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Exode 12.14

This day shall be to you for a memorial, and you shall keep it a feast to Yahweh: throughout your generations you shall keep it a feast by an ordinance forever.
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      Exode 5

      1

      Le mécontentement de Pharaon ; Il augmente la charge des enfants d'Israël. (Exode 5:1-9)
      La souffrance des enfants d'Israël ; La complainte de Moïse envers Dieu. (Exode 5:10-23)

      Malgré l'état misérable du peuple d'Israël, Dieu désire le sauver au temps marqué, par l'intervention de Moïse. Pharaon méprisait toutes les requêtes de délivrance qui lui étaient adressées par le patriarche. Il ne connaissait pas Jéhovah, il ne le craignait nullement, ni ne l'aimait, ce qui le conduisait à refuser de lui obéir. Un tel orgueil de Pharaon, une telle cupidité et une si grande ambition politique ne pouvaient que le conduire à sa perte. Ce que Moïse et Aaron demandaient, était tout à fait raisonnable : ils n'ont fait que transmettre une demande pour laisser aller le peuple trois jours dans le désert.

      Il en va de même dans notre conduite chrétienne : nous devons réserver du temps pour offrir nos sacrifices spirituels au Seigneur, notre Dieu.

      Le raisonnement de Pharaon, qui soutenait que les enfants d'Israël étaient paresseux et qu'en conséquence, il n'était pas pensable de les laisser partir pour offrir des sacrifices, était un raisonnement absurde. Il se méprenait complètement en voulant par ce fait, augmenter leur charge de travail.

      De nos jours, il est fréquent de rencontrer des personnes plus disposées à formuler des reproches envers leurs voisins qui consacrent quelques heures au service de Dieu, plutôt que de blâmer les autres, qui s'adonnent aux plaisirs iniques de ce monde.

      Ce refus de Pharaon était vraiment inhumain. Moïse et Aaron, dans cette lutte, en portaient indirectement les conséquences. Les persécuteurs prennent un certain plaisir à mépriser et à éprouver les serviteurs de Dieu. Le quota habituel de production de briques devait être atteint, malgré le manque de fourniture de paille nécessaire à leur fabrication. Une telle augmentation de charge de travail devait finalement être annoncée au peuple : elle ne pouvait que lui briser les reins, ou en cas de non accomplissement, provoquer la punition.

      Exode 12

      43 À l'avenir, toute la congrégation d'Israël se devait d'observer la Pâque. Toutes les bénédictions divines reçues doivent être l'objet de reconnaissance et de louanges à Dieu.

      La Pâque du Nouveau Testament (le souper du Seigneur), personne ne doit la négliger. Les étrangers, à condition qu'ils soient circoncis, avaient également la possibilité de partager le repas de la Pâque. Nous trouvons ici une disposition précoce, en faveur des « gentils ». Tous ces faits soulignent que les Juifs forment une nation favorisée par Dieu, non pas uniquement à cause de leur descendance d'Abraham, mais parce qu'ils constituent une entité quant à leurs privilèges.

      Christ, notre « Pâque », a été sacrifié pour nous, 1Corinthiens 5:7 ; Son sang est la seule rançon pour nos âmes ; sans effusion de ce sang, il ne peut y avoir de rémission des péchés ; sans aspersion de ce sang, il ne peut y avoir de salut.

      Avons-nous, par la foi, par le sang qui nous a racheté, préservé notre âme de la vengeance qui l'attend ? Est-ce que nous nous tenons sous cette protection, ne dépendant que de ce sang ? Est-ce que nous professons notre foi dans le Rédempteur, notre obligation envers Lui : annoncer aux autres à qui nous appartenons ? Sommes-nous préparés à Son service, prêts à marcher dans Ses voies et à nous séparer de Ses ennemis ?

      Toutes ces questions revêtent une grande importance pour l'âme ; que le Seigneur puisse diriger notre conscience honnêtement pour y répondre !

      Exode 13

      Lévitique 23

      4 La fête de la Pâque durait sept jours ; ce temps n'était cependant pas voué à l'oisiveté ni à la pratique du sport, comme le font les soit disant « chrétiens » aujourd'hui, pendant le week-end Pascal. Lors de cette fête, les offrandes étaient apportées à l'Éternel, devant Son autel ; le peuple devait se consacrer à la prière et à la méditation. La « gerbe des prémices » était une image de notre Seigneur Jésus-Christ, qui est ressuscité des morts, tout comme les premiers épis qui émanaient du sol. Jésus a vaincu la mort le même jour où l'on offrait la gerbe des prémices. Il nous est commandé d'honorer le Seigneur avec nos revenus, avec les « prémices » de nos bénéfices, Proverbes 3:9. Les Israélites ne devaient pas manger le blé nouveau, tant que la part qui était réservée pour Dieu, n'avait pas été soustraite.

