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Exode 4.18

Moïse s’en alla ; et, de retour auprès de Jéthro, son beau-père, il lui dit : Je vais aller rejoindre mes frères qui sont en Égypte, et voir s’ils sont encore vivants. Jéthro dit à Moïse : Va en paix.
Moïse s'en alla ; et de retour auprès de Jéthro, son beau-père, il lui dit : Laisse-moi, je te prie, aller rejoindre mes frères qui sont en Égypte, afin que je voie s'ils sont encore vivants. Jéthro dit à Moïse : Va en paix.
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      Genèse 45

      Exode 3

      1

      Dieu apparaît à Moïse dans un buisson ardent. (Exode 3:1-6)
      Dieu envoie Moïse pour délivrer Israël. (Exode 3:7-10)
      Le nom de Jéhovah. (Exode 3:11-15)
      La délivrance promise aux Israélites. (Exode 3:16-22)

      Les années de la vie de Moïse sont réparties en trois périodes de quarante ans ; la première partie s'est passée à la cour de Pharaon, la deuxième en tant que berger, au pays de Madian et la troisième pendant laquelle il fut un grand dirigeant. Remarquez à quel point la destinée d'un homme peut changer au cours de sa vie ! La première fois que Dieu apparut à Moïse, ce dernier s'occupait des moutons. Cela peut sembler être une bien modeste occupation, pour un homme possédant une telle éducation, mais il s'en accommodait apparemment ; ce travail lui a appris l'humilité et le contentement de peu, qualités qui sont mentionnées plus loin dans la Parole. Satan aime nous voir paresser ; Dieu, quant à Lui, aime que nous soyons actifs. Le fait de nous retrouver seul, nous permet d'entrer vraiment en communion avec Dieu. À sa grande surprise, Moïse vit un buisson ardent, sans avoir vu comment ce dernier avait été allumé. Ce buisson était en feu et ne se consumait pas ; c'est un peu une image du peuple de Dieu en Égypte. Cela nous rappelle également l'Église à travers les âges, persécutée sévèrement, mais préservée de la destruction, par la présence de Dieu.

      Dans l'Écriture, le feu est l'emblème de la Sainteté et de la Justice divines ; il caractérise également les afflictions et les épreuves que Dieu envoie pour purifier Son peuple ; le feu représente aussi le baptême du Saint Esprit, par lequel les affections du péché sont consumées et qui transforme l'âme en une image conforme à la nature divine.

      Dieu, dans Sa miséricorde, appela Moïse ; ce dernier répondit aussitôt. Ceux qui désirent entrer en communion avec Dieu, doivent se plier à Ses ordonnances, par lesquelles Il se manifeste, Lui et Sa gloire ; Moïse a vu cette gloire, même au sein de ce buisson. Le fait d'ôter ses chaussures fut pour le patriarche un signe de respect et de soumission.

      Nous devrions nous approcher de Dieu dans la solennité, avec des cœurs préparés, cherchant à éviter tout propos léger ou grossier et tout service peu convenable.

      Dieu n'a pas dit : « J'étais le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob », mais, « Je suis... ». Les patriarches vivent encore, malgré le fait que leur corps soit dans la tombe depuis de nombreuses années. Aucun laps de temps ne peut séparer l'âme des justes, du Créateur. Par ce témoignage, Dieu instruisit Moïse, sur l'existence d'un autre monde ; Il a ainsi affermi sa foi sur cet état futur. C'est ce qu'annonce aussi notre Seigneur Jésus, à propos de la résurrection des morts, dans Luc 20:37. Moïse cacha son visage, comme s'il était à la fois effrayé et honteux de voir Dieu.

      Plus nous discernons Dieu, Sa Grâce et Son Amour, plus nous sommes amenés à l'adorer avec révérence, sous une crainte respectueuse de Sa Personne.

      Exode 4

      18 Dieu, après s'être révélé dans le buisson, continua souvent à dialoguer avec Moïse. Pharaon endurcit son cœur lorsqu'il entendit les gémissements et les cris des Israélites et dès lors, Dieu, dans Sa Justice parfaite, le rendit encore plus rebelle aux miracles et à la terreur des plaies. Quel que soit le choix de Pharaon : avoir l'intention d'écouter Moise ou au contraire le contrer, le patriarche se devait de lui annoncer la volonté du peuple de partir, conformément à ce qu'avait demandé l'Éternel. Moïse devait dire, au nom d'Israël : « Laisse aller mon fils ; non pas mes serviteurs, que tu n'a pas le droit de détenir, mais mon fils ; je te dis, laisse aller mon fils pour qu'il me serve. Si tu refuses de le laisser aller, voici je ferai périr ton fils, ton premier né ».

