13
Alors Dieu dit à Noé : « La fin de tous les hommes est décidée devant moi, car ils ont rempli la terre de violence. Je vais les détruire avec la terre.
16
ManassĂ© versa aussi beaucoup de sang innocent, au point dâen remplir JĂ©rusalem d'un bout Ă l'autre, en plus des pĂ©chĂ©s qu'il commit et qu'il fit commettre Ă Juda en faisant ce qui est mal aux yeux de l'Eternel.
4
et à cause du sang innocent que Manassé avait versé et dont il avait rempli Jérusalem. L'Eternel ne voulut pas pardonner.
7
Elle offre sa mĂ©chancetĂ© comme un puits offre son eau. Ce quâon entend dâelle ne fait Ă©tat que de violence et de persĂ©cution, je vois sans cesse de la souffrance et des blessures.
18
Les enfants ramassent du bois, les pĂšres allument le feu et les femmes pĂ©trissent la pĂąte pour prĂ©parer des gĂąteaux en lâhonneur de la reine du ciel et verser des offrandes liquides en lâhonneur d'autres dieux, de sorte quâils mâirritent.
19
Est-ce moi qu'ils irritent â dĂ©claration de l'Eternel â n'est-ce pas eux-mĂȘmes, pour leur propre honte ?
4
Cela arrivera parce quâils m'ont abandonnĂ© et ont rendu cet endroit mĂ©connaissable, parce quâils y ont fait brĂ»ler de l'encens en lâhonneur d'autres dieux, des dieux que ni eux, ni leurs ancĂȘtres, ni les rois de Juda ne connaissaient, et ont rempli cet endroit de sang innocent.
8
En effet, chaque fois que je parle, il faut que je crie, que je crie pour dĂ©noncer la violence et la persĂ©cution ! Oui, la parole de l'Eternel mâexpose constamment Ă la honte et aux moqueries.
11
La violence a grandi pour servir de bùton à la méchanceté : il ne reste plus rien d'eux, de leur foule bruyante et de leur abondance. On ne trouve plus rien de valeur chez eux.
23
» Prépare les chaßnes, car le pays est rempli de meurtres, et la ville de violence.
17
Il mâa dit : « As-tu vu, fils de lâhomme ? Nâest-ce pas suffisant pour la communautĂ© de Juda de sâadonner aux pratiques abominables auxquelles elle sâest livrĂ©e ici ? Faut-il encore qu'ils remplissent le pays de violence et ne cessent pas de mâirriter ? Les voici qui approchent le rameau de leur nez !
9
Il mâa rĂ©pondu : « La faute de la communautĂ© d'IsraĂ«l et de Juda est immensĂ©ment grande. Le pays est rempli de meurtres, la ville est pleine de perversion, car ils disent : âL'Eternel a abandonnĂ© le pays, l'Eternel ne voit rien.â
6
Vous avez multiplié le nombre de vos victimes dans cette ville, vous avez rempli ses rues de vos victimes.
26
Tu t'es prostituĂ©e aux Egyptiens, tes voisins au corps athlĂ©tique, et tu as multipliĂ© tes prostitutions, ce qui mâa irritĂ©.
10
Ils ne savent pas agir avec droiture, déclare l'Eternel, ils entassent dans leurs palais le produit de la violence et du pillage.
3
Vous croyez éloigner le jour du malheur, mais vous faites approcher le rÚgne de la violence.
2
Ils convoitent des champs, et ils s'en emparent, des maisons, et ils les prennent ; ils traitent avec violence le maßtre et sa maison, l'homme et son héritage.
12
Ses riches sont pleins de violence, ses habitants profĂšrent le mensonge, et leur langue n'est que tromperie dans leur bouche.
9
Ce jour-lĂ , jâinterviendrai contre tous ceux qui sautent par-dessus le seuil pour remplir de violence et de fraude la maison de leur Seigneur.
La bible annotée Commentaire de Matthew Henry
Ils portent le rameau Ă leur nez. Le sens de ces mots obscurs s'explique probablement par la relation avec le culte du soleil dont il vient d'ĂȘtre question en dernier lieu. On sait que les Persans, les principaux adorateurs du feu et de la lumiĂšre, avaient coutume, en cĂ©lĂ©brant leur culte, de porter Ă la main un faisceau de branches de l'arbre sacrĂ©, appelĂ© hom. De ce bouquet, appelĂ© barsum, ils se servaient, en l'approchant de leur bouche, comme d'une amulette pour Ă©loigner les mauvais esprits. Transporter dans le temple cette cĂ©rĂ©monie paĂŻenne, c'Ă©tait le degrĂ© suprĂȘme de l'audace et du mĂ©pris de l'Eternel. Aussi ce trait a-t-il Ă©tĂ© rĂ©servĂ© comme le dernier, afin de motiver dĂ©finitivement la sentence qui clĂŽt ce tableau (verset 18). On a essayĂ© de donner Ă ce mot un tout autre sens : Ils portent la serpette Ă leur propre nez. Ce serait une expression proverbiale pour dire qu'ils se causent Ă eux-mĂȘmes gratuitement le plus grand dommage ; comparez Proverbes 23.2. Ce sens nous paraĂźt bien faible et peu conforme au sĂ©rieux de tout le morceau, tandis que ces mots, tels que nous les avons compris, achĂšvent de caractĂ©riser ce cumul de toutes les idolĂątries chaldĂ©enne, Ă©gyptienne, phĂ©nicienne, persane, qui se donnaient alors rendez-vous Ă JĂ©rusalem et jusque dans le temple mĂȘme.
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