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Exode 15.24

Alors le peuple se plaignit de Moïse en disant : —Qu’allons-nous boire ?
Alors le peuple se plaignit de Moïse en disant : —Qu’allons-nous boire ?
Le peuple murmura contre Moïse, en disant : Que boirons-nous ?
The people murmured against Moses, saying, "What shall we drink?"
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      Exode 14

      Exode 15

      Exode 16

      Exode 17

      Nombres 11

      1

      Le feu de Tabeéra. (Nombres 11:1-3)
      Le peuple désire de la viande, il méprise la manne. (Nombres 11:4-9)
      Moïse se plaint de la charge qu'il supporte. (Nombres 11:10-15)
      Des anciens sont désignés pour partager cette charge. La viande promise. (Nombres 11:16-23)
      L'Esprit de Dieu repose sur les anciens. (Nombres 11:24-30)
      Dieu donne des cailles. (Nombres 11:31-35)

      Voici le péché commis par le peuple : ils murmurèrent.

      Remarquez l'horreur du péché, qui profite de la vulnérabilité du peuple, en le provoquant dans le désert, malgré les promesses de soutien de l'Éternel. La loi n'a pu, dans sa faiblesse, que révéler le péché, sans pouvoir l'anéantir ; les enfants d'Israël murmurèrent contre l'Éternel et Moïse. Ceux qui sont toujours insatisfaits, sont en réalité inquiets et en permanence enclins à se quereller, même si les conditions qui les environnent, sont favorables. L'Éternel entendit ces murmures, alors que Moïse ne semblait pas être au courant. Dieu connaît bien les tracas et les murmures secrets de notre cœur.

      Dans ce texte, nous voyons le mécontentement de l'Éternel et le châtiment qu'Il envoya pour le péché commis par les enfants d'Israël. Le feu de leur rébellion contre Dieu se retourna contre eux : la colère divine fondit alors sur le peuple. Les jugements divins se sont abattus graduellement sur Israël, de façon à l'avertir. Il est clair que Dieu n'aime pas punir les siens ; quand néanmoins Il le fait, c'est pour les prévenir qu'ils ne vont pas tarder à tomber !

      4 L'homme qui ne se repose jamais, finit par se sentir las et dépressif, malgré sa situation parfois aisée. Les enfants d'Israël étaient las de tout ce que Dieu leur fournissait, en particulier leur nécessaire et leur nourriture. Toutes ces choses étaient gratuites et ne nécessitaient guère de fatigue pour en profiter ! Le peuple se rappelait de la nourriture d'Égypte : les poissons, les divers légumes, qu'il pouvait consommer à volonté ; Israël avait l'impression que tout cela était gratuit, alors qu'en fait, c'était le juste salaire d'une difficile servitude ! Alors qu'il mangeait la manne, il semblait exempté de la malédiction que le péché avait amenée, lors de la chute de l'homme, au temps de la Genèse : « c'est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain » ; en fait Israël méprisait la manne. Il avait l'esprit maussade...

      Tout ce qu'envoyait l'Éternel avait des défauts, malgré les bontés que lui manifestait ce Dernier. Ceux qui ont tout pour être heureux gâchent leur existence par leur insatisfaction permanente. Le peuple voulait à tout prix de la viande. Ce désir révèle bien la domination qu'exerce le côté charnel sur notre vie : nous ne cherchons en fait que les délices et la satisfactions des sens ! Nous ne devrions avoir aucune faiblesse, face aux désirs qui ne seraient pas animés par la foi, dans la prière : ne cherchons pas, comme nous pouvons le voir dans ce texte, à avoir de la « viande », l'objet de notre convoitise. Si nous persistons dans cette envie, malgré le côté légal et normal que cela pourrait avoir, alors que Dieu ne nous permet pas de l'obtenir, c'est commettre le mal !

      Nombres 14

      1

      Le peuple murmure contre Moïse et Aaron, suite au rapport des espions. (Nombres 14:1-4)
      Josué et Caleb tentent de calmer le peuple. (Nombres 14:5-10)
      Les menaces divines, l'intercession de Moïse. (Nombres 14:11-19)
      Ceux qui ont contesté, sont interdits d'entrer dans la terre promise. (Nombres 14:20-35)
      La mort des espions qui avaient décrié le pays. (Nombres 14:36-39)
      La défaite du peuple, face aux Amalécites et aux Cananéens ; Israël décide alors d'envahir le pays. (Nombres 14:40-45)

      Ceux qui ne placent pas leur confiance en Dieu, sont en lutte perpétuelle. Les douleurs de ce monde ne peuvent engendrer que la mort. Les Israélites murmurèrent contre Moïse et Aaron, et finalement, contre Dieu Lui-même. Dans leur mécontentement, ils ont tourné leurs regards vers le passé.

      Notez au passage la colère engendrée par les passions immodérées, qui ne peuvent mener les hommes que là où leur nature prodigue les conduit ! Ils préfèrent plutôt mourir en tant que « criminels », aux yeux de la Justice divine, alors qu'ils pourraient être de véritables conquérants, grâce à cette justice. En fait, le peuple décida de retourner en Égypte plutôt que de poursuivre sa route vers Canaan.

      Ceux qui ne marchent pas selon les ordonnances divines, courent à leur ruine. Pourraient-ils espérer, dans cette marche sans issue, que la « « Nuée » de Dieu les conduise, ou que la « Manne » les nourrisse ? Si nous admettons que les difficultés annoncées dans le pays de Canaan s'avéraient exactes, combien pires seraient celles qui attendraient ceux qui voulaient retourner en Égypte !