      Dans toutes nos actions, nous devons commencer par honorer Dieu : nous devons débuter chaque matin dans Sa présence, entamer chacun de nos repas par une prière de reconnaissance, démarrer toute affaire ou action avec Sa bénédiction ; en un mot : rechercher premièrement le royaume de Dieu !

      Nombres 10

      Nombres 16

      Nombres 18

      8 Tous les croyants sont des « sacrificateurs spirituels » : Dieu a promis d'en prendre soin. Il promet de bénir les âmes pieuses. Les apôtres enseignent qu'il est du devoir des églises chrétiennes de soutenir les serviteurs de Dieu, comme étaient soutenus à l'époque les sacrificateurs, mentionnés dans ce texte. La négligence en ce domaine ne peut que nuire au ministère. Les sacrificateurs devaient être entièrement consacrés à leur fonction, sans vaquer à d'autres tâches : ils ne devaient pas en effet être accaparés ni détournés par les affaires du monde. De plus, leur conduite devait être un véritable exemple de « vie par la foi », non seulement en étant soumis à la Providence divine, mais aussi à la Parole. Le meilleur de chaque produit, les premiers fruits, devaient être offerts à l'Éternel.

      Ceux qui pensent économiser, en rognant sur les offrandes prévues à Dieu, se fourvoient complètement : on ne se moque pas de Dieu !

      Deutéronome 16

      1

      Le mois des épis. (Deutéronome 16:1-17)
      Établissement des juges et des magistrats. Les statues idolâtres et les images sont interdites. (Deutéronome 16:18-22)

      Les lois relatives aux trois premières fêtes de l'année sont ici répétées (La Pâque, la Pentecôte et les Tabernacles) ; d'autres directives sont également données au peuple, pour détailler le déroulement de ces festivités.

      Le croyant ne devrait jamais oublier son état initial, fautif et misérable, et devrait toujours se souvenir de sa délivrance et du prix payé par son Rédempteur ; cette gratitude et cette joie d'appartenir au Seigneur, devraient être accompagnées d'une aversion pour les péchés qu'il commet encore, sur le chemin qui le mène vers le royaume des cieux.

      Les Hébreux devaient se réjouir pour tout ce qu'ils recevaient de la part de l'Éternel, puis Lui offrir, en retour, des sacrifices d'actions de grâce ; il faut savoir nous réjouir quand nous prenons sainement plaisir ici-bas ; si les enfants d'Israël, qui étaient sous le régime de la loi, devaient exprimer leur joie devant Dieu, combien plus devons-nous, au temps de l'évangile, faire de même ! Il va de notre devoir de nous réjouir toujours dans le Seigneur. Quand nous éprouvons de la joie devant Dieu, nous sommes alors capables d'assister les autres pour qu'ils fassent de même, de réconforter les affligés et ceux qui sont dans le besoin.

      Ceux qui font de Dieu leurs délices, sont à même de se réjouir en espérance, car Il est fidèle et accomplit toujours ce qu'Il a promis.

      Josué 4

      1 Samuel 30

      2 Rois 23

      Néhémie 8

      9 Il était vraiment positif, de voir le cœur des Juifs aussi avide d'entendre les paroles de la loi. Le peuple devait partager son repas avec ceux qui n'avaient rien préparé. Lors d'une fête religieuse, il est du devoir de chacun de distribuer toute nourriture, matérielle comme spirituelle, aux âmes affamées ; la générosité divine devrait nous rendre généreux !

      Nous devons non seulement donner à ceux qui nous entourent, mais aussi à ceux qui sont loin de nous.

      La force spirituelle du peuple provenait de la joie qu'il éprouvait dans le Seigneur. Plus nous comprenons la Parole de Dieu, plus nous sommes encouragés à La lire ; les « ténèbres » de l'ennui résultent de « l'obscurité » de l'ignorance.

      Psaumes 111

      Psaumes 135

      Ezéchiel 46

      Zacharie 6

      Matthieu 26

      Luc 22

      19 La Sainte Cène, le « Repas du Seigneur », est une image commémorative de Christ, venu mourir ici-bas, pour nous délivrer du péché ; par cette ordonnance, Sa mort nous est rappelée d'une manière particulière, pour que nous en gardions le souvenir.

      Le brisement du corps de Christ, en tant que sacrifice pour effacer nos offenses, nous est remémoré par le pain qui est rompu. Rien ne peut être plus nourrissant et satisfaisant pour l'âme, que cet « enseignement » de Christ, expiant ainsi notre péché et nous assurant du bénéfice de cette expiation.

      Nous célébrons ce repas en souvenir de Celui qui l'a déjà fait une première fois, avant Sa mort ; nous célébrons cette commémoration en nous joignant nous-mêmes spirituellement à Christ, dans une alliance éternelle.

      L'effusion du sang de Christ, par laquelle cette expiation a été faite, est représentée par le vin que nous prenons dans la coupe.

      1 Corinthiens 5

      1 Corinthiens 11

      23 L'apôtre décrit l'ordonnance sacrée de la cène, qui lui avait été révélée par le Seigneur. Les éléments visibles de la cène sont le pain et le vin. Quand on participe à ce repas, on mange du pain ; ce dernier « représente » le corps du Seigneur. Ceci expose clairement la pensée de l'apôtre, qui excluait toute transformation de cette nourriture en chair.

      Matthieu nous rapporte que notre Seigneur a invité tous Ses disciples à boire de la coupe, Matthieu 26:27, mentionnant par ce verset, qu'aucun croyant ne devait être privé de la coupe. Ces éléments, le pain et le vin, représentent le corps brisé et le sang versé de Christ, avec tous les bienfaits qui découlent pour nous, de Sa mort et de Son sacrifice.

      Notre Sauveur prit le pain et la coupe, rendit grâces et présenta ces éléments à Ses disciples. Ces derniers n’avaient ensuite qu’à manger de ce pain et boire de cette coupe, en mémoire de Christ. Ces actes visibles ne sont pas les plus importants, ils ne représentent pas toute la signification de cette sainte ordonnance. Ceux qui y participent, doivent considérer Jésus en tant que Seigneur et Maître de leur Vie : ils peuvent s’approcher de Lui et vivre « en » Lui. Tels sont ici décrits, les buts de cette ordonnance.

      La cène doit être prise en mémoire de Christ, pour que nous gardions à l’esprit qu'Il est mort pour nous et qu’Il intercède pour nous, en vertu de Sa mort, à la droite de Dieu. Il ne s’agit pas simplement de se souvenir de Christ, de Son œuvre et de toutes Ses souffrances, mais de célébrer également Sa Grâce, nécessaire à notre rédemption.

      Nous déclarons par ce repas que la mort du Seigneur est à la base de notre vie spirituelle, qu’elle est la source de tous nos réconforts et de notre espérance. Dans une telle déclaration, nous glorifions Christ et témoignons de Sa mort, acceptant Son sacrifice comme rançon de nos péchés.

      Le repas du Seigneur n'est pas une ordonnance épisodique, il doit être pratiqué régulièrement. L'apôtre souligne devant les Corinthiens, le danger de prendre ce repas de manière inconsidérée, ou en étant dans une situation de péché, tout en déclarant confirmer et renouveler l'alliance avec Dieu. Il n'y a aucun doute : cela engendre une grande culpabilité, et rend ceux qui agissent ainsi, redevables de jugements spirituels.

      Cela ne doit pas décourager les croyants « timides » de participer à cette sainte ordonnance. Le Saint-Esprit n’a jamais voulu que ce texte soit transmis pour dissuader les véritables chrétiens d’accomplir leur devoir en ce sens, bien que le diable les en ait parfois dissuadés.

      L'apôtre s'adressait aux chrétiens, les avertissant de se méfier des jugements par lesquels Dieu punissait Ses serviteurs qui l'offensaient. Mais malgré ces châtiments, Dieu rappelle Sa Miséricorde : Il punit souvent ceux qu'Il aime. Il vaut mieux subir l’épreuve ici-bas, plutôt que d'être spirituellement misérable, à jamais...

      L'apôtre indique quel est le devoir de ceux qui s’approchent de la table du Seigneur : un examen de conscience est essentiel pour participer correctement à cette sainte ordonnance. Si nous prenons la peine de chercher au fond de nous-mêmes tous nos manquements, pour les confesser à Dieu, nous pourrons ainsi éviter Ses jugements.

      L'apôtre termine par une mise en garde relative aux irrégularités dont les Corinthiens étaient coupables, devant la table du Seigneur. Que chacun puisse considérer cet avertissement, de façon à ne pas venir présenter un culte provocant devant Dieu, ce qui ne pourrait qu’attirer un jugement sévère.

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