ParamĂštres de lecture

Afficher les numéros de versets
Mode dyslexique
Police d'écriture
Taille de texte

Merci Ă  Bibles et Publications ChrĂ©tiennes pour la conception du processus d’affichage DYS.

Exode 9.1

L'Eternel dit Ă  MoĂŻse : « Va trouver le pharaon et tu lui annonceras : ‘Voici ce que dit l'Eternel, le Dieu des HĂ©breux : Laisse partir mon peuple afin qu'il me serve.
Le SEIGNEUR dit Ă  MoĂŻse : « Va trouver le roi d’Égypte et dis-lui : “Voici l’ordre du SEIGNEUR, le Dieu des HĂ©breux : Laisse partir mon peuple pour qu’il me serve.
L'Éternel dit Ă  MoĂŻse : Va vers Pharaon, et tu lui diras : Ainsi parle l'Éternel, le Dieu des HĂ©breux : Laisse aller mon peuple, afin qu'il me serve.
Then Yahweh said to Moses, "Go in to Pharaoh, and tell him, 'This is what Yahweh, the God of the Hebrews, says: "Let my people go, that they may serve me.
  • Contenus
  • Versions
  • Commentaires
  • Strong
  • Dictionnaire
  • Versets relatifs
  • Carte
  • Versets favoris

    • Ces vidĂ©os ne sont pas disponibles en colonnes en dehors de la vue Bible.

      Exode 3

      Exode 4

      Exode 5

      1

      Le mécontentement de Pharaon ; Il augmente la charge des enfants d'Israël. (Exode 5:1-9)
      La souffrance des enfants d'Israël ; La complainte de Moïse envers Dieu. (Exode 5:10-23)

      MalgrĂ© l'Ă©tat misĂ©rable du peuple d'IsraĂ«l, Dieu dĂ©sire le sauver au temps marquĂ©, par l'intervention de MoĂŻse. Pharaon mĂ©prisait toutes les requĂȘtes de dĂ©livrance qui lui Ă©taient adressĂ©es par le patriarche. Il ne connaissait pas JĂ©hovah, il ne le craignait nullement, ni ne l'aimait, ce qui le conduisait Ă  refuser de lui obĂ©ir. Un tel orgueil de Pharaon, une telle cupiditĂ© et une si grande ambition politique ne pouvaient que le conduire Ă  sa perte. Ce que MoĂŻse et Aaron demandaient, Ă©tait tout Ă  fait raisonnable : ils n'ont fait que transmettre une demande pour laisser aller le peuple trois jours dans le dĂ©sert.

      Il en va de mĂȘme dans notre conduite chrĂ©tienne : nous devons rĂ©server du temps pour offrir nos sacrifices spirituels au Seigneur, notre Dieu.

      Le raisonnement de Pharaon, qui soutenait que les enfants d'Israël étaient paresseux et qu'en conséquence, il n'était pas pensable de les laisser partir pour offrir des sacrifices, était un raisonnement absurde. Il se méprenait complÚtement en voulant par ce fait, augmenter leur charge de travail.

      De nos jours, il est fréquent de rencontrer des personnes plus disposées à formuler des reproches envers leurs voisins qui consacrent quelques heures au service de Dieu, plutÎt que de blùmer les autres, qui s'adonnent aux plaisirs iniques de ce monde.

      Ce refus de Pharaon Ă©tait vraiment inhumain. MoĂŻse et Aaron, dans cette lutte, en portaient indirectement les consĂ©quences. Les persĂ©cuteurs prennent un certain plaisir Ă  mĂ©priser et Ă  Ă©prouver les serviteurs de Dieu. Le quota habituel de production de briques devait ĂȘtre atteint, malgrĂ© le manque de fourniture de paille nĂ©cessaire Ă  leur fabrication. Une telle augmentation de charge de travail devait finalement ĂȘtre annoncĂ©e au peuple : elle ne pouvait que lui briser les reins, ou en cas de non accomplissement, provoquer la punition.

      Exode 8

      1

      La plaie des grenouilles. (Exode 8:1-15)
      La plaie des poux. (Exode 8:16-19)
      La plaie des mouches venimeuses. (Exode 8:20-32)

      Pharaon est Ă©prouvĂ© par la plaie des grenouilles ; il y en avait tellement que cette plaie Ă©tait particuliĂšrement pĂ©nible. Dieu aurait pu Ă©prouver l'Égypte avec des lions, des ours, des loups ou des oiseaux de proie, mais Il a dĂ©cidĂ© de rĂ©aliser cette plaie Ă  l'aide de crĂ©atures mĂ©prisables. Il plait quelquefois Ă  Dieu de rassembler les plus petites crĂ©atures de la terre pour nous Ă©prouver. Dieu a ainsi humiliĂ© Pharaon. Les Égyptiens ne pouvaient ni manger, ni boire, ni dormir tranquillement ; quel que soit l'endroit oĂč ils se trouvaient, ils Ă©taient tourmentĂ©s par les grenouilles. La malĂ©diction envoyĂ©e par Dieu contre un homme poursuit ce dernier n'importe oĂč et le pĂ©nalise lourdement, quels que soient ses actes. Pharaon, aprĂšs cette Ă©preuve, a laissĂ© entendre Ă  MoĂŻse et Aaron qu'il cĂ©derait : il promit de laisser aller le peuple.

