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HĂ©breux 13.1

Continuez à vous aimer comme des frères et sœurs chrétiens.
Persévérez dans l'amour fraternel.
Continuez à vous aimer comme des frères et sœurs chrétiens.
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      Jean 13

      Jean 15

      Actes 2

      1

      L'effusion du Saint-Esprit au jour de la PentecĂ´te. (Actes 2:1-4)
      Les apĂ´tres parlent en diverses langues. (Actes 2:5-13)
      Pierre s'adresse aux Juifs. (Actes 2:14-36)
      Trois mille âmes sont converties. (Actes 2:37-41)
      La piété et l'affection des disciples. (Actes 2:42-47)

      Nous ne pouvons pas oublier, pendant que le MaĂ®tre Ă©tait encore avec Ses disciples, les luttes frĂ©quentes entre ces derniers pour savoir qui serait le plus grand ; dĂ©sormais, toutes ces luttes ont pris fin. Durant les derniers temps de JĂ©sus ici-bas, les apĂ´tres priaient dĂ©jĂ  souvent tous ensemble.

      Si nous dĂ©sirons que l'Esprit se rĂ©pande sur nous, soyons tous d’un mĂŞme accord. MalgrĂ© nos divergences ici-bas, semblables Ă  celles des disciples, aimons-nous les uns les autres : lĂ  oĂą des frères demeurent ensemble, dans l'unitĂ©, le Seigneur envoie sa bĂ©nĂ©diction.

      Un vent survint dans la maison avec une grande violence. C’était une manifestation de la puissance et de l'action de l'Esprit de Dieu sur les hommes, et par consĂ©quent sur le monde. Les convictions envoyĂ©es par l'Esprit rĂ©confortent l’âme ; le souffle violent de ce « vent Â» tempĂ©tueux prĂ©pare cette dernière Ă  Le recevoir.

      Lors de ce rassemblement des disciples, il y eut une apparition, semblable Ă  des langues de feu qui se posèrent sur chacun d'eux, conformĂ©ment Ă  ce qu’avait annoncĂ© Jean-Baptiste, en ce qui concernait Christ : Il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu, Matthieu 3:11. L'Esprit, tel du feu, fait « fondre Â» le cĹ“ur, Il Ă©limine les « scories du pĂ©chĂ© Â», et engendre de pieuses pensĂ©es ; c'est avec ce feu, semblable Ă  celui d’un autel, que les « sacrifices spirituels Â» sont offerts.

      Les disciples Ă©taient tous remplis de l'Esprit Saint, beaucoup plus qu'auparavant. Ils furent sanctifiĂ©s par les grâces de l'Esprit ; ils allaient dĂ©laisser progressivement les intĂ©rĂŞts de ce monde, pour se rendre spirituellement conformes aux habitants du royaume cĂ©leste. Ils Ă©taient vĂ©ritablement encouragĂ©s par l'Esprit, plus que jamais rĂ©jouis, dans l'amour de Christ et dans l'espĂ©rance cĂ©leste : toutes leurs peines ont Ă©tĂ© ainsi Ă´tĂ©es.

      Ils furent remplis des dons du Saint-Esprit : ils possĂ©daient des pouvoirs miraculeux, pour l'avancement de l'Ă©vangile. Ils annoncèrent l’évangile, non par le biais de prĂ©dications ou de mĂ©ditations prĂ©parĂ©es, mais comme l'Esprit leur donnait de s'exprimer spontanĂ©ment.

      Actes 4

      32 Les disciples s'aimaient mutuellement. Ce sentiment rĂ©sultait des prĂ©ceptes que Christ leur donna, ainsi que de Sa prière Ă  leur Ă©gard, lors de Sa mort Ă  la croix. Ainsi en Ă©tait il alors, et il en sera encore ainsi, quand l'Esprit sera rĂ©pandu du ciel, sur nous !

      Les disciples prĂŞchaient la doctrine de la rĂ©surrection de Christ ; de cet enseignement, lorsqu'il est correctement donnĂ©, dĂ©coulent tous les devoirs, tous les privilèges, et toutes les consolations des chrĂ©tiens.

