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Galates 4.3

οὕτως καὶ ἡμεῖς, ὅτε ἦμεν νήπιοι, ὑπὸ τὰ στοιχεῖα τοῦ κόσμου ἤμεθα δεδουλωμένοι·
Pour nous, c’est la même chose. Avant, nous étions comme des enfants, nous étions esclaves des forces du monde.
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      Matthieu 11

      Jean 8

      Actes 15

      Romains 8

      Galates 2

      Galates 3

      19 Si la promesse de la foi, mentionnée dans ce texte, est suffisante pour obtenir le salut, à quoi alors servait la loi ? Les Israélites, bien que peuple « élu » de Dieu, étaient pécheurs aussi bien que les autres hommes. La loi n'avait pas la prétention de faire découvrir un chemin de justification différent de celui qui était dévoilé par la promesse divine, mais de conduire les hommes à considérer quel était leur besoin, face à leur culpabilité du péché, en dirigeant leur regard vers Christ, le Seul grâce auquel ils peuvent être pardonnés et justifiés.

      La promesse du salut a été donnée par Dieu lui-même ; la loi a été donnée par le ministère des anges, et par un médiateur, Moïse. De ce fait, la loi ne peut pas être destinée à mettre de côté la promesse divine. Un médiateur, comme le signifie l’étymologie, est un ami qui intervient entre deux parties ; il ne doit pas favoriser l'une aux dépens de l’autre.

      Le but final de la loi résidait dans le fait que la promesse de la foi en Jésus-Christ puisse être accordée à ceux qui croient ; étant ainsi convaincus de leur culpabilité, et de l'insuffisance de la loi pour les justifier, ils sont ainsi persuadés de la nécessité de croire en Christ, dans le but d’obtenir les avantages de Sa promesse.

      Il n'est pas possible que la loi de Dieu, sainte et juste, le « standard du devoir pour tous », soit contraire à l'Évangile de Christ. Elle tend, de toutes les manières, à promouvoir ce dernier !

      23 La loi n'a pas enseigné une connaissance conduisant directement à la vie spirituelle et au salut ; mais, par ses rites et ses cérémonies, en particulier les sacrifices, elle « pointait » vers Christ, afin que tous puissent être justifiés par la foi en Lui.

      Elle était ainsi, comme son étymologie l’indique, un « service » qui mène à Christ, comme des enfants conduits à l'école par une personne qui en a la responsabilité, afin qu'ils puissent être totalement instruits par Celui qui est le véritable chemin de la justification et du salut, par la foi. Ce texte nous révèle le grand avantage de l’Évangile, grâce auquel nous jouissons d'une découverte plus claire de la Miséricorde divine, que les Juifs d'antan ne pouvaient avoir. La plupart des hommes continuent à être enfermés dans un sombre « cachot », se complaisant dans leurs péchés, étant aveuglés, bercés et endormis par Satan, dans les plaisirs de ce monde, ses intérêts et ses vaines poursuites...

      Mais le pécheur qui est « interpelé », découvre cette épouvantable condition. Il découvre que la Miséricorde et la Grâce de Dieu constituent alors son seul espoir. Les terreurs décrites dans la loi sont souvent utilisées par l'Esprit, qui sait convaincre le pécheur, quant à son besoin de s’adresser à Christ, pour le conduire pour s'appuyer sur Ses souffrances et Ses mérites, afin qu'il puisse être justifié par la foi.

      La loi, par l'enseignement du Saint-Esprit, devient alors sa ligne de conduite, dans l’accomplissement de son devoir ; elle sert de référence pour son examen de conscience journalier. Par une telle pratique, le pécheur repentant apprend à dépendre plus simplement de son Sauveur !

      Galates 4

      Galates 5

      1

      Sérieuse exhortation à tenir ferme, dans la liberté de l'Évangile. (Galates 5:1-12)
      Prendre garde à ne pas développer de sentiment coupable. (Galates 5:13-15)
      Marcher dans l'Esprit, et ne pas accomplir la convoitise de la chair : ces deux pratiques sont ici décrites. (Galates 5:16-26)

      Christ ne sera jamais le Sauveur de celui qui ne veut pas Lui appartenir, ni compter sur Lui comme son unique Sauveur.

      Prêtons attention aux avertissements et aux convictions de l'apôtre : rester assidu et attaché à la doctrine et la liberté de l'Évangile. Tous les véritables chrétiens, étant enseignés par le Saint-Esprit, attendent la vie éternelle et la récompense de la Justice divine ; ils fondent leur espérance, par la foi, sur le don de Dieu : Son Fils Jésus-Christ ; ils ne basent pas leur salut sur leurs propres œuvres.

      Le Juif converti peut toujours observer les lois de cérémonies, tout en affirmant rester libre ; le « Gentil », quant à lui est libre de les négliger ou de les suivre, pourvu qu'il n'en soit pas esclave.

      Aucune prérogative, ni confession de foi « modèle », ne peuvent contribuer à notre acceptation par Dieu : seule une foi sincère en notre Seigneur Jésus peut le faire. La véritable foi est une grâce agissante ; elle agit par notre amour pour Dieu et pour nos frères.

      Puissions-nous être du nombre de ceux qui, à travers l'Esprit, savent qu’ils sont justifiés par la foi. Sous l'ancienne alliance, la négligence de certains détails sans grande importance n’avait guère de conséquences, alors qu’aujourd’hui, nous trouvons encore certaines personnes qui restent sous le joug d’une discipline stricte et astreignante, qui régit encore beaucoup de rites et de cérémonies...

      Si notre foi n’agit pas conjointement avec l’amour, toutes nos œuvres n’ont guère de poids ni de valeur.

      Colossiens 2

      8 Il n’y a pas de meilleure sagesse, pour nous conduire, que celle de l’étude des œuvres divines, étude qui nous mène à la connaissance de Dieu et affermit notre foi en Lui.

      Il existe un autre genre de « sagesse », vaine et trompeuse : celle qui satisfait les convoitises des hommes ; elle ne peut qu’entraver leur cheminement vers la foi ; elle ne représente que l’aboutissement à de vaines recherches ou spéculations, de curiosité à propos des éléments invisibles, ce qui en fait, ne nous concerne pas. Ceux qui marchent dans les voies de ce monde, se détournent du véritable Chemin : celui qui mène à Christ. Nous avons en Lui tout ce qui peut nous éclairer sur les difficultés propres à la loi mosaïque. Tous les problèmes inhérents à cette loi sont désormais résolus dans l'Évangile de Christ, par le sacrifice parfait de ce Dernier, expiant notre péché, et par la révélation de la Volonté divine.

      Avoir la plénitude divine, c'est posséder l’essentiel du salut. Par ce terme, « pleinement », ce texte montre que nous avons en Christ tout ce qui est requis. Quand nous lisons « en Lui, » cela signifie que lorsque nous portons notre regard vers Christ, Il ne reste pas distant, mais qu’Il demeure littéralement « en nous ». Christ est EN nous, et nous EN Lui, lorsque, par le pouvoir de l'Esprit, notre cœur est sensibilisé, et que nous sommes unis à notre « Tête » spirituelle.

      La circoncision du cœur, la crucifixion de la chair, la mort et l'ensevelissement au péché et au monde, ainsi que la résurrection en nouveauté de vie, par le baptême, par la foi, tout cela prouve que nos péchés sont pardonnés, et que nous sommes complètement délivrés de la malédiction de la loi. À travers Christ, nous, qui étions morts dans le péché, somme ramenés à la vie. Le sacrifice de Christ fut « l’anéantissement » de nos péchés ; Sa résurrection est « le retour à la vie » de notre âme.

      La loi et les ordonnances mosaïques, véritable joug pour les Juifs, représentent un mur infranchissable pour le Païen, mais le Seigneur Jésus a permis à ce dernier de le franchir. Christ, dans Son incarnation, a clarifié tous les points sombres de la loi. Chaque mortel, à cause de son péché et de la loi, étant coupable de mort, la condition de l'impie et du profane reste épouvantable, car ils foulent aux pieds le sang du Fils de Dieu, le Seul qui puisse anéantir ces terribles sentences !

      Les Colossiens ne devaient pas être troublés par les jugements fanatiques relatifs aux viandes, ni aux solennités juives. Mettre à part une partie de leur temps pour l'adoration et le service de Dieu, était un devoir moral et constant, mais cela n'avait aucune dépendance majeure avec le septième jour de la semaine, le sabbat des Juifs. Le premier jour de la semaine, le jour du Seigneur, est le temps mis à part par les chrétiens, en souvenir de la résurrection de Christ. Tous les rites juifs étaient en fait des « ombres » risquant de couvrir les bénédictions de l'Évangile...

      Hébreux 7

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