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Ezéchiel 44

    • 1

      Il me fit revenir... Le conducteur d'Ezéchiel qui parle au nom de l'Eternel (43.7) et s'appelle aussi l'Eternel (verset 2), ramène le prophète du parvis intérieur au portique oriental du parvis extérieur, qui a été décrit, 40.6-16 (Figure 2 et Figure 1,B).

      2

      Ce portique sera fermé. Personne ne doit plus désormais entrer dans le sanctuaire par ce portique ; car la gloire de l'Eternel y a passé (43.1 et suivants), et ce serait le profaner que de s'en servir comme lieu de passage. Le prince, il est vrai, en sa qualité de prince, pourra s'y asseoir, mais en v pénétrant par l'intérieur, du côté du vestibule (G) donnant sur le parvis. Il se retirera également par le même chemin, la porte extérieure du portique (au seuil B) restant toujours fermée.

      Pour manger devant l'Eternel ; littéralement manger du pain, le pain étant pris dans le sens de nourriture en général (voyez verset 7). Il s'agit ici des repas sacrés qui suivaient les sacrifices de reconnaissance (Exode 18.12 ; comparez 24.11 ; Lévitique 7.15-21 ; comparez Luc 14.15). Tandis que le peuple prenait de tels repas dans une localité indéterminée du parvis (probablement dans les chambres (Figure 1,C,C,C,C, voir chapitre 40), c'est la prérogative du prince de les faire dans le portique consacré par l'entrée de l'Eternel. Dans quelle partie de ce portique ? Les mots : devant l'Eternel, font penser au vestibule qui regarde du côté du temple, en même temps que c'est la partie de l'édifice qui se prête le mieux à cette destination. On comprend ainsi le motif pour lequel, à l'exception des autres, le portique extérieur oriental avait son vestibule dirigé vers l'intérieur. Il eût été sans cela impossible de pénétrer de l'intérieur dans ce vestibule sans ouvrir le portique.

      Le prince (en hébreu nasi). Dans les chapitres suivants, ce personnage reparaît à plusieurs reprises. Il aura son domaine ou possession particulière aux côtés de la portion sainte (45.7-8). Ce devra être un prince juste, s'abstenant d'exactions et veillant à ce que les mesures et les monnaies en Israël soient exactes (versets 9 à 12). En revanche, Israël devra prélever, pour la lui remettre, une dîme avec laquelle il sera chargé de fournir aux sacrifices (versets 13 à 17), dont le détail est noté minutieusement 45.22-24 et 46.1-7.

      Le jour du sabbat, il aura, outre le droit déjà mentionné (44.1-3) de prendre son repas sous le portique oriental extérieur, celui de se tenir pendant le sacrifice près des poteaux du portique oriental intérieur, tandis que le peuple doit rester à l'entrée (46.1-3). Si dans le cours de la semaine il offre un sacrifice volontaire et extra-officiel, on devra lui ouvrir le même portique intérieur, et il se retirera par le portique par lequel il est entré ; mais quand il viendra au temple un jour de grande fête, il devra se confondre dans les rangs du peuple et, entrant par le portique septentrional, sortir par le portique méridional, ou vice versa (46.8-12). Enfin, il lui est interdit de prendre pour lui la possession de qui que ce soit en Israël, et il ne pourra pas davantage aliéner son propre domaine (46.16-18).

      Sa position est donc celle-ci : D'un côté, il lui est fait une part prépondérante et honorifique en Israël ; mais, de l'autre côté, ses droits sont limités, et ses obligations très nettement déterminées, en particulier dans le domaine religieux.

      Il reste à savoir qui le prophète a voulu désigner par cette expression : le prince. Dans l'Ancien Testament, ce terme, assez rare, est la désignation ordinaire des chefs de tribus (Nombres 4.31 ; 17.2,6) et de maisons paternelles (Nombres 3.34), dont il ne peut naturellement être question ici.

