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Un nouveau plan de lecture à découvrir : L'identité en Christ

Exode 7.16

Tu dĂ©clareras au roi : “Le Seigneur, le Dieu des HĂ©breux, m’a envoyĂ© te dire : ‘Laisse partir mon peuple pour qu’il puisse me rendre un culte dans le dĂ©sert’. Mais toi, jusqu’à prĂ©sent, tu n’as rien voulu entendre.
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      Exode 3

      Exode 5

      1

      Le mécontentement de Pharaon ; Il augmente la charge des enfants d'Israël. (Exode 5:1-9)
      La souffrance des enfants d'Israël ; La complainte de Moïse envers Dieu. (Exode 5:10-23)

      MalgrĂ© l'Ă©tat misĂ©rable du peuple d'IsraĂ«l, Dieu dĂ©sire le sauver au temps marquĂ©, par l'intervention de MoĂŻse. Pharaon mĂ©prisait toutes les requĂȘtes de dĂ©livrance qui lui Ă©taient adressĂ©es par le patriarche. Il ne connaissait pas JĂ©hovah, il ne le craignait nullement, ni ne l'aimait, ce qui le conduisait Ă  refuser de lui obĂ©ir. Un tel orgueil de Pharaon, une telle cupiditĂ© et une si grande ambition politique ne pouvaient que le conduire Ă  sa perte. Ce que MoĂŻse et Aaron demandaient, Ă©tait tout Ă  fait raisonnable : ils n'ont fait que transmettre une demande pour laisser aller le peuple trois jours dans le dĂ©sert.

      Il en va de mĂȘme dans notre conduite chrĂ©tienne : nous devons rĂ©server du temps pour offrir nos sacrifices spirituels au Seigneur, notre Dieu.

      Le raisonnement de Pharaon, qui soutenait que les enfants d'Israël étaient paresseux et qu'en conséquence, il n'était pas pensable de les laisser partir pour offrir des sacrifices, était un raisonnement absurde. Il se méprenait complÚtement en voulant par ce fait, augmenter leur charge de travail.

      De nos jours, il est fréquent de rencontrer des personnes plus disposées à formuler des reproches envers leurs voisins qui consacrent quelques heures au service de Dieu, plutÎt que de blùmer les autres, qui s'adonnent aux plaisirs iniques de ce monde.

      Ce refus de Pharaon Ă©tait vraiment inhumain. MoĂŻse et Aaron, dans cette lutte, en portaient indirectement les consĂ©quences. Les persĂ©cuteurs prennent un certain plaisir Ă  mĂ©priser et Ă  Ă©prouver les serviteurs de Dieu. Le quota habituel de production de briques devait ĂȘtre atteint, malgrĂ© le manque de fourniture de paille nĂ©cessaire Ă  leur fabrication. Une telle augmentation de charge de travail devait finalement ĂȘtre annoncĂ©e au peuple : elle ne pouvait que lui briser les reins, ou en cas de non accomplissement, provoquer la punition.

      Exode 7

      Exode 8

      1

      La plaie des grenouilles. (Exode 8:1-15)
      La plaie des poux. (Exode 8:16-19)
      La plaie des mouches venimeuses. (Exode 8:20-32)

      Pharaon est Ă©prouvĂ© par la plaie des grenouilles ; il y en avait tellement que cette plaie Ă©tait particuliĂšrement pĂ©nible. Dieu aurait pu Ă©prouver l'Égypte avec des lions, des ours, des loups ou des oiseaux de proie, mais Il a dĂ©cidĂ© de rĂ©aliser cette plaie Ă  l'aide de crĂ©atures mĂ©prisables. Il plait quelquefois Ă  Dieu de rassembler les plus petites crĂ©atures de la terre pour nous Ă©prouver. Dieu a ainsi humiliĂ© Pharaon. Les Égyptiens ne pouvaient ni manger, ni boire, ni dormir tranquillement ; quel que soit l'endroit oĂč ils se trouvaient, ils Ă©taient tourmentĂ©s par les grenouilles. La malĂ©diction envoyĂ©e par Dieu contre un homme poursuit ce dernier n'importe oĂč et le pĂ©nalise lourdement, quels que soient ses actes. Pharaon, aprĂšs cette Ă©preuve, a laissĂ© entendre Ă  MoĂŻse et Aaron qu'il cĂ©derait : il promit de laisser aller le peuple.