      Nous nous plaignons souvent de notre situation et de notre sort : nous voulons toujours du changement ; mais se trouve-il un lieu ou une condition dans ce monde qui puisse nous convenir parfaitement ? La seule façon d'améliorer notre situation est de diriger nos esprits vers une voie dictée par Dieu.

      Observez la folie de ceux qui s'éloignent de ces voies divines. Ces hommes s'orientent alors vers les conséquences fatales du péché.

      Nombres 16

      41 La terre s'était à peine refermée que déjà le peuple commettait les mêmes péchés : Il murmurait contre Moïse et Aaron, sans se soucier de la punition envoyée précédemment par l'Éternel. Les Israélites accusaient les deux patriarches d'avoir fait mourir le peuple de Dieu : cette tragédie ne pouvait être, d'après eux, que le résultat du Jugement divin et de Sa Justice. La persistance d'Israël dans sa méconnaissance de la terreur qui doit découler de la loi divine et des jugements qui peuvent en résulter, cette même terreur qu'il avait eue lorsque la loi avait été donnée sur le Mont Sinaï, montre combien il est nécessaire que la grâce de Dieu change le cœur et le comportement humains. L'amour est capable de faire ce que la terreur ne peut accomplir. Moïse et Aaron intercédèrent auprès de l'Éternel pour implorer Sa grâce, mesurant très bien la gravité du péché commis par le peuple. Aaron se présenta et brûla de l'encens entre les morts et les vivants, non pas pour purifier l'air ambiant mais pour apaiser la colère divine. Aaron étant vraiment soucieux de la vie de chaque Israélite, fit tout son possible pour arrêter la "plaie" rapidement. À chaque fois que le mal a été commis, sachons, dans la mesure du possible, le « réparer » en pratiquant le bien.

      Aaron était en quelque sorte une image de Christ. Le monde est infecté par le péché : seule la Croix et l'intercession de Jésus-Christ demeurent et sont capables de purifier cette infection.

      Aaron vint parmi le camp des Israélites fautifs. Il se tint entre les morts et les vivants, tel un « médiateur » entre le Juge éternel et les âmes condamnées. En ce qui nous concerne, nous avons la rédemption au travers du sang de Jésus, la rémission de nos péchés. Nous pouvons admirer dans ce passage, la réelle dévotion d'Aaron.

      Nous ne pourrons jamais assez bénir et louer la Grâce merveilleuse et l'Amour qui ont animé le cœur de notre Sauveur, quand Il prit notre place à la croix, pour racheter nos péchés. Oui, vraiment, Dieu a manifesté Son Amour envers nous, alors que nous étions pécheurs, Christ est mort pour nous, Romains 5:8 !

      Nombres 17

      Nombres 20

      Nombres 21

      Psaumes 78

      Matthieu 6

      25 Il n'y a pratiquement aucun autre péché contre lequel notre Seigneur Jésus mette autant en garde Ses disciples : l'inquiétude, les soucis et la méfiance envers les aléas de cette vie.

      Ces pensées sont souvent un piège pour le pauvre, comme d’ailleurs l'amour des richesses pour l’homme aisé. Même si notre devoir nous incite à observer une certaine défiance vis-à-vis des biens temporels, nous ne devrions pas accorder trop d’importance à ces soucis bien légitimes. Ne soyez pas en tracas pour votre vie, en particulier sur sa durée ; laissez plutôt le soin à Dieu de l'allonger ou de la raccourcir comme Il Le désire ; notre temps est dans Sa main, en une bonne main !

      Ne vous souciez pas non plus de votre devenir ici-bas ; mais permettez à Dieu de le rendre amer ou doux, selon Sa Volonté. La nourriture et le vêtement : Dieu nous les a promis, nous pouvons dons les attendre paisiblement. Ne vous souciez pas du lendemain, ni du temps à venir. Ne soyez pas inquiet pour le futur, quelle sera votre vie l'an prochain, ou quand vous serez âgé, ce que vous laisserez derrière vous. De même que nous ne devons pas nous « vanter » du lendemain, nous ne devons pas non plus nous en occuper outre mesure, quant aux aléas qu’il peut comporter.

      Dieu nous a donné la vie, ainsi qu’un corps : que ne pourrait Il faire encore pour nous, qui Lui soit impossible ? Si nous prenons soin de notre âme et de notre éternité, ce qui représente plus que le corps et la vie, nous pouvons laisser à Dieu le soin de pourvoir à notre nourriture et à notre vêtement, éléments mineurs, en comparaison.

      Que tout ce qui précède, puisse nous encourager à placer notre confiance en Dieu ! Nous devons nous adapter à notre état de personnes qui « vivent dans le monde », nous ne pouvons pas changer les dispositions de la Providence : nous ne pouvons que nous y soumettre et nous y résigner si elles ne nous conviennent pas !

      La prévenance pour notre âme est la meilleure « cure » ici-bas. Cherchez premièrement le royaume de Dieu, et faites de la piété votre priorité : ne considérez pas que c'est de la résignation ; cette ligne de conduite vous assurera bon nombre de bénédictions en ce monde.

      La conclusion de tout ce texte indique que cet enseignement représente la Volonté et le commandement du Seigneur Jésus ; que par des prières quotidiennes, nous puissions obtenir la force de supporter nos différents problèmes, et être armés contre les tentations qui peuvent en découler, afin qu'aucune de ces épreuves ne nous ébranle spirituellement !

      Heureux sont ceux qui considèrent le Seigneur comme leur Dieu, en manifestant pleinement la confiance qu’ils éprouvent en Ses sages ordonnances !

      Par l'Esprit, soyons convaincu de la présence du péché en nous, si nous n'avons pas cette disposition de cœur, et débarrassons-nous de toute les mauvaises pensées de ce monde !

      1 Corinthiens 10

      Philippiens 2

      Jude 1

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