      Préoccupés de ce que le souverain sacrificateur n'était nulle part mentionné dans ces neuf chapitres, plusieurs ont pensé qu'Ezéchiel voulait le désigner par ce titre que nous ne voyons au reste nulle part attribué à cette charge. Mais l'absence du souverain sacrificateur est précisément l'un des traits particuliers du nouvel ordre de choses contemplé par Ezéchiel (voyez plus loin et conclusion). Du reste, aucun des caractères du souverain sacrificateur n'est attribué au prince, qui, au point de vue religieux et ecclésiastique, est au-dessous des simples sacrificateurs, ou plutôt qui n'est pas un personnage religieux, à proprement parler, bien qu'il ait des relations officielles et fréquentes avec le sanctuaire.

      D'autres voient dans le nasi celui qui est appelé ailleurs mon serviteur David, et qui apparaît 34.23-31 ; 37.24-25, comme le représentant visible de l'Eternel, confondu parfois avec lui, et qui n'est autre que le Messie. Cette explication est encore moins admissible que la première ; il est impossible de voir dans ce prince, dont la place et le rôle dans le sanctuaire sont si restreints, et dont les empiétements sont prévenus si soigneusement, le chef spirituel d'Israël.

      Nous sommes conduits à envisager le nasi comme un personnage civil, un magistrat temporel. Jusqu'à l'exil, Israël avait eu ses rois, mais ils se sont montrés au-dessous de leur tâche. Ils étaient appelés, selon le modèle de leur ancêtre David, à exercer une certaine autorité légitime et une initiative précieuse dans le domaine religieux (1Rois 8.22,54,55 ; 2Chroniques 34.1-35.27). Mais pour la plupart, leur position leur a été en piège et ils ont abusé du pouvoir et de l'influence qu'ils possédaient, pour exercer, en matière de culte, une fâcheuse action sur Israël (2Rois 16.13-16) ; aussi avec l'indépendance politique d'Israël, ils sont tombés pour ne plus se relever. C'est pourquoi Ezéchiel évite à dessein le titre de roi, qui rappelle toujours le souvenir des anciens rois ou la notion de Messie et de conducteur spirituel. Désormais Israël n'aura plus qu'un roi, comme il n'aurait jamais dû en avoir qu'un, l'Eternel, régnant en la personne du Messie (chapitre 34). Pourtant, il aura un prince, un représentant et un chef de la société civile, nous dirions aujourd'hui de l'Etat. Ezéchiel choisit ce terme de nasi, absolument dans le sens vague où il est employé Exode 22.28, parce qu'il ne veut pas préciser.

      4

      4 à 9 Les étrangers et le peuple.

      Devant la Maison... C'est en face du temple que le prophète reçoit toutes les instructions qui vont suivre jusqu'à 46.18. La présence de la gloire divine qui remplit le temple doit pénétrer le prophète du sentiment de la sainteté de ces prescriptions. C'est aussi le but des paroles du verset 5 qui invitent Ezéchiel à concentrer toute son attention sur ce qui va lui être dit (comparez 40.4). Il faut que le désordre et les abus qui s'étaient introduits dans la célébration du culte ne se renouvellent plus.

      Par le portique septentrional... Du portique oriental extérieur (Figure 1,B) le chemin le plus direct pour arriver dans le temple eût été de passer, non pas par ce portique septentrional du parvis intérieur (J), mais par le portique oriental du même parvis (I). Mais celui-ci, d'après 46.4 et suivants, doit être habituellement fermé et ouvert seulement le jour du sabbat. Quoique cette règle n'ait pas encore été donnée, elle est sans doute appliquée ici à l'avance, à cause de l'analogie de la règle relative au portique extérieur, verset 12.

      La gloire de l'Eternel... qui y était entrée 43.4 (comparez 10.4 ; Exode 40.34 ; 1Rois 8.11).

      A ce qui entre... c'est-à-dire quelles sont les personnes qui ont le droit d'entrer dans le sanctuaire (et d'y officier), par toutes les issues du sanctuaire, c'est-à-dire dans quelle extension elles peuvent le faire. C'est le thème ou tout au moins le cadre de ce qui suit jusqu'à la fin du chapitre 46. La prescription qui précède rentre déjà sous ce titre ; mais, comme il y est question du prince, elle avait une importance d'un ordre distinct par rapport aux questions du culte proprement dit.

