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Lorsque le Pharaon laissa partir les Israélites, Dieu ne leur fit pas prendre le chemin du pays des Philistins, bien que ce soit le plus direct. Il craignait en effet que le peuple, effrayé par les combats à livrer, ne change d’avis et revienne en Égypte.
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et dirent à Moïse : « N’y avait-il pas assez de tombeaux en Égypte ? Pourquoi nous as-tu emmenés mourir dans le désert ? Pourquoi nous as-tu fait quitter l’Égypte ?
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Nous te l’avions bien dit, quand nous étions encore là-bas : “Laisse-nous tranquilles ; nous voulons servir les Égyptiens. Cela vaut mieux pour nous que de mourir dans le désert.” » –
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Là, dans le désert, les Israélites se remirent à protester contre Moïse et Aaron.
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Ils disaient : « Si seulement le Seigneur nous avait fait mourir en Égypte, quand nous nous réunissions autour des marmites de viande et que nous avions assez à manger ! Mais vous nous avez conduits dans ce désert pour nous y laisser tous mourir de faim ! »
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Toute la nuit les Israélites crièrent et pleurèrent.
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Ils protestaient contre Moïse et Aaron, leur disant : « Ah, si seulement nous étions morts en Égypte, ou dans ce désert !
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Pourquoi le Seigneur nous conduit-il dans un tel pays ? Nous y mourrons dans des combats, nos femmes et nos enfants feront partie du butin des vainqueurs. Ne vaudrait-il pas mieux pour nous retourner en Égypte ? »
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Ils se dirent alors les uns aux autres : « Nommons un chef et retournons en Égypte ! »
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Votre roi ne devra pas posséder un grand nombre de chevaux, ni envoyer des gens en acheter en Égypte, car le Seigneur vous a dit que vous n’auriez plus à retourner dans ce pays.
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Les officiers recruteurs ajouteront ceci : « Y a-t-il parmi vous quelqu’un qui a perdu courage et a peur ? Qu’il retourne chez lui, afin de ne pas démoraliser les autres. »
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Tu vas donc annoncer ceci devant tes troupes : “Que tous ceux qui tremblent de peur s’éloignent du mont Galaad et retournent chez eux.” » Vingt-deux mille d’entre eux s’en retournèrent et il en resta dix mille.
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si alors, dans le pays où ils sont captifs, ils réfléchissent, s’ils recommencent à te supplier en disant : “Nous avons désobéi, nous avons péché, nous sommes coupables !”,
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Ils ont refusé d’obéir, ils ont oublié les merveilles que tu avais réalisées en leur faveur ; ils se sont entêtés, ils ont décidé de retourner à leur esclavage en Égypte. Mais toi, tu ne les as pas abandonnés, car tu es un Dieu qui pardonne, un Dieu bienveillant et compatissant, patient et d’une immense bonté.
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Celui qui ne porte pas sa croix pour me suivre ne peut pas être mon disciple.
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Si l’un de vous veut construire une tour, il s’assied d’abord pour calculer la dépense et voir s’il a assez d’argent pour achever le travail.
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Autrement, s’il pose les fondations sans pouvoir achever la tour, tous ceux qui verront cela se mettront à rire de lui
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en disant : “Cet homme a commencé de construire mais a été incapable d’achever le travail !”
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De même, si un roi veut partir en guerre contre un autre roi, il s’assied d’abord pour examiner s’il peut, avec dix mille hommes, affronter son adversaire qui marche contre lui avec vingt mille hommes.
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S’il ne le peut pas, il envoie des messagers à l’autre roi, pendant qu’il est encore loin, pour lui demander ses conditions de paix.
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Mais nos ancêtres ne voulurent pas lui obéir ; ils le repoussèrent et désirèrent retourner en Égypte.
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mais Paul estimait qu’il ne fallait pas le faire, parce qu’il les avait quittés en Pamphylie et ne les avait plus accompagnés dans leur mission.
17 à 22 De Succoth à Etham
La route ordinaire des caravanes pour le pays de Canaan allait au Nord-Est en se rapprochant de la côte de la Méditerranée. Mais par ce chemin, les Israélites seraient arrivés en douze à quinze jours à la frontière méridionale de Canaan, et là, ils se seraient trouvés en face du peuple belliqueux des Philistins et n'auraient pu passer sans se mettre en guerre avec lui.
Nourri dans la servitude, faible encore dans la foi, Israël n'était pas préparé à une telle rencontre. D'ailleurs, il résulte de Genèse 15.19-21 et d'Exode 3.8 que les Philistins n'étaient pas au nombre des peuples qui devaient être dépossédés à ce moment-là. Dieu avait donc décidé de faire passer Israël par une autre route, celle qu'il avait indiquée dès l'abord à Moïse, quand à Sinaï il lui avait donné pour signe (3.12) le culte que le peuple lui rendrait un jour au pied de cette montagne même.
Ce fut cette marche étrange, en sens opposé au but, qui acheva d'aveugler Pharaon, une fois remis de son premier mouvement de terreur.
Que le peuple se repente : 14.10-12 montre bien que cette crainte était fondée sur la connaissance que Dieu avait des dispositions du peuple.
Les chemins divins sont des chemins de droiture, malgré leurs apparences, qui parfois nous déroutent. Si nous pensons que Dieu ne conduit pas Son peuple par le plus court chemin, soyons persuadés qu'Il le conduit au mieux, ce qui se vérifie à la fin du voyage. Les Philistins étaient des ennemis puissants ; il était nécessaire que les Israélites fussent préparés, pour faire la guerre en Canaan : ils devaient traverser les difficultés de la route dans le désert. Dieu envoie des épreuves à Son peuple, qui sont toujours proportionnelles à sa force, 1Corinthiens 10:13. Les Israélites partirent en bon ordre, par groupes de cinq ; ils étaient militairement bien rangés, ce qui leur donnait un certain potentiel. Ils prirent avec eux les os de Joseph. C'était un encouragement pour leur foi et leur espérance : cela signifiait bien que Dieu devait, par leur intermédiaire, conduire ces os en Canaan, au travers du désert.