      Si les hommes osent exploiter le peuple de Dieu, qu'ils acceptent d'en subir les conséquences !

      1 Samuel 1

      Luc 7

      Actes 15

      36 Ce texte nous décrit une querelle entre deux ministres du Seigneur, et pas des moindres : Paul et Barnabas. Heureusement, ce différend se termina bien ! Barnabas souhaitait que son neveu, Jean Marc vienne avec eux...

      Méfions-nous ! Il est en effet facile d’être partial quant au choix de nos collaborateurs dans le service du Seigneur ; nous devons éviter de mettre notre famille trop en avant. Paul estimait que Marc n’était pas digne de le suivre dans sa visite des églises, ni apte à ce service : il avait peut-être quitté les apôtres sans qu'ils en aient été informés, ou sans leur consentement. Actes 13:13. Ni Paul, ni Barnabas ne voulant céder, la seule solution était qu'ils se séparent...

      Nous voyons dans cette situation, que les meilleurs des disciples ne sont en fait que des hommes, sujets aux mêmes passions que nous. Peut-être y avait-il eu des manquements chez ces deux frères spirituels, comme c'est quelquefois le cas dans de telles disputes. Seul l'exemple de Christ est parfait.

      Nous ne devons pas penser pour autant, qu'il est rare de rencontrer des problèmes parmi les personnes renommées pour leur sagesse et leur bonté. Il en sera hélas ainsi tant que nous serons dans cet état d’imperfection, notre « vieille nature » ; nous ne serons jamais tous d'un même accord, d’un même esprit tant que nous ne serons pas arrivés au ciel. Que de dégâts peut-on rencontrer ici-bas, même dans l’église, avec les éléments de fierté et de passion que l’on peut surprendre chez certains !

      Beaucoup de personnes, demeurant à Antioche, ayant entendu parler du dévouement et de la piété de Paul et Barnabas, furent également au courant de leur différend et de leur séparation ; il en sera ainsi pour notre témoignage, si nous donnons un libre accès aux désaccords entre frères ici-bas.

      Les croyants doivent veiller et prier constamment, afin de ne jamais être entraînés dans de tels agissements, risquant de ternir la cause qu'ils désirent vraiment défendre : le service du Seigneur.

      Dans ses épîtres, écrites après cet événement, Paul exprime son estime et son affection, à la fois pour Marc et Barnabas.

      « Puissions-nous, puisque nous professons Ton Nom, Ô Sauveur, être totalement réconciliés par Ton amour : Tu es Celui qui n'as pas répondu à la provocation, et Tu oublies les blessures que l’on T’a faites » !

      Actes 16

      1 Timothée 6

      1

      Le devoir des chrétiens envers leurs maîtres, croyants ou non. (1 Timothée 6:1-5)
      L'avantage du contentement dans la piété. (1 Timothée 6:6-10)
      Une exhortation solennelle à Timothée, d'être fidèle. (1 Timothée 6:11-16)
      L'apôtre répète son avertissement envers les riches ; il termine par une bénédiction pour tous. (1 Timothée 6:17-21)

      Les chrétiens mentionnés dans cette épitre ne devaient pas estimer que leur connaissance des Écritures ou leurs bénédictions spirituelles leurs donnaient le moindre droit de mépriser leurs maîtres païens ; ils ne devaient pas supposer qu’il soit possible de désobéir à leurs ordres, ni de les dénigrer, en soulignant leurs manquements éventuels.

      Les chrétiens de l’époque de Paul, ayant le privilège de servir des maîtres croyants, ne devaient pas se permettre de les priver du respect qui leur était dû, même s'ils étaient sur un pied d’égalité vis-à-vis de leurs privilèges religieux. Ils devaient toutefois les servir avec une grande assiduité, avec bonne humeur, à cause de leur foi en Christ, et en tant que « participants » de Son salut gratuit.

      Nous devons rester prudents, face aux diverses insanités de ce monde, accordons par contre toute notre confiance en la Parole de notre Seigneur Jésus-Christ ; sachons Lui accorder notre adhésion totale. D'une façon générale, ce sont les prétentieux qui possèdent le moins de connaissances, en fait, ils se surestiment eux-mêmes !

      De l’orgueil proviennent les convoitises, les conflits, les railleries, les mauvais soupçons, les différends, avec toutes sortes de vaines subtilités ; ces personnes orgueilleuses, aux esprits corrompus et charnels, ignorent tout de la Vérité divine et du pouvoir de la Rédemption du Seigneur. Ces âmes ne recherchent en fait que les plaisirs et les privilèges de ce monde...

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