      Dans les paroles et dans les actes des apĂ´tres, se manifestaient les fruits Ă©vidents de la Grâce de Christ. Ils Ă©taient en ce monde, « morts spirituellement Â». C'Ă©tait de toute Ă©vidence, la prĂ©sence de la Grâce de Dieu en eux ! Ils n’abandonnèrent pas leurs diffĂ©rents biens, mais leur cĹ“ur n’y Ă©tait plus attachĂ©. Ils ne dĂ©claraient pas que ces biens leur appartenaient, parce qu'ils avaient, par affection, tout abandonnĂ© pour Christ, voulant ainsi se dĂ©barrasser de tout, pour mieux s'attacher Ă  Lui.

      Il n'est pas Ă©tonnant de voir qu’ils ne formaient « qu'un mĂŞme cĹ“ur Â» et qu'une « mĂŞme âme Â», puisqu'ils Ă©taient spirituellement très Ă©loignĂ©s des richesses de ce monde. Ils avaient en effet tout en commun ; ils veillaient Ă  ce que chacun ne manque de rien. L'argent Ă©tait dĂ©posĂ© aux pieds des apĂ´tres...

      Une grande attention doit ĂŞtre apportĂ©e Ă  la distribution de la charitĂ© publique, pour que l’on puisse donner Ă  celui qui est dans le besoin, ou Ă  celui qui n'est pas capable de subvenir Ă  son nĂ©cessaire vital ; ceux qui donnent tout ce qu’ils peuvent pour faire le bien tĂ©moignant ainsi d'une bonne conscience, doivent ĂŞtre aidĂ©s.

      Ce texte mentionne une personne particulièrement remarquable quant Ă  sa charitĂ© gĂ©nĂ©reuse : il s’agit de Barnabas. Il se destinait Ă  ĂŞtre un prĂ©dicateur de l’évangile, voulant se dĂ©tacher des affaires de ce monde. Quand de telles dispositions de cĹ“ur prĂ©dominent chez une personne et sont exercĂ©es en des circonstances opportunes, le tĂ©moignage qui en ressort est dĂ©terminant pour les autres !

      Romains 12

      9 L'amour mutuel entre les chrétiens, doit être sincère, sans hypocrisie, sans arrière pensée, ni flatteries. Dépendant de la Grâce divine, il doit détester tout mal, aimer et se plaire dans tout ce qui est bon et utile.

      Nous ne devons pas seulement pratiquer ce qui est bon, mais nous devons nous y attacher. Tout notre devoir envers notre prochain se rĂ©sume en un mot : l'amour. Ce dernier se manifeste chez les parents, envers leurs enfants, il est plus tendre et naturel que tout autre, il n’est pas hypocrite, il n’a pas de contrainte.

      L'amour pour Dieu et notre prochain, avec du zèle pour l'Évangile, rendra le chrétien sage, appliqué à toutes ses occupations ici-bas, en lui permettant d'obtenir, à l’occasion, une bonne compétence professionnelle. Dieu doit être servi, sous l’influence du Saint-Esprit. Il est honoré par notre espérance et notre confiance en Lui, particulièrement quand nous nous réjouissons dans de telles pensées. Nous servons le Seigneur, non seulement quand nous travaillons pour Lui, mais aussi lorsque nous restons sereins, face aux souffrances de l’épreuve.

      La patience à l'égard de Dieu est la véritable piété. Ceux qui se réjouissent dans l'espérance céleste seront vraisemblablement patients dans la tribulation. Ne négligeons pas la pratique de la prière, sans nous lasser.

      Non seulement les chrĂ©tiens doivent savoir exprimer de la gentillesse pour leurs amis et leurs frères, mais ils ne doivent pas cĂ©der Ă  la colère, mĂŞme contre leurs ennemis. Celui qui n’adresse que de simples paroles d’encouragement Ă  son frère dans le besoin, se moque de lui : en fait, il doit pourvoir Ă  son soutien. Soyez prĂŞt Ă  aider ceux qui pratiquent le bien : si l'occasion se prĂ©sente, nous devons accueillir des Ă©trangers. BĂ©nissez-les, ne maudissez pas. Cela exige beaucoup de bonne volontĂ© ; il ne s’agit pas de ne les bĂ©nir que dans nos prières, en les maudissant en d'autres temps : il faut les aimer en permanence, n’ayant aucune pensĂ©e nĂ©gative Ă  leur Ă©gard.

