6
Elles s'étendent comme des vallées, comme des jardins près d'un fleuve, comme des aloès que l'Eternel a plantés, comme des cèdres le long de l’eau.
7
» L'eau déborde de ses seaux et sa semence est abondamment arrosée. Son roi s'élève au-dessus d'Agag et son royaume devient puissant.
7
En effet, l'Eternel, ton Dieu, va te faire entrer dans un bon pays. C’est un pays de cours d'eau, de sources et de lacs qui jaillissent dans les vallées et dans les montagnes ;
9
un pays où tu mangeras du pain avec abondance, où tu ne manqueras de rien ; un pays dont les pierres sont du fer et où tu pourras extraire le cuivre des montagnes.
8
Dieu de l’univers, relève-nous ! Fais briller ton visage, et nous serons sauvés !
9
Tu avais arraché de l’Egypte une vigne : tu as chassé des nations et tu l’as plantée.
10
Tu as déblayé le sol devant elle : elle a pris racine et rempli la terre.
11
Les montagnes étaient couvertes de son ombre, et ses rameaux étaient comme des cèdres de Dieu.
25
Ma fidélité et ma bonté l’accompagneront, et sa force grandira par mon nom.
26
J’étendrai sa domination sur la mer, et son pouvoir sur les fleuves.
27
Lui-même fera appel à moi : ‘Tu es mon père, mon Dieu et le rocher de mon salut !’
28
Et moi, je ferai de lui le premier-né, le plus haut placé des rois de la terre.
29
Je lui conserverai toujours ma bonté, et mon alliance lui sera assurée.
1
Je veux chanter à mon ami le cantique de mon bien-aimé sur sa vigne. Mon bien-aimé avait une vigne sur un coteau fertile.
2
Il a remué son sol, enlevé les pierres et y a mis des plants de premier choix. Il a construit une tour au milieu d'elle et y a installé aussi un pressoir. Puis il a espéré qu'elle produirait de bons raisins, mais elle en a produit de mauvais.
3
Et maintenant, habitants de Jérusalem et de Juda, je vous en prie, soyez juges entre ma vigne et moi !
4
Qu'y avait-il encore à faire à ma vigne que je n'aie pas fait pour elle ? Pourquoi, quand j'ai espéré qu'elle produirait de bons raisins, en a-t-elle produit de mauvais ?
2
« Fils de l’homme, le bois de la vigne, qu'a-t-il de plus que tout autre bois, que les branches qui sont sur les arbres de la forêt ?
3
Tire-t-on de ce bois de quoi fabriquer quelque chose ? En tire-t-on un crochet pour y suspendre un objet ?
4
Au contraire, on le jette au feu pour qu’il le dévore ; le feu dévore ses deux extrémités, et son milieu finit calciné. Sera-t-il donc utile à quelque chose ?
5
Puisqu’on n’en faisait rien quand il était entier, on peut d’autant moins en faire quelque chose quand le feu l'a dévoré et qu'il est calciné !
6
» C’est pourquoi, voici ce que dit le Seigneur, l’Eternel : Tout comme je jette au feu le bois de la vigne pour qu’il le dévore de préférence au bois de la forêt, je jette au feu les habitants de Jérusalem :
7
je me retournerai contre eux ; ils auront beau être sortis du feu, le feu les dévorera. Vous reconnaîtrez que je suis l'Eternel, quand je m’en prendrai à eux.
8
Je ferai du pays un endroit désert parce qu'ils ont été infidèles, déclare le Seigneur, l'Eternel. »
6
Ce rejeton poussa et devint un cep de vigne qui prenait de l’ampleur mais restait bas. Ses branches étaient tournées vers l'aigle et ses racines étaient sous lui. Il devint un cep de vigne, donna des pousses et produisit des rameaux.
2
Tu diras : » ‘Qu’était ta mère ? Une lionne. Elle était couchée parmi les lions. C'est au milieu des jeunes lions qu'elle a élevé ses petits.
10
» Ta mère était, comme toi, semblable à une vigne plantée près de l’eau. Elle était porteuse de fruits et chargée de sarments, grâce à l'abondance de l’eau.
2
Les Judéens et les Israélites se rassembleront, ils se donneront un chef unique et sortiront du pays. En effet, elle sera grande, la journée de Jizreel.
5
Sinon, je la déshabillerai pour qu’elle soit toute nue, je la rendrai pareille au jour de sa naissance ; je la transformerai en désert, je la changerai en une terre aride et je la ferai mourir de soif.
33
» Ecoutez une autre parabole. Il y avait un propriétaire, qui planta une vigne. Il l'entoura d'une haie, y creusa un pressoir et construisit une tour ; puis il la loua à des vignerons et partit en voyage.
34
Lorsque le temps de la récolte fut arrivé, il envoya ses serviteurs vers les vignerons pour recevoir sa part de récolte.
35
Mais les vignerons s’emparèrent de ses serviteurs ; ils battirent l'un, tuèrent l'autre et lapidèrent le troisième.
36
Il envoya encore d'autres serviteurs, en plus grand nombre que les premiers, et les vignerons les traitèrent de la même manière.
37
Enfin, il envoya vers eux son fils en se disant : ‘Ils auront du respect pour mon fils.’
38
Mais, quand les vignerons virent le fils, ils se dirent entre eux : ‘Voilà l'héritier. Venez, tuons-le et emparons-nous de son héritage !’
39
Et ils s’emparèrent de lui, le jetèrent hors de la vigne et le tuèrent.
40
Maintenant, lorsque le maître de la vigne viendra, que fera-t-il à ces vignerons ? »
41
Ils lui répondirent : « Il fera mourir misérablement ces misérables et il louera la vigne à d'autres vignerons qui lui donneront sa part de récolte au moment voulu. »
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
10 à 14 C'est ici la seconde partie de la complainte, celle qui se rapporte à Sédécias. Le poète marque cette transition par l'emploi d'une nouvelle allégorie, celle d'une vigne jadis florissante, mais que consume un feu sorti de l'un de ses rameaux. Le sens est celui-ci : Sédécias, par sa révolte, achèvera lui-même la destruction de son peuple.
Au temps où la famille de David était dans son éclat (Ezéchiel s'adresse dans ce poème aux princes de cette famille, verset 4, et spécialement au roi actuel), la nation israélite (ta mère) ressemblait à une vigne en pleine prospérité.
Dans le temps de ton élévation. On a traduit ces mots de bien des manières : à ta ressemblance, comme toi, dans ton sang, dans ton silence. Mais aucune de ces traductions ne donne un sens convenable. Par le changement d'une seule lettre on arrive à la nôtre, dont le sens est clair. Et ce changement n'est point arbitraire, puisque la leçon que nous adoptons se trouve dans deux manuscrits.
Jérusalem était autrefois « une vigne » florissante, portant du fruit. Cette vigne est maintenant détruite, bien qu’elle ne soit pas déracinée. Par sa méchanceté, elle excita la colère divine, de sorte que ses « sarments » sont utilisés pour la brûler.
Béni soit Dieu, ce texte mentionne également la présence d’une « Branche » : Elle est non seulement devenue un Cep vigoureux, mais aussi la « Verge » qui corrige, une « Vigne » véritable et vivante ! Ce sera un sujet de réjouissance pour tout le peuple élu de Dieu, en toutes générations !