      6

      6 à 9 Ce passage vise à la fois les étrangers et le peuple. Le reproche d'avoir introduit des étrangers dans le sanctuaire, est adressé au peuple et non aux Lévites, bien que ceux-ci aient aussi leur part de responsabilité dans cette transgression de l'alliance (voir verset 10).

      Dis aux rebelles... La faute d'Israël dont il va être question, devait être très grave aux yeux de Dieu pour lui attirer une semblable épithète.

      C'en est assez de toutes vos abominations, c'est-à-dire : Je vais moi-même y mettre fin. Ces abominations sont en particulier celles dont la mention suit.

      7

      Incirconcis de cœur et de chair... C'étaient donc de véritables païens. Il est à remarquer que l'incirconcision morale (Lévitique 26.41 ; Deutéronome 10.16 ; Jérémie 9.25 ; Romains 2.29) est nommée la première.

      Pour qu'ils fussent dans mon sanctuaire... lorsque vous offriez... Il faut lier étroitement ces deux membres de phrase. Le crime d'Israël consistait en ce que des étrangers fussent dans le sanctuaire au moment de la célébration des sacrifices. Et la suite, verset 8, montre bien qu'ils n'y étaient pas en simples spectateurs.

      Les mets qui m'appartiennent, proprement : mon pain ; expression hardie aussitôt expliquée par les mots suivants : la graisse et le sang, c'est-à-dire les sacrifices (comparez Lévitique 3.11 ; 21.6).

      Ils ont rompu mon alliance. Ces étrangers ont été (par la connivence d'Israël, il est vrai) les instruments de la rupture du pacte par lequel Dieu avait établi Israël pour son seul sacrificateur (Exode 19.6). L'alliance a été rompue d'une autre manière par le culte des idoles (16.59) dont il n'est pas question ici.

      Pour toutes vos abominations. C'est-à-dire pour que vous puissiez les commettre. Le pacte rompu, Israël a été à l'aise pour pécher.

      8

      Ce verset montre que si des païens avaient été introduits dans le temple lors de la célébration des sacrifices, c'était afin de participer à cette célébration, ou tout au moins à ses préparatifs en qualité d'officiants. Peut-être aussi étaient-ils invités aux repas qui suivaient les sacrifices, de même que les chrétiens de Corinthe l'étaient à ceux des païens (1Corinthiens 8.1-13). La faute d'Israël est donc double : il s'est déchargé d'un service qui était l'expression de droits sacrés, et il en a chargé des êtres souillés de corps et d'âme que l'Eternel n'y avait point appelés.

      A votre profit. Vous songiez à vos intérêts et à votre plaisir et non pas au service de Dieu.

      A quels faits à nous connus faut-il songer ici ? Il faut se rappeler que des étrangers tels que les Gabaonites (Josué 9.27), les Néthiniens et les fils des serviteurs de Salomon (1Chroniques 9.2 ; Esdras 2.43,58), et plus tard les mercenaires païens, Crétois et Philistins, qui formaient la garde des rois de Juda, avaient été admis au service du temple. Et il est probable que de plus en plus les lévites et sacrificateurs leur avaient abandonné les services qui leur déplaisaient.

      9

      Pour prévenir le retour d'une pareille profanation de l'office sacerdotal en Israël, tout étranger sera désormais exclu du sanctuaire. Cet ordre n'est point en contradiction avec ce qui est dit des étrangers dans la loi de Moïse, où le droit d'offrir des sacrifices leur est accordé (Nombres 15.14 ; Lévitique 17.8), ni avec la prière de Salomon pour les étrangers (1Rois 8.41-43. Il s'accorde aussi parfaitement avec ces nombreux passages où il est question d'étrangers circoncis (comparez en particulier Exode 12.43-49). L'étranger circoncis a cessé par le fait d'être étranger ; l'Israélite doit le considérer et l'aimer comme un frère (Lévitique 19.34 ; Deutéronome 10.19). Rien ne le forçant à se faire circoncire on doit supposer que, s'il le fait, c'est qu'il a été gagné à la foi israélite, et qu'il est circoncis de cœur. C'est dans le même esprit qu'en 47.22 de la vision d'Ezéchiel, l'étranger reçoit sa part de la terre d'Israël tout comme l'indigène, et qu'en revanche, dans notre passage l'étranger doublement incirconcis est exclu du sanctuaire.