      Le vĂ©ritable amour chrĂ©tien nous fera prendre part aux peines et aux joies des uns et des autres. Cherchez, dans toute la mesure du possible, Ă  vous entendre avec vos frères, dans les mĂŞmes vĂ©ritĂ©s spirituelles ; quand vous constatez que cela est parfois difficile, soyez au moins unis dans votre amour mutuel. ConsidĂ©rez l’orgueil de ce monde et tous ses fastes, avec un saint mĂ©pris. N'y portez pas attention ; ne le convoitez pas.

      Contentez-vous de la position oĂą Dieu vous a placĂ©s, dans Sa sainte Providence. Rien ne pourra plus nous nuire que le pĂ©chĂ©. Nous n’éprouverons jamais de condescendance envers les autres, si nous sommes dĂ©passĂ©s par nos propres iniquitĂ©s ; c'est pourquoi tout pĂ©chĂ© qui subsiste en nous doit ĂŞtre mortifiĂ©.

      Galates 5

      13 L'Évangile est une « doctrine Â» conforme Ă  la piĂ©tĂ©, 1Ti 6:3 ; Il est si opposĂ© Ă  la tolĂ©rance du moindre pĂ©chĂ©, qu'Il nous exhorte expressĂ©ment Ă  Ă©viter toute dĂ©rive en ce domaine et Ă  en rester maĂ®tre.

      L'apĂ´tre insiste sur le fait que toute la loi est accomplie par l’obĂ©issance Ă  cette seule directive : « tu aimeras ton prochain comme toi-mĂŞme Â». Si des chrĂ©tiens, qui normalement, doivent s'entre-aider et se rĂ©jouir mutuellement dans le Seigneur, se querellent, ils ne peuvent s’attendre qu’à voir le Dieu d'amour et le Saint-Esprit quitter leur cĹ“ur, et ĂŞtre remplacĂ©s par de vaines pensĂ©es, qui ne les mèneront qu’à leur destruction.

      Quel bonheur, si les chrĂ©tiens, au lieu de se quereller mutuellement, sous des prĂ©textes d'opinions diffĂ©rentes, pouvaient « s'associer Â» contre le pĂ©chĂ© qui rĂ©side en eux-mĂŞmes et dans les communautĂ©s qu’ils reprĂ©sentent !

      Ephésiens 4

      Ephésiens 5

      Philippiens 2

      1

      Exhortations à un comportement et à un esprit de tendresse et d'humilité. (Philippiens 2:1-4)
      L'exemple de Christ. (Philippiens 2:5-11)
      L'assiduitĂ© dans la recherche du salut ; soyons des exemples pour le monde. (Philippiens 2:12-18)
      L'apĂ´tre projette de visiter Philippes. (Philippiens 2:19-30)

      Il y a dans ce texte des exhortations supplĂ©mentaires de Paul, relatives aux devoirs chrĂ©tiens : nous trouvons une recherche de sentiments et d’humilitĂ© semblables Ă  ceux donnĂ©s par l'exemple du Seigneur JĂ©sus.

      La prévenance est la loi du Royaume de Christ, elle fait partie de Ses préceptes. Plusieurs exhortations à pratiquer l'amour fraternel sont ici mentionnées. Si vous attendez ou goûtez aux avantages des compassions de Dieu à votre égard, soyez aussi compatissants mutuellement.

      Les serviteurs de Dieu sont dans la joie de voir les membres de l’église ainsi disposĂ©s. Christ est venu ici-bas pour nous enseigner l’humilitĂ©, pour qu’il n’y ait parmi nous aucun sentiment de supĂ©rioritĂ©. Nous devons rester intransigeants quant Ă  la tolĂ©rance de nos propres fautes ; soyons prompts Ă  relever quels sont nos dĂ©fauts, mais soyons toujours disposĂ©s Ă  juger favorablement les autres.

      Nous devons rechercher le bien de notre prochain, sans toutefois nous insérer dans ce qui le concerne personnellement. Aucune paix ne peut résider en notre cœur, sans humilité...

      1 Thessaloniciens 4

      9 Nous devons distinguer chez les autres, leurs bons côtés, dignes d’être honorés, pour que nous puissions les exhorter à y abonder de plus en plus.

      Tous ceux qui suivent les prĂ©ceptes divins doivent s'aimer les uns les autres. L'enseignement de l'Esprit surpasse celui des hommes ; ce dernier est souvent vain et inutile, s’il n'est pas « cadrĂ© Â» par celui de Dieu.