      Ceux qui tentent de défier Dieu et la priÚre, s'apercevront tÎt ou tard qu'ils sont délaissés par le ciel !

      Mais quand Pharaon vit que la plaie cessait, il endurcit son cƓur. Tant que le cƓur n'est pas rĂ©gĂ©nĂ©rĂ© par la grĂące de Dieu, les pensĂ©es engendrĂ©es par l'affliction sont insupportables ; les meilleures convictions s'estompent et les promesses Ă©tablies sont oubliĂ©es. À moins que les lois de l'atmosphĂšre ne changent, ce qui fond au soleil gĂšlera de nouveau Ă  l'ombre !

      20 TÎt le matin, Pharaon était occupé à ses vaines dévotions, prÚs du fleuve. Qu'en est-il, pour notre part, de nos occupations matinales ? Sommes-nous encore endormis, alors qu'il y a tant à faire pour le Seigneur ?

      Les Égyptiens et les HĂ©breux auraient dĂ» thĂ©oriquement subir, tous ensemble, la plaie des mouches venimeuses.

      Le Seigneur veut montrer que dans ce monde, et certainement dans l'au delĂ , Il a mis Son peuple Ă  part. Pharaon, involontairement, s'engagea par une sorte de traitĂ©, avec MoĂŻse et Aaron : il accepterait de laisser les HĂ©breux offrir des sacrifices Ă  leur Dieu, Ă  condition qu'ils restent en Égypte. Mais cela serait une abomination Ă  Dieu qu'on Lui offre de tels holocaustes, d'origine Ă©gyptienne ; c'eĂ»t Ă©tĂ© aussi une autre abomination pour les Égyptiens de sacrifier Ă  Dieu leurs veaux et leurs bƓufs.

      Ceux qui offrent de réels sacrifices à Dieu, doivent se séparer des méchants et des profanes. Ils doivent, en quelque sorte, s'isoler du monde.

      Il Ă©tait impossible aux IsraĂ©lites de louer le Seigneur au milieu des fours Ă  briques, en des lieux de servitude au pays d'Égypte. Ils devaient offrir ces sacrifices selon l'ordonnance des commandements divins, pas autrement. MalgrĂ© le fait que les enfants d'IsraĂ«l Ă©taient esclaves de Pharaon, ils devaient premiĂšrement obĂ©ir aux commandements de Dieu. Pharaon consentit Ă  laisser aller le peuple dans le dĂ©sert, en stipulant qu'il ne devait pas trop s'Ă©loigner, afin de pouvoir aller le rechercher.

      De mĂȘme, certains pĂ©cheurs, hĂ©sitant entre leurs pĂ©chĂ©s et la repentance, sont rĂ©ticents Ă  s'Ă©loigner du mal ; mais une fois cette incertitude passĂ©e, ils reviennent alors de nouveau vers les choses du monde.

      Moïse a promis de faire cesser la plaie. Mais Pharaon avait un cƓur trompeur.

      N'Ă©prouvez aucune dĂ©ception, en lisant ce texte : on ne se moque pas de Dieu. Si nous pensons Le tromper avec une fausse repentance et une fausse soumission devant Lui, nous exposons alors nos Ăąmes Ă  une tricherie fatale. Pharaon endurcit son cƓur. Les convoitises font rompre les engagements les plus solides et font faire aux hommes des promesses qu'ils ne peuvent tenir. Beaucoup laissent paraĂźtre un cĂŽtĂ© sĂ©rieux, alors qu'en fait, ils sont sujets Ă  des penchants et Ă  des pĂ©chĂ©s secrets. Ils ne veulent pas admettre qu'ils courent un danger : la perdition Ă©ternelle. Ils n'ont aucune retenue dans la pratique du pĂ©ché ; ils s'investissent beaucoup, donnent sans restriction et mĂȘme s'astreignent Ă  des buts difficiles ! Ils sont tellement occupĂ©s qu'ils peuvent mĂȘme en arriver Ă  s'Ă©loigner, pour un temps, de leur pĂ©ché ! Ils sont par contre incapables de tourner leur esprit vers Christ, de porter Sa croix. Au lieu de trouver la sĂ©curitĂ© spirituelle, ils prĂ©fĂšrent prendre des risques. Ils sont en fait, dans un triste Ă©tat : ils s'Ă©cartent de Christ, dĂ©terminĂ©s Ă  ne s'occuper que des choses du monde prĂ©sent, voire du futur proche, alors qu'ils peuvent bĂ©nĂ©ficier d'un salut absolument gratuit ! Mais, Ă  la longue, le pauvre pĂ©cheur est enlisĂ© dans les voies de la perversion, et dĂ©laissĂ©, sans espĂ©rance d'Ă©chapper aux consĂ©quences de sa folie.

