L'humeur (1/3) - Joyce Meyer - Gérer mes émotions
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Les chemins divins sont des chemins de droiture, malgré leurs
apparences, qui parfois nous déroutent. Si nous pensons que
Dieu ne conduit pas Son peuple par le plus court chemin, soyons
persuadés qu'Il le conduit au mieux, ce qui se vérifie à la fin
du voyage. Les Philistins étaient des ennemis puissants ; il
était nécessaire que les Israélites fussent préparés, pour
faire la guerre en Canaan : ils devaient traverser les
difficultés de la route dans le désert. Dieu envoie des
épreuves à Son peuple, qui sont toujours proportionnelles à sa
force, 1Corinthiens 10:13. Les Israélites partirent en bon
ordre, par groupes de cinq ; ils étaient militairement bien
rangés, ce qui leur donnait un certain potentiel. Ils prirent
avec eux les os de Joseph. C'était un encouragement pour leur
foi et leur espérance : cela signifiait bien que Dieu devait,
par leur intermédiaire, conduire ces os en Canaan, au travers
du désert.
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17 à 22 De Succoth à Etham
La route ordinaire des caravanes pour le pays de Canaan allait au Nord-Est en se rapprochant de la côte de la Méditerranée. Mais par ce chemin, les Israélites seraient arrivés en douze à quinze jours à la frontière méridionale de Canaan, et là, ils se seraient trouvés en face du peuple belliqueux des Philistins et n'auraient pu passer sans se mettre en guerre avec lui.
Nourri dans la servitude, faible encore dans la foi, Israël n'était pas préparé à une telle rencontre. D'ailleurs, il résulte de Genèse 15.19-21 et d'Exode 3.8 que les Philistins n'étaient pas au nombre des peuples qui devaient être dépossédés à ce moment-là. Dieu avait donc décidé de faire passer Israël par une autre route, celle qu'il avait indiquée dès l'abord à Moïse, quand à Sinaï il lui avait donné pour signe (3.12) le culte que le peuple lui rendrait un jour au pied de cette montagne même.
Ce fut cette marche étrange, en sens opposé au but, qui acheva d'aveugler Pharaon, une fois remis de son premier mouvement de terreur.
Que le peuple se repente : 14.10-12 montre bien que cette crainte était fondée sur la connaissance que Dieu avait des dispositions du peuple.
Les chemins divins sont des chemins de droiture, malgré leurs apparences, qui parfois nous déroutent. Si nous pensons que Dieu ne conduit pas Son peuple par le plus court chemin, soyons persuadés qu'Il le conduit au mieux, ce qui se vérifie à la fin du voyage. Les Philistins étaient des ennemis puissants ; il était nécessaire que les Israélites fussent préparés, pour faire la guerre en Canaan : ils devaient traverser les difficultés de la route dans le désert. Dieu envoie des épreuves à Son peuple, qui sont toujours proportionnelles à sa force, 1Corinthiens 10:13. Les Israélites partirent en bon ordre, par groupes de cinq ; ils étaient militairement bien rangés, ce qui leur donnait un certain potentiel. Ils prirent avec eux les os de Joseph. C'était un encouragement pour leur foi et leur espérance : cela signifiait bien que Dieu devait, par leur intermédiaire, conduire ces os en Canaan, au travers du désert.