      10

      10 à 14 Les Lévites.

      Les Lévites. Cette expression désigne ici, comme Josué 21.1 et ailleurs, les descendants de Lévi en général, à la seule exception des fils de Tsadok (verset 45). Soit les lévites (dans le sens restreint de ce mot), soit les sacrificateurs avaient été infidèles à leurs fonctions en les abandonnant, quand il leur convenait, à des étrangers incirconcis (versets 6 à 9). Eux aussi à plus forte raison doivent subir un châtiment. Il consistera d'abord dans la travail manuel auquel ils seront assujettis pour le service de la Maison (versets 10 et 11) ; puis, dans la privation de toute fonction d'un ordre supérieur qui les mettrait en relation directe avec Jéhova (versets 12 et 13).

      11

      La peine est mise en relation avec le péché. Les Lévites, par un esprit de servilité envers le peuple, s'étaient livrés à l'idolâtrie avec lui sur les hauts lieux, et même dans le temple (2Chroniques 36.14 ; comparez Ezéchiel 8.1-17). Pour leur punition, ils seront réduits au rôle de serviteurs du peuple en remplissant pour lui les offices subalternes du sanctuaire, qui incomberont désormais uniquement aux membres de la tribu de Lévi et à eux tous sans distinction (sauf l'exception du verset 15).

      12

      Ayant officié pour le peuple devant les idoles, ils n'officieront pas devant le Dieu saint (verset 13).

      Levé ma droite ; comparez 20.5, note. Le serment divin est tantôt en faveur de l'homme, tantôt contre lui.

      13

      Ils n'approcheront point... Ils n'auront à faire ni avec l'autel, ni avec le temple ; comparez 40.45-46.

      14

      Résumé de ce qui précède : ils seront domestiques de la Maison et du peuple.

      L'ouvrage de la Maison renferme, outre les fonctions mentionnées verset 11, tout ce qui se rapporte à l'ordre et à la propreté de ce vaste lieu du culte.

      15

      15 à 31 Les sacrificateurs.

      Seuls les descendants de Tsadok continueront à remplir les hautes fonctions de la sacrificature : officier à l'autel (verset 15) et dans le temple (verset 16).

      Les sacrificateurs Lévites. Dans cette locution, qui se retrouve dans Josué, Deutéronome, Chroniques, etc., le terme de sacrificateurs distingue les descendants d'Aaron des autres membres de la tribu de Lévi ; et le terme de Lévites les oppose à tous les sacrificateurs d'autres tribus ou étrangers qui auraient pu tenter de s'emparer des fonctions du sacerdoce ; par exemple les sacrificateurs non Lévites que Jéroboam établit pour fonctionner devant les veaux d'or (1Rois 12.31).

      Les fils de Tsadok. Aaron avait deux fils, Eléasar et Ithamar, de qui descendaient tous les sacrificateurs, et aux familles desquels appartint successivement la grande sacrificature. A l'avènement de Salomon, Abiathar, de la ligne d'Ithamar, fut destitué parce qu'il avait pris parti pour Adonija (1Rois 1.7,25 ; 2.26,27,35), et ce fut Tsadok, de la ligne d'Eléasar, qui devint souverain sacrificateur, parce qu'il s'était montré fidèle à David et à Salomon dans les révoltes d'Absalom et d'Adonija (2Samuel 15.24 et suivants ; 1Rois 1.32 et suivants). D'après cette parole d'Ezéchiel, les descendants de Tsadok avaient persévéré dans la voie de leur père et résisté au courant de l'idolâtrie. Les livres historiques ne nous fournissent pas de renseignements sur ce sujet. En tout cas l'exception faite en leur faveur est due non pas tant à leur origine qu'à leur fidélité.