      Exode 9

      1

      La peste attaque le bétail. (Exode 9:1-7)
      La plaie de la poussiĂšre et des ulcĂšres. (Exode 9:8-12)
      La menace de la grĂȘle. (Exode 9:13-21)
      La plaie de la grĂȘle est infligĂ©e. (Exode 9:22-35)

      Dieu veut qu'IsraĂ«l soit dĂ©livrĂ©, Pharaon s'y oppose : Tel est l'objet de ce conflit qui n'en finit pas. La main du Seigneur attaque alors les troupeaux : beaucoup de bĂȘtes succombent, victimes de cette plaie particuliĂšre. Ce dut ĂȘtre une grande perte pour les propriĂ©taires Ă©gyptiens ; ils voulaient rĂ©duire IsraĂ«l Ă  la pauvretĂ©, mais maintenant Dieu se charge de les anĂ©antir personnellement !

      La main de Dieu doit ĂȘtre discernĂ©e en toutes circonstances, mĂȘme dans l'affliction de voir du bĂ©tail mourir par la maladie ; car pas un passereau ne tombe Ă  terre sans le consentement de notre PĂšre.

      Aucune bĂȘte des enfants d'IsraĂ«l ne pĂ©rit ; le Seigneur a fait la sĂ©lection. Le bĂ©tail des Égyptiens, quant Ă  lui, mourut ; c'Ă©tait pour ce peuple un objet d'adoration. Il est normal que Dieu nous retire nos idoles. Ce tyran orgueilleux, ce cruel oppresseur mĂ©ritait un chĂątiment infligĂ© par le grand Juge de l'univers. Quiconque subissant une punition mĂ©ritĂ©e, n'a aucun prĂ©texte de pouvoir se plaindre. La duretĂ© du cƓur dĂ©note un Ă©tat d'esprit qu'aucune menace, ni jugement, ni misĂ©ricorde ne peuvent Ă©branler sĂ©rieusement. Nantis d'une conscience Ă©touffĂ©e, d'un cƓur rempli d'orgueil et de prĂ©jugĂ©s, ces personnes persistent dans l'incrĂ©dulitĂ© et la dĂ©sobĂ©issance. On dit souvent qu'elles ont un cƓur de pierre ! Par contre, un cƓur meurtri et contrit, est bien diffĂ©rent. Les pĂ©cheurs ne peuvent s'en prendre qu'Ă  eux-mĂȘmes car leur orgueil et leur impiĂ©tĂ© ne font qu'abuser de la bontĂ© et de la patience divines. Quand parfois, le Seigneur endurcit le cƓur des hommes, c'est toujours Ă  cause de leurs pĂ©chĂ©s, commis prĂ©alablement.

      13 MoĂŻse reçoit l'ordre d'aller porter Ă  Pharaon un terrible message. La Providence divine a bien dictĂ© au patriarche ce que doit ĂȘtre son attitude : rester ferme et rĂ©solu dans sa demande Ă  Pharaon ; tous les Ă©lĂ©ments de ce texte rĂ©vĂšlent la Puissance de Dieu, destinĂ©e Ă  humilier et Ă  terrasser le plus arrogant de Ses ennemis.

      Quand la Justice divine menace d'envoyer un homme Ă  la ruine, Sa GrĂące, en mĂȘme temps, montre le chemin du salut ! Dieu n'a pas fait seulement la diffĂ©rence entre les Égyptiens et les IsraĂ©lites, mais aussi au sein des Égyptiens. Pharaon, en ne voulant pas se soumettre, attira en fait la jugement divin sur lui-mĂȘme ; cependant, certains de ses sujets, prirent peur et se mirent Ă  l'abri : ils crurent aux paroles annoncĂ©es par le patriarche. Ils mirent Ă  l'abri leurs serviteurs et leur bĂ©tail et firent ainsi preuve d'une grande sagesse. MĂȘme dans l'entourage de Pharaon, on craignit la Parole de Dieu. Est-ce que tous les enfants d'IsraĂ«l eurent la mĂȘme attitude ? Le texte nous rapporte que ceux qui furent incrĂ©dules, laissĂšrent leurs troupeaux dans les champs. Ils s'obstinĂšrent et restĂšrent sourds aux avertissements les plus pressants et aux conseils les plus sages, Ă©tant ainsi redevables du sang de ceux qui pĂ©rirent par leur faute.