      Ceux qui abondent dans la Grâce, ont toujours besoin de La faire croĂ®tre et de persĂ©vĂ©rer ainsi jusqu'Ă  la fin. Il est très dĂ©sirable de possĂ©der un tempĂ©rament calme et serein, d'avoir un comportement doux et paisible. Le but de Satan est de nous dĂ©stabiliser et nous avons, par nature, toutes les prĂ©dispositions pour ĂŞtre inquiets ; attachons-nous donc Ă  rester sereins en toutes occasions !

      Ceux qui sont toujours agitĂ©s et qui s’occupent sans cesse des affaires des autres, ont finalement peu de paix au cĹ“ur ; ils causent bien souvent de grands problèmes Ă  leur prochain. Ils suivent rarement l'exhortation donnĂ©e dans ce texte : ĂŞtre appliquĂ©s dans l’exercice de leur devoir et travailler de leurs propres mains.

      Le christianisme n’est pas incompatible avec le travail ni avec l’exercice de notre devoir, il nous apprend Ă  nous appliquer dans ce sens. Les dĂ©chĂ©ances des civilisations sont souvent dues Ă  l’oisivetĂ©, elles sont responsables de nombreux dĂ©sordres ; ceux, par contre, qui sont appliquĂ©s, dans l’exercice de leur devoir, gagnent leur propre pain, en Ă©prouvant ainsi un rĂ©el bonheur !

      2 Thessaloniciens 1

      HĂ©breux 6

      11 L'espĂ©rance mentionnĂ©e dans ce texte est une recherche certaine des bĂ©nĂ©dictions promises par Dieu ; cette espĂ©rance est animĂ©e par l’amour que l’on Ă©prouve pour Dieu, elle conditionne notre attente et la mesure de Ses engagements.

      L'espĂ©rance comporte divers degrĂ©s, tout comme la foi. La promesse que Dieu a faite aux croyants provient du dessein Ă©ternel qu’Il a Ă©tabli, elle est immuable et en phase avec le Père Ă©ternel, le Fils, et l'Esprit. Les promesses de Dieu sont pour nous une ferme assurance ; nous avons dans ce texte deux Ă©lĂ©ments immuables : le conseil et le serment de Dieu, au sujet desquels Il ne peut mentir. Si cette vĂ©ritĂ© n’était pas, elle serait contraire Ă  la nature et Ă  la volontĂ© divines. Comme Dieu ne peut pas mentir, la destruction de l'incrĂ©dule et le salut du croyant sont inexorables, l'une comme l'autre.

      Observons dans ce texte que ceux Ă  qui Dieu a accordĂ© la joie de demeurer en Lui, bĂ©nĂ©ficient de promesses, par « hĂ©ritage Â». Les consolations de Dieu sont suffisamment solides pour soutenir Son peuple, mĂŞme dans les Ă©preuves les plus lourdes. Dieu est un vĂ©ritable « Refuge Â», pour tous les pĂ©cheurs qui recherchent Sa MisĂ©ricorde, Ă  travers la RĂ©demption de Christ, selon Sa Grâce, laissant de cĂ´tĂ© toute autre considĂ©ration.

      Nous sommes en ce monde tel un navire sur la mer, ballottĂ© ça et lĂ , courant souvent le risque de partir Ă  la dĂ©rive. Nous avons besoin d'une « ancre Â» pour nous garder fermement. L'espĂ©rance que nous accorde l'Évangile est notre « ancre Â», dans les tempĂŞtes ici-bas. Cette ancre est sĂ»re et solide, sinon elle ne pourrait pas nous garder ainsi, en sĂ©curitĂ© !

      La Grâce de Dieu, les mĂ©rites et la mĂ©diation de Christ, comme les influences puissantes de son Esprit, constituent les bases d’une solide espĂ©rance spirituelle. Christ est l'objet et le fondement de l'espĂ©rance du croyant. Portons donc nos affections sur les « choses d'en haut Â», et attendons patiemment leur venue, lorsque nous paraĂ®trons avec Christ, dans Sa gloire !

