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« Non, répondit Jacob, mon fils ne partira pas avec vous. Son frère est mort, lui seul me reste. Si un malheur lui arrivait au cours de votre voyage, âgé comme je suis, je mourrais de douleur par votre faute. »
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Et vous voulez me prendre aussi l’autre ! Si un malheur lui arrive, âgé comme je suis, je mourrai de tristesse par votre faute.”
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qu’il mourra s’il ne le voit pas revenir. Nous serons alors coupables de l’avoir fait mourir de douleur dans sa vieillesse.
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Quand le deuil de Jacob eut pris fin, Joseph dit aux proches du Pharaon : « Si vous avez de l’amitié pour moi, veuillez transmettre de ma part ces paroles au Pharaon :
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“Avant de mourir, mon père m’a fait jurer de l’enterrer au pays de Canaan, dans le tombeau qu’il s’est préparé. Autorise-moi donc à aller l’enterrer maintenant, puis je reviendrai.” »
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Le Pharaon permit à Joseph d’aller enterrer son père et de tenir ainsi sa promesse.
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Joseph se mit en route ; il était accompagné des dignitaires du palais au service du Pharaon, des anciens de toute l’Égypte,
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de toute sa famille, de ses frères et des autres membres de la famille de son père. On ne laissa dans la région de Gochen que les petits enfants et le bétail.
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Le convoi comprenait aussi une escorte de chars et de cavaliers ; il était particulièrement imposant.
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Ils arrivèrent à Goren-Atad – “l’Aire de l’Épine” –, au-delà du Jourdain. Là, ils célébrèrent solennellement une cérémonie funèbre, très impressionnante. Durant sept jours, Joseph observa le deuil de son père.
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« Levez-vous avec considération devant un vieillard. Montrez par votre comportement que vous me respectez. Je suis le Seigneur votre Dieu.
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Il y a parmi nous des vieux pleins d’expérience, bien plus riches d’années que ne l’était ton père !
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Que puis-je attendre encore ? – Une place pour moi dans le monde des morts, un lit où me coucher dans son obscurité !
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Je le sais bien, tu me ramènes chez la mort, ce lieu de rendez-vous fixé à tout vivant.
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Pensent-ils vivre encore indéfiniment et se dérober à la tombe ?
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Mais on le voit bien : les sages meurent comme aussi le dernier des sots, et ils abandonnent leurs biens à d’autres.
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Bien qu’ils aient donné leur nom à leurs terres, la tombe est leur habitation définitive, leur demeure pour tous les temps.
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Pourtant, au milieu de son luxe, l’homme ne comprend pas qu’il va vers sa fin, comme un simple animal.
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Mais voici le sort de ces gens pleins d’assurance ; voici quel est l’avenir de ceux qui aiment tant s’entendre parler :
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Maintenant que j’ai les cheveux blancs, ô Dieu, ne m’abandonne pas ; alors je pourrai annoncer ton action efficace et vigoureuse aux jeunes et à ceux qui viendront après eux.
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Les cheveux blancs sont une parure qui couronne celui qui a suivi les traces de la justice.
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La vigueur fait la beauté de la jeunesse et les cheveux blancs la dignité de la vieillesse.
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Utilise ta force à réaliser tout ce qui se présente à toi. En effet on ne peut pas agir ni juger, il n’y a ni savoir ni sagesse là où sont les morts que tu iras rejoindre.
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On a peur de gravir une pente, on a des frayeurs en chemin, les cheveux blanchissent comme l’aubépine en fleur, l’agilité de la sauterelle fait défaut, les épices perdent leur saveur. Ainsi chacun s’en va vers sa dernière demeure. Et dans la rue, les pleureurs rôdent en attendant.
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Je resterai le même jusqu’à votre vieillesse, je vous soutiendrai jusqu’à vos cheveux blancs. C’est moi qui vous ai faits, c’est moi qui vous porterai. Oui, je me chargerai de vous et je vous sauverai.
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Alors je reçus cette parole du Seigneur : « Qu’aperçois-tu Jérémie ? » – « Une branche d’amandier, l’arbre vigilant », répondis-je.
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qu’elles se dépêchent de venir entonner leur complainte à notre sujet ! Que nous ayons les yeux pleins de larmes, et les paupières mouillées de pleurs ! »
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Du côté de Sion on entend une complainte : « Dans quel triste état nous sommes, quelle honte pour nous de quitter le pays et de voir nos maisons abattues ! »
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Vous, les femmes, écoutez donc cette parole du Seigneur ; ouvrez vos oreilles à ce qu’il dit. Enseignez la complainte à vos filles, que chacune apprenne à sa voisine cette lamentation :
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« La mort monte par nos fenêtres, elle entre dans nos belles maisons, elle fauche les enfants dans les rues et les jeunes gens sur les places. »
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Ils arrivèrent chez le chef de la synagogue, où Jésus vit des gens très agités, qui pleuraient et se lamentaient à grands cris.
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Il entra dans la maison et leur dit : « Pourquoi toute cette agitation et ces pleurs ? L’enfant n’est pas morte, elle dort. »
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Tout être humain est destiné à mourir une seule fois, puis à être jugé par Dieu.
5 à 7 Affaiblissement physique du vieillard, dont les membres, les uns après les autres, deviennent impropres à leur destination naturelle. Le corps est comparé à une maison (Job 4.19 ; 2Corinthiens 5.1 et suivants) dont le service commence à laisser à désirer et dont les diverses parties menacent ruine.
Les gardiens : les bras et les mains, qui servent à détourner de la personne ce qui pourrait lui nuire et à lui procurer ce dont elle a besoin.
Les hommes forts : les jambes, colonnes qui supportent tout l'édifice.
Les meunières : les dents. Nous parlons aussi de dents molaires ; l'auteur dit : meunières, et non pas meuniers, parce que le soin de moudre le grain incombait le plus souvent aux femmes (Exode 11.5 ; Job 31.10 ; Esaïe 47.2 ; Matthieu 24.41 ; Luc 17.35). Ajoutons qu'il n'y avait pas de moulins publics, en sorte que l'Ecclésiaste peut mentionner ce travail comme faisant partie des occupations ordinaires de chaque ménage.
Celles qui regardent par les fenêtres : les yeux par lesquels l'âme contemple le monde extérieur. Ce mot est en hébreu du genre féminin. Les paupières, avec leurs cils, sont comme les fenêtres, ou, plus exactement, les treillis à travers lesquels on regarde.
Se voilent : manière très poétique d'indiquer le déclin de la vue.