      Ma table. Voir 41.22, note.

      17 à 27 Obligations des sacrificateurs.

      17 et 18 Leurs vêtements.

      Les prescriptions sont à peu de chose près celles d'Exode 28.39-43, et Lévitique 16.4.

      Les Orientaux sont en général vêtus de laine. Mais le lin est préféré ici comme provoquant moins la sueur et plus facile à maintenir pur.

      19

      Comparez Lévitique 16.23.

      Ne sanctifieront pas.... Sanctifier signifie ici : mettre en contact avec un objet sacré. Or pour le peuple qui n'est pas, comme le sacrificateur, en état de pureté lévitique, tout contact avec les vêtements sacrés attirerait une condamnation.

      Les chambres du sanctuaire. 42.1-12 (Figure 1,V').

      20

      L'acte de raser la tête était un signe de deuil (Lévitique 21.5,10). Il en était de même de celui de laisser croître, et flotter les cheveux (Lévitique 10.6 ; Ezéchiel 24.17). C'est pourquoi les sacrificateurs devaient s'abstenir et de l'un et de l'autre.

      21

      Comparez Lévitique 10.9, où cette interdiction est prononcée à l'occasion de la profanation de Nadab et d'Abihu.

      22

      Ni veuve, ni répudiée. Ce qui n'est interdit Lévitique 21.13 et suivants, qu'au seul souverain sacrificateur, l'est ici à tous les sacrificateurs. Ezéchiel ne fait nulle part mention d'un souverain sacrificateur ; il applique donc à l'ordre tout entier ce qui n'était précédemment interdit qu'au chef.

      L'autorisation d'épouser une veuve de sacrificateur prouve également la sainteté supérieure qu'Ezéchiel attribue à toute la classe sacerdotale.

      23

      23 et 24. Les devoirs des sacrificateurs en dehors des fonctions du culte proprement dit. Ce sont l'enseignement de la loi (verset 23) et le jugement d'après la loi (verset 23). Ces fonctions étaient déjà précédemment attribuées aux sacrificateurs (Deutéronome 17.8 ; 19.17 ; 21.1 et suivants) ; comparez aussi 2Chroniques 17.8 ; 19.8 et suivants.

      25

      25 à 27 Prescriptions relatives aux deuils. Comparez Lévitique 21.1-3. On s'est étonné de ne pas trouver la femme du sacrificateur mentionnée parmi les morts pour lesquels le sacrificateur peut contracter la souillure lévitique. La raison de ce fait est simple. On contractait la souillure en entrant dans la maison du mort. Le mari se trouvait donc tout naturellement souillé, en cas de mort de sa femme.

      Une sœur qui n'ait point de mari. Dans le cas ou la sœur a un mari, la dispense accordée au sacrificateur en faveur de sa sœur non mariée n'est plus absolument nécessaire.

      26

      Sept jours. D'après Nombres 19.11 et suivants, l'impureté légale durait sept jours pour chaque Israélite ; mais il n'était rien prescrit par rapport aux sacrificateurs. Ezéchiel établit pour ceux-ci un temps d'attente de sept jours après leur purification. Comparez une ordonnance semblable pour le lépreux guéri, Lévitique 14.8.

      28

      28 à 30 Revenus des sacrificateurs.

      Ils auront pour portion... La part des sacrificateurs est celle que l'Eternel s'est réservée à lui-même (Deutéronome 18.2).

      29

      Cette part est indiquée exactement : pour les oblations, Lévitique 2.1 et suivants ; pour les sacrifices, Lévitique 6.19 ; 7.7 ; pour l'interdit, Lévitique 27.21.

      30

      Lévitique 22.8. Ce qui amène ici cette défense, c'est qu'il vient d'être parlé de la nourriture des sacrificateurs.

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