      HĂ©breux 10

      HĂ©breux 13

      1

      Exhortations Ă  divers devoirs, Ă  nous contenter de ce que la Providence nous alloue. (HĂ©breux 13:1-6)
      Respecter les directives des pasteurs fidèles, avertissements contre ce qui peut être suggéré par des doctrines étrangères à la Parole. (Hébreux 13:7-15)
      Exhortations supplémentaires aux devoirs, envers Dieu, notre prochain, et envers ceux qui nous dirigent dans le Seigneur. (Hébreux 13:16-21)
      Cette épître doit être sérieusement considérée. (Hébreux 13:22-25)

      Le dessein de Christ, en se livrant Lui-mĂŞme pour nous, Ă  la croix, a Ă©tĂ© de racheter les pĂ©cheurs, en vue de constituer un « peuple particulier Â», zĂ©lĂ© pour les bonnes Ĺ“uvres.

      La véritable piété provoque un lien d’amitié fraternelle, le plus intense qui soit.

      Nous trouvons dans ce texte de sĂ©rieuses exhortations, relatives Ă  diffĂ©rents devoirs chrĂ©tiens, avec en particulier, celle du contentement. Plusieurs pĂ©chĂ©s s’opposent Ă  cela : la cupiditĂ©, dĂ©sir inassouvi de gagner de l’argent ici-bas, et la jalousie envers ceux qui en ont beaucoup plus que nous. PossĂ©dant des trĂ©sors spirituels dans le ciel, nous pouvons nous contenter du « moindre Â» ici-bas, ce que nous accorde en fait le Seigneur.

      Ceux qui n’obéissent pas à cette exhortation, restent sans cesse en quête de possession, bien que Dieu ait parfois élevé leur condition en ce monde.

      Adam, dans le jardin d’Éden, a connu le paradis, mais cependant, par son pĂ©chĂ©, n’était pas satisfait d’une telle situation ; certains anges dans le ciel restèrent Ă©galement dans l’insatisfaction ; l'apĂ´tre Paul, quant Ă  lui, bien qu'humiliĂ© et dĂ©pouillĂ©, a appris Ă  tout moment, en tous points, Ă  vivre dans le contentement.

      Les chrĂ©tiens doivent se satisfaire de leur sort prĂ©sent et s’appuyer avec foi sur les promesses divines : « je ne te dĂ©laisserai point, je ne t'abandonnerai point. Â» Jos 1:5.

      Dans le texte original, il ne se trouve pas moins de cinq nĂ©gations rassemblĂ©es pour confirmer cette promesse : le vĂ©ritable croyant bĂ©nĂ©ficiera de la prĂ©sence de Dieu, pleine de Grâce, durant sa vie, Ă  l’aube de sa mort, et pour l’éternitĂ© ! Les hommes ne peuvent nuire Ă  Dieu ; ce Dernier contrĂ´le tout ce qu’ils font envers Son peuple Ă©lu, en bien ou en mal !

      1 Pierre 1

      1 Pierre 2

      1 Pierre 3

      8 Bien que les chrétiens ne puissent être toujours d’accord sur certains points, ils doivent cependant avoir de la compassion mutuelle, et s'aimer, en tant que frères.

      Si un homme dĂ©sire vivre d’heureux jours ici-bas, et possĂ©der la vie Ă©ternelle, dans le ciel, il doit maĂ®triser sa langue : ne pas profĂ©rer le mal, des propos abusifs, ou trompeurs. Il doit abandonner tout pĂ©chĂ© et s’en tenir Ă©loignĂ©, pratiquer tout le bien possible, rechercher la paix avec tous les hommes. Car Dieu, qui est omniprĂ©sent, veille sur les justes et prend soin d'eux.

      Nul ne doit faire du mal à ceux qui suivent l'exemple de Christ, le Modèle de bonté parfaite, qui prodiguait ici-bas, le bien aux autres comme à Ses disciples.

      1 Pierre 4

      2 Pierre 1

      1 Jean 2

      1 Jean 3

      11 Nous devons aimer le Seigneur JĂ©sus, Ă©valuer Son amour, et aimer tous nos frères en Christ ! Cet amour est le fruit rĂ©vĂ©lateur de notre foi, et le signe caractĂ©ristique de notre nouvelle naissance.

      Quand on connaĂ®t bien le cĹ“ur de l'homme, on ne peut s'Ă©tonner du mĂ©pris et de l'inimitiĂ© des impies Ă  l’encontre des enfants de Dieu. Nous savons qu’en Christ, nous sommes passĂ©s de la mort Ă  la vie : nous pouvons le constater par notre foi en Christ, par l'amour que nous manifestons envers nos frères. Le fait de suivre une religion commune n’est pas synonyme de zèle, ni d'affection envers ceux qui portent la mĂŞme Ă©tiquette et ont les mĂŞmes sentiments que nous.

      La manifestation de la Grâce dans un cĹ“ur rĂ©gĂ©nĂ©rĂ©, est le commencement et le premier principe d'une vie pleine de gloire spirituelle ; ceux qui dĂ©testent leurs frères ne feront pas rĂ©ellement partie des rachetĂ©s authentiques...

      16 Nous trouvons dans ce texte toute l’indulgence, le miracle et le mystère de l'Amour divin : Dieu, en Son Fils JĂ©sus-Christ dĂ©sire racheter l'Ă©glise par Son propre sang.

      Il est certain que nous devons témoigner de l’amour envers ceux que Dieu a aimés, et même tant aimés. Le Saint-Esprit, attristé par l'égocentrisme de chacun, laissera un cœur égoïste sans consolation, rempli de ténèbres et de terreur...

      Par quel moyen peut-on savoir qu'un homme distingue toute l’ampleur de l'Amour de Christ (rĂ©vĂ©lĂ© par le Saint-Esprit) envers les pĂ©cheurs qui pĂ©rissent, si l'attrait du monde surpasse sa compassion envers un frère en pĂ©ril ? Chaque exemple d’un tel Ă©goĂŻsme doit contredire les preuves de la conversion d'un homme ; on doit tout entreprendre pour lutter contre un tel sentiment.

      Si notre conscience nous interpelle, face au pĂ©chĂ© ou Ă  une nĂ©gligence que nous avons pu commettre, Dieu nous le rappelle Ă©galement. Que les avertissements que nous adresse notre conscience puissent ĂŞtre bien perçus, et aussitĂ´t pris en compte !

      1 Jean 4

      7 L'Esprit de Dieu est l'Esprit de l’amour. Celui qui ne connaĂ®t pas Dieu, descendu chez les Siens, ne peut connaĂ®tre le salut qu’Il offre en Son Fils JĂ©sus-Christ. Dieu en effet, par Sa nature, est bon, et dĂ©sire accorder le bonheur Ă  Ses enfants. La bannière de Dieu c’est l’amour ; tous pourraient ĂŞtre parfaitement heureux, s’ils obĂ©issaient vraiment Ă  Ses prĂ©ceptes !

      Tout ce qu’annonce l'Évangile, au sujet du pardon du péché et du salut, conformément à la gloire et à la justice de Dieu, montre que ce Dernier est amour. Les ténèbres, avec tous leurs mystères, sont hélas jointes à beaucoup de choses ici-bas...

      Dieu a montré qu'Il est amour, que nous ne pouvons pas manquer le bonheur éternel qu’Il propose, sauf par incrédulité et impénitence, alors qu'une justice impitoyable nous aurait condamnés à une misère désespérée, par refus de la loi de notre Créateur.

      Nulle parole, ni pensĂ©e, ne peut nous justifier, face Ă  l'amour gratuit et Ă©tonnant d'un Dieu saint, envers les pĂ©cheurs ; Dieu, dont le manque d'esprit de vengeance a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© par le salut qu’Il offre en Son Fils, pouvait très bien, par Sa toute-puissante, crĂ©er un autre monde, avec des ĂŞtres parfaits...

      Recherchons-nous comment bĂ©nĂ©ficier d’un tel univers entier d’Amour, dans ses manifestations les plus merveilleuses ? Cet Amour rĂ©side dans la Personne et la croix de Christ. Un lien d'amour rĂ©el existe-t-il entre Dieu et les pĂ©cheurs ? En fait, nous n’avons pas aimĂ© Dieu en premier, mais c’est Lui qui nous a d’abord aimĂ©s. Son amour ne peut ĂŞtre conçu comme infructueux envers nous ; quand il conduit le pĂ©cheur au salut, le but final et parfait est atteint.

      La foi est parachevĂ©e par les Ĺ“uvres de Dieu. Il est manifeste que Dieu demeure en nous par son Esprit de rĂ©gĂ©nĂ©ration. Un chrĂ©tien qui aime est un chrĂ©tien parfait ; qui s'attache Ă  exercer tout son devoir, Ă  la perfection.

      L'amour « lubrifie les rouages Â» des affections et dispose tout en faveur du bien des frères en Christ. Un homme qui vaque Ă  ses affaires avec une mauvaise volontĂ©, accomplira toujours un travail mĂ©diocre... « Que Dieu demeure en nous, et nous en Lui ; Â» ces faits peuvent paraĂ®tre vraiment inaccessibles pour les mortels que nous sommes, Ă  moins que Dieu ne les ait placĂ©s en notre cĹ“ur. Comment le Père peut-Il ĂŞtre vĂ©ritablement reconnu ? Par le tĂ©moignage qui procède du Saint-Esprit ! Ceux qui sont vraiment persuadĂ©s qu’ils sont des enfants de Dieu, ne peuvent que l'appeler « Abba Â», Père. Par amour pour Lui, ils dĂ©testent le pĂ©chĂ© et tout ce qui est en dĂ©saccord avec Sa sainte VolontĂ©, qu’ils ne dĂ©sirent qu’accomplir.

      Un tel tĂ©moignage est celui du Saint-Esprit !

      1 Jean 5

      1

      L'amour fraternel est le résultat de la nouvelle naissance, il rend agréable, l'obéissance à tous les commandements de Dieu. (1 Jean 5:1-5)
      Référence aux témoins, unis pour attester que Jésus, le Fils de Dieu, est le véritable Messie. (1 Jean 5:6-8)
      La satisfaction que le croyant éprouve au sujet de Christ, à la vie éternelle dont il bénéficie en Lui. (1 Jean 5:9-12)
      L'assurance que Dieu écoute et répond à la prière. (1 Jean 5:13-17)
      La condition heureuse des véritables croyants, et une exhortation à renoncer à toute idolâtrie. (1 Jean 5:18-21)

      L’amour véritable envers les enfants de Dieu se distingue de l’affection naturelle ou de certaines estimes, car il est uni à l'amour de Dieu et associé à l'obéissance à Ses commandements.

      Le Saint-Esprit qui professe l'amour fraternel, enseigne Ă©galement l'obĂ©issance ; celui qui, par habitude, commet le pĂ©chĂ© ou nĂ©glige la pratique de ses devoirs, ne peut pas aimer vĂ©ritablement les enfants de Dieu.

      Du fait que les commandements de Dieu sont justes et saints, Ă©tant Ă©galement de bonnes « règles Ă  observer Â» pour la libertĂ© et la joie spirituelle, ceux qui sont « nĂ©s de nouveau Â» et qui les aiment, ne les trouvent pas pĂ©nibles, regrettant toutefois de ne pas pouvoir mieux servir le Seigneur. ĂŠtre au service de Dieu exige le dĂ©sintĂ©ressement de soi ; les vĂ©ritables chrĂ©tiens appliquent des principes qui leur font surmonter l’épreuve. Bien que cette dernière soit parfois Ă  l’origine d’un conflit intĂ©rieur acerbe, et que l’enfant de Dieu rĂ©gĂ©nĂ©rĂ© puisse chuter, il se relèvera et renouvellera son combat avec rĂ©solution.

      Tous, exceptés les croyants, sont asservis, d'une manière ou d'une autre, aux diverses coutumes, opinions, ou intérêts de ce monde. La foi est à l’origine de la victoire contre le monde, elle constitue le moyen, l'instrument, l'armure spirituelle par laquelle nous sommes vainqueurs. Dans la foi et par la foi, nous sommes unis à Christ, dans le mépris des vains attraits de ce monde. La foi sanctifie le cœur, et le purifie des convoitises sensuelles par lesquelles le monde attire les âmes et domine sur elles.

      L’homme dans lequel demeure l'Esprit de Grâce est plus grand que celui qui n’est attirĂ© que par le monde. Le vĂ©ritable chrĂ©tien est vainqueur du monde, par la foi ; il voit, par les diffĂ©rents exemples de la conduite du Seigneur JĂ©sus ici-bas, qu'il faut renoncer Ă  ce monde et qu'il faut chercher Ă  le vaincre. Un enfant de Dieu ne peut pas se satisfaire du monde, mais il regarde au-delĂ , ne cherchant qu’à accĂ©der au ciel. Nous devons tous, selon l'exemple de Christ, vaincre le monde, ou bien c'est ce dernier qui nous mènera Ă  la ruine...

      2 Jean 1

      Apocalypse 2

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