      Ceux qui tentent de défier Dieu et la priÚre, s'apercevront tÎt ou tard qu'ils sont délaissés par le ciel !

      Mais quand Pharaon vit que la plaie cessait, il endurcit son cƓur. Tant que le cƓur n'est pas rĂ©gĂ©nĂ©rĂ© par la grĂące de Dieu, les pensĂ©es engendrĂ©es par l'affliction sont insupportables ; les meilleures convictions s'estompent et les promesses Ă©tablies sont oubliĂ©es. À moins que les lois de l'atmosphĂšre ne changent, ce qui fond au soleil gĂšlera de nouveau Ă  l'ombre !

      20 TÎt le matin, Pharaon était occupé à ses vaines dévotions, prÚs du fleuve. Qu'en est-il, pour notre part, de nos occupations matinales ? Sommes-nous encore endormis, alors qu'il y a tant à faire pour le Seigneur ?

      Les Égyptiens et les HĂ©breux auraient dĂ» thĂ©oriquement subir, tous ensemble, la plaie des mouches venimeuses.

      Le Seigneur veut montrer que dans ce monde, et certainement dans l'au delĂ , Il a mis Son peuple Ă  part. Pharaon, involontairement, s'engagea par une sorte de traitĂ©, avec MoĂŻse et Aaron : il accepterait de laisser les HĂ©breux offrir des sacrifices Ă  leur Dieu, Ă  condition qu'ils restent en Égypte. Mais cela serait une abomination Ă  Dieu qu'on Lui offre de tels holocaustes, d'origine Ă©gyptienne ; c'eĂ»t Ă©tĂ© aussi une autre abomination pour les Égyptiens de sacrifier Ă  Dieu leurs veaux et leurs bƓufs.

      Ceux qui offrent de réels sacrifices à Dieu, doivent se séparer des méchants et des profanes. Ils doivent, en quelque sorte, s'isoler du monde.

      Il Ă©tait impossible aux IsraĂ©lites de louer le Seigneur au milieu des fours Ă  briques, en des lieux de servitude au pays d'Égypte. Ils devaient offrir ces sacrifices selon l'ordonnance des commandements divins, pas autrement. MalgrĂ© le fait que les enfants d'IsraĂ«l Ă©taient esclaves de Pharaon, ils devaient premiĂšrement obĂ©ir aux commandements de Dieu. Pharaon consentit Ă  laisser aller le peuple dans le dĂ©sert, en stipulant qu'il ne devait pas trop s'Ă©loigner, afin de pouvoir aller le rechercher.

      De mĂȘme, certains pĂ©cheurs, hĂ©sitant entre leurs pĂ©chĂ©s et la repentance, sont rĂ©ticents Ă  s'Ă©loigner du mal ; mais une fois cette incertitude passĂ©e, ils reviennent alors de nouveau vers les choses du monde.

      Moïse a promis de faire cesser la plaie. Mais Pharaon avait un cƓur trompeur.

      N'Ă©prouvez aucune dĂ©ception, en lisant ce texte : on ne se moque pas de Dieu. Si nous pensons Le tromper avec une fausse repentance et une fausse soumission devant Lui, nous exposons alors nos Ăąmes Ă  une tricherie fatale. Pharaon endurcit son cƓur. Les convoitises font rompre les engagements les plus solides et font faire aux hommes des promesses qu'ils ne peuvent tenir. Beaucoup laissent paraĂźtre un cĂŽtĂ© sĂ©rieux, alors qu'en fait, ils sont sujets Ă  des penchants et Ă  des pĂ©chĂ©s secrets. Ils ne veulent pas admettre qu'ils courent un danger : la perdition Ă©ternelle. Ils n'ont aucune retenue dans la pratique du pĂ©ché ; ils s'investissent beaucoup, donnent sans restriction et mĂȘme s'astreignent Ă  des buts difficiles ! Ils sont tellement occupĂ©s qu'ils peuvent mĂȘme en arriver Ă  s'Ă©loigner, pour un temps, de leur pĂ©ché ! Ils sont par contre incapables de tourner leur esprit vers Christ, de porter Sa croix. Au lieu de trouver la sĂ©curitĂ© spirituelle, ils prĂ©fĂšrent prendre des risques. Ils sont en fait, dans un triste Ă©tat : ils s'Ă©cartent de Christ, dĂ©terminĂ©s Ă  ne s'occuper que des choses du monde prĂ©sent, voire du futur proche, alors qu'ils peuvent bĂ©nĂ©ficier d'un salut absolument gratuit ! Mais, Ă  la longue, le pauvre pĂ©cheur est enlisĂ© dans les voies de la perversion, et dĂ©laissĂ©, sans espĂ©rance d'Ă©chapper aux consĂ©quences de sa folie.

      Exode 9

      1

      La peste attaque le bétail. (Exode 9:1-7)
      La plaie de la poussiĂšre et des ulcĂšres. (Exode 9:8-12)
      La menace de la grĂȘle. (Exode 9:13-21)
      La plaie de la grĂȘle est infligĂ©e. (Exode 9:22-35)

      Dieu veut qu'IsraĂ«l soit dĂ©livrĂ©, Pharaon s'y oppose : Tel est l'objet de ce conflit qui n'en finit pas. La main du Seigneur attaque alors les troupeaux : beaucoup de bĂȘtes succombent, victimes de cette plaie particuliĂšre. Ce dut ĂȘtre une grande perte pour les propriĂ©taires Ă©gyptiens ; ils voulaient rĂ©duire IsraĂ«l Ă  la pauvretĂ©, mais maintenant Dieu se charge de les anĂ©antir personnellement !

      La main de Dieu doit ĂȘtre discernĂ©e en toutes circonstances, mĂȘme dans l'affliction de voir du bĂ©tail mourir par la maladie ; car pas un passereau ne tombe Ă  terre sans le consentement de notre PĂšre.

      Aucune bĂȘte des enfants d'IsraĂ«l ne pĂ©rit ; le Seigneur a fait la sĂ©lection. Le bĂ©tail des Égyptiens, quant Ă  lui, mourut ; c'Ă©tait pour ce peuple un objet d'adoration. Il est normal que Dieu nous retire nos idoles. Ce tyran orgueilleux, ce cruel oppresseur mĂ©ritait un chĂątiment infligĂ© par le grand Juge de l'univers. Quiconque subissant une punition mĂ©ritĂ©e, n'a aucun prĂ©texte de pouvoir se plaindre. La duretĂ© du cƓur dĂ©note un Ă©tat d'esprit qu'aucune menace, ni jugement, ni misĂ©ricorde ne peuvent Ă©branler sĂ©rieusement. Nantis d'une conscience Ă©touffĂ©e, d'un cƓur rempli d'orgueil et de prĂ©jugĂ©s, ces personnes persistent dans l'incrĂ©dulitĂ© et la dĂ©sobĂ©issance. On dit souvent qu'elles ont un cƓur de pierre ! Par contre, un cƓur meurtri et contrit, est bien diffĂ©rent. Les pĂ©cheurs ne peuvent s'en prendre qu'Ă  eux-mĂȘmes car leur orgueil et leur impiĂ©tĂ© ne font qu'abuser de la bontĂ© et de la patience divines. Quand parfois, le Seigneur endurcit le cƓur des hommes, c'est toujours Ă  cause de leurs pĂ©chĂ©s, commis prĂ©alablement.

      13 MoĂŻse reçoit l'ordre d'aller porter Ă  Pharaon un terrible message. La Providence divine a bien dictĂ© au patriarche ce que doit ĂȘtre son attitude : rester ferme et rĂ©solu dans sa demande Ă  Pharaon ; tous les Ă©lĂ©ments de ce texte rĂ©vĂšlent la Puissance de Dieu, destinĂ©e Ă  humilier et Ă  terrasser le plus arrogant de Ses ennemis.

      Quand la Justice divine menace d'envoyer un homme Ă  la ruine, Sa GrĂące, en mĂȘme temps, montre le chemin du salut ! Dieu n'a pas fait seulement la diffĂ©rence entre les Égyptiens et les IsraĂ©lites, mais aussi au sein des Égyptiens. Pharaon, en ne voulant pas se soumettre, attira en fait la jugement divin sur lui-mĂȘme ; cependant, certains de ses sujets, prirent peur et se mirent Ă  l'abri : ils crurent aux paroles annoncĂ©es par le patriarche. Ils mirent Ă  l'abri leurs serviteurs et leur bĂ©tail et firent ainsi preuve d'une grande sagesse. MĂȘme dans l'entourage de Pharaon, on craignit la Parole de Dieu. Est-ce que tous les enfants d'IsraĂ«l eurent la mĂȘme attitude ? Le texte nous rapporte que ceux qui furent incrĂ©dules, laissĂšrent leurs troupeaux dans les champs. Ils s'obstinĂšrent et restĂšrent sourds aux avertissements les plus pressants et aux conseils les plus sages, Ă©tant ainsi redevables du sang de ceux qui pĂ©rirent par leur faute.

      Exode 10

    • Ajouter une colonne

Pour ajouter un favori, merci de vous connecter : Se connecter

Vous avez aimĂ© ? Partagez autour de vous !

Créer un verset illustré

Logo TopChrétien carré

Télécharger l'image

Choisissez une image

Personnalisez le verset

Alignement : | | | Haut | Milieu | Bas

Taille :

Couleur :

Police :

Personnalisez la référence

Couleur :

Police :

Taille :

De légÚres variations de mise en page peuvent apparaitre sur l'image téléchargée.
Fermer
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin pour Firefox & Safari - Flash plugin pour Opera & Chrome.