fleurs, le corps est lourd comme une sauterelle qui retombe à terre, la vie s’en va comme le fruit tombe de l’arbre. Oui, un jour, chacun s’en va vers la tombe qui sera sa dernière maison. Et les pleureuses sont déjà dans la rue.
4
Je resterai le même jusqu’à votre vieillesse. Je vous porterai jusqu’à ce que vous ayez les cheveux blancs. C’est moi qui vous ai faits, c’est moi qui vous porterai. Oui, je prendrai soin de vous et je vous sauverai.
11
Alors le SEIGNEUR m’a adressé sa parole : « Jérémie, qu’est-ce que tu vois ? » J’ai répondu : « Je vois une branche d’amandier, l’arbre qui veille. »
17
« Vite, qu’elles chantent sur nous une plainte ! Que nos yeux débordent de larmes, que l’eau inonde nos paupières ! »
18
Oui, on entend chanter une plainte du côté de Jérusalem : « Hélas, nous sommes détruits, couverts de honte ! Nous devons quitter notre pays, car nos maisons sont démolies. »
19
Vous, les femmes, écoutez donc ces paroles du SEIGNEUR. Ouvrez vos oreilles à ce qu’il dit. Apprenez à vos filles ce chant de deuil, que chacune enseigne à sa voisine cette plainte chantée :
20
« La mort monte par nos fenêtres, elle entre dans nos belles maisons. Elle emporte les enfants dans les rues et les jeunes sur les places. »
38
Ils arrivent à la maison de Jaïrus. Là, il y a beaucoup de bruit. Jésus voit que les gens pleurent et poussent de grands cris.
39
Il entre dans la maison et leur dit : « Pourquoi faites-vous tout ce bruit ? Et pourquoi est-ce que vous pleurez ? La petite fille n’est pas morte, mais elle dort. »
27
Les êtres humains meurent une seule fois, ensuite Dieu les juge.
5 à 7 Affaiblissement physique du vieillard, dont les membres, les uns après les autres, deviennent impropres à leur destination naturelle. Le corps est comparé à une maison (Job 4.19 ; 2Corinthiens 5.1 et suivants) dont le service commence à laisser à désirer et dont les diverses parties menacent ruine.
Les gardiens : les bras et les mains, qui servent à détourner de la personne ce qui pourrait lui nuire et à lui procurer ce dont elle a besoin.
Les hommes forts : les jambes, colonnes qui supportent tout l'édifice.
Les meunières : les dents. Nous parlons aussi de dents molaires ; l'auteur dit : meunières, et non pas meuniers, parce que le soin de moudre le grain incombait le plus souvent aux femmes (Exode 11.5 ; Job 31.10 ; Esaïe 47.2 ; Matthieu 24.41 ; Luc 17.35). Ajoutons qu'il n'y avait pas de moulins publics, en sorte que l'Ecclésiaste peut mentionner ce travail comme faisant partie des occupations ordinaires de chaque ménage.
Celles qui regardent par les fenêtres : les yeux par lesquels l'âme contemple le monde extérieur. Ce mot est en hébreu du genre féminin. Les paupières, avec leurs cils, sont comme les fenêtres, ou, plus exactement, les treillis à travers lesquels on regarde.
Se voilent : manière très poétique d'indiquer le déclin de la vue.