      Exode 10

      Exode 13

      Exode 14

      1 Samuel 4

      EsaĂŻe 45

      Jérémie 50

      33 Qu’il est rĂ©confortant pour IsraĂ«l, de voir que malgrĂ© sa propre dĂ©tresse et sa faiblesse, son RĂ©dempteur reste inĂ©branlable !

      Cette pensĂ©e peut s’appliquer aux croyants, lorsqu’ils se plaignent de la domination du pĂ©chĂ©, de la corruption du monde, de leurs propres faiblesses et de leurs multiples infirmitĂ©s. Leur RĂ©dempteur est tout Ă  fait capable de sonder le cƓur des Siens, afin que le pĂ©chĂ© ne les domine outre pas entiĂšrement. Il leur accordera alors le repos, dans lequel demeurent les enfants de Dieu !

      Ce texte nous rappelle Ă©galement le pĂ©chĂ© de Babylone, et son chĂątiment prĂ©vu : il s’agit de l’idolĂątrie et de la persĂ©cution. MĂȘme si l’Éternel Ă©tait sur le point de sauver Son peuple de l’esclavage, suite Ă  ses pĂ©chĂ©s, Il ne pouvait en fait tolĂ©rer une telle mĂ©chancetĂ© chez ses ennemis rĂ©els, les Babyloniens ; suite Ă  son iniquitĂ©, Babylone fut anĂ©antie par les jugements divins.

      Au vu des terribles sanctions prononcĂ©es contre la ville prospĂšre de Babylone, et des misĂ©ricordes promises aux affligĂ©s d'IsraĂ«l, nous apprenons qu’il vaut mieux choisir de souffrir, avec l'affliction du peuple de Dieu, plutĂŽt que de jouir des plaisirs Ă©phĂ©mĂšres du pĂ©chĂ©.

      Actes 4

      23 Il n’y a rien de meilleur, pour eux qui suivent spirituellement Christ, que de se rassembler en Son Nom. Cela encourage les serviteurs de Dieu, dans leur ministĂšre, mĂȘme dans la souffrance, car ils servent le Dieu qui a créé toutes choses, et qui contrĂŽle en consĂ©quence tout Ă©vĂ©nement : l'Écriture doit ĂȘtre accomplie, selon Sa VolontĂ©.

      JĂ©sus a Ă©tĂ© oint pour ĂȘtre le Sauveur, il Ă©tait donc dĂ©terminĂ© qu'Il devait ĂȘtre livrĂ© en sacrifice, pour expier nos iniquitĂ©s. Le pĂ©chĂ© est un mal dont Dieu peut extraire du bien. Au temps de l’épreuve, nous ne devons pas avant tout, chercher Ă  esquiver les diffĂ©rents problĂšmes qui se posent, mais nous devons poursuivre notre cheminement, notre travail et notre devoir dans la bonne humeur et avec courage.

      Dans leur priÚre commune, les disciples ne dirent pas : « Seigneur permets-nous de quitter notre ministÚre, il est devenu maintenant vraiment dangereux » ; mais plutÎt : « Seigneur, accorde-nous Ta Grùce de continuer avec assurance notre tùche, sans craindre les hommes ».

      Ceux qui dĂ©sirent recevoir l'aide divine et ĂȘtre encouragĂ©s par le Seigneur, peuvent ĂȘtre certains d’ĂȘtre exaucĂ©s : ils doivent alors aller de l'avant, et continuer avec la force que Dieu leur accorde.

      Dieu donna un signe d'approbation Ă  la priĂšre des disciples : le lieu oĂč ils se trouvaient a Ă©tĂ© Ă©branlĂ©, afin que leur foi puisse ĂȘtre affermie. Dieu leur a donnĂ© le plus grand tĂ©moignage de la prĂ©sence de Son Esprit ; ils Ă©taient, plus que jamais, tous remplis du Saint-Esprit ! Ils n'en furent pas simplement encouragĂ©s, mais de plus, ils Ă©taient capables d’annoncer la Parole de Dieu avec hardiesse.

      Quand les disciples constatĂšrent que le Seigneur Dieu les aidait par Son Esprit, ils surent qu'ils ne pouvaient que sortir vainqueurs des Ă©preuves qu’ils traversaient, Esa 1:7.

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