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18
Il t’a envoyé en campagne avec cet ordre précis : « Va et détruis les Amalécites pour me les vouer, ce peuple de pécheurs, en les combattant jusqu’à leur totale extermination. »
7
Beaucoup de *pharisiens et de *sadducéens venaient se faire baptiser par lui. Il leur dit :
—Espèces de vipères ! Qui vous a enseigné à fuir la colère de Dieu qui va se manifester ?
8
Montrez plutôt par vos actes que vous avez changé de vie.
9
Ne vous imaginez pas qu’il vous suffit de répéter en vous-mêmes : « Nous sommes les descendants d’*Abraham. » Car, regardez ces pierres : je vous déclare que Dieu peut en faire des enfants d’Abraham.
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En voyant cela, les *pharisiens interpellèrent ses disciples :
—Comment votre maître peut-il s’attabler de la sorte avec des collecteurs d’impôts et des pécheurs notoires ?
26
C’était une femme païenne, originaire de Syro-Phénicie. Elle le supplia de chasser le démon qui tourmentait sa fille.
27
Jésus lui dit :
—Laisse d’abord se rassasier les enfants de la maison. Car il ne serait pas convenable de prendre le pain des enfants pour le jeter aux petits chiens.
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—Sans doute, Seigneur, reprit-elle, mais les petits chiens, qui sont sous la table, mangent les miettes que laissent tomber les enfants.
39
—Notre père à nous, répondirent-ils, c’est Abraham.
—Eh bien, leur répliqua Jésus, si vous étiez vraiment des enfants d’Abraham, vous agiriez comme lui.
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Au lieu de cela, vous cherchez à me faire mourir. Pourquoi ? Parce que je vous dis la vérité telle que je l’ai apprise de Dieu. Jamais Abraham n’a agi comme vous.
41
Vous agissez exactement comme votre père à vous !
—Mais, répondirent-ils, nous ne sommes pas des enfants illégitimes. Nous n’avons qu’un seul Père : Dieu !
21
Le Seigneur m’a dit alors : « Va, je vais t’envoyer au loin vers les païens... »
9
Que faut-il donc conclure ? Nous les Juifs, sommes-nous supérieurs aux autres hommes ? Pas du tout. Nous avons, en effet, déjà démontré que tous les hommes, Juifs ou non, sont également coupables.
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Voilà pourquoi l’héritage est promis à la foi : c’est pour qu’il soit un don de la grâce. Ainsi, la promesse se trouve confirmée à toute la descendance d’Abraham, c’est-à-dire non seulement à celle qui est sous le régime de la Loi, mais aussi à celle qui partage la foi d’Abraham. Il est notre père à tous,
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Nous qui sommes Juifs d’origine, nous ne faisons pas partie de ces « pécheurs » que sont les païens.
3
Nous aussi, nous faisions autrefois tous partie de ces hommes. Nous vivions selon nos désirs d’hommes livrés à eux-mêmes et nous accomplissions tout ce que notre corps et notre esprit nous poussaient à faire. Aussi étions-nous, par nature, destinés à subir la colère de Dieu comme le reste des hommes.
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C’est pourquoi, vous qui portez, dans votre corps, la preuve que vous n’êtes pas des *Juifs et qui donc êtes traités d’ « incirconcis » par ceux qui se disent « les *circoncis » à cause d’un rite accompli sur leur corps et par des hommes, rappelez-vous quelle était votre situation autrefois.
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En ce temps-là, vous étiez sans *Messie, vous n’aviez pas le droit de faire partie du peuple d’*Israël, vous étiez étrangers aux *alliances conclues par Dieu pour garantir sa promesse, sans espérance et sans Dieu dans le monde.
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Et pourtant, je pourrais, moi aussi, placer ma confiance dans ce qui vient de l’homme. Si quelqu’un croit pouvoir se confier en ce qui vient de l’homme, je le puis bien davantage :
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Car il fut un temps où nous-mêmes, nous vivions en insensés, dans la révolte contre Dieu, égarés, esclaves de toutes sortes de passions et de plaisirs. Nos jours s’écoulaient dans la méchanceté et dans l’envie, nous étions haïssables et nous nous haïssions les uns les autres.
Et si pour eux, Juifs de naissance, il n'y avait pas d'autre moyen de salut, combien moins pour les pécheurs d'entre les païens, que les faux docteurs, et Pierre luimême en judaïsant, voulaient ramener sous le joug de la loi !
Pour quelle raison avons-nous cru en Christ ? N'est-ce pas parce que nous pouvons être justifié par la foi, en Lui ? Si c'est effectivement le cas, n'est-il pas insensé de retourner à la doctrine de la loi, en espérant être justifié par le mérite d'œuvres morales, de sacrifices, ou de rites ?
Cette déclaration de Paul a été vraisemblablement motivée par la « loi de cérémonie » ; mais il est fort possible que l’apôtre ait été tout à fait opposé à toute dépendance aux œuvres de la loi morale, relatives à la justification. Pour donner un plus grand poids à son argumentation, il est ajouté : « Mais tandis que nous cherchons à être justifiés par Christ, si nous étions aussi nous-mêmes trouvés pécheurs, Christ serait-il un ministre du péché » ? Ceci serait déjà impensable de la part de Christ, mais aussi très néfaste pour les Galates.
En considérant la loi, Paul a vu que la justification ne devait pas être attendue par les œuvres, et qu'il n'y avait maintenant plus besoin de sacrifices, ni de diverses purifications, puisqu’ils ont été réalisés « en » Christ, Celui qui s'est offert Lui-même en victime expiatoire pour nous.
Paul n'espérait ni ne craignait quoi que ce soit de la loi, pas plus qu'un mort ne pourrait craindre ses ennemis ! Mais la résultante d’une telle pensée n'était pas pour autant une vie insouciante et sans loi. Il était essentiel pour l’apôtre de pouvoir vivre pour Dieu, et de Lui être consacré au travers des raisons et de la Grâce de l'Évangile.
Bien qu'elle puisse paraître des plus injuste, la doctrine de la justification par la foi ne devait pas encourager le peuple à demeurer dans le péché. Cette nouvelle doctrine permet de saisir l'offre de la Grâce, libre et gratuite ; elle commande de ne plus vivre dans l’iniquité, ce qui pourrait faire considérer Christ comme le « ministre du péché », pensée qui ferait frémir d’horreur tous les chrétiens !