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L'Eternel. Le rédacteur introduit ce nom étranger à ce morceau pour établir la continuité de son récit avec les premiers versets du chapitre suivant, qui sont jéhovistes. Comparez 22.1
Les deux scènes pareilles, celle du chapitre 12 et celle-ci, présentent donc des différences très considérables, qui ne permettent pas de les identifier. Quant à l'analogie qui existe entre elles, il faut se rappeler qu'elles reposent toutes deux sur un arrangement pris d'avance entre Abraham et Sara et dont l'effet devait se reproduire chaque fois que les circonstances y donnaient lieu.
Sans doute, Sara était maintenant plus âgée d'une vingtaine d'années ; mais, à cette période de l'histoire de l'humanité, son âge était l'équivalent de celui d'une femme de nos jours âgée de quarante à cinquante ans.
La culpabilité d'Abraham est considérablement aggravée par cette répétition de la même faute, surtout si l'on songe à la leçon qu'il avait reçue la première. fois. Mais nous retrouvons ici le caractère de toute l'histoire sainte, qui n'hésite jamais à mettre dans tout leur jour les fautes de ses héros.
2
Saraï dit à son mari : « Tu vois : le Seigneur m’a empêchée d’avoir des enfants. Je pourrai peut-être avoir un fils grâce à mon esclave. Passe la nuit avec elle. » Abram accepta la proposition de Saraï.
7
Maintenant rends cette femme à son mari. C’est un prophète ; il priera pour que tu aies la vie sauve. Mais si tu ne la rends pas, sache que tu mourras certainement avec tous les tiens. »
10
Aussitôt, ils firent porter le coffre à Écron ; mais dès qu’il y arriva, les gens d’Écron poussèrent de grands cris et dirent : « On a transporté le coffre du Dieu d’Israël chez nous pour nous faire tous mourir ! »
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L'Eternel. Le rédacteur introduit ce nom étranger à ce morceau pour établir la continuité de son récit avec les premiers versets du chapitre suivant, qui sont jéhovistes. Comparez 22.1
Les deux scènes pareilles, celle du chapitre 12 et celle-ci, présentent donc des différences très considérables, qui ne permettent pas de les identifier. Quant à l'analogie qui existe entre elles, il faut se rappeler qu'elles reposent toutes deux sur un arrangement pris d'avance entre Abraham et Sara et dont l'effet devait se reproduire chaque fois que les circonstances y donnaient lieu.
Sans doute, Sara était maintenant plus âgée d'une vingtaine d'années ; mais, à cette période de l'histoire de l'humanité, son âge était l'équivalent de celui d'une femme de nos jours âgée de quarante à cinquante ans.
La culpabilité d'Abraham est considérablement aggravée par cette répétition de la même faute, surtout si l'on songe à la leçon qu'il avait reçue la première. fois. Mais nous retrouvons ici le caractère de toute l'histoire sainte, qui n'hésite jamais à mettre dans tout leur jour les